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Il y a quelques jours, Martin Latulippe m'a transmis "Les 10 principes de succès en temps de crise" élaborés par Dan Sullivan.
Il m'a semblé important de vous en transmettre aussi une version modifiée et adaptée à notre situation. Qu'elle soit professionnelle ou personnelle.
Je vous mets un lien en fin d'article vers le manuel original publié par Dan (en anglais) et vers celui de Martin (en français).
Vous allez le voir, ma version n'a rien à voir avec les deux manuels ci-dessus. J'ai en effet voulu vous livrer beaucoup d'idées afin de vous donner matière à utiliser ces temps de confinement pour vous faire fortement réfléchir.
Prenez le temps de bien tout lire, je suis persuadé que vous trouverez des pépites à appliquer chez vous.
Voici donc ma version à moi des 10 principes de Dan Sullivan :
Quand tout va mal, on a tendance à se replier sur soi-même. Il en va de même avec les gens qui vous suivent ou avec vos clients.
Dans ce genre de période, l'important est d'être encore plus présent que d'habitude avec eux.
Ils devraient avoir de vos nouvelles chaque jour.
Pourquoi ? Pour au moins 2 raisons :
La première c'est que même si beaucoup de gens ont des proches près d'eux, il y en a pour qui ce n'est pas le cas. Donc si vous êtes là, et disponible quelques heures par jour, pourquoi ne pas faire un petit direct pour animer votre communauté ?
Et la deuxième, c'est que lorsque vous êtes concentré sur les autres, forcément, vous ne pensez pas à ce qui va mal chez vous. Et ça c'est salutaire.
En temps de crise, les gens achètent peu. Je suis tombé il y a quelques jours sur un texte incroyable qui disait ceci :
Et les français restèrent chez eux. Ils se mirent à lire et à réfléchir. Et ils n'oublièrent plus de prendre des nouvelles de leurs proches.
Dans l'incertitude de demain, ils comprirent ce que voulait dire "profiter de l'instant présent".
Progressivement, les publicités vantant des produits dont ils n'avaient pas besoin leur semblèrent bien vides.
Et ils comprirent.
Ils n'étaient pas en train de survivre, mais bien de vivre.
On venait de leur faire un cadeau incroyable : on leur avait offert du temps. Et la terre les trouva digne d'elle et elle commença à respirer de nouveau.
Au-delà de la profondeur et de la justesse de ce texte, chaque phrase fait sens avec ce deuxième principe.
En ces temps de grand changement, il faut vous concentrer sur vos relations... Rappelez des amis ou de la famille à qui vous n'avez pas parlé depuis longtemps.
Et cherchez ce que vous pouvez faire pour prendre soin de vos clients.
Vous avez du temps ? Consacrez-en un peu plus aux autres que d'habitude.
C'est en effet le moment d'améliorer les produits que vous vendez. De faire des mises à jour, si vous le pouvez. De rajouter de la valeur à ce que vos clients possèdent déjà.
Vos clients sont votre base. Vos murs porteurs. Vous leur devez tout.
Dans ces périodes particulières, il est temps de leur donner encore plus. Et d'améliorer ce qu'ils ont déjà.
Faites des vidéos supplémentaires pour mieux expliquer. Rajoutez des documents. Indiquez des liens. Faites communiquer les gens entre eux (créez un forum, un groupe privé sur Facebook ou ailleurs).
Demandez-leurs ce qui manque dans les produits qu'ils ont. Et fournissez-leur ce qu'ils veulent.
C'est dans ce genre de moments qu'on voit vraiment qui est qui. Qui essaye de vendre à tout prix, et qui essaye de rendre la vie de leurs clients plus douce.
Soyez cette deuxième personne.
On a en effet tendance à se focaliser sur le manque à gagner. En oubliant que ce genre de péripéties nous offre des opportunités de malade.
Par exemple, je connais 2 couples qui ont vu leur restaurant fermé - comme tous les autres. Alors que l'un de ces couples a décidé de "prendre des vacances" pendant cette période, au lieu de les prendre en été, le deuxième a été plus malin.
Ils ont en effet profité de la période pour contacter tous leurs clients, afin de leur dire qu'ils continuaient à préparer des plats et qu'ils pouvaient les livrer.
Ils ont modifié leur page Facebook en ce sens, ont mis en place un système de commande en ligne très simple (un lien, une page avec des cases à cocher, et un bouton), et ont ainsi pu créer un système de livraison parfait. Ils se sont aussi inscrits sur UBER Eats.
Résultat : Depuis 4 jours, ils font plus de CA que pendant des jours normaux.
Si vous avez une boutique en ville, où que ce soit, quoi que vous vendiez, envisagez cette possibilité. Les gens ne peuvent plus bouger ? Allez vers eux. Vous en avez le droit.
C'est la même chose pour ce qui se passe sur Internet : inventez des trucs qui sont consommables sans que les gens se déplacent. Et dont ils ont besoin.
Utilisez le temps que vous avez pour faire évoluer vos offres. Et pour en créer des nouvelles que vous vendrez quand tout sera fini.
En ce qui me concerne, j'ai une niche où toutes les bases de mon business sont arrêtées jusqu'au 15 avril prochain (minimum).
Depuis lundi, j'ai créé un nouveau site dans une niche secondaire à ma niche principale, et j'ai déjà créé une nouvelle base avec d'autres données. Que je pourrai utiliser pendant la période pour pallier au blocage pour mes utilisateurs, mais aussi pour après.
Bref : vous avez le temps. Prenez du recul, et voyez ce que vous pouvez faire. Demandez à vos clients de vous aider en leur demandant ce qu'ils veulent idéalement. Ils ont le temps aussi.
Quand on est entrepreneur sur le web, des difficultés, on en a des centaines par jour.
J'ose espérer que lorsque ça vous arrive, vous savez déjà comment les dépasser.
En temps de grosse crise - qui n'est qu'une difficulté de plus - ça peut être le moment de prendre le recul nécessaire pour constater où vous en êtes par rapport à ces dernières années. De prendre la mesure de vos progrès dans tous les domaines de votre métier.
Quand vous faites ça, primo vous retrouvez le moral, et secundo, vous ouvrez votre esprit à de nouvelles opportunités.
Et tertio... vous pouvez aussi prendre conscience de toute l'aide que vous pourriez apporter à celles et ceux qui en sont à leur début : vous pourriez être leur bouée de sauvetage dans certaines situations que vous avez déjà expérimentées et pour lesquelles vous avez déjà des solutions : une nouvelle activité en perspective qui pourrait ainsi vous permettre de vous diversifier.
Quand on a une entreprise, les projets, c'est vital.
Pour autant, aujourd'hui est encore plus important : vous avez un tas de choses à faire dans votre business. Et vous avez plein de gens à contacter. et plein d'opportunités à saisir.
Si vous avez votre esprit dirigé vers demain, vous allez louper plein de trucs aujourd'hui.
Donc, plus de plans sur la comète. Plus de projections apocalyptiques. Plus d'infos anxiogènes. Plus de scénarios catastrophe ou non.
Où êtes-vous ? Là. Que faites-vous ? Ça. Comment pouvez-vous encore mieux le faire ?
Relisez cet article qui développe un peu ce concept.
Bien souvent, on a tendance à se définir en fonction de son environnement. Et en ce moment, l'environnement n'est pas très propice à du positif.
En effet, quand "tout va mal", on ressasse le négatif. On se concentre sur ce qu'on a raté pour en être là où on est, et ce n'est pas constructif du tout.
La solution, c'est d'imaginer autre chose comme levier d'interprétation. Par exemple, vos valeurs, vos rêves, et vos meilleures réalisations.
Oui : prenez une feuille - ou votre téléphone - et faites la liste de toutes les choses merveilleuses que vous avez faites. Trouvez des commentaires d'autres personnes qui corroborent le fait que ce que vous avez fait est génial.
Une fois que vous avez cette liste, prenez chaque point, et mettez en évidence au moins 3 (trois) qualités ou compétences qui vous ont permis de mener à bien ce projet.
Et constatez combien vous êtes formidable. Et combien vous avez des dizaines d'occasions de vous définir par rapport à tous ces résultats positifs.
Si vous faites cet exercice, vous allez faire grandir votre estime de vous-même de manière exponentielle.
Et si vous saviez tout ce que vous pouvez accomplir avec une estime de soi au plus haut...
Bref : vous êtes formidable ! N'oubliez jamais ça !
Quand tout va mal, on pourrait imaginer que l'on "perd le contrôle" sur les événements.
Or, personne ne contrôle jamais rien en ce qui concerne les événements.
Vous pouvez vous préparer comme un champion, tout prévoir, tout répéter des dizaines de fois jusqu'à ce que cela vous semble parfait, à la fin, l'Univers - ou le hasard - fera ce qu'il veut.
L'idéal n'est pas de se concentrer ou de mettre trop de charge mentale sur les événements en eux-mêmes. Mais plutôt de vous entraîner à réagir comme il convient à ce qui arrive.
En ce moment, vous êtes confiné chez vous. Que pouvez-vous contrôler sur le développement de ce qui vous a amené à ça ? Rien du tout : vous ne pouvez que faire ce qu'on vous dit, et espérer que tout rentrera dans l'ordre au plus vite : mais vous ne pouvez pas contrôler quoi que ce soit dans ce processus.
Tout ce que vous pouvez contrôler, c'est vos réactions. Vos paroles. Vos actes. Vos mots.
En tant que leader, de chef d'entreprise, vous avez une mission et vous avez une voix qui porte auprès des gens qui vous suivent. Il est donc important que vous soigniez ce que vous transmettez : beaucoup vous suivent. Beaucoup sont inspirés par ce que vous faites et ce que vous dites.
Même si vous débutez.
Vous êtes responsable de l'image que vous envoyez, des mots que vous écrivez, et des conseils que vous donnez. Alors autant envoyer du positif. Et de l'information qui a une vraie valeur pour vos suiveurs.
J'ai dans mon entourage des gens qui sont scotchés aux infos. BFM, LCI, Facebook, ... partout où on peut voir des trucs de merde autour de ce qui nous confine aujourd'hui.
Et qui se font un malin plaisir de ne parler que de ça. En boucle. De pointer le négatif. De brosser des scénarios apocalyptiques. De trouver du complot partout.
En ce qui me concerne, sur Facebook, jamais je n'ai fait autant de ménage dans mes relations : si une personne de mes amis publie un truc négatif sur la situation ambiante, je le vire de amis. Sans le moindre remord. Et même des gens que je suivais depuis des années.
Ça fait du bien et ça fait de la place. Au final, sur mon fil d'actualité, je n'ai que des infos drôles et positives. Ça fait peut être de moi un Bisounours ? M'en fous.
Mon quotidien est ce qui est le plus important pour moi. Je SAIS que tout passera, comme le reste. Je SAIS que dans quelques semaines, tout redeviendra comme avant.
Donc d'ici là, je préfère me concentrer sur tout ce qu'il y a de positif et de drôle dans cette situation, et je m'en porte très bien comme cela.
Quand on a un bon mental, on réagit de manière plus positive à ce qui arrive.
Je vous engage évidemment à faire de même. Et à observer avec sagesse ce qui vous fait réagir négativement.
Ce sont sûrement des mots, des concepts. S'ils viennent vous chercher, c'est qu'il faut y aller, et qu'il faut donc travailler dessus.
On évolue tous avec le temps, et on a constamment du travail à faire pour évoluer.
Il y a du temps pour ça aujourd'hui : profitez-en pour faire le point.
En relation étroite avec le principe n°5, même si vous pensez qu'il vous manque plein de choses, vous avez, dans la même mesure, un nombre important de choses et de concepts qui sont disponibles là, tout de suite, maintenant.
Et que vous pouvez utiliser pour avancer.
En prendre conscience, c'est le premier pas. Et pour vous aider à le faire, le mieux est encore de faire une liste.
Prenez tous les domaines de votre vie :
Qu'avez-vous acquis comme compétences dans tous ces domaines ? Qu'avez-vous comme truc tangible ? Quelles connaissances ? Quelle expérience ?
Avez-vous déjà aidé des gens dans certains domaines ? Lesquels ?
Prenez du temps pour faire cela sérieusement.
Et vous verrez combien vous êtes riche.
C'est le prolongement du principe n°9.
On va se concentrer ici sur la gratitude de ce qu'on possède déjà. Si vous prenez le temps de poser un regard bienveillant sur la liste que vous avez réalisée dans le principe précédent, alors vous pouvez vous rendre compte que vous avez des centaines d'occasion de remercier pour ce que vous avez.
Faites-le chaque matin en conscience. Prenez trois points de votre liste, et remerciez sincèrement qui vous voulez pour cela. Vous pouvez utiliser un objet pour cela. Un caillou, un morceau de bois, un livre, un bijou. Pour ancrer l'action dans votre subconscient.
Cela vous donne de la matière pour voir les choses du bon côté. Et si vous faites ça chaque matin, peu à peu, vous changez vos pensées.
Vous arrêtez de vous plaindre de la pluie, du soleil trop chaud, du voisin, du président, de votre travail, de vos enfants, du temps qui passe...
Vous commencez à parler du soleil, des oiseaux, des voyages que vous avez fait, des bonnes nouvelles que vous avez entendues, de la chance d'être là où vous êtes, de ce dernier plat succulent que vous avez mangé, de cette personne délicieuse que vous avez rencontrée, de celui qui vous a aidé, de ce chat qui se frotte contre vous pour vous dire qu'il vous aime...
Tout est une question de focus : mettez-le sur ce qui va bien, et tout ira encore mieux.
Vous avez vu ? Ça en fait des trucs à faire !
Avec ces 10 principes, j'ai voulu vous donner matière à vous occuper d'améliorer votre quotidien en ces temps compliqués.
Parce que c'est en commençant par transformer sa façon d'agir et de penser que l'environnement, comme par magie, se transforme aussi à votre avantage.
Ces 10 principes ne feront pas de vous un super-héros.
Par contre, si vous les suivez un à un, je peux vous garantir que vous aurez petit à petit ce qu'il faut pour avancer vers demain de la manière la plus zen, la plus efficace et la plus bienveillante pour vous.
Et si vous allez bien, alors vous aurez les coudées franches pour faire le bien autour de vous. Et vous contribuerez à ce que votre entourage aille bien aussi, afin qu'à leur tour ils propagent ce bonheur autour d'eux aussi.
C'est comme ça qu'on soigne le monde.
Prenez soin de vous !
PS : La version de Dan Sullivan (en anglais) est consultable ici. Celle de Martin Latulippe (en français) ici. Merci à eux pour l'inspiration !
19 MARS 2020
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C'était la première histoire.
Dans l'article d'hier, en fait, la première histoire, c'est de moi qu'il s'agit. J'avais changé le prénom, sinon, ça aurait été trop facile. Mais c'est à moi qu'il est arrivé tout ça.
Donc, étant aux premières loges de cette histoire apocalyptique, j'ai évidemment plein de souvenirs d'émotions, de mots et de sensations liées à toute l'aventure.
Reconnaissez qu'on s'y croirait.
Cela dit, la deuxième histoire est vraie aussi. Mais je ne l'ai vécue qu'en spectateur. Le protagoniste de l'histoire aurait raconté ça autrement. Forcément.
Vous comprenez donc, avec cette petite expérience, que la manière que vous avez de raconter votre histoire aura autant d'importance que l'histoire elle-même.
Et pour cela, je vous recommande de suivre les 9 aspects d'une bonne histoire, selon Seth Godin.
En effet, pour ce dernier, une bonne histoire (racontée sur un blog ou une page de vente) est :
Car on s'identifie plus facilement aux personnages (il leur arrive des trucs plausibles, même si c'est incroyable)
Les gens aiment bien quand la fin de l'histoire (la chute) propose une transformation. un élément de compréhension qui permet d'aller plus loin.
La bonne promesse d'une histoire, quand elle est bien faite, peut marquer celui ou celle qui la lit à jamais.
On repère assez vite les exagérations, les mensonges et les affabulations. Au même titre que votre histoire doit être vraie, elle doit également "FAIRE" vrai.
Virez tout ce qui peut vous faire passer pour un-e mytho. Ou alors fournissez des explications plausibles.
Une bonne histoire ne met pas forcément les pieds dans le plat tout de suite. Et même à la fin.
Vous pouvez faire passer une idée en la suggérant, plutôt qu'en la nommant expressément.
Quand on met les gens à contribution, ils se souviennent mieux.
Sentir, comprendre, apprendre. C'est dans cet ordre que les choses se retiennent.
Quand vous racontez une histoire, on veut que ça aille vite. Trop de détails, si cela ne sert pas à éclaircir un propos, ne servent à rien d'autre qu'à faire perdre du temps aux lecteurs.
Une histoire, posée dans un discours ou sur une page de vente, doit aller rapidement au but. Si c'est trop long, les gens s'en vont, car il n'évalueront pas bien combien de temps ça leur prendra.
Ici encore, une bonne histoire qui interpelle est narrée avec un langage compréhensible par un enfant de 8 ans.
A ce titre, au lieu de "narrée" dans la phrase précédente, j'aurais pu dire "racontée". C'est compréhensible par plus de monde.
Comme l'histoire que je vous ai racontée hier, qui comportait beaucoup de mots "émotionnels" et de mots "images", votre histoire à vous doit provoquer une émotion dans la tête de vos lecteurs.
Peur / Surprise / Joie / Tristesse, etc.
Si vos mots provoquent ça, alors les gens auront hâte de découvrir ce que vous avez à dire.
Donc employez un langage émotionnel imagé.
Dans un objectif d'écrire une histoire pour "convaincre", alors celle-ci doit s'adresser à des personnes bien ciblées. Surtout si vous voulez que les gens agissent derrière.
Et c'est même l'histoire qui permet de cibler correctement vos lecteurs. Car elle fait office d'exemple. D'expérience.
Et plus vous racontez une histoire qui s'adresse à un public précis et ciblé, plus vos lecteurs s'identifieront à ce que vous racontez, et par mimétisme - ou empathie - les gens vous suivront : "Mais il pense comme moi ce gars là !"
Ici encore, ça coule de source. Plus ce que vous raconterez sera en rapport et en adéquation avec ce qui vous anime vraiment, et plus votre histoire fera mouche.
Vérifiez donc bien que l'histoire que vous allez proposer à vos lecteurs soit en parfaite harmonie avec vos valeurs. Si quelque chose vous dérange à la relecture, enlevez-le, tout simplement.
Si votre histoire respecte ces 9 points, alors la fin de sa lecture, le lecteur dira : "Quelle histoire !". Et il aura passé un bon moment. Qu'il agisse ou pas derrière.
Et s'il passe un bon moment une fois, il reviendra vous voir. Au moins une fois.
C'est certain.
18 MARS 2020
Si vous avez suivi la saga des Harry Potter, de J.K. Rowling, alors vous n'avez pas pu louper le facteur attachant de ce personnage.
Mais surtout, vous aurez remarqué que cette histoire a eu un succès planétaire, que ce soit avec les livres ou avec les films.
Vous êtes-vous demandé pourquoi ?
Je vous propose aujourd'hui un élément de réponse qui vous servira à plus d'un titre tant dans vos pages de vente que dans vos articles de blog.
J.K. Rowling a débuté l'écriture d'Harry Potter au milieu de l'année 1990. Elle pioche des idées dans la vie de tous les jours, lorsqu'elle fait des voyages ou lorsqu'elle rencontre des gens.
Le roman a déjà bien avancé, et le 30 décembre de cette même année, sa mère décède.
C'est à partir de ce moment-là que tout bascule, parce qu'elle va surmonter sa douleur en détaillant un maximum les sentiments de son héros orphelin, et ce sera plus facile parce que ça fait écho à sa propre expérience.
Et beaucoup reconnaissent qu'Harry Potter a eu le succès qu'on lui connait grâce à ça.
Son éditrice dit même d'elle :
J'ai tout de suite été frappée par la maîtrise totale qu'avait cette jeune femme inconnue, précise Baker - son éditrice de l'époque. Tous les éléments qui m'attiraient dans un texte : la véracité psychologique, la vivacité des dialogues, l'authenticité des sentiments, l'humour bien-sûr, l'inventivité… tout cela était présent. Un cocktail parfaitement bien mesuré. C'est très très rare pour un premier manuscrit !
Vous pourriez prendre ce succès comme exemple pour vos propres articles.
J'en ai déjà parlé à plein de reprises : si vous VIVEZ ce que vous racontez, alors ce sera toujours mieux que de seulement raconter.
Votre imagination peut en effet vous amener très loin, mais ce qu'aiment les gens, VRAIMENT, ce sont les vraies histoires. Celle qui ont un fond de véracité.
Elles sont faciles à identifier : ce sont celles qui permettent le plus à celles et ceux qui les lisent de se "retrouver" dedans.
Par une petite manière qu'a le personnage de réagir dans certaines situations, ou encore avec ses réactions narrées en fonction de ce qui lui arrive.
Si vous racontez une histoire que vous avez vécue, ou pour le moins proche de ce que vous avez vécu, alors vous aurez beaucoup plus de mots et de sensations pour en parler. Et surtout vous emploierez plus de mots "images".
Je vais vous donner un exemple que vous allez comprendre tout de suite. Voici deux histoires. Dites-moi laquelle fait le plus "vrai" :
Le 26 mai 1997, Nicolas est mort. Une belle mort : il s'est éteint à 15h56 après 3 jours d'une douleur incommensurable.
Comment il en est arrivé là ? Il a réussi à appeler le 15, et quand le SAMU a sonné à la porte, il lui a fallu 4 minutes pour se déplacer du lit à l'interphone. Et presque autant pour se redresser pour appuyer sur le bouton. Chaque mètre lui envoyait une décharge dans le dos à la limite du supportable. Il grelottait, avait les lèvres et les ongles violets, et une douleur généralisée, où qu'on appuie sur lui.
Bref... 8 heures après, ça s'est enfin arrêté. Et il est mort.
Et les médecins ont branché tout ce qu'ils ont pu trouver de fils pour le maintenir "artificiellement" jusqu'à ce que ses parents arrivent.
Imaginez qu'on vous annonce que votre fils de 28 ans a été infecté par un streptocoque de classe C. Que toutes ses fonctions vitales se sont éteintes les unes après les autres, et qu'il n'est maintenant plus qu'une carcasse vide de son âme...
Les parents, ça leur en fout un coup. Surtout qu'une fois qu'ils sont arrivés, que le médecin leur a appris la nouvelle, comme par magie... Nicolas s'est réveillé !
Oui ! Il avait perdu 22 kilos en 7 jours, a fait 15 jours de réanimation, et il lui a fallu 15 jours de plus pour pouvoir se remettre debout : il a perdu une vertèbre. Ou plutôt, non ! Deux de ses vertèbres (L4 et L5) se sont soudées. Au final, il est passé de 1m78 à 1m75. Et de 84 kilos à 62. En 1 semaine.
Pendant sa convalescence, son dos le faisant souffrir, l'hôpital a eu la grande idée de lui adjoindre une kiné perso. Pas de bol, la kiné en question n'était pas vraiment douce. A la première manipulation, il a eu une douleur tellement forte, tellement puissante, tellement insupportable, qu'il a hurlé sur la kiné. Celle-ci a cru qu'il devenait fou. Ou dépressif. Donc ils l'ont mis sous Lysanxia 100 mg. Une dose à assommer un bœuf.
Résultat ? Une perte de mémoire à court terme instantanée. Il se levait la journée, et il constatait qu'il avait des vêtements dans son placard qui n'étaient pas à lui.
En fait, c'était ses parents qui lui achetaient des nouveaux vêtements chaque week-end, mais d'un jour à l'autre il ne s'en rappelait plus. Sa mère, après l'avoir engueulé (vexée) a eu la puce à l'oreille. Elle a demandé aux infirmières tout ce qu'ils lui donnaient comme médicaments chaque jour...
22 cachets par repas. Dont la dose d'anti-dépresseur pour assommer un bœuf.
Elle a rué dans les brancards et a fait arrêter tout ça. Au "réveil" de cette expérience, Nicolas ne se rappelait de rien. Pire : un mois entier de sa vie avait disparu : il ne se rappelait plus pourquoi il était là...
C'est suite à tout ça qu'il a décidé de changer totalement de voie et de prendre chaque jour comme un cadeau... Qu'en a t'il fait ? Voyons cela...
Joseph roule trop vite. Il est 23h50, il a (trop) bu, il s'énerve parce que la voiture de devant n'avance pas assez vite. Donc à la première occasion, il la double... Pas de bol, on est sur une route de Haute Savoie, et là-bas, les routes sont étroites et escarpées.
Il arrive en 205 GTI à 95 km/h dans un virage à angle droit. Trop vite. Il n'a pas le temps de freiner : il s'encastre dans la montagne comme un moustique sur un pare brise. Le cerveau a fait un aller-retour dans la boîte crânienne.
C'est arrivé le 6 juillet 2008.
Il se réveillera le 25. Il ne peut plus parler, n'a plus la sensation de tout son côté gauche. Et il lui faudra plus de 3 mois pour recommencer à marcher normalement.
Juste après son réveil, il lui a fallu quelques semaines pour pouvoir recommencer à parler. Les gens qui le visitaient arrivaient parfois à le faire réagir en lui racontant des trucs drôles... Mais la plupart du temps, c'était silencieux...
Et quand il a retrouvé l'usage partiel de ses membres, il s'est juré de ne plus jamais boire la moindre goutte d'alcool. Trop content qu'on lui ait donné une deuxième chance.
Aujourd'hui, Joseph vit "presque normalement", avec une déficience de marche. Mais il n'a jamais oublié ce moment de juillet 2008. Et d'ailleurs...
Laquelle de ces deux histoires fait le plus "vrai" ? L'histoire de Nicolas ou celle de Joseph ?
Je vous laisse relire, je vous donnerai la réponse dans l'article de demain. Mais n'hésitez pas à laisser votre avis en commentaires, histoire de voir si vous avez bien compris l'idée que je voulais véhiculer dans cet article.
17 MARS 2020
Un p'tit coup de mou ?
Lisez cet article, et faites en sorte de suivre ce qui s'y raconte. Je vous promets des heures douces et fun juste après.
Vous avez un blog à faire vivre ? Un site à entretenir ? Un produit à vendre ? Une activité à domicile ?
Si vous travaillez de chez vous, quelle que soit votre activité, comment vous motivez-vous ?
Comment trouvez-vous la force de vous lever chaque matin pour faire ce que vous faites ?
Est-ce qu’il y a des jours où vous restez couché ? Des jours où vous vous octroyez un peu de repos parce que vous n’avez pas envie de bosser ?
Des jours où vous avez envie de tout lâcher, de sortir, de partir, de fermer votre ordinateur et de ne plus jamais l’ouvrir - au moins pour la journée ?
Des jours où vous ne trouvez plus d’intérêt à ce que vous faites, et où vous vous demandez si vous n’avez pas fait une erreur de choisir cette voie ?
Beaucoup de questions. Je sais.
Ces questions, je me les pose souvent. Et je sais que c’est également votre cas.
Quand on bosse de chez soi, je pense que c’est fréquent, car on n’a pas autour de nous l’effervescence d’un endroit rempli de collègues.
Et pour le salut de notre âme ou de manière plus terre à terre, pour le salut de notre activité, il est indispensable d’avoir des petits trucs à utiliser pour relancer la machine quand elle s’épuise.
C’est absolument impératif quand on bosse de chez soi.
En effet, au-delà de la motivation et de l’attitude positive, pour réussir sur Internet (ou ailleurs), on a parfois besoin de bien plus que d’un simple état d’esprit.
Simplement parce que nous ne sommes que des humains, avec nos forces et nos faiblesses, et que même la personne la plus motivée du monde, la plus positive du monde et la plus déterminée qui soit passe par des moments de blues.
Voilà le pourquoi de cet article, qui sera collaboratif, si vous voulez bien.
Je vais vous donner mes petits trucs. Ceux que j’utilise pour me remotiver quand le moral se barre dans les chaussettes.
Et à la fin de cet article, je vous demanderai de me donner les vôtres – si vous le voulez, bien sûr.
Après tout, si vous aussi vous bossez de chez vous, vous en utilisez forcément, et je suis persuadé que vous utilisez LE petit truc qui pourra servir à quelqu’un (à moi aussi pourquoi pas).
Voici mes 4 meilleurs trucs pour retrouver la pêche en cas de baisse de forme :
J’ai des centaines de vidéos drôles sur mon PC. Sketchs, bêtisiers en tous genre, vidéo rigolotes, morceaux de films marrants...
Je les récupère patiemment sur Youtube ou ailleurs (j'utilise ce logiciel en ligne pour récupérer les vidéos), et j’en ai maintenant des listes complètes.
Quand j’ai une baisse de moral, ou que j’ai simplement envie de faire un break, je m’envoie une petite demie-heure de vidéos qui me font rire.
Si au bout de 30 minutes je n’ai toujours pas le moral, j’en refais une petite séance de plus.
Plus on rit de bon cœur, et plus notre corps émet les endorphines qui nous redonnent le moral.
Vous pouvez reprendre ce truc pour vous, c’est facile à faire. Je ne peux pas savoir ce qui vous fait rire, mais avec Youtube, vous avez accès à des centaines de milliers de vidéos en tous genres qui sont là pour ça.
Utilisez VLC Media Player pour vous constituer une ou plusieurs listes de lecture.
Et quand le moral et la motivation s’en vont, faites-vous une petite séance. Effet positif garanti !
Ça marche aussi avec Facebook. J'ai créé mon groupe privé secret "La BURM", et dès que je croise un truc drôle sur mon fil, hop, je le partage sur ce groupe. En cas de baisse de moral, je vais y traîner quelques demi-heures... La pêche revient vite.
Faites pareil ! Créez un espace que pour vous et les personnes qui comptent, et faites-en un réservoir de trucs drôles ou relaxant que vous pourrez consulter à foison en cas de baisse de moral.
J’ai la chance d’habiter à 750 mètres d’altitude, dans un endroit tellement calme que le seul dérangement sonore auquel j’ai droit la journée, ce sont les oiseaux.
Rigolez pas. 300 oiseaux qui chantent en même temps, ça vous semble sympa, mais quand vous êtes dessous, c’est largement aussi assourdissant qu’un bus qui passe en ville.
Surtout le matin alors que vous dormez la fenêtre ouverte. Bref... C’est la campagne.
Par contre, j’ai remarqué un truc : Si je n’ai pas le moral, un bain de soleil et d’air pur pendant ne serait-ce que 10 minutes me redonne une pêche d’enfer.
Tout le monde ne peut pas se le permettre – question d’environnement – mais il ne faut malgré tout pas hésiter à sortir dehors, même en pleine ville.
Il se trouve bien un parc ou quelques espaces verts qui vous permettront de profiter des bienfaits de la nature.
On sous-estime le pouvoir de l’air pur (même s’il n’est pas aussi pur que ça, il est plus pur que l’air recyclé de votre bureau).
En plus, ce n’est pas un hasard quand on dit qu’on cherche “l’inspiration” quand on écrit. C’est parce que justement, “inspiration” ça vient du verbe “inspirer”.
Et sortir à l’air libre pour aller inspirer et expirer un bon coup, c’est toujours une bonne idée !
J’ai relativement peu de contacts sur Skype ou Messenger. Mais j’en ai quelques uns qui me permettent de retrouver la pêche assez rapidement.
En effet, quand on bosse chez soi, Skype est un peu notre “open space” personnel. On y retrouve des collègues qui bossent chez eux. Des amis qui passent de temps en temps. La famille aussi.
Personnellement, j’ai 4 comptes Skype :
C’est véritablement ce dernier compte qui m’est du plus grand secours en cas de baisse de moral.
Les contacts qui se trouvent sur ce compte Skype se comptent sur les doigts d’une seule main, mais toutes mes plus grandes idées et mes plus grandes réussites sont nées ici.
Parce que les personnes qui y sont me complètent parfaitement d’un point de vue réflexion. Une idée en amène une autre, et des discussions enflammées peuvent durer des heures entières sans qu’on voit le temps passer.
Bref c’est une sorte de bistrot virtuel duquel j’aurais bien du mal à me passer. On refait le monde, on expose des idées, on frime, on plaisante, on se marre, on se moque des voisins, des concurrents, des idiots et des cons...
Un grand moment de libération salutaire. En tout cas pour moi. Ca reste entre nous, alors pas de vague, mais bon sang qu’est-ce que ça redonne la pêche !
Vous devriez donc envisager de faire pareil.
Il est possible que vous n’ayez pas encore rencontré des gens qui vous inspireront comme ça. Mais ça viendra.
Ayez plusieurs comptes Skype. Un professionnel, que vous ouvrez la journée et fermez le reste du temps.
Puis un autre que vous réservez à la famille. Ouvert quand vous en avez envie.
Et pour finir un compte que vous ne réservez qu’aux amis inspirants. Celui-là devrait toujours rester ouvert au cas où d’autres membres de ce groupe voudraient vous contacter. Pour un conseil, ou simplement pour parler. Vous pourrez passer certains contacts pros dans ce compte avec le temps.
Dernier point important : C’est un groupe à canal simple : On ne discute jamais à 3. Toujours à 2. Ce n’est pas un brainstorming. Ni un “mastermind”. C’est un groupe où il n’y a que moi qui connait tout le monde.
Mes correspondants ne se connaissent pas entre eux, et donc ils ne discutent qu’avec moi sur ce groupe.
Vous pouvez aussi faire ça sur Telegram, Whatsapp, ou même Messenger...
Allez j’avoue : J’adore les blogs de filles. Vous savez, ces blogs où les blogueuses racontent un peu leur vie, leurs déboires.
J’en ai des centaines en favoris. Des centaines que je lis avec bonheur et délectation quand j’ai une baisse de moral. Et même quand tout va bien j’y vais quand même !
Certaines blogueuses sont de véritables artistes du verbe. Pas toutes, bien sûr. Mais certaines, c’est un vrai régal et je me marre pratiquement à chaque article posté.
Pour vous donner quelques exemples parmi mes blogs de filles préférés, il y a lui et lui.
Dites pas que vous venez de ma part, je les suis totalement incognito. Déjà parce que je ne suis pas une fille – un scoop - , et ensuite parce que c’est surtout salutaire pour mon cerveau et mon moral.
Bref après 30 minutes de lecture à m’en tenir les côtes bien souvent, plus aucune démotivation ne peut venir entacher ma journée.
Essayez, vous verrez. Ce qu’il y a de bien, c’est qu’elles ont des blog-roll à rallonge, ce qui fait qu’il y a toujours un nouveau blog du même style à aller visiter.
Vraiment, j’adore les blogs de filles ! Et vous savez quoi ? Vous n’imaginez pas tout ce qu’on peut apprendre en blogging quand on visite ce genre de blog.
Parce que certaines bloggeuses ont des idées fantastiques pour faire vivre leurs blogs. Des idées de concours, de plugins, de menus spéciaux, de dispositions, et même de nommage de leurs rubriques.
C’est incroyable tout ce qu’on peut apprendre en se baladant avec un œil alerte sur ce genre de blog. Essayez, vous m’en direz des nouvelles.
Voilà… J’ai fait ma part. Je vous ai donné mes 4 meilleurs trucs pour retrouver le moral et la motivation quand je les perds.
Ce qui arrive relativement fréquemment quand on bosse chez soi.
Et vous comment vous faites ? Avez vous des petits trucs perso qui vous redonnent le moral ? Des blogs ou des sites que vous visitez, des endroits où vous vous rendez, des gens avec qui vous discutez ?
Lâchez-vous !
Faisons de cet article un endroit où ceux qui voudront se ressourcer lors de périodes de “coup de mou” pourront venir faire leur choix à loisir du petit truc qui les sortira de leur creux de la vague.
D’autant que ça pourra également vous servir aussi à vous !
16 MARS 2020
Ce qu'il y a de bien avec ChatGPT, c'est que lorsqu'on l'utilise régulièrement et qu'on prend l'habitude de le voir comme un super assistant, on découvre chaque jour de nouvelles utilisations.
Vous pouvez en effet lui poser la question de savoir ce qui empêche vos clients d'atteindre leurs objectifs concrets. Il vous donnera une jolie liste d'obstacles et de problèmes que vous pourrez utiliser pour :
... et une tonne d'autres applications pour lesquelles trouver un problème à résoudre ou un obstacle à lever sera d'une grande aide.
Après tout, quoi que vous proposiez, que ce soit un produit ou une prestation, quand vous connaissez vraiment les principaux problèmes de vos client.e.s, vous savez quoi leur proposer pour les résoudre.
Et cette manière de procéder peut vous permettre de créer un produit complet, en suivant une procédure tout ce qu'il y a de plus simple et logique.
J'explique tout avec un exemple concret dans un guide (PDF), que je réserve aux membres de Copywriting Pratique :
Pour télécharger ce guide (et les autres disponibles), remplissez simplement le formulaire ci-dessous, et recevez votre accès à tous les outils disponibles :
Voici une vidéo qu'on pourrait imaginer drôle, vu l'intervenant, et pourtant, non...
C'est l'une des meilleures vidéos de développement personnel que j'ai vue depuis des années car exprimée par quelqu'un qu'on n'attend pas DU TOUT dans ce domaine.
La manière que l'on a d’interpréter et d'aborder les obstacles qu'on nous présente tout au long de notre vie fait toute la différence...
C'est le meilleur facteur d'évolution que l'on puisse expérimenter et il est important de bien en saisir l'opportunité :
J'espère que vous noterez bien la leçon à retenir de tout ça (vers 8mn50), parce que ça nous est tous arrivé de manière plus ou moins douloureuse...
Qu'en avons nous fait ?
15 MARS 2020
Trouver des idées d'articles, quand on a un blog, c'est le lot de tous les jours.
Aujourd'hui, j'ai voulu regarder un peu ce qu'on peut trouver à ce propos sur Google, pour voir si certains blogueurs ou certaines blogueuses s'étaient déjà penchés sur la question...
La réponse est OUI !
Je vous ai trouvé des articles sympas qui vous donnent des idées d'articles à la pelle.
En voici 3 :
Du blog IDontThink.fr
Cela fait maintenant 30 minutes que je fixe mon wordpress en me demandant ce que je vais bien pouvoir vous écrire comme billet “léger”. Moi qui ai toujours une do to de plusieurs kilomètres, je suis presque perdue lorsque j’arrive à la fin, avec aucune note pour me guider sur quoi écrire ou quoi faire.
Cette situation ne doit plus se reproduire, c’est pourquoi j’ai décidé de vous partager une liste de 100 idées d’articles à écrire. Comme ça, quand je n’aurais plus d’inspiration, je viendrais puiser dans mon propre article ah-ah. Servez-vous donc !
Du blog Doers Wave
Nous avons tous connu un jour l’effroyable sensation de la page blanche. Rien… Nada… Aucune idée originale ne traverse notre esprit pour qu’on puisse écrire notre article. Entre les « idées » farfelues, déjà vues ou trop connues, on a l’impression d’avoir épuisé son stock de sujets d’articles possibles. Ces pannes d’inspirations peuvent être assez retords, si bien qu’on est rapidement renfermé et aveugle à chaque étincelle de génie ou d’opportunité.
Tu t’es déjà retrouvé dans cette situation ? Ou pire, tu vis en ce moment même cette situation ? Blogueurs, blogueuses cet article est fait pour toi ! Ne t’inquiète pas, DoersWave est là pour toi. Nous t’avons spécialement concocté une sérié de bonnes idées d’articles dont tu pourras te servir pour écrire, animer ton blog, te donner de l’inspiration... Ainsi, tu ne seras plus jamais à court de sujets d’articles !
Voici 60 idées, sujets et thématiques d’articles à écrire. Certains sont même spécialisés en fonction de ton type de blog. Profites-en !
Du blog Ur Little Feather
Aucun doute : vous voici armé pour les 6 prochains mois ! Evidemment, ce ne sont que des idées, mais bien souvent, c'est ce qui nous manque pour démarrer.
Et si cela ne vous suffit pas, notez "Idées d'articles de blog" sur Google, vous en trouverez des centaines d'autres.
Y'a plus qu'à écrire !
14 MARS 2020
Je viens encore de tomber sur un site qui a décidé sur la base de je ne sais quelle idée saugrenue d'écrire ses pages en bleu clair sur bleu encore plus clair :
Cette capture d'écran - un peu modifiée - est réelle.
Le site a VRAIMENT décidé d'écrire en bleu clair sur un fond bleu...
C'est pas une bonne idée du tout. Il m'a été impossible de lire plus de la moitié du premier paragraphe.
C'est une des bases des bonnes pratiques de l'ergonomie d'un site web éditée par Jakob Nielsen : un site doit être lisible pour n'importe qui.
Le standard des journaux et des sites Internet qui respectent ses lecteurs, ce sont des lettres noires sur un fond blanc.
Qu'on s'adapte à un design global et qu'on décide alors de mettre du bleu ou du vert foncé sur du blanc, OK. Du gris foncé aussi.
Mais il faut bien comprendre que si on prend déjà 50% des capacités du cerveau d'une personne pour qu'elle arrive à déchiffrer ce qui est écrit, il ne lui reste plus grand chose pour comprendre ce qu'on raconte.
Et évidemment, il en est de même pour une page de vente : aucun obstacle ne devrait entraver la bonne lecture d'un texte qui vise à faire agir les gens.
En cela, tous les textes en blanc sur fond foncé devraient être bannis.
A part à quelques endroits de la page pour mettre en valeur certains arguments, ou pour délimiter des zones (témoignages par exemple), tout le reste devrait être écrit en foncé sur clair.
J'ai dû le répéter 2 ou 3 fois dans cet article. C'est bon ? Tout le monde a compris ?
Au cas où, voici quelques articles qui poursuivent le combat de l'ergonomie :
Avec tout ça, j'espère vous avoir sensibilisé au problème de la lisibilité d'un article ou d'une page de vente.
13 MARS 2020
Que vous ayez un blog, une page Facebook, un compte Instagram ou une chaîne Youtube, vous devriez faire attention à comment vous recrutez vos suiveurs et vos suiveuses (vos followers, quoi...).
Il vaut en effet mieux avoir 150 personnes à 100% engagées par ce que VOUS faites, par vos valeurs, plutôt que d'en avoir 1000 qui ne réagissent que lorsque vous les faites rire ou que vous leurs montrez votre ...
Bref, vous avez compris.
C'est pour cela qu'il faut éviter les erreurs de base qui sont encore commises de nos jours par les apprentis blogueurs, nouveaux entrepreneurs du web ou tout simplement par les personnes qui veulent ouvrir un groupe ou une page Facebook pro pour vendre leurs produits ou proposer leurs prestations.
Voici les 3 erreurs les plus fréquemment commises.
Attardez-vous particulièrement sur la 3ème erreur...
Si vous la faites, vous vous acheminez vers une hécatombe en 14 étapes qui réduira votre travail à néant, et vous poussera à tout recommencer dans quelques mois.
Autant démarrer sur de bonnes bases pour éviter ça, n'est-ce pas ?
Les 3 erreurs et les 14 étapes dont je parle ici sont dans un guide PDF réservé aux membres de Copywriting Pratique.
Vous y trouverez également 4 manières intelligentes de remplir avec succès vos pages et groupes Facebook ou n'importe quel autre espace sur votre réseau social préféré avec des personnes qui seront enthousiasmées à l'idée d'acheter ce que vous leurs proposerez ensuite.
Remplissez le formulaire ci-dessous avec soin, et vous recevez ce guide par mail dans la minute, ainsi qu'un accès à toutes les autres ressources réservées aux membres :
Je viens de tomber sur une vidéo d'une humoriste que j'aime bien - Laura Calu, qui s'étonnait des résultats d'une expérience qu'elle a mené sur Instagram.
Elle a posté une photo où elle était à moitié dénudée (je rappelle que c'est une humoriste de grand talent).
Elle a reçu plus de 4500 likes sur cette photo, et presque autant de partages et de commentaires. Soit plus de 7 à 8 fois plus que ce qu'elle reçoit d'habitude sur ses autres publications.
Atterrée par ces résultats, elle s'insurgeait contre l’algorithme d'Instagram et de Facebook qui obligeait, selon elle, à publier des photos et des vidéos plus "engageantes" pour rester dans leurs faveurs.
Elle s'y refuse tout net, et préfère continuer à poster des vidéos et des photos drôles et/ou engagées.
Que voilà une bonne idée !
Que vous ayez un blog, une page Facebook, un compte Instagram ou une chaîne Youtube, vous devriez faire ça aussi.
Il vaut en effet mieux avoir 150 personnes à 100% engagées par ce que VOUS faites, par vos valeurs, plutôt que d'en avoir 1000 qui ne réagissent que lorsque vous les faites rire ou que vous leurs montrez votre... bref, vous avez compris.
C'est pour cela qu'il faut éviter les erreurs de base qui sont encore commises de nos jours par les apprentis blogueurs, nouveaux entrepreneurs du web ou tout simplement par les personnes qui veulent ouvrir un groupe ou une page Facebook pro pour vendre leurs produits ou proposer leurs prestations.
Voici les 3 erreurs les plus fréquemment commises. Les 14 étapes de l'hécatombe dont je parle dans le titre arrivent au moment de la troisième erreur.
C'est parti !
Le reste de cet article (2361 mots) est réservé aux membres de Copywriting Pratique. Ils l'ont reçu en PDF avant les autres.
Si vous souhaitez devenir membre, cliquez ici...
12 MARS 2020
Je viens encore d'en voir une...
Une vidéo qui saoule. Vous savez ce genre de vidéo où le gars tente de vous enseigner un truc, mais AVANT d'arriver au truc principal, il vous en met une tartine sur plein de trucs qui n'a rien à voir.
Ou parfois, il vous donne des exemples qu'on ne peut pas encore comprendre parce qu'on ne sait pas encore de quoi il s'agit. Ou encore une sorte de teasing qui est censé retenir notre attention, mais au final, quand on découvre "le truc", on a l'impression qu'on a perdu 5 minutes pour rien.
La dernière que j'ai vue, le gars voulait me donner LE truc incroyable en copywriting que personne n'avait jamais vu de sa vie et qui allait révolutionner les pages de vente...
Au final, après :
...ENFIN je découvre le truc !
Pffff... Un "truc" (qui n'en est même pas un) connu depuis 40 ans... Quel désespoir, sérieux...
Bref, ce genre de vidéo, c'est le calvaire pour moi. Au début, je mettais en vitesse rapide x2 et je faisais autre chose en même temps. Maintenant, je les repère tellement vite que j'avance à la 4ème minute direct.
Dans le monde d'aujourd'hui, l'information est colossale. Et on n'a plus de temps à perdre avec des conneries qui ne servent qu'à remplir des minutes de vidéo (parce que ça fait bien, sûrement).
Surtout quand la promesse est du genre "LE truc peu connu qui rend vos pages de vente bien plus performantes".
Je profite donc de l'occasion pour vous rappeler comment devrait être construite une vidéo "bienveillante" qui enseigne un concept ou une technique.
Pourquoi "bienveillante" ? Parce que respectueuse du temps des visionneurs qui n'ont pas que ça à foutre que d'écouter bla-blater quelqu'un pour ne rien dire.
Quand on annonce une vidéo, déjà dans le titre, on pourrait être honnête et mettre de côté les termes qui font clairement exagéré.
Fantastique, inédit, nouveau, incroyable... pourquoi pas si l'info ou la technique proposée est réellement tout ça... Mais comme dans la plupart des cas, c'est du réchauffé, quand on découvre ensuite le fin mot de l'histoire, non seulement on passe pour un marchand de camelot, mais en plus, on frustre notre audience.
Donc si ce que vous annoncez est performant, parlez donc de chiffres réels dans votre titre.
Pour reprendre l'exemple qui m'a donné l'idée de ce mail :
"La technique qui augmente vos taux de conversion de 24%"
C'est clair net et précis. Est-ce vrai ? On n'en sait réellement rien, pour être honnête. Mais ça a le mérite d'être clair.
Les génériques, s'ils font plus de 5 secondes, les blagues, les scripts qui défilent, soyons clair : tout le monde s'en fout.
C'était super il y a quelques années car ça montrait qu'on maîtrisait le montage vidéo et... non... Ca n'a jamais été super. C'était juste un truc pour mettre son ego en valeur.
L'idéal, dans une vidéo qui enseigne, c'est d'attaquer tout de suite avec la technique.
On la résume en quelques mots, et on explique à quoi ça sert.
Et ENSUITE seulement, on explicite.
C'est le principe de la pyramide inversée, prisée chez les journalistes.
Ils livrent la grosse info en entrée, et rajoutent du bla bla ensuite.
De cette manière, si ce que vous avez lu de plus important a fait mouche en vous, que vous en avez compris l'implication pour vous, ou alors que cela ne vous concerne pas, ALORS vous pouvez partir immédiatement après. Vous ne perdrez rien.
Une fois que vous avez annoncé la couleur, vous pouvez rajouter tout ce que vous voudrez pour expliciter au mieux la technique.
Cela inclut :
Si vous prenez l'habitude de procéder comme ça, ça va vous apporter plein d'avantages.
Le premier c'est que vous respectez le temps précieux de vos visiteurs, et ça c'est le plus important.
Le deuxième, c'est que si vous donnez l'essentiel du contenu en moins d'une minute, vous pouvez poster un extrait de la vidéo sur Facebook, avec un lien vers la suite sur Youtube pour ceux qui le veulent.
Les vidéos d'une minute maxi sur Facebook sont bien plus "poussées" que les autres car... les gens les regardent en entier. Ce qui montre que leur expérience utilisateur est bonne, donc... vos prochaines vidéos seront plus montrées par rapport à d'autres plus longues que les gens zappent au bout de 3 minutes.
Et la dernière... ça va vous faire gagner un temps fou parce que si vous arrivez à contenter les gens en une minute au lieu de 6... Multiplié par 100 vidéos annuelles, faites le calcul... Vous économisez 500 minutes de tournage, soit plus de 8 heures... 8 heures que vous pouvez passer à faire... 500 vidéos de plus.
Bref, vous avez compris, le format de vidéo le plus "écologique" pour tout le monde, c'est celui qui suit ce plan idéal :
------------------------ 1 minute ----------------------
Avec ce plan, vous pouvez réserver le "comment" pour vos abonnés, par exemple. Ou pour un autre support de vidéo où vous voulez que les gens s'inscrivent.
Ce que vous devez retenir, c'est que vous devriez donner accès à votre grosse information en premier et le plus vite possible. Ceux qui veulent en savoir plus resteront à vous écouter un peu plus, et là vous pourrez développer.
Merci d'avance pour toutes celles et tous ceux qui n'ont pas forcément 10 minutes à consacrer à une vidéo qui leur aurait appris la même chose en 1 minute.
11 MARS 2020
Et voilà !
Vous avez été 27 à jouer le jeu de ce 5ème événement sur Copywriting Pratique. Merci !
Voici la liste des différents articles proposés :
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Si vous aimez ce que vous avez lu, soyez sympa : faites-le savoir aux auteurs et autrices en cliquant sur le lien "J'ai aimé cet article".
10 MARS 2020
RECUPEREZ VOS RESSOURCES GRATUITES POUR COPYWRITERS
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Mais aussi : des guides pour apprendre le copywriting et l'IA, des éléments graphiques pour embellir vos blogs et vos pages de vente...
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