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Inutile...

Hier, Cédric de Virtuose Marketing, a présenté un livre sur son blog qui parlait du PHP (un opus de la collection “pour les nuls”).

Et comme à chaque fois qu’on aborde un sujet technique sur un blog ou ailleurs, alors on voit fleurir plusieurs expressions en commentaires à propos de cette discipline :

C’est surtout cette dernière expression qui me fait bondir.

Parce qu’elle me donne l’impression qu’on encourage les gens à devenir comme ça :

Stupid face

J’ai donc décidé d’y consacrer mon article du jour, pour lequel j’ai revêtu pour l’occasion mon masque de sarcastique invétéré, cher à mon cœur pour me défouler quand je lis ce genre d’affirmation sur un blog ou ailleurs.

De l’inutilité de l’apprentissage

Voyez-vous, si on écoute certaines personnes, alors rien de ce qu’on apprend, aujourd’hui ou hier, n’est vraiment utile.

En gros, on a fait plein de trucs dans la vie qui n’ont jamais servi à rien.

Les maths par exemple. Complètement idiot d’apprendre les maths. Que peut donc bien nous servir dans la vie de savoir calculer la longueur d’une hypoténuse, franchement ?

Bon, OK, aujourd’hui, quand on veut calculer 6 x 7, on doit prendre une calculette, il nous est carrément impossible de calculer de tête une réduction de 30%, ou même de ramener un prix au kilo pour savoir lequel de ces deux lots de yaourts est le plus avantageux, mais bon...

Ca ne justifie certainement pas de passer des heures assis sur une chaise à dessiner des triangles…

Et les livres... Mais qu’est-ce qu’on a bien pu nous bassiner avec les livres quand on était gamin !

Franchement, ce n’était pas vraiment utile de lire des livres de littérature française genre la Pléiade en 24 volumes ou les fables de La Fontaine.

Pas vraiment la peine d’apprendre à bien parler. Pas vraiment nécessaire de faire des dictées ou des rédactions...

Après tout, même si on est blogueur, on peut tout à fait écrire sur le développement personnel, sur le marketing, sur l’élevage des gnous en Australie ou sur n’importe quel autre sujet, sans avoir été loin à l’école, sans avoir lu de livre, et en se torchant ouvertement avec l’orthographe !

OK, on fait une faute tous les 4 mots, on écrit dans un style proche du primate à tendance porcine, et on passe pour le dernier des attardés au détour de chaque phrase, mais l’important, c’est d’avoir un blog, et d’y écrire dessus.

Et c’est pareil pour l’anglais, pour la mécanique, pour le droit, le secourisme, et, vous l’aurez deviné, également pour le PHP et le MySQL.

Si tu recules quand j’avance...

Comment veux-tu, comment veux-tu avoir tes chances ?...

Oui, OK, j’exagère.

J’ai un peu forcé le trait, d’accord (pour certains blogueurs, pas vraiment pour l’orthographe et le style, mais passons).

Mais bon... Quand même.

Lire encore en 2012 qu’il est inutile d’apprendre les RUDIMENTS des deux LANGAGES que l’on utilise TOUS LES JOURS quand on a un blog, y’a de quoi hurler.

D’autant que bon...

Vous connaissez cet adage : “Donne un poisson à un homme, et tu le nourris pour une journée. Apprends lui à pêcher, et tu le nourris pour toute sa vie”.

Tous les vendeurs de formations – sans aucune exception – basent toute leur stratégie commerciale sur ce simple adage.

Pourquoi n’en serait-il pas de même avec le PHP ?

Surtout quand on bosse sur Internet et surtout quand on bosse avec un outil qui JUSTEMENT est écrit dans ce langage !

Dans la vraie vie, si on arrête d’apprendre, on s’arrête d’avancer.

Tout simplement.

Et sur Internet, arrêter d’avancer, ça veut dire RECULER.

Et reculer à une vitesse infernale.

Parce que tout autour de nous, nos concurrents, nos collègues, nos amis, et les jeunes qui sortent de l’école, eux, ils continuent d’apprendre.

Et ils apprennent des trucs qui vous feront passer pour des DINOSAURES dans moins de 6 mois si vous ne réagissez pas et si vous ne vous maintenez pas à niveau.

Le PHP et le MySQL font partie de ces techniques.

En plus du HTML et du CSS.

Il n’est bien sûr pas question de devenir un pro de la programmation. Ni de construire un site entier en PHP. Non !

Mais connaître les bases, surtout quand on est blogueur, c’est franchement la moindre des choses.

Parce que l’outil dont vous vous servez TOUS LES JOURS, il est développé pile poil en PHP et il utilise une base de données MySQL.

Et même si on vous a mâché 99% du travail, il n’empêche que...

En cas de pépins...

On vous dit : “Oui mais il y a des plugins (ou des gens) qui font tout à votre place !”

OK ! Mais qu’est-ce que vous faites si vous avez un souci ? Ce qui va arriver inévitablement un de ces jours.

Parce que moi, vous voyez, je veux bien qu’on me dise que le PHP ne sert à rien, mais quand j’ai des contacts sur Skype, qui me disent :

“Ooooh mon dieu, mon blog ne s’affiche plus. J’ai rajouté un plugin, et maintenant il y a une ligne avec écrit ”Fatal error” et c’est tout blanc !! Qu’est ce que je peux faiiiiiiiiiiiiiiiire ? S’il te plaiiiiiiiiiiiiiiiiiiiit mon blog ne s’affiche pluuuuuuuuuus !!”

... je me dis que quelques rudiments de PHP parfois, ça aide.

Et ça aide bien.

D’autant que bon...

Connaître un rudiment de PHP et de MySQL, c’est comme souscrire à une assurance voiture. Porter un casque en moto ou une ceinture de sécurité en voiture :

Ce serait VRAIMENT super cool si on ne s’en servait jamais, mais quand arrive le moment où on DOIT s’en servir, on est bien content de l’avoir.

Le but n’est pas d’y passer des jours et des jours.

Mais quand même. Une petite heure par mois, histoire de savoir ce qui se passe sur votre blog, et surtout savoir quoi faire s’il y a un souci mineur, c’est toujours une bonne chose.

Vous voulez un exemple ?

Le cas d’Akismet

Si vous avez suivi une formation en blogging, alors on vous aura dit d’utiliser Akismet pour lutter contre le spam des commentaires, n’est-ce pas ?

Je crois même que c’est “livré” en standard avec Wordpress.

Le souci, c’est que si au bout de 6 mois votre blog fonctionne bien, alors vous avez une moyenne de 50 spams par jour.

Bien entendu, vous les effacez soigneusement chaque jour.

Mais ce qu’on ne vous dit pas c’est qu’il y a une table dans votre base de données dont Akismet se sert pour STOCKER l’intégralité des messages que vous avez reçus en spam... en 3 exemplaires !!

Ca vous semble inutile de connaitre un rudiment de MySQL quand on a un blog ?

Peut-être bien que oui...

Par contre, avez-vous vérifié que les sauvegardes par mail de votre blog s’effectuaient correctement et que vous les receviez bien ?

Parce qu’au bout de 6 mois, à raison de 50 spams par jour, vous avez dans votre base de données une table qui pèse entre 30 et 60 Mo, ce qui fait planter TOUS les plugins de sauvegarde automatique (la table est trop lourde et ne peut donc être stockée ni envoyée par mail).

Pour la vider, il faut le faire manuellement en indiquant UNE ligne de code en SQL au bon endroit.

Ou alors rajouter cette ligne quelque part sur votre blog dans le bon fichier.

Mais ça, si vous ne connaissez pas au moins les bases de MySQL, vous serez parfaitement incapable de le faire.

Et ça j’ai bien cherché, mais aucune formation ne vous en parle. On vous dit juste : Vérifiez que vos sauvegardes se font bien. Parfois ça ne marche plus.

La vraie indépendance

Quand on demande à un blogueur POURQUOI il a choisi de tenter de gagner sa vie avec un blog, il répond toujours plus ou moins la même chose : Pour pouvoir être INDEPENDANT.

J’ai moi-même choisi cette voie, il y a de cela 13 ans.

La voie de L’INDEPENDANCE.

J’ai décidé de me créer mon propre emploi, et de ne plus dépendre d’un patron ou d’une entreprise pour gagner ma vie.

Dans cette optique, quand on décide de devenir indépendant, la moindre des choses est, à mon avis, de comprendre un minimum les outils dont on compte se servir quotidiennement.

Parce que j’ai du mal à imaginer devoir patienter un week end entier pour trouver une personne qui pourra venir dépanner mon blog en cas de souci.

A moins de payer un bras pour ça. Et encore, sans gage d’un résultat satisfaisant.

Tout comme j’ai du mal à imaginer devoir subir les caprices des différents programmeurs qui programment des plugins pour MON blog.

En gros, je n’ai pas été élevé pour être un assisté.

J’aime comprendre ce que je fais pour pouvoir avoir un minimum de contrôle sur ce qui m’arrive.

Sinon, faire pour faire ne m’intéresse pas. Pas du tout.

Donc, ne pas vouloir connaître le PHP et le MySQL, c’est accepter d’être dépendant.

Bref, c’est accepter de suivre tout le monde sans avoir la possibilité de faire la moindre modification sur son blog.

Mais c’est accepter également d’être à la merci d’une erreur de script, ou d’un virus, ou d’un logiciel malveillant qui va ruiner tous vos efforts en quelques secondes.

Et surtout c’est accepter de ne pas se démarquer des autres !

Ne l’oublions pas celui-là...

Oui, il ne faudrait pas oublier que l’argument numéro 1 de toutes les formations en blogging pour une possible réussite c’est :

Soyez unique !

Et franchement, je ne vois pas comment vous allez pouvoir être unique sans apprendre les rudiments du PHP.

Parce que d’un côté on vous dit qu’il faut vous démarquer, mais d’un autre côté on vous dit aussi qu’il faut utiliser des plugins identiques pour tout le monde.

Idem pour le graphisme.

On vous dit que ça ne sert à rien de maîtriser les bases du graphisme quand on fait du blogging, mais comment vous personnalisez votre thème si vous ne connaissez pas un minimum de fonctions graphiques ?

Comment vous faites pour changer ne serait-ce qu’une image de fond ?

Vous pouvez chercher :

Si vous voulez faire la moindre modification sur votre blog pour essayer de vous démarquer de votre voisin, soit vous apprenez quelques bases, soit vous êtes fortuné, et vous le faites faire.

Concluons

Vous l’aurez compris, si vous êtes blogueuse ou blogueur, je vous recommande fortement de prévoir dans votre emploi du temps une dizaine d’heures réparties sur plusieurs semaines, pour apprendre les bases du PHP et de MySQL.

Pas de truc poussé. Juste les bases.

Regardez. Sur ce site, vous avez un cours très simple et très détaillé qui vous explique les bases du PHP pour les débutants.

C’est très didactique, et ça vous explique tout de A à Z.

Faites juste ceci :

Chaque semaine, consacrez une heure complète à consulter et comprendre une des leçons de ce cours.

Une heure seulement par semaine, pas plus.

Faites le cool. Ce n’est pas une course.

Mais petit à petit, ce langage deviendra de plus en plus familier pour vous, et tout va se passer en douceur.

Et bon an mal an, vous vous apercevrez que vous devenez de plus en plus efficace, que l’outil que vous utilisez chaque jour devient un objet un peu moins “démoniaque”, parce que étonnamment, vous le COMPRENEZ !

Ce n’est pas facile à exprimer avec des mots, mais croyez moi : Une petite heure par semaine, ce n’est rien du tout.

Et c’est le meilleur moyen de ne plus SUBIR la technique.

C’est ça, la vraie indépendance : Ne plus rien subir.


28 MAI 2012

Créez vos slogans en moins d'une minute avec ce Générateur Universel de Slogans :

Un bon slogan peut augmenter considérablement le nombre de personnes qui vous suivent. Il est surtout le véhicule de votre image à travers le monde.

Et comme un bon slogan n'est pas forcément facile à trouver, j'ai créé pour vous GUS : le Générateur Universel de Slogans.

C'est un outil en ligne, réservé aux membres de Copywriting Pratique, qui va révolutionner votre manière de créer des slogans accrocheurs.

Comment ça fonctionne ?

GUS a dans sa base 1005 structures de slogans, créées à partir des meilleurs slogans du monde, tous pays confondus.

Vous indiquez un terme (votre marque, votre nom, ou même une thématique), vous indiquez si c'est féminin ou masculin, et vous cliquez sur un bouton.

GUS vous donnera 10 slogans engageants et originaux. Vous pouvez n'en garder qu'un seul ou plus, ou pas du tout.

Vous pouvez relancer la machine autant de fois que vous le souhaitez jusqu'à tomber sur LE slogan qui sera l'ambassadeur de votre marque.

Plus besoin de vous creuser la tête, il vous suffit de libérer votre créativité en explorant des combinaisons de mots et de phrases que vous n'auriez jamais imaginées.

Pour accéder à cet outil révolutionnaire, il vous suffit de laisser votre prénom et votre adresse email dans le formulaire ci-dessous. Vous recevez l'accès à cet outil et aux autres en quelques secondes.

C'est quand la dernière fois que vous avez entendu quelqu'un parler de son métier avec passion et exaltation ?

Moi ça faisait longtemps.

Et ça me manquait. Bon sang comme ça me manquait !

De nos jours, dans cette vie sociale qu’on définit comme morose, triste et perpétuellement en “crise”, quand les gens parlent de leur métier, c’est bien souvent pour s’entendre dire qu’ils sont mieux en vacances.

Ou alors que leur métier leur rapporte un paquet de fric. Ou pas assez.

Qu’ils changeraient bien de boulot. Qu’ils arrêteraient bien de bosser même. Pour faire autre chose.

Mais combien sont VRAIMENT contents, heureux et comblés par ce qu’ils font ?

Bien peu en vérité.

vraiment-passionne

Depuis quelques jours, j’ai l’occasion de discuter avec une personne carrément exceptionnelle.

Une personne qui parle de son métier et de ses activités avec une telle passion et une telle exaltation, qu’on sent bien qu’elle adore ce qu’elle fait.

Et depuis toujours.

Et qu’on sent bien que tous ceux et toutes celles qui ont la chance de la connaître et de l’écouter, voient leur vie continuellement embellie et enrichie à son contact.

Son regard, son corps, sa voix... Quand elle parle de ce qu’elle fait, on lit sur son visage que c’est vraiment sa vocation

Ca fait tellement longtemps que je n’avais pas vu, entendu et lu une personne comme elle, que ça m’a donné envie d’écrire cet article pour vous donner UN seul conseil en ce vendredi, à vous qui transmettez une partie de votre savoir à travers un blog :

Soyez absolument, foncièrement, et définitivement passionné.

Je veux dire VRAIMENT passionné.

Dans le domaine du blogging, on trouve des centaines, des milliers de conseils chaque jour, ici ou ailleurs, pour mieux écrire, mieux convertir, mieux inscrire...

Bref, pour mieux faire plein de trucs.

Mais le seul vrai conseil qui évince tous les autres, c’est lui :

Soyez VRAIMENT passionné !

C’est généralement ce que conseillent toutes les formations en blogging : Choisir un sujet qui nous passionne.

Le problème, c’est que lorsque je regarde les blogs créés soit disant “avec passion”, je n’y vois pas vraiment de VRAIE passion.

Au mieux un sujet qu’on aime bien, au pire un sujet choisi pour un appât du gain évident.

Aucune équivoque possible...

Vous savez, un auteur qui écrit sans une véritable passion, ça se voit. Ca se ressent.

Dans sa manière de parler. Dans sa manière d’écrire. Dans les sujets abordés, dans sa manière de répondre à ceux qui l’interroge. En commentaires ou ailleurs.

C’est un peu comme lorsqu’on se retrouve devant une personne qui vous ment. Qui joue un rôle. Même si votre conscient ne voit rien, votre inconscient, lui analyse et ressent tout.

Dans le blogging, c’est exactement pareil.

Un auteur “superficiel”, ça se voit tout de suite.

Dans ses textes. Dans son attitude. Dans les sujets qu’il choisit. Dans les commentaires qu’il laisse ailleurs.

Un auteur passionné, ça se voit aussi. C’est intarissable. Et quelle que soit sa manière d’écrire, les sujets choisis et la manière d’en parler font qu’on ressent “en plein” la passion qui déborde des mots.

Je ne pense pas que l’on puisse réellement réussir dans le blogging (ou n’importe où ailleurs, d’ailleurs) sans être vraiment passionné par ce qu’on fait.

Par exemple, je ne comprends pas comment on peut avoir plusieurs blogs, et espérer réussir avec chacun d’eux.

Je ne comprends pas non plus comment on peut espérer écrire des articles de manière régulière si on n’a pas cette véritable passion pour nous porter, ni cette véritable envie de laisser une empreinte derrière nous.

Parce qu’au delà du fait qu’avec un blog, on peut s’exprimer, former, apprendre et pourquoi pas gagner sa vie, le véritable objectif d’un blog ça devrait être de laisser une trace.

Parce que le jour où nous auront disparu, que restera-t-il de nous, de nos idées ?

Je pense donc qu’un blog, c’est aussi ça : Laisser une trace.

Et faire que cette trace soit la plus profonde et la plus utile possible pour celles et ceux qui la découvriront plus tard.

Et à mon humble avis, plus la passion est forte, et plus la trace est profonde.

Alors... Que faire ?

Ce conseil est un peu “bateau”. Je sais.

Et il n’est pas nouveau. Je le sais aussi.

Beaucoup vous disent qu’il faut être passionné. Par contre, bien peu tentent de vous expliquer comment arriver à faire ça.

D’un autre côté, c’est pas facile... C’est comme expliquer comment on fait pour tomber amoureux...

Bon... J’ai malgré tout quelques idées à propos de la passion.

Je me lance :

La passion n’est pas un truc qui se simule. On ne se “force” pas à être passionné par un sujet.

Par contre, ça s’entretient, ça se développe, et on peut tout à fait se découvrir une passion bien plus tard, voire à la fin de sa vie, quand on a enfin le temps de se poser et de réfléchir à ce qui nous ferait vraiment plaisir de faire.

1. S’interroger

Certaines personnes savent très tôt ce qu’elles veulent faire. Pourquoi ? Parce qu’un jour ou l’autre, elles se sont interrogées, tout simplement.

Par conséquent, la première des choses à faire pour savoir si on est vraiment passionné - et par quoi - c’est de se poser 5 minutes et de s’interroger honnêtement sur ce qu’on aime faire.

On dit souvent que le meilleur moyen d’obtenir quelque chose c’est de demander.

C’est pareil ici.

En cas, posez-vous la question juste avant de vous coucher. Et voyez à quoi vous pensez en vous endormant, et la première activité qui vous vient à l’esprit le lendemain.

Votre véritable passion n’est pas loin.

2. Imaginer

Une autre solution pour localiser sa ou ses passions, c’est se poser UNE question importante :

Si là, tout de suite, je n’avais rien de prévu, aucune obligation, ni aucun besoin vital à satisfaire, et si je pouvais faire ce que je voulais, qu’est-ce que je choisirais de faire en premier ?

Répondre à cette question honnêtement, c’est déjà un grand pas vers la découverte de ses véritables passions.

3. Rester ouvert

Et pour finir, les personnes les plus passionnées par ce qu’elles font l’ont souvent été grâce à des rencontres, ou des découvertes d’écrits ou de personnes elles-mêmes passionnées qui ont su “transmettre” leur flamme.

Par conséquent, la 3ème chose à faire, c’est d’être et de rester continuellement curieux et à l’écoute des autres. Et d’essayer un maximum de choses.

Ce n’est pas en restant dans son coin qu’on se découvre une passion.

Lisez, parcourez des blogs de passionnés.

Vous en avez de très bons exemples dans ma blog-roll.

Certains se détachent largement des autres Clignement d'œil

Pour finir...

Je remercie très sincèrement la personne qui m’a inspiré cet article.

Je ne la nommerai pas expressément car je ne veux pas la mettre mal à l’aise, mais je tiens absolument à lui rendre hommage ici.

Lui dire, à elle et à vous tous, que c’est grâce à des personnes comme elle que l’humanité a encore de beaux jours devant elle, malgré ce qu’on veut bien essayer de nous faire croire à la radio ou dans les journaux.

Parce qu’il existe encore des gens qui aiment partager leur savoir avec passion et avec exaltation, et faire ainsi profiter les générations futures de tout leur savoir et de toutes leurs connaissances.

On a tous connu, quand on était môme, un professeur ou un instituteur qui nous a fait adorer une matière en particulier, alors qu’on la détestait avant.

C’est de ça dont je parle ici.

Ce petit “truc en plus” qui fait que les paroles qu’on dit ou les mots qu’on écrit sont mieux perçus. Mieux compris.

Ce petit truc en plus qui fait qu’on vous aime, vous, vos écrits et vos idées, et qui fait qu’on se souviendra de vous longtemps.

Vous avez un blog ? Alors vous avez un pouvoir !

Celui de marquer les esprits pour longtemps, et de laisser derrière vous une trace qui pourra être suivie avec passion par d’autres après vous.

Faites qu’elle soit la plus profonde possible...

winter path


25 MAI 2012

2 astuces infaillibles pour éviter que votre communiqué de presse finisse systématiquement à la corbeille

Aujourd’hui, je vous propose un article “invité” de notre ami Bernard KLEIN, du blog Vous-y-êtes, ancien journaliste, qui nous explique ici comment il choisissait parmi les centaines de communiqués de presse qu’on lui proposait.

Cet article est la retranscription d’un commentaire que Bernard a laissé sous l’article de lundi dernier, qui parlait de 23 conseils de spécialistes pour faire connaître son activité.

Ceci représente donc un 24ème conseil très pertinent à l’attention de celles et de ceux qui auraient envie d’utiliser les communiqués de presse comme moyen de se faire connaître :

communique-presse-poubelle

Astuce n°1 : Bien écrire

Si je me remets en situation, disons il y a 10 ans lorsque j’étais journaliste, voyons comment je réagissais aux communiqués de presse que mon patron me collait par dizaines, voire par centaines, dans les mains chaque mois.

Première évidence : quand vous avez 150 communiqués à lire… vous ne les lisez pas !

Vous avez déjà vos sujets (ceux qui vous intéressent), et vous n’avez que moyennement envie de passer votre journée à éplucher les demandes de publicité gratuite des commerçants.

Donc, vous survolez très rapidement toutes ces feuilles volantes ; et tout ce qui est mal écrit passe direct à la poubelle.

Pourquoi ?

Parce que si le gars n’est pas capable de communiquer correctement, il y a statistiquement peu de chances pour que ce qu’il a à dire soit intéressant.

Et puis, au cas où vous auriez un trou à boucher, vous préférez ne pas vous prendre la tête à corriger des textes illisibles pour en faire des articles.

Donc :

Le style du communiqué doit être le plus proche possible de celui d’un article ou, mieux encore, d’un de vos articles.

Astuce n°2 : Pensez au relationnel

Maintenant, au cas où votre problème ne serait pas de boucher un trou mais de trouver un vrai sujet intéressant… alors là, bien sûr, vous allez généralement privilégier ce qui est original.

Mais pas forcément.

Ça peut ne pas être hyper original, mais éveiller votre sympathie.

Prenons l’exemple de Rika Zaraï. J’avais fait un premier papier sur un de ses bouquins de médecines douces…

Un papier pas gentil du tout, du tout.

Puis elle a changé de genre et nous a sorti un bouquin de psy… hyper mais alors pas original du tout, du tout !

J’ai donc commencé par essayer de dissuader mon patron de m’envoyer l’interviewer.

Mais, le communiqué qu’elle nous a fourni, puis la conversation téléphonique que nous avons eu m’a fait changer d’avis.

Pourquoi ?

Parce que cette petite maligne lisait soigneusement les articles des journalistes spécialisés dans les domaines qu’elle exploitait, et elle les caressait dans le sens du poil.

Avec moi, me sachant branché Spi, elle usa donc d’arguments à tendance “spiritualisante”… et elle se rendit immédiatement beaucoup plus sympathique, sans pour autant avoir besoin de se donner la peine d’être originale.

Attention : ne me dites pas que c’est plus facile quand on est connu.

Non, concernant Rika Zaraï, c’est uniquement parce qu’elle a toujours su mettre les gens dans sa poche qu’elle a été connue.

Et non l’inverse !

D’autant que, dans les médecines douces, elle n’était pas connue pour la qualité de ses bouquins ! On l’évitait plutôt.

En conclusion

Si vous êtes original, tant mieux ! Vous plairez aux journalistes (au pluriel).

Mais si vous savez vous mettre le journaliste (au singulier) dans la poche… c’est aussi bien, sinon mieux !


bernard-kleinArticle rédigé par Bernard Klein, auteur-journaliste spécialisé dans les spiritualités du monde depuis 30 ans.

Il vous invite, au fil des articles de son blog consacré à l’éveil spirituel, à réaliser qu’il est inapproprié de chercher... car « vous y êtes » déjà !


24 MAI 2012

Questions, défis et autres ficelles de copywriter pour inciter vos lecteurs à commenter vos articles

Vendredi dernier je jetais un pavé dans la mare avec mon petit article sur la question de fin d’article.

Je disais qu’en fait, elle ne servait à rien.

Bon... Les plus futé(e)s d’entre vous l’auront compris, sur ce sujet comme avec tant d’autres, on ne peut pas être aussi catégorique que ça !

choix-cornelien

Dire :

“Il FAUT mettre une question à la fin de chaque article pour pousser les gens aux commentaires”

...est aussi absurde que dire l’inverse :

“Il ne faut surtout pas mettre une question à la fin d’article pour pousser les gens aux commentaires. Ca ne sert à rien !”

Car en fait, tout ceci dépend de plein de facteurs.

Déjà, il y a question et question.

La question qui ne sert VRAIMENT à rien, c’est elle...

Oui. Plutôt que de dire que mettre une question en fin d’article ne sert à rien, on peut par contre dire avec la certitude la plus absolue qu’il existe UNE certaine sorte de questions qui elles ne servent VRAIMENT à rien.

Il s’agit de la question “bâteau”.

Vous voyez de quoi je parle ? C’est ce genre de question-là :

Ce genre de question, comment dire...

C’est comme lorsque vous dites “ça va ?” à quelqu’un. “Salut, ça va ?”. On répond quoi ? “Ca va et toi ?”. 

Bref, le dialogue de sourd par excellence.

Donc, soyons clairs : Si vous comptez mettre une question de ce style à la fin de votre dernier article, alors abstenez-vous.

Vraiment.

Parce que CETTE question précisément ne sert à rien du tout.

Ces 4 puces pour faire écho à cet article, réponse de mon article de vendredi dernier.

Bref si vous n’avez que ce style de question à poser pour la fin de votre article, n’en mettez pas.

La question qui provoque des dizaines de réponses de qualité

Je n’ai encore lu nulle part ce dont je vais vous parler maintenant. Et pourtant, je trouve que ça tombe sous le sens.

Il existe en effet des questions qui apportent toujours d’excellentes et de nombreuses réponses très pertinentes.

Il s’agit des questions JUSTIFIEES.

En effet, la plupart des blogueurs posent une question pour avoir des commentaires. C’est assez égoïste comme désir, vous ne trouvez pas ?

En effet, qu’est-ce que ce genre de dessein apporte réellement à vos lecteurs ?

Rien du tout.

En fait, la question posée l’est UNIQUEMENT pour que VOUS ayez plus de commentaires.

Par conséquent, il est presque normal que vous ayez peu de commentaires si vous orientez vos questions dans ce sens.

Par contre, si votre question est JUSTIFIEE, alors là tout change.

En effet, si vous posez une question dans le but d’obtenir des INFORMATIONS ou des AVIS ou des ASTUCES qui serviront ensuite à toute votre communauté, alors LA c’est totalement différent.

En effet, le but de la question n’est plus d’obtenir des commentaires, il est d’obtenir des REPONSES pertinentes, dans le but de....

Vous saisissez bien la différence ?

Prenons cet article et ce sujet.

A la fin de mon article, je peux vous poser 3 styles de questions :

1) La question nulle et inutile qui ne sert à rien :

Qu’en pensez-vous ?

Quel est votre avis ?

Vous avez des questions ?

Vous en pensez quoi ?

2) La question pas forcément nulle mais qui n’obtiendra que peu de réponses intéressantes :

Voyez-vous d’autres raisons de poser une question à la fin d’un article ?

Et vous, est-ce que vous posez des questions à la fin de chacun de vos articles ?

3) La question justifiée qui va obtenir bien plus de réponses :

J’ai prévu de faire un article supplémentaire demain qui reprendra la liste de tous les avantages à poser une question en fin d’article. J’en ai déjà trouvé 6. Je suis sûr qu’il y en a d’autres. Pouvez-vous m’aider ? Quels avantages voyez-vous à poser une question en fin d’article ? Toutes les réponses différentes des 6 que j’ai déjà seront publiées dans mon article de demain (avec un lien vers le blog de l’auteur de l’idée)

Cette 3ème solution offre toujours énormément d’avantages à tout le monde :

En fait, vous avez compris que cette 3ème question devient justifiée et que le commentaire devient secondaire. Il ne reste qu’un moyen de communiquer.

La petite astuce qui multiplie les réponses

Si vous me suivez depuis quelques temps, alors vous savez que je réponds en général à la majorité des commentaires que je reçois.

Ce n’est pas pour doubler le nombre de mes commentaires, comme je l’ai lu un jour. Il est évident que si je réponds à chaque commentateur, le nombre “global” de commentaires va doubler, mais l’intérêt n’est pas là du tout.

En fait, en répondant aux commentaires, non seulement vous montrez que vous vous intéressez VRAIMENT à ce que disent vos lecteurs, mais en plus vous “entretenez” les réponses.

Ce qui permet de rassurer celles et ceux qui n’auraient pas encore osé commenter par peur d’être ignoré.

Donc, si vous posez une question sérieuse et justifiée, alors participez à la discussion.

Parce que justement, les commentaires deviennent alors un lieu de discussion où certaines et certains vous donnent des idées, et où vous les validez tout en relançant la conversation.

Bon, je recommande de répondre toujours à un maximum de commentaires, mais dans ce cas précis c’est vraiment important.

Et s’il n’y avait pas que la question ?

Je ne pouvais pas terminer cet article sans aborder le fait que même sans aucune question, vous pouvez inciter les gens à participer en commentaire.

Vous pouvez le faire de 3 manières différentes.

La première ?

Votre article

Si vous traitez d’un sujet banal, déjà abordé par plein d’autre monde, et déjà commenté par plein de monde, alors il y aura peu de chance que vous ayez des commentaires.

Par contre, si vous traitez d’un sujet un peu insolite, ou que vous affirmez des choses qui vont à contre-courant de la pensée “universelle”, alors forcément vous vous acheminez vers des réactions bien plus nombreuses.

Ou alors, vous pouvez faire un article en 7 étapes, n’en mettre que 3 dans un article, et demander alors à votre lectorat de deviner la suite.

En résumé, la teneur de votre article aura une grande incidence sur le nombre de commentaires que vous aurez.

Retenez que plus votre article sera original, à contre courant, ou riche en informations, plus il sera commenté.

Les commentaires précédents

Si sur votre blog, vous avez habitué les gens à des commentaires inutiles, sans intérêt, avec une faute tous les 3 mots, et auxquels vous ne répondez pas, alors il y a de fortes chances pour que vous ayez encore et toujours des commentaires de ce style.

Parce que lorsqu’on arrive sur un blog, juste avant de commenter, il est normal de s’enquérir un peu de la manière dont sont gérés les commentaires sur le blog où on est.

Donc les nouveaux arrivants vont aller voir les commentaires précédents, et vont se faire une idée de ce qui se passe chez vous.

Je vous conseille donc d’habituer les gens à laisser des commentaires bien construits, et pertinents, et à supprimer sans vergogne les commentaires de “courtoisie” qui ne servent qu’à chercher des liens pour Google (on les repère facilement avec le temps, ils font moins de 3 lignes et ne disent rien d’important).

Je tombe parfois sur des commentaires en spam qui me donnent envie d’en faire un livre d’or.

Le plus beau, je crois c’était celui-ci :

“Je suis tombé sur votre blog en cherchant un résultat de foot, j’ai lu votre article, et j’ai l’impression que je vais rester longtemps ici car j’adore ce que vous écrivez, et j’adore comment vous l’écrivez.”

Il est pas beau celui-là ?

J’ai failli tomber de ma chaise en le voyant genre 1 mois plus tard sur un blog que je visitais, et où le blogueur avait répondu gentiment.

Bref si vous habituez vos lecteurs à des commentaires qui sont 95% de passage de pommade sur les écrits du blogueur, ne vous attendez pas à du commentaire de qualité par la suite.

Votre personnalité, votre présence

C’est véritablement ça qui fait toute la différence.

Si vous êtes là, alors les gens commenteront. Et il le feront de bon cœur. D’autant plus si vous leur répondez.

J’ai pris l’habitude de toujours prendre une heure par jour pour répondre aux commentaires que je juge utiles.

Parfois, je n’ai pas le temps de le faire, et je réponds alors au bout de 3 jours à la plupart des commentaires passés qui n’ont pas reçus de réponses.

Vous pouvez voir au nombre de réactions que les gens n’aiment pas trop ça. Répondre à un commentaire 3 jours après la parution de l’article, ce n’est pas bien encourageant pour laisser des commentaires par la suite.

En résumé, plus je participe au plus proche des commentaires laissés, et plus les commentaires suivants arrivent en masse.

Pensez-y si vous cherchez à en avoir plus.

La personne laisse un commentaire (le plus souvent modéré si c’est le premier). Si elle a une réponse dans les 15 minutes qui suivent, elle reviendra, soyez en sûr.

Parfois on ne peut pas (obligations diverses). Mais quand c’est possible, le nombre de vos commentaires s’envole.

A vous de jouer

Aparté : Je peine de plus en plus à mettre cette phrase en titre de chapitre (à vous de jouer) car hélas, je le vois maintenant partout. Je vais donc devoir en changer.

Ceci dit, j’espère que cet article vous aura ouvert les yeux sur les différentes possibilités qui s’offrent à vous pour inciter vos lecteurs à commenter vos articles.

Et pour parfaire l’idée de cet article et y adjoindre une petite illustration en live, je vous engage à aller lire les différents commentaires qui sont parus suite à cet article-ci...

Ils illustrent bien mon propos, et complètent à mon avis parfaitement ce que je dis dans cet article.

Il ne vous reste plus qu’à appliquer ces quelques conseils sur votre blog et à venir me dire d’ici quelques temps si cela a porté ses fruits.

Mais je suis quasiment certain du résultat.

Qu’en pensez-vous ?

Non, je déconne. Rire


22 MAI 2012

Accédez à des outils exclusifs pour copywriters

Tous les membres de Copywriting Pratique ont accès à 6 outils pratiques en ligne dont :

Ces outils sont accessibles gratuitement pour tous les membres.

Intéressé.e ? Remplissez simplement le formulaire ci-dessous, et recevez votre accès à tous les outils disponibles :

23 conseils de spécialistes pour faire connaître votre activité

Aujourd’hui, j’avais prévu de vous parler de questions, mais rien ne s’est déroulé comme prévu.

Alors je vous en parlerai demain.

Aujourd’hui, je vais vous donner accès en téléchargement gratuit à un livre auquel j’ai humblement participé à la demande de Jérémy, du blog “Séduire la Presse”.

Il a en effet posé cette question à 23 spécialistes de la communication d’entreprise :

Quel conseil donneriez-vous à un entrepreneur qui se lance pour faire parler de lui dans la presse ou ailleurs ?

Les différentes réponses ont été compilées dans un livre de 36 pages intitulé “Faites parler de vous !” que je vous propose de télécharger ci-dessous en cliquant sur l’image :

Livre23ConseilsConnaitre

Mon conseil préféré est en page 17. Il tient en 10 mots.

C’est très court, mais je n’ai jamais rien lu d’aussi sensé depuis que je fais du blogging.

Il parle d’un des plus gros pièges dans lequel beaucoup beaucoup beaucoup de blogueurs tombent.

Je vous le dirais bien, mais non... Téléchargez plutôt le livre et dites-moi ce que vous en pensez.

Ou pas... Faites comme vous le sentez.

Mais suivez au moins ce conseil et quelques autres.


21 MAI 2012

La bonne vieille idée reçue de la question de fin d'article...

Allez, pour cette fin de semaine, je vais m’acharner un peu sur une bonne vieillie idée reçue.

Celle de la question qu’on est sensé “toujours” trouver à la fin de chaque article de blog pour inciter les lecteurs à laisser un commentaire.

Comme pour beaucoup de choses, j’imagine que cette “stratégie” a été pondue un jour par un formateur en blogging.

suivez-moi-sans-reflechir

Et comme de bien entendu, la masse des bloggeurs ayant trouvé que c’était une bonne idée s’est dit :

“Allez ! Une question à la fin de chacun de mes articles et mes commentaires vont s’envoler.”

Hé ben non. Raté.

Ca ne fonctionne pas souvent !

Autant vous le dire de suite : La plupart des questions qui se trouvent à la fin des articles de blog n’ont jamais forcé qui que ce soit à commenter.

Ou plutôt si. 1 ou 2 personnes allez...

Mais rarement plus.

Vous ne me croyez pas ?

OK. Prenez un article au hasard sur le blog que vous voulez. Descendez au bas de l’article, et voyez s’il y a une question (ou des questions).

Ensuite regardez les commentaires, et dites-moi si vous en trouvez beaucoup qui répondent spécifiquement à la question posée...

C’est assez effarant.

Donc, forcément, une question (encore une) me brûle les lèvres :

Si la “question” pousse rarement les gens à commenter, pourquoi s’obstiner à en mettre une à la fin de chaque article ?

Ca c’est une question sympa, pas vrai ?

Ridicule !

Ma réponse, c’est que la majorité des gens ne réfléchissent pas vraiment à l’impact de ce qu’ils écrivent.

On leur a dit de poser une question, ils la posent. Même si ça sert à rien, ils le font quand même.

Parce que c’est comme ça. Parce qu’on l’a dit. Parce que tout le monde le fait.

Je trouve ça totalement ridicule.

D’autant qu’il existe un moyen d’utiliser la stratégie de la question intelligemment (et d’autres choses aussi) pour inciter les gens à commenter vos articles.

Je vous en parlerai lundi.

D’ailleurs, lundi, je vous passerai en revue les “questions” qui fonctionnent et celles qui ne fonctionnent pas.

J’en profiterai pour vous donner quelques petites techniques de copywriter pour inciter les gens à plus commenter vos articles.

D’ici là...

Non rien... Rire


18 MAI 2012

Comment créer un ebook et le mettre en téléchargement sur son blog en 7 étapes

Pour moi, qui fait ça depuis des années, tout ce dont je vais vous parler ici est facile. C’est mon quotidien depuis 13 ans.

Par contre, j’ai eu une question par mail aujourd’hui, qui me demandait précisément comment on pouvait créer et diffuser un livre électronique (un ebook quoi).

Vu que c’est bien la 4ème fois qu’on me demande ça, je me suis dit qu’une petite procédure de A à Z devrait pouvoir être utile à plein de monde.

Alors voici comme faire pour créer et distribuer un ebook en 7 étapes :

creer-et-diffuser-un-livre

Etape 1 : Utiliser les bons outils

Avant de penser à créer et à distribuer un livre, il faut commencer par se munir des bons outils pour le faire.

Il vous en faudra au moins 4 :

1. Un logiciel de traitement de texte

C’est là dessus que vous allez écrire votre livre.

Le logiciel le plus connu reste bien entendu OpenOffice.

OpenOffice

Vous pouvez télécharger la dernière version en français de ce logiciel directement sur la page de l’éditeur en cliquant ici (il s’agit de la version 3.4 à l’heure où j’écris ces lignes).

La version 3.4 pour Windows (PC) se trouve également ici (téléchargement immédiat). La version 3.3 pour Windows (celle d’avant) se trouve .

Si vous avez besoin d’aide pour utiliser ce logiciel, alors passez par cette page pour vous diriger vers l’aide qu’il vous faut.

Une fois que vous avez téléchargé OpenOffice, installez-le (choisissez Installation typique).

Seul le programme “Writer” vous sera d’une utilité immédiate pour créer votre livre.

2. Un logiciel graphique pour créer un visuel de couverture

Il en existe plusieurs. Je vous en recommande un seul, le plus simple, The Gimp.

Les différentes dernières versions en français pour Mac et PC se trouvent sur cette page.

Vous pouvez télécharger la version 2.6.11 pour Windows (4 fois plus légère que la nouvelle) en cliquant ici.

C’est avec ce logiciel que vous pourrez créer une couverture graphique pour votre livre.

3. Un logiciel de création de visuel de livre

Celui que j’utilise est de loin le plus performant et le plus simple à utiliser (à mon avis), mais il est payant. Il s’agit de Box Shot 3D.

S’il vous intéresse, vous pouvez vous le procurer ici. Vous pouvez le télécharger et l’essayer avant de l’acheter. Il vous suffira d’obtenir une clef ensuite.

Sinon, il existe des outils gratuits en ligne, mais ils produisent des visuels un peu bof.

Voici 2 adresses :

4. Un logiciel de transfert de fichiers

Il s’agit d’un logiciel qui vous permet de transférer votre livre créé sur votre serveur pour que vos lecteurs puissent le télécharger.

Je vous recommande bien entendu FileZilla, que vous pouvez télécharger ici.

Une vidéo d’aide est déjà parue sur Copywriting Pratique. Elle se trouve là.

Voilà.

Une fois que vous avez téléchargé et installé ces outils, il est temps de créer votre livre.

Etape 2 : Créer le contenu de son livre

Ouvrez donc OpenOffice et choisissez “Texte” :

AccueilOOo

Un nouveau document apparait. C’est là que vous allez écrire le texte de votre livre.

Bien entendu, si vous voulez écrire un livre, c’est que vous savez déjà ce que vous allez écrire.

Donc écrivez Sourire

Etape 3 : Le mettre en forme

Cette étape là est un peu plus technique.

En effet, une fois que vous avez un texte brut, alors vous allez devoir le mettre en forme pour rendre sa lecture agréable.

Un livre offert sans aucune mise en forme serait absolument illisible et si rébarbatif à lire que vous n’auriez pas beaucoup de succès avec.

Il faut donc réaliser un minimum de mise en forme.

Voici les 5 points les plus importants qu’un livre devrait contenir :

1. Créez des chapitres

Un livre qui n’aurait pas de chapitre serait en fait un énorme article de blog de 50 pages.

Impossible de naviguer dedans, et surtout tellement de texte que ce serait fatigant.

Vous devez donc créer des chapitres dans votre livre.

A la fin de chaque chapitre, vous ferez un saut de page, ce qui fera démarrer le chapitre suivant en haut d’une nouvelle page. Pour cela, faites Insertion + Saut manuel.

Sélectionnez “Saut de page” puis cliquez sur “OK”

Vous pouvez aller plus vite en faisant “Alt” + “i” + “s” et en appuyant sur “Entrée”.

Cela aura pour effet de faire sauter le reste du texte en page suivante.

Puis ensuite, créez un titre pour chaque chapitre.

Si vous avez des sous chapitres, créez aussi un titre pour eux.

2. Créez et mettez vos titres en forme

Chaque chapitre doit bien entendu être nommé. Et chaque titre de chapitre devra également être mis en forme.

Dans un traitement de texte, c’est comme sur le web : Vous avez plusieurs sortes de titres.

Ici, commencez par transformer tous vos titres de chapitre en Titre 1.

Si à l’intérieur de vos chapitres, vous avez créé des sous-chapitres, alors vous pourrez les mettre en Titre 2.

Procédez comme ça pour tout le livre.

Si à l’intérieur des sous-chapitres vous créez encore des rubriques, alors il faudra les mettre en Titre 3.

3. Arrangez vos paragraphes

Un texte sans espace entre les paragraphes est illisible.

C’est compact, moche, et souvent si rébarbatif que personne ne veut lire ce genre de chose. Par conséquent, vous allez devoir modifier ça.

Pour le faire, sélectionnez votre texte, et cliquez sur “Format” + “Paragraphe”.

Choisissez l’onglet “Retraits et espacement” puis dans “En dessous du paragraphe”, choisissez par exemple 0,30cm.

Ce qui aura pour effet de séparer chacun de vos paragraphe avec une demie-ligne.

Ce qui rendra le tout bien plus lisible.

4. Rajoutez une table des matières dynamique

L’avantage d’un livre électronique, c’est qu’on peut normalement naviguer dedans bien plus facilement qu’avec un livre papier.

Pour cela, il faut que vous créiez une table des matières dynamique.

La bonne nouvelle, c’est que si vous avez créé et mis en forme tous vos titres en titre 1, titre 2, titre 3, etc., alors la création de la table des matières est relativement simple.

Commencez par vous mettre sur une page vierge (par exemple au début ou à la fin de votre livre), puis cliquez sur “Insertion” + “Index et table” + “Index et tables”.

Ensuite choisissez bien l’onglet “Index” et cliquez sur OK.

Une table des matières apparait.

Pour rendre dynamique, il faudra faire d’autres manipulations. Voici un tuto sympa qui explique comment faire.

5. Personnalisez l’en-tête et le pied de page

Il ne vous reste plus ensuite qu’à personnaliser votre en-tête en y mettant le titre de votre livre.

Pour cela, faites “Insertion” puis “En-tête” puis cochez “Tout”. Une nouvelle zone apparait en haut de la page en cours. Marquez le titre de votre livre.

Il se retrouvera ainsi sur toutes les pages.

Pour le pied de page, mettez un lien vers votre blog ou votre site. Puis insérez-y également un numéro de page.

Pour cela, faites “Insertion” puis “Pied de page” puis cochez “Tout”. Une nouvelle zone apparait en bas de la page en cours.

Marquez le nom de votre blog, puis sélectionnez-le et faites “Insertion” + “Hyperlien”.

Marquez alors l’adresse web de votre blog dans la case prévue puis cliquez sur “Appliquez” puis “Fermer”.

Ensuite faites un retour à la ligne, puis marquez "Page " (avec un espace), puis ensuite faites “Insertion” + “Champ” + “Numéro de page”.

Cela s’affichera sur toutes les pages.

A ce stade, vous avez un livre à peu près potable.

Bien entendu, j’ai survolé le tout. Il faut bien sûr customiser vos paragraphes, vos titres, et la police de votre texte, mais pour l’heure, vous avez un livre fonctionnel.

Poursuivons :

Etape 4 : Créer sa couverture

Il va en effet falloir que vous créiez une couverture graphique pour votre livre.

Pour cela, vous allez utiliser le logiciel Gimp.

Il n’est pas question de vous faire un cours sur l’utilisation de The GIMP, il existe des centaines de tutoriels pour ça.

Par contre, vous allez pouvoir d’ores et déjà fabriquer une couverture pour votre livre.

Je vous ai créé un modèle universel que vous pouvez télécharger ici :

Faites un clic droit sur ce texte + “Enregistrer la cible sous”.

Vous allez télécharger un modèle qui ressemble à ça :

ExempleBaseCouvLivre

Si vous avez installé The GIMP sur votre ordinateur, vous n’aurez qu’à double cliquer sur le fichier “ExempleBaseCouvertureLivre.xcf” que vous venez de télécharger.

Puis vous modifierez les différents éléments texte de la couverture.

Par exemple :

ExLivre

Et vous pouvez “couper” un morceau de cette couverture pour la rajouter en toute première page de votre ouvrage.

Un peu comme ça :

couv-en-plus

Et voilà. Avec cette couverture rajoutée, vous avez un livre complet.

Etape 5 : L’exporter en PDF

Il est temps de l’exporter dans un format que les gens vont pouvoir lire.

Pour cela, ce qui est bien avec OpenOffice, c’est que la fonction de transformation est intégrée à leur logiciel.

Il suffit donc de cliquer sur le petit bouton PDF qui se trouve dans la barre de menu de OpenOffice :

bouton-pdf

De sélectionner ensuite un dossier où vous voulez que le PDF s’enregistre, de renommer le fichier comme vous le désirez, et de cliquer sur “Enregistrer”.

Et voilà, vous avez un livre électronique en PDF près à être distribué.

Etape 6 : Le transférer sur son serveur

Arrive le moment où vous allez devoir transférer le livre créé sur votre serveur Internet.

Il vous faut donc ouvrir le logiciel FileZilla que vous aviez déjà téléchargé et installé, normalement.

Vous allez vous connecter à votre serveur, et créer un dossier dessus (sur Internet).

Par exemple, vous vous mettez à la racine de votre site web (dans la fenêtre site distant), et vous faites un clic droit puis “Créer un dossier” :

site-distant

Marquez par exemple “Livre”.

Ensuite vous vous mettez sur ce nouveau dossier, et vous allez transférer votre livre en PDF dans ce dossier :

transfert-filezilla

En 1, c’est le dossier SUR votre ordinateur.

En 2 c’est votre livre SUR votre ordinateur.

En 3, c’est le dossier que vous avez créé sur votre hébergement web

En 4, c’est le livre transféré sur votre serveur, dans le dossier créé.

Etape 7 : Créer la page de téléchargement sur son blog

Et pour finir, il ne reste plus qu’à créer un nouvel article sur votre blog, qui permettra aux gens de télécharger votre livre.

Vous devez donc présenter ce livre.

Ensuite, vous allez utiliser l’un des services en ligne dont je vous ai parlé ci-dessus pour réaliser un visuel sympa.

Par exemple :

exemple-livre-telechargeable

Visuel réalisé avec le logiciel BoxShot3D à partir
de la couverture présentée ci-dessus

Vous rajoutez donc cette image sur votre page.

Puis tout en dessous, vous mettez un lien pour le télécharger.

Pour cela, vous indiquez le chemin complet du livre en PDF que vous aviez transféré sur votre serveur.

Dans l’exemple ci-dessus, en admettant :

alors, le lien devra être comme ceci :

http://votre-blog.com/Livre/MonLivre.pdf

Vous remplacez bien entendu “votre-blog.com” par le nom de votre blog.

Et vous publiez votre article.

Et voilà ! Vous savez maintenant comment faire pour créer et distribuer votre livre sur Internet.

Samedi, je vous expliquerai tout ça plus en détail avec une vidéo.

En attendant, si vous avez des questions, n'hésitez pas.


17 MAI 2012

Calculez le "Sympathomètre" d'une page de vente ou d'un article

Savez-vous quel est le "degré de sympathie" de votre site web, vos articles de blog, vos emails ou de vos pages de vente ?

Saviez-vous que la sympathie d’un texte, quel qu'il soit, est mesurable ?

Voici comment…

Si vous avez quelques notions de copywriting, ce qui doit forcément être le cas si vous lisez ces lignes, alors vous avez certainement appris que le mot le plus important qu’on emploie sur une lettre de vente c’est le mot "vous" et tout ce qui s’y rapporte (votre, vos, tu, tes, ton, etc…). C'est ce qu'on appelle les MOTS D'OR.

Il s’ensuit que le mot le moins important est donc son contraire, à savoir le bon vieux "Nous" et ses dérivés (nôtre, nos, moi, mien, etc.). C'est ce qu'on appelle les MOTS INTERDITS.

J'ai donc créé un outil en ligne qui calcule le rapport entre le nombre de mots d'or qu'il y a dans un texte, par rapport au nombre de mots interdits.

Le résultat obtenu est un ratio baptisé "Sympathomètre".

Et donc forcément, plus le sympathomètre de votre texte est haut, et meilleur c’est pour vous.

Comment ça fonctionne ?

Prenez un texte, n'importe lequel. Une page de vente, un article, un mail, une page complète d'un site ou d'un blog, même, si vous voulez.

Copiez et collez ce texte dans le Sympathomètre, et vous obtiendrez le nombre de mots de votre texte, le nombre de mots d'or, et le nombre de mots interdits. Il ne vous restera plus qu'à améliorer ou non votre texte.

Pour accéder à cet outil de calcul, il vous suffit de laisser votre prénom et votre adresse email dans le formulaire ci-dessous. Vous recevez l'accès à cet outil et aux autres en quelques secondes.

Tous les articles de l'évènement 'Echanges de compétences'

Voilà : C'est fini !

La première partie du premier évènement inter-blogueurs organisé par Copywriting Pratique a été un franc succès !

Il y a eu en effet une participation massive de blogueurs et de blogueuses de tous horizons.

Appréciez vous-même l'ampleur de la chose en découvrant ci-dessous tous les articles que l'on m'a proposés pour l'évènement "Echanges de compétences - Partagez vos 5 meilleurs tuyaux dans votre spécialité" :

global $wpdb;

$NumEvenement=1;

$user_count = $wpdb->get_var( $wpdb->prepare( "SELECT COUNT(*) FROM `copywritingpratiquecom`.`EvenementsInterBlogueurs` WHERE `NumEvent`='$NumEvenement' ;" ) );

?>

".$user_count; ?> articles !!

Un seul mot : Merci. Merci à toutes celles et tous ceux qui ont participé !

Maintenant, il s'agit de lire tout ça et de donner une note sur 5.

Alors bien entendu, vous n'êtes pas obligé de tout lire ! Lisez ceux que vous voulez, et attribuez-leur une note de 0 à 5 (si vous le voulez) en fonction de vos impressions. Il vous suffit de choisir la note voulue tout en bas de chaque article.

Important : Ces notes ne sont pas là pour établir un classement entre tous les articles, mais pour permettre à chaque auteur d'avoir une évaluation chiffrée de son propre article dans le but de savoir s'il a été apprécié ou non du plus grand monde.

Merci donc de donner votre avis sur les articles que vous lirez.

global $wpdb;

$NumEvenement=1;

$CatBase=0;

$NomCat[1] = "Business / Blogging / Marketing";

$NomCat[2] = "Forme / Santé / Bien-être";

$NomCat[3] = "Développement personnel";

$NomCat[4] = "Perso / Art / Famille / Activités diverses / Animaux";

$Acn=$_GET['n'];

if ($Acn!="adlo") {$Acn="";};

if ($Acn=="") {

echo "

Accès rapide à vos thèmes préférés :

";

echo "

";

echo "

Si vous préférez voir les articles apparaître dans leur ordre numérique, alors cliquez ici.

";

echo "

Cliquez sur le thème de votre choix ci-dessus, ou attaquez dans l'ordre :

";

$Mesuser = $wpdb->get_results("SELECT * FROM `copywritingpratiquecom`.`EvenementsInterBlogueurs` WHERE `NumEvent`='$NumEvenement' ORDER by `champ2`, `NumAuteur` ASC");

};

if ($Acn=="adlo") {

echo "

Si vous préférez voir les articles classés par thème, alors cliquez ici.

";

echo "

Voici donc les $user_count articles classés par l'ordre numérique dans lequel je les ai reçus (du 1er au dernier) :

";

$Mesuser = $wpdb->get_results("SELECT * FROM `copywritingpratiquecom`.`EvenementsInterBlogueurs` WHERE `NumEvent`='$NumEvenement' ORDER by `NumAuteur` ASC");

};

foreach ($Mesuser as $result)

{

$NumeroDarticle = $result->NumAuteur;

$Prenom = $result->PrenomAuteur;

$TitreArticle = $result->TitreArticle;

$LienArticle = $result->LienArticle;

$BlogAuteur = $result->BlogAuteur;

$Categorie = $result->champ2;

if ($Categorie<>$CatBase && $Acn=="")

{

$CatBase = $Categorie;

echo "

Thème : $NomCat[$Categorie]

";

};

$cpt = 0;

$NbNotes = 0;

$Lecteurs = "";

$Notation = $wpdb->get_results("SELECT * FROM `copywritingpratiquecom`.`EvenementsInterBlogueursNotes` WHERE `NumArticle`='$NumeroDarticle' AND `NumEvent`='$NumEvenement'");

foreach ($Notation as $touteslesnotes)

{

$cpt++;

$Note = $touteslesnotes->Note;

$NbNotes += $Note;

};

if ($cpt==0)

{ $NoteDec = 0;}

else

{ $NoteDec = intval(($NbNotes / $cpt)*10)/10; };

if ($cpt>1)

{$Lecteurs = "s"; };

// echo "[jbox color=\"yellow\"]

Article n°$NumeroDarticle (écrit par $Prenom) :

$TitreArticle

$ExtraitArticle... Lisez la suite sur le blog $BlogAuteur...

Noté par $cpt lecteurs : ".$NoteDec."/5

[/jbox]

 

";

//echo "

  • $TitreArticle
    Par $Prenom, du blog $BlogAuteur

    Article n°$NumeroDarticle";

    // noté par $cpt lecteurs : ".$NoteDec."/5

    ";

    //echo "

  • $TitreArticle
    Article n°$NumeroDarticle, écrit par $Prenom, du blog $BlogAuteur
    Noté par $cpt lecteurs : ".$NoteDec."/5

    ";

    echo "

    Article n°$NumeroDarticle : $TitreArticle

    Par $Prenom, du blog $BlogAuteur
    Noté par $cpt lecteur".$Lecteurs." : ".$NoteDec."/5

    ";

    //Noté par $cpt lecteur".$Lecteurs." : ".$NoteDec."/5";

    };

    ?>

    Vous l'aurez compris, il y aura au moins 4 livres bien distincts qui regrouperont chaque article de chaque thème. Les articles seront bien entendu répartis à l'intérieur de chaque livre par sujet, pour garder une certaine cohérence.

    Donc rendez-vous le jeudi 31 mai pour le téléchargement des livres finaux.

    Merci encore de voter pour les différents articles que vous avez lus. C'est le seul moyen d'informer les auteurs de la qualité de leur travail, dans le but de s'améliorer ou de poursuivre dans la voie qu'ils ont choisie.

    Tout le monde compte sur VOUS !

    Merci d'avance.


    15 MAI 2012

  • Plus que quelques heures pour proposer votre article pour l'échange de compétences

    Hé oui !

    Déjà près de 15 jours que ce premier évènement a été lancé, et déjà 80 articles m’ont été envoyés.

    Je vous rappelle que les inscriptions à cet évènement se finissent le 15 mai à 12:00 précises.

    Il ne vous reste donc que quelques heures pour proposer votre article si vous ne l’avez pas encore fait.

    vite-ca-urge

    Il ne sera plus possible de participer après 12:00 pile le 15 mai, car l’article récapitulatif qui reprendra tous les articles reçus se rédigera automatiquement à cette heure précise (merci le PHP).

    Je ne veux pas participer !

    Si vous pourriez participer à cet évènement et que vous ne le voulez pas, ce serait super sympa de me dire pourquoi dans les commentaires.

    Comme ça, je peux répondre vite fait à vos questions (si vous en avez), ou alors, pour le prochain évènement, je peux améliorer la communication ou le règlement s’il y a des ratés ou des trucs que j’ai oubliés (fort possible, c’est mon premier évènement).

    Bref si vous ne voulez pas participer et que vous avez pourtant un blog, dites-moi pourquoi.

    Quelques infos supplémentaires à propos du livre final

    Devant la multiplicité des sujets des articles reçus, je suis obligé de prévoir de créer 4 livres à la place d’un seul.

    Pour 4 raisons :

    Bref, vous l’aurez compris : Chaque livre aura un thème général bien précis, et chaque article sera classé dans le thème qui lui correspond le mieux (ou qui s’en rapproche le plus).

    Je me suis arrêté à ces 4 thèmes :

    De quoi contenter tout le monde.

    Allez, plus que quelques heures !

    J’en remets une petite couche : Si vous avez un blog, si vous avez une spécialité, alors vous avez bien 5 conseils qui cartonnent pour celles et ceux qui débutent dans votre activité (ou même pour des gens plus expérimentés).

    Si c’est le cas, envoyez-moi un lien vers votre article avant le 15 mai à 12:00.

    Rappel du règlement : 1er évènement inter-blogueurs sur Copywriting Pratique - Echanges de compétences

    Rappel de pourquoi vous devriez participer : Pourquoi vous DEVEZ participer au 1er évènement inter-blogueurs de Copywriting Pratique

    A tout de suite !


    14 MAI 2012

    Avez-vous une belle photo de vous ou à défaut un bel avatar qui vous représente sur la toile ?

    Hier, je vous ai parlé de votre mini-biographie.

    Aujourd’hui, on va compléter la panoplie du parfait blogueur sérieux et prévoyant, en parlant de la photo ou de l’avatar que vous devriez toujours avoir à portée de main.

    L’importance d’avoir une belle photo.

    Quand on écrit ailleurs que chez soi, on a de très grandes chances d’avoir un public qui ne nous connait pas.

    Par conséquent, il semble tout à fait logique de fournir une belle photo de vous afin que les lecteurs que vous allez toucher puissent avoir un aperçu visuel de qui leur parle.

    young smiling girl making photo

    C’est valable pour TOUS les textes que vous laissez ailleurs que chez vous :

    Sur pratiquement toutes les plateformes qui accueillent des médias extérieurs, vous avez la possibilité de renseigner votre profil avec une belle photo de vous.

    Il est donc impératif que vous preniez 10 minutes pour préparer une bonne photo de vous, que vous pourrez fournir à celles et ceux qui vous la demande.

    Pour cela, respectez ces quelques conseils :

    Conseil n°1 : C’est votre tête qu’on veut voir !

    Les photos en pied ne sont pas intéressantes. Parce qu’en général, les photos qui apparaissent sur les documents en ligne ou dans les profils sont de petite dimension.

    Donc, ce qu’on veut voir, c’est surtout votre tête.

    Donc si vous avez des grandes photos qui vous montrent en entier, prélevez juste la tête et une partie du buste, afin qu’on puisse bien voir votre visage.

    On dit que le miroir de l’âme, ce sont les yeux. Ce n’est pas pour rien.

    Plus on verra vos yeux, et plus on aura confiance en vous.

    Conseil n°2 : Evitez les photos prises en pleine lumière

    Pour une exposition de votre tête sur le net, évitez les photos prises dehors, face au soleil, ou avec une luminosité abondante. Préférez les photos prises à l’intérieur avec un flash.

    Pourquoi ?

    Parce que lorsqu’on est face au soleil, ou lorsque la luminosité est très forte, nos pupilles se rétractent.

    Inconsciemment, on a 100 fois plus confiance en une personne qui a les pupilles dilatées plutôt que l’inverse. Parce que des pupilles dilatées veulent dire que la personne est impliquée émotionnellement dans ce qu’elle raconte.

    Bref, on a bien plus confiance en une personne avec des pupilles dilatées.

    Donc préférez des photos intérieures avec un flash.

    Le flash vous fait apparaitre avec les yeux rouges sur la photo, mais après correction, vous aurez une expression faciale parfaite.

    Conseil n°3 : Mieux vaut pas de photo qu’une mauvaise photo

    Une photo, c’est à double tranchant.

    Ca vous rend autrement plus humain, mais ça peut également vous desservir en fonction de la mimique que vous faites dessus.

    Par conséquent, il est impératif que vous ayez l’air sérieux et souriant sur votre photo.

    Pas de grimace, pas de profil, pas de flou, et bien entendu, pas d’air d’enterrement.

    Rappelez-vous que c’est la photo qui parle pour vous partout où vous passez.

    Si vous n’avez pas de belle photo, alors faites en faire une, ou mettez autre chose (voir plus bas). Mais ne mettez pas de photo moche par dépit.

    Conseil n°4 : Prévoyez plusieurs tailles

    En fonction des supports sur lesquels vous allez laisser votre photo, alors sa taille maxi va varier.

    Comptez environ 160 pixels de large pour un livre en PDF ou un article invité sur un blog :

    yvon-160-208

    Comptez environ 70 pixels de large pour un Gravatar sur un blog, mais votre photo doit avoir une version carrée :

    yvon-gravatar 

    Vous pouvez prévoir une photo carrée plus grosse car certains blogs proposent des gravatars plus gros (par exemple 168 px de large) :

    yvon-carre-168

    Et bien sûr, il vous faut une grosse photo, si possible non réduite, si vous apparaissez dans un article de blog ou carrément dans un magazine papier.

    Conseil n°5 : Donnez un nom explicite à vos photos

    Si vous appelez vos photos image1.jpg, image2.jpg etc., vous serez obligé de les visualiser pour savoir de laquelle il s’agit.

    Gagnez du temps : rajoutez la taille de la photo dans son nom.

    Par exemple : yvon-160x208.jpg ou yvon-168x168.jpg ou yvon-70x70.jpg

    Et si vous avez plusieurs photos prises dans des endroits différents, alors rajoutez également un mot dans leur nom pour bien les différencier sans perdre trop de temps.

    Conseil n°6 : Pas de photo potable ? Mettez un avatar !

    Comme je vous le disais, si votre photo n’est pas bonne, alors il ne faut pas la mettre.

    Mais cela ne veut pas dire qu’il ne faut RIEN mettre !

    En effet, vous pouvez vous créer un avatar (une photo virtuelle en quelque sorte) qui aura au moins l’avantage de présenter un “aperçu” de qui vous êtes.

    Par exemple pour moi :

    yvon-gravatar-245x245

    J’ai fait une procédure vidéo pour réaliser des avatars sympas. C’est ici !

    Il vous suffit de suivre ce que je raconte dans cette vidéo, et dans moins de 15 minutes, vous aurez un avatar sympa bien à vous.

    N’oubliez pas de prévoir plusieurs tailles pour les différents supports.

    A vous de jouer !

    Il est très important que vous ayez toujours ces quelques photos bien accessibles sur votre ordinateur, ou mieux, sur votre serveur dans un dossier “photos” créé pour l’occasion.

    Comme ça, vous n’aurez qu’à donner le lien de la photo désirée en fonction des endroits où vous comptez la mettre.

    Pour les futurs évènements de Copywriting Pratique (et pour celui en cours également), je demanderai systématiquement une photo ou un avatar pour pouvoir personnaliser chaque article dans le livre final (sans photo ou avatar, l’article en question ne sera pas publié. Rappel : Un logo n’est pas une photo ou un avatar).

    Donc mettez-vous à la réalisation de votre photo ou de votre avatar très vite, afin d’en avoir toujours un exemplaire à portée de main.

    Et puisque vous êtes là, si vous n’avez pas encore de photo qui s’affiche à côté de votre nom dans les commentaires, alors revoyez la procédure vidéo pour vous inscrire sur le site Gravatar.com.

    Demain, je vous montrerai en vidéo comment découper et redimensionner une photo avec un logiciel gratuit très facile à utiliser.

    Cela ne vous empêche pas de préparer votre photo aujourd’hui ! Clignement d'œil


    11 MAI 2012

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