Ecrivez facilement des textes qui font agir
Ressources gratuites pour Copywriters | Pourquoi ? | Un article au hasard
Je reçois des dizaines de mails par jour qui tentent de me convaincre de faire ceci ou cela.
"Cliquez sur ce lien, abonnez-vous, achetez mon produit, adhérez à ma formation, etc."
De plus, en tant que copywriter, je lis beaucoup de lettres de vente ici et là.
Et depuis toujours, les personnes qui écrivent ces lettres de vente ou ces mails emploient des mots dont ils ne mesurent pas la portée.
Je peux difficilement savoir quels sont les impacts négatifs en termes de chiffre d'affaires qu'accusent ceux qui écrivent ces textes, mais je sais par contre quel impact ça a sur moi (et certainement sur pas mal de gens).
Les mots dont je parle sont ceux-ci :
Pris individuellement, ces mots sont tout à fait honorables. Mais dans la globalité d'un texte, ils sont lourds de sens.
En effet, quel besoin peut-on éprouver de ponctuer son texte d'un mot comme "Sincèrement" ? Est-ce à dire que tout ce qui a précédé ne l'était pas (sincère) ?
Le texte que je viens de lire qui m'a donné l'idée de cet article comportait cette phrase :
"Ensuite, la première action que je vous invite réellement à faire c’est de ..."
Cette simple phrase invalide tout ce qu'il y a eu avant, puisque si on me dit que LA tout de suite, on m'invite RÉELLEMENT à faire un truc, ça veut dire que tout ce qu'on m'a demandé avant ne l'était pas (réel) et que donc toutes les demandes faites avant cette phrase étaient fausses en fait.
Bref, vous comprenez le concept ?
Au-delà du risque que votre prospect ou que votre abonné se demande pourquoi vous dites ça et qu'il sente l'entourloupe quelque part, l'emploi de ce genre de mots devrait également vous servir à vous poser de bonnes questions à propos de votre produit ou de votre service ou même de ce que vous souhaitez faire faire à votre interlocuteur.
Car si vous éprouvez le besoin d'écrire ça, c'est que vous-même vous ne croyez pas à ce que vous avez écrit avant.
Pourquoi ?
Est-ce que c'était trop exagéré ? Ou imprécis ? Est-ce que vous ne donnez qu'une partie de la vérité ? Est-ce que c'est réellement important ? Avez-vous réellement été franc dans vos propos ? Avez-vous TOUT dit ? Ne faites-vous pas perdre du temps à vos clients avec des trucs qui ne servent pas RÉELLEMENT à quelque chose ? Avez-vous écrit des trucs pour "meubler" votre mail ou votre page de vente ?
Quand on écrit, qu'il s'agisse d'un mail ou d'une page de vente - ou même une vidéo, hein, le concept s'étend à toutes les dimensions de votre communication - plutôt que de faire dans la longueur à tout prix, peut-être que vous pourriez prendre le parti d'aller à l'essentiel et d'en dire le strict minimum pour que les gens comprennent clairement ce dont vous parlez.
Ils se passeront aisément du verbiage inutile qui sert à meubler les trous d'un texte.
Tout ce que vous dites devrait être réel, vrai, franc. Et sincère. De telle sorte que vous n'auriez pas besoin de le préciser à un endroit de votre texte.
Certains pourront dire que tout ceci est futile. Pourtant, un texte qui sert à faire agir est fragile. Si vous contrariez un lecteur, il peut quitter votre texte d'un simple mouvement de doigt...
Qui sait... la vente qui manque à chacune de vos journées pour faire de votre business une affaire rentable tient peut-être juste à ça...
Essayez, vous verrez ;)
2 FEVRIER 2017
Ce qu'il y a de bien avec ChatGPT, c'est que lorsqu'on l'utilise régulièrement et qu'on prend l'habitude de le voir comme un super assistant, on découvre chaque jour de nouvelles utilisations.
Vous pouvez en effet lui poser la question de savoir ce qui empêche vos clients d'atteindre leurs objectifs concrets. Il vous donnera une jolie liste d'obstacles et de problèmes que vous pourrez utiliser pour :
... et une tonne d'autres applications pour lesquelles trouver un problème à résoudre ou un obstacle à lever sera d'une grande aide.
Après tout, quoi que vous proposiez, que ce soit un produit ou une prestation, quand vous connaissez vraiment les principaux problèmes de vos client.e.s, vous savez quoi leur proposer pour les résoudre.
Et cette manière de procéder peut vous permettre de créer un produit complet, en suivant une procédure tout ce qu'il y a de plus simple et logique.
J'explique tout avec un exemple concret dans un guide (PDF), que je réserve aux membres de Copywriting Pratique :
Pour télécharger ce guide (et les autres disponibles), remplissez simplement le formulaire ci-dessous, et recevez votre accès à tous les outils disponibles :
Il est assez fréquent d'entendre parler du storytelling pour présenter un produit à vendre ou une marque ou même carrément une entreprise.
Mais savez-vous que vous pouvez aussi utiliser cette pratique pour rendre vos produits beaucoup plus fournis, plus attrayants et surtout plus compréhensibles par vos clients ?
Dans cet article, je vous explique pourquoi l'art de raconter de bonnes histoires peut vous aider à faire de vos produits de véritables œuvres d'art que vos futurs clients vont s'arracher.
On sous-estime le pouvoir des bonnes histoires pour "enseigner" un concept, une idée ou tout simplement une technique.
En effet, même lorsqu'on propose un infoproduit pratique pour lutter contre un problème ou pour améliorer certains aspects de sa vie, la grosse majorité des gens comprennent mieux quand il y a un exemple - sous la forme d'une histoire racontée - ou un cas particulier.
Or, quand on achète un infoproduit, on constate bien souvent qu'il n'y a que très très peu d'exemples, ce qui fait que l'on se retrouve avec des infos indigestes, difficile à comprendre et à intégrer. Un peu comme lorsqu'on était à l'école.
Et pourtant... Si le thème que l'on traite nous touche personnellement, on a des dizaines voire des centaines d'anecdotes en stock que l'on pourrait raconter pour étayer tout ça.
Et là, comme par magie, le produit ainsi construit devient tout de suite bien plus intéressant.
Et cela fonctionnera d'autant plus si vos clients sont des imaginatifs, qui ne comprennent bien un concept que s'il est empaqueté dans une belle histoire !
Admettons que je veuille vous faire comprendre qu'il est superflu, voire complètement inutile de vous appesantir sur le passé, et qu'il vaut mieux aller de l'avant (comme on le voit beaucoup un peu partout).
Je peux prendre le parti de vous citer les plus grands hommes et femmes du dernier millénaire pour tenter de vous inspirer et de vous faire comprendre tout ça.
Mais je peux aussi choisir de m'y prendre autrement :
"En écrivant ces mots, je laisse errer mon regard par la fenêtre ; juste devant moi, je vois, dans mon jardin, quelques empreintes de dinosaures, fixées pour l'éternité dans l'argile schisteuse. Ces empreintes m'ont été cédées par le Musée de l'Université de Yale, et je possède une lettre du conservateur de ce musée affirmant qu'elles ont été faites il y a 180 millions d'années.
Même le mongol le plus primitif ne songerait pas à revenir en arrière de 180 millions d'années pour essayer de changer la forme de cette empreinte.
Pourtant, une telle tentative ne serait guère plus bête qu'une grande partie de nos tourments, pour la bonne raison que nous ne pouvons même pas revenir en arrière de 180 secondes pour changer ce qui s'est passé, ce que beaucoup d'entre nous s'obstinent à faire.
Nous pouvons évidemment chercher à modifier les effets de ce qui s'est produit 180 secondes auparavant, mais il nous est absolument impossible de changer quoi que ce soit à l'événement lui même."
Avouez que c'est plus intéressant de lire ce genre de texte pour tenter de comprendre un concept.
Cette histoire est tirée du livre "Triomphez de vos soucis. Vivez que diable" de Dale Carnegie. Il est truffé d'anecdotes de ce genre, ce qui en fait - et de loin - l'un de mes 10 livres préférés que je relis avec plaisir chaque année.
Si vous décidez de raconter des histoires, des anecdotes et de mettre des exemples vécus dans vos infoproduits, vous allez créer un contenu 100% personnel que personne ne pourra copier (puisque ce sont VOS histoires).
Et si vos histoires sont bien tournées, elles peuvent enseigner de manière bien plus efficace que n'importe quelle théorie.
Ce qui fera une réelle différence entre un produit médiocre dont on trouve les infos partout et un ouvrage qui sera un best seller.
On peut prendre par exemple "Bouillon de poulet pour l'âme" de Jack Canfield, qui ne raconte que des histoires qui enseignent beaucoup de choses (dont l'humilité) et qui s'est vendu à plusieurs millions d'exemplaires.
Sans parler du fait que de cette manière, votre infoproduit sera bien plus apprécié. Les commentaires qui seront mis dessous seront bien meilleurs et donneront plus envie aux autres d'acheter.
C'est de cette manière que l'on peut faire de son produit son premier ambassadeur.
Pensez-y sérieusement : on a tous des histoires incroyables autour de notre thème, à raconter ! Pourquoi ne pas en faire un bon produit ou pour le moins, s'en servir pour enrichir un produit existant qui a du mal à se vendre ?
Dans un prochain article, je vous donnerai quelques plans pour écrire de belles histoires.
En attendant, commencez à noter toutes les anecdotes qui vous passent par la tête à propos du thème de votre produit afin de voir où vous allez pouvoir les insérer.
26 JANVIER 2017
Dans l'article précédent, nous avions vu 2 manières de rendre vos produits uniques, et ainsi de vendre plus car ce que l'on trouvera chez vous ne sera QUE chez vous.
Aujourd'hui voici 1 idée supplémentaire qui devrait vous permettre d'être le ou la seule sur votre marché.
Avec tous les avantages que cela implique.
Quel que soit le thème que vous avez choisi pour votre produit, si vous pouvez relater une réelle expérience personnelle dans ce domaine, alors vous pouvez avoir une longueur d'avance colossale sur tous vos concurrents.
Mais surtout, vous pouvez proposer quelque chose d'unique et de non copiable.
Si vous traitez du stress par exemple (thème, on le sait, très très large et énormément traité dans les infoproduits), il sera bien plus intéressant pour vos clients de raconter ce qui vous est arrivé concrètement à cause du stress, et comment vous avez fait pour gérer la situation.
Vous pouvez aussi énumérer tout ce qu'on vous a dit (les bonnes et les mauvaises choses), ce que ça a provoqué chez vous, pourquoi vous recommandez ça - ou pas - et quels ont été les résultats.
Si vos clients suivent votre expérience, s'ils peuvent s'identifier à ce que vous avez vécu, alors il sera plus facile pour eux de progresser également personnellement.
Quand on raconte une expérience personnelle, c'est plus facile d'y mettre de l'émotion. Que cela ne vous empêche, pas, bien sûr, d'y rajouter un petit côté pratique sous la forme, par exemple, d'un résumé en fin de chapitre qui récapitulerait tout ce qu'il faut retenir.
Astuce : Si vous vendez ce genre de produit, qui relate votre expérience, et si vous arrivez à rendre tout ça haletant, il peut être une bonne idée d'offrir le premier chapitre de votre livre (ou les premières vidéos).
Ceci afin que les gens voient qu'il ne s'agit pas "encore" d'une sempiternelle méthode pseudo-pratique, voire théorique, mais plutôt d'une réelle expérience personnelle bien plus intéressante pour eux.
Dans le même ordre d'idée que ce que nous venons de voir, il existe une 4ème manière de rendre votre produit absolument captivant et 100% unique.
On en parle dans l'article qui suit.
19 JANVIER 2017
Je vous en parlais dans mon article précédent, il est plus qu'important de créer une proposition unique de vente la plus UNIQUE possible.
Le but, c'est d'être la seule personne qui propose ce que vous vendez. Avec VOS idées, VOS expériences et VOTRE approche.
C'est ce qui fera que les gens préféreront acheter chez vous plutôt qu'ailleurs.
Dans cet article, je vous détaille 2 manières de créer du contenu unique qui ne correspondra qu'à votre vision des choses.
On vous dit partout - dans les formations de création de produit - qu'il faut rajouter d'autres médias qu'un simple livre. C'est en effet déjà un bon début.
Pour autant, si vous rajoutez des fichiers audios et des vidéos, mais que ce que vous dites dessus est présent ailleurs (dans les magazines, dans un autre produit vendu par un autre vendeur, etc.) alors ça ne change rien.
Certes, multiplier les formats rend l'utilisation de votre produit d'information plus facile à assimiler (certains préfèrent entendre ou voir des scènes animées plutôt que de lire), mais l'idéal serait d'inclure sur ces supports des choses et des infos qui ne peuvent pas être mises sur un support de lecture.
Par exemple des exercices (montrer comment faire). Ou alors des témoignages. Dans tous les cas, il serait bien que les infos contenues dans vos vidéos et audios soient différentes de ce que vous écrivez dans un PDF.
Ce qui constituera un réel "plus", et non une duplication du produit principal.
Il s'agit d'outils qu'on ne trouvera que chez vous, et qui rendront votre produit interactif.
Il peut s'agir de :
...et par extension tout ce que vous pourriez créer qui permettrait à vos clients d'améliorer leur epérience dans le domaine que vous traitez.
Et bien entendu, l'idéal est de proposer des outils qui n'existent pas ailleurs que chez vous.
En voilà déjà 2. Il en existe encore...
Je vous en donne deux supplémentaires dans l'article qui suit.
D'ici là, si vous avez des idées, n'hésitez pas à vous exprimer ;)
12 JANVIER 2017
Si vous vous intéressez un peu au copywriting, alors vous savez que l'un des paragraphes capitaux d'une page de vente concerne la preuve sociale.
Oui, même si on vous a dit le contraire, une page de vente, c'est une succession de paragraphes qui devraient être placés dans un ordre précis.
Et parmi ces paragraphes se trouvent les preuves sociales. Vous savez… les témoignages clients, par exemple.
Hélas ! Beaucoup de gens s'arrêtent aux témoignages pour renforcer leur crédibilité, alors qu'il y a en bien plus à utiliser sur une page de vente.
Et en fait, quand vous voulez aller au restaurant, au ciné, dans un hôtel, un appartement ou même à un spectacle, les avis (leur nombre, surtout), les étoiles et les commentaires vous aident grandement à choisir.
C'est l'avantage de notre époque : Internet a rendu les avis clients accessibles à tout le monde, ce qui a permis d'éviter de nombreuses expériences désagréables à beaucoup de monde.
Si vous vendez des produits ou des prestations sur Internet, vous pouvez utiliser ce moyen pour gagner en crédibilité et ainsi augmenter vos ventes.
Je vous propose donc de découvrir 12 types de preuves sociales que vous allez pouvoir utiliser et rajouter sur votre page de vente :
Il s'agit d'un guide en PDF que vous pouvez télécharger facilement en guise de cadeau de bienvenue dans la grande famille du Copywriting Pratique, et plus particulièrement dans celle de ce blog.
Indiquez juste votre prénom et l'adresse email à laquelle je peux vous envoyer votre accès à ce guide et à plein d'autres :
Comme je le fais depuis des années pour trouver des idées et pour être au courant des tendances, je suis allé me balader dans un kiosque à journaux hier, histoire de voir ce qu'il y avait de disponible sur la santé et d'autres sujets sur lesquels j'écris.
Et comme toujours, j'ai pu constater que les différentes maisons d'édition de magazines redoublent de recherches et d'ingéniosité pour égayer leurs parutions.
Sur la photo ci-dessous, vous pourrez voir un guide "psycho" qui indique "Développer Confiance et estime de soi" :
Il coûte 7.90 €.
A l'intérieur, vous avez plus de 50 pages, avec des foules d'astuces, de techniques, etc. qui font qu'on ne regrette pas d'acheter ce guide... aussi peu cher...
J'ai feuilleté d'autres magazines/guides de ce genre, et à chaque fois, quel que soit le sujet, tout est bien fourni et tout est très très accessible (de 4.90 à 7.90 comme je l'ai inscrit sur la photo).
Voilà où je veux en venir :
Certains et certaines ont plus ou moins de mal à vendre en fonction du thème de leur produit. Beaucoup pensent que c'est la lettre ou la vidéo de vente, ou la pub (ou les deux) qui pêche quelque part.
Mais êtes-vous bien sûrs que ce que vous avez mis dans votre produit ne se trouve pas à 4.90 dans n'importe quel kiosque à journaux ?
Avez-vous vérifié ? Avez-vous bien inclus des techniques personnelles et uniques dans vos produits ?
L'un des critères les plus importants dans la réussite sur Internet, c'est la définition EXACTE et soignée de ce que les américains appellent l'USP.
En France, on appelle ça la Proposition Unique de Vente, qui est censée être LA grande idée ou la grande offre que VOUS et VOUS SEUL proposez à vos clients, et qui fait qu'on vient acheter votre produit chez vous plutôt qu'ailleurs.
Si vous vendez sur Internet, quel que soit le système, pouvez-vous, sans la moindre hésitation, dire quelle est votre USP ? Êtes-vous certain que cela n'a pas été déjà traité dans un magazine à moins de 5 € ?
Il y a quelques années, je vendais (!) un guide qui donnait de bons conseils pour se débarrasser de la migraine à 27 €.
Un jour, une de mes amies est arrivée avec un magazine de 60 pages consacré à la migraine... Après consultation, j'ai eu bien honte : Ils en donnaient environ 4 fois plus que dans mon guide, et ce pour... 6.50 € !!!
Ca fait un choc !!
Heureusement, pour pallier ce genre de déconvenue, il existe plusieurs moyens que je vous détaillerai dans un prochain article.
Mais pour l'heure, vous êtes allé faire un tour dans un kiosque près de chez vous dernièrement ?
5 JANVIER 2017
Ca fait plusieurs fois que je reçois des lettres (ou des vidéos) de vente pour des formations audio ou en vidéo.
J’en ai acheté quelques unes. Puis j’ai arrêté.
Parce que je n’ai jamais pu suivre une formation audio ou vidéo jusqu’au bout.
N’y voyez pas là une quelconque fainéantise de ma part, ou une propension à ne jamais terminer ce que je commence. Non !
C’est simplement parce que lorsque j’entends des conseils qui s’éternisent (ça dure une ou deux heures), je m’endors. Super vite en plus.
Et surtout, je ne retiens rien. Rien du tout !
Pour que je retienne quelque chose, il faut que je le lise. C’est obligatoire pour moi.
Il y a eu des études qui ont été faites sur ce phénomène. C’est dû au fait que la faculté de mémoriser des humains diffère grandement d’un individu à l’autre. Tous ne favorisent pas les mêmes canaux de perception.
Ainsi, certains ont besoin d’entendre des paroles de chanson pour les retenir. D’autres ont besoin de les lire.
C’est ce qui se passe pour moi avec les formations. Si je n’ai pas de support papier, alors je ne retiens rien. “Ca rentre par une oreille et ça ressort par l’autre” comme on dit.
Par conséquent, je n’achète plus aucune formation audio ou vidéo sur des sujets non techniques qui n’ont pas été retranscrites sur papier.
Mais je sais aussi que tout le monde n’est pas comme moi, et que certains ont BESOIN d’écouter pour apprendre.
Voilà pourquoi depuis longtemps, j’ai décidé de retranscrire tous mes livres en fichiers audio, afin que celles et ceux que ça intéressent puisse “écouter” mes écrits dans leur voiture ou sur leur iPod, et ainsi mieux retenir ce que je dis.
Et vous, le faites-vous ?
Et à contrario, si vous vendez des formations audio ou vidéo, avez-vous prévu une retranscription papier de ce que vous dites ?
Essayez ça : Prenez un des livres que vous avez écrits, et retranscrivez chaque chapitre en audio. Puis envoyez un mail à vos prospects et dites-leur que vous offrez la version audio avec le livre.
Ca pourrait bien augmenter vos ventes de quelques unités... ;)
12 DECEMBRE 2016
Cette étape intervient juste après avoir écrit votre article complet.
Il va donc s’agir de le découper en 5 parties, qui vont chacune représenter un article à part entière.
Il vous suffira de rajouter une petite phrase d’intro, qui peut par exemple :
Rien de bien transcendant.
Par contre, là où vous allez VRAIMENT faire la différence, c’est avec ce que je vous recommande de rajouter à la FIN de chacun de vos 5 articles.
Vous l’aurez compris - ou pas – je vais vous parler d’un élément indispensable que chaque blogueur qui a tout compris au métier DEVRAIT utiliser à chaque fois.
Il s’agit… des puces promesses.
Vous savez ? Ce genre de petites “puces” qui décrit un avantage, et qui donne envie de lire l’article qui suit. Puces qui sont généralement précédées d’une flèche.
Comme celle-ci par exemple :
Pour l’action qui nous intéresse (donner envie aux lecteurs d’attendre impatiemment l’article qui suit), il vous suffit de créer une série de 3 puces promesses pour annoncer le contenu de la partie suivante.
Dans cet article, je vais vous faire un petit condensé d’apprentissage dans la réalisation de puces promesses.
Une puce “promesse”, comme son nom l’indique, “promet” quelque chose. Quelque chose d’attirant. De sympa.
Elle forme ainsi une sorte de “teasing” pour donner envie au lecteur de revenir le lendemain pour lire la suite.
C’est une technique développée pour les pages de vente, mais qui peut bien entendu être reprise dans vos articles et dans vos vidéos.
Vous en avez d’excellents exemples sur les vidéos réalisées par Claire du blog Univoix, avec par exemple cette vidéo pour apprendre à mieux communiquer.
Regardez les dernières secondes de ses vidéos, et voyez comment vous pourriez faire la même chose avec les vôtres.
Dans beaucoup de pages de vente, je vois des puces promesses qui ne “servent à rien”. Car elles ne remplissent pas leur fonction principale.
Christian Godefroy a une méthode très sympa pour savoir si votre puce est bonne. A la fin, si vous pouvez dire “Et alors ?”, c’est qu’elle n’est pas bonne.
Ca veut dire quoi ?
Qu’à la fin d’une puce promesse, on doit avoir quelque chose de CONCRET à se mettre sous la dent.
Par exemple, si je vous dis :
...En quoi est-ce que cela vous intéresse ?
Quel est l’intérêt de savoir ça ? Pour en faire quoi ? Est-ce que ça vous donne envie d’en savoir plus ?
Une puce promesse réalisée dans les règles de l’art doit être plus spécifique. Et elle doit donner un avantage précis pour le lecteur. Un AVANTAGE, pas une technique.
Le fait de savoir quelles sont les raisons qui poussent les ados à mentir n’apporte pas grand chose à celui qui le lit.
Par contre, si on explique à QUOI cela va servir de le savoir, alors l’intérêt est bien plus évident.
Donc, on pourrait reconstruire la puce ci-dessus de la sorte :
ou :
ou encore (la meilleure des 3 de mon point de vue) :
Cette dernière puce promesse répond à tous les critères d’une bonne puce :
Vos puces promesses devraient toutes être construites de la sorte et comporter DANS LA MAJORITE DES CAS le mot “pour”.
Regardez bien attentivement toutes les puces que j’ai créées pour cette série d’articles, elles ont été construites de la sorte.
Avec cette 4ème étape, vous avez scindé votre gros article principal en 5 “sous-articles” et vous avez créé 3 puces promesses à la fin de chacun d’eux histoire de donner envie à vos lecteurs de lire la suite.
Jeudi prochain, nous verrons l’étape suivante, qui consiste à...
Tiens ! Voilà une petite devinette pour ce week-end :
Que peut-on bien faire de plus que tout ce qu’on a fait jusque là ?
Allez proposez-moi vos idées, et voyons si vous êtes assez perspicace pour trouver la même idée que la mienne.
5 DECEMBRE 2016
A moins que vous n'ayez vécu dans une grotte depuis un an, vous ne pouvez pas être passé à côté de l'Agent Conversationnel "ChatGPT", baptisé pour l'occasion "Gepetto" sur ce blog.
Il a vu le jour en novembre 2022, mais a réeellement explosé à partir de février 2023, en récupérant 100 millions de membres en moins de 8 mois.
On n'avait pas vu de croissance pareille depuis bien longtemps.
Il est donc important d'apprendre à maîtriser cet outil (car, OUI, ce n'est qu'un outil) pour gagner un temps phénoménal dans des milliers d'actions.
En ce qui me concerne, je l'utilise tous les jours pendant 2-3 heures, et j'écris régulièrement des articles dessus pour vous apprendre à l'utiliser aussi, avec ou sans objectif d'améliorer votre copywriting.
Voici les plus populaires :
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Cet article est la suite de celui de jeudi dernier, et fait partie de la série “Comment écrire 7 articles en 2 heures”.
A partir du moment où vous avez identifié vos 5 étapes, que vous avez éventuellement modifiées suite aux propositions de vos lecteurs, il est temps de vous attaquer à votre article.
C’est ce qui va être le plus long.
Et l’important, outre le temps qui vous est imparti pour rédiger cet article, c’est surtout de faire les choses comme il faut...
Vous avez déjà le plan de votre article, puisque vos différentes étapes sont déjà indiquées. L’objectif est donc de détailler chacune des étapes que vous avez mentionnées.
Le but est de bien expliquer à vos lecteurs comment ils vont pouvoir faire ceci ou cela.
On vous dit souvent qu’il est “bon” d’utiliser les listes quand on fait des articles.
C’est vrai.
Car les gens aiment ce qui peut être énuméré. Ca rentre plus facilement dans leur cerveau, et cela facilite la compréhension de l’ensemble.
Cela dit, dans le genre d’exercice que l’on pratique aujourd’hui (écrire 7 articles en 2 heures maxi), il faut aller plus loin que la simple liste.
Il va falloir justifier les différentes étapes de votre liste et développer vos idées.
C’est donc dans cette 3ème étape que vous allez écrire chacun des points de votre liste, et que vous allez développer chacun d’eux.
Ce qui fera que chaque point de votre liste devient un potentiel futur article.
Ceci étant précisé (et j’espère bien compris) dans cette entreprise, le but est d’être efficace en matière de temps.
Voilà pourquoi je vous propose cette petite technique que j’utilise avec succès depuis des années, afin que vous arriviez à tenir vos délais :
C’est une méthode très simple, qui consiste à fractionner votre temps d’écriture à la manière des coureurs de fond.
Vous allez donc décider de consacrer 5 minutes – pas une de plus – à l’écriture “rapide” de chacune de vos étapes.
Pour cela, munissez-vous d’un chronomètre ou mieux, d’un compte à rebours. On trouve ça sur n’importe quel téléphone.
Décomptez 5 minutes exactement pour chacune de vos parties.
Lancez le compte à rebours.
Il s’agit d’écrire un maximum d’idées sur chacune d’elle. En partant de la première, pour arriver à la cinquième.
N’écrivez pas de phrases. Juste des mots. Des idées. A la manière d’un brainstorming.
L’objectif est de faire un peu marcher votre cerveau à l’instinct. De lui tirer un maximum d’informations sur ce que vous savez déjà.
Donc en pratique :
Normalement, si j’ai bien compté, ça vous a pris 25 minutes.
Il est temps maintenant de passer à la phase 2 :
Dans cette phase, vous allez mettre un compte à rebours de 10 minutes.
Et vous allez reprendre chacune de vos étapes, et vous allez transformer les idées que vous avez notées dans la phase 1 en phrases intelligibles et pertinentes.
10 minutes maxi pour chaque étape.
Formez vos phrases, enchainez vos idées, bref...mettez chacune de vos étapes en forme afin d’écrire un article digne de ce nom.
Vous le verrez, dans le feu de l’action, tout est bien plus facile que vous ne l’imaginez.
Car je le sais pour l’avoir expérimenté, à la simple lecture de cette technique, vous vous dites certainement que c’est peine perdue.
Et pourtant, essayez...
Pour le coup, c’est carrément bluffant de constater comme il est facile de mettre son cerveau en action pour cette activité d’écriture.
Ca fait un peu usine, mais tentez le coup. Personnellement, je trouve ça très séduisant.
Voici donc un résumé pratique de cette deuxième phase :
Vous n’aurez pas tout le temps un challenge de ce type à suivre (7 articles en deux heures).
Par conséquent, je vous propose de prévoir une cinquantaine de minutes supplémentaires pour rendre votre article plus professionnel (mais forcément moins naturel).
Il s’agit donc de rajouter une sorte de phase "zéro" (la Phase 0 : Recherches (10 mn)) qui viendrait AVANT la phase “Idées”.
Dans cette phase, vous vous accordez 10 minutes supplémentaires pour RECHERCHER des infos sur le thème de l’étape que vous avez choisie.
Le principe est à peu près similaire aux deux phases vues précédemment :
Et ensuite vous pouvez démarrer la phase 1.
N’hésitez pas à séparer ces deux phases de quelques heures, voire d’un jour complet. Histoire de laisser votre cerveau décanter un peu.
Une fois que votre article aura été écrit (vos 5 étapes auront été toutes traitées), il vous suffira ensuite de le scinder en 5 articles distincts.
Nous verrons demain comment procéder en pratique.
Et j’en profiterai pour vous parler de ça :
On voit ça jeudi prochain !
D’ici là, n’hésitez pas à poser vos questions en commentaires.
28 NOVEMBRE 2016
Une fois que vous avez choisi votre sujet, et que vous avez préparé vos 5 étapes, il est temps d’annoncer au monde que vous allez faire une série de 7 articles (dont celui-ci) sur le thème que vous avez choisi.
C’est ce que j’ai fait dans l’avant-dernier article.
Je vous ai annoncé comment vous pouviez vous aussi écrire 7 articles en deux heures.
Vous devrez donc faire la même chose avec votre thème : L’annoncer aux membres de votre blog.
Ca fera le premier article de votre série.
Pas besoin d’en faire des tonnes.
Un article d’environ 300 mots suffit largement. L’important, c’est l’effet de teasing que vous allez employer dedans, pour donner envie à vos lecteurs :
Voici ce que vous devriez aborder à l’intérieur de cet article :
C’est le titre de votre “série”. C’est à dire vos 7 prochains articles.
Il vous faut donc le soigner, et annoncer la couleur de ce dont vous voulez parler.
Votre titre va déterminer le nombre de lectures de vos articles.
C’est là que vous expliquez sommairement pourquoi le sujet que vous avez choisi est intéressant. Pourquoi ça intéresse vos lecteurs, et comment vous comptez vous y prendre pour rendre le tout facile à comprendre.
Incluez des puces promesses aussi.
Qui donnent envie à vos lecteurs d’en savoir plus.
Vous ANNONCEZ votre évènement, alors fendez-vous de quelques phrases de teasing pour faire “monter la sauce”.
Vous avez la chance d’avoir une communauté soudée, qui se mettrait en 4 pour vous, pour vous remercier de leur avoir déjà tant donné avec vos articles ?
Pourquoi ne pas leur donner ce plaisir ?
La troisième partie de votre article d’annonce devrait donc comporter une demande précise sur ce que feraient vos lecteurs s’ils avaient à traiter ce sujet ?
Surprenant ? Je sais !
Ca n’en reste pas moins une très bonne manière de trouver plus d’idées à traiter. Et qui sait, certaines de ces idées seront bien meilleures que les vôtres.
En outre, vous ne pouvez pas penser à tout !
Cela vous donnera donc l’occasion soit de remplacer certaines de vos idées par des meilleures, soit de créer autant d’articles supplémentaires que vous avez reçu d’idées.
N’oubliez pas de dire à vos contributeurs qu’ils bénéficieront d’une mention ainsi que d’un lien vers leur blog s’ils en ont un.
Cela encouragera les autres à participer, et vous récolterez ainsi un maximum d’idées.
Une fois que vous aurez toutes vos idées, il sera temps de passer à la rédaction de votre article global.
On voit ça dans le prochain article de la série.
21 NOVEMBRE 2016
Dans les 6 articles qui vont suivre, on va partir du principe que vous souhaitez écrire 7 articles autour d’un sujet précis.
Bien entendu, si vous voulez écrire 10 articles, vous le pouvez aussi.
Vous allez voir comment.
Attaquons tout de suite avec la toute première étape :
La toute première étape dans la réalisation d’une telle entreprise consiste bien évidemment à trouver un bon sujet en rapport avec votre blog.
Mais attention ! Votre sujet doit se prêter à la réalisation d’une liste d’au moins 5 points à suivre si vous souhaitez écrire 7 articles.
Si vous avez dans l’idée de ne faire que 5 articles, alors vous aurez à choisir que 3 étapes précises.
Si vous voulez faire 10 articles, alors vous aurez à préparer 8 étapes précises.
Et donc par extension, si vous voulez faire X articles, alors vous aurez X-2 étapes à trouver.
Pourquoi ce X - 2 ?
Parce qu’il y a deux des étapes qui ne sont PAS de véritables étapes au sens de “faites ceci ou cela”.
Vous les découvrirez dans les jours qui suivent.
Pour l’heure, la toute première chose à faire est donc de construire un plan en 5 étapes pour réaliser 7 articles.
La toute première chose à faire est de poser un problème précis. Qui va nécessiter plusieurs étapes pour le résoudre.
A partir du moment où vous avez choisi votre sujet, vous allez devoir passer en revue toutes les solutions possibles et imaginables à votre problème pour au final en tirer 5 étapes précises et concrètes.
Et vous les notez de la manière la plus explicite possible (on verra ça dans l’étape suivante).
Une fois que vous aurez fait ça, ces 5 étapes seront donc les titres de chacune des parties de votre article principal.
Quand cette partie là est faite, alors vous êtes prêt à passer à la deuxième étape, que nous verrons dans le prochain article de la série.
Vous y découvrirez :
Rendez-vous jeudi prochain pour découvrir cette étape 2.
D’ici là, si vous avez des questions à propos de tout ça, n’hésitez pas !
14 NOVEMBRE 2016
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