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Copywriting : 9 astuces pour garder vos membres payants le plus longtemps possible

Si vous avez un blog, ou un club ou même un petit groupe de clients que vous faites payer tous les mois pour un produit ou un service, votre objectif est normalement qu’ils restent avec vous le plus longtemps possible.

Oui mais voilà : Comment les garder ?

Comment faire pour qu’ils n’aient pas envie de vous quitter après le premier mois ?

Fort heureusement, il existe des techniques efficaces à utiliser pour garder les membres de votre club ou de votre blog le plus longtemps possible.

En voici 9...

espace-membres

Des membres différents

Dans une communauté, vous avez plusieurs sortes de membres.

Il n’y a rien à faire pour les fans : Il sont acquis à votre cause.

Il n’y a rien à faire pour les éphémères. Vous pourriez leur donner des trucs fabuleux, un contenu unique et fantastique, ils ne sont définitivement pas faits pour rester plus d’un ou deux mois au même endroit.

Par contre, pour les indécis, qui représentent sans le moindre doute possible près de 75% de vos membres, vous avez tout intérêt à prévoir une stratégie de fidélisation sur le long terme si vous voulez les garder.

9 astuces pour garder vos membres

Voici donc 9 astuces de copywriter pour rendre votre espace membre attirant et captivant, pour que la majorité de vos membres n’aient plus envie d’aller voir ailleurs.

1. Ayez toujours 3 mois d’avance

Avant d’ouvrir votre espace membre payant, préparez votre contenu pour au moins 3 mois d’avance.

Mais créez quand même du contenu au mois le mois pour toujours garder ces 3 mois d’avance.

Ca vous permettra de réagir en cas de coup dur, et surtout d’annoncer le contenu du mois d’après.

2. Créez une table des matières, un plan, un agenda

Avec un agenda à 2 ou 3 mois, vous pouvez donner envie à vos membres actuels de rester plus longtemps, car ils sauront à l’avance ce qui les attend.

Prévoyez toujours un nouveau cours, une nouvelle formation ou un nouveau produit à paraître dans 4 ou 6 mois. Et parlez de ce qui se passera au bout d’un an d’abonnement.

L’objectif est de faire prendre conscience à vos membres de tout ce dont ils vont bénéficier sur le long terme s’ils restent chez vous.

Il faut toujours qu’il y ait quelque chose de nouveau qui démarre chaque mois.

3. Créez des produits “séries”

Une série, c’est un produit qui se décline en plusieurs volets. Et qui se livre bien entendu sur plusieurs mois.

Ca peut être une histoire, un cours, une formation, une série de livres dans une thématique, des cadeaux à recevoir, des bons de réduction, etc…

4. Présentez ce qui va arriver le mois prochain

Ne dites pas exactement de quoi il s’agit.

Faites plutôt des puces promesses. Pour donner envie à vos membres de rester un mois de plus.

Faites le impérativement à chaque fois. Formez-vous aux puces promesses. C’est trop important pour vous en passer.

Engagez un copywriter pour les faire au besoin si vous n’avez pas envie de vous casser la tête.

5. Organisez un questionnaire par mois

C’est impératif pour pouvoir garder un service irréprochable. Faites des questions ouvertes, pour que ce soit vos membres qui vous donnent des idées.

Valorisez les membres qui vous ont donné une idée que vous avez concrétisé par la suite.

Annoncez-le en grandes pompes, comme ils le font avec le chèque énorme du gagnant au Loto.

Ca donnera envie aux autres membres de participer la prochaine fois. Fierté, quand tu nous tiens !

6. Scindez vos produits, transformez-les en cours

N’hésitez pas à raccourcir la taille de vos produits quitte à les livrer sur plusieurs mois. Il vaut mieux que vos membres aient fait le tour de votre contenu en 15 jours, plutôt qu’il n’ait pas le temps de tout consulter.

Si votre membre pense qu’il en a déjà beaucoup et qu’il devrait s’arrêter un peu pour faire le point, ce n’est pas une bonne idée.

Mieux vaut créer la pénurie et donner envie d’attendre frénétiquement le mois d’après.

7. Faites des jeux, énigmes. Solutions le mois d’après

N’avez-vous jamais remarqué que certains magazines proposent des jeux ou des énigmes passionnants, avec une solution dans le numéro d’après ?

Pourquoi à votre avis ? Pour vous forcer à acheter le numéro d’après tout simplement.

Faites pareil avec votre espace membres : Faites un concours, ou un jeu et dévoilez la solution le mois d’après.

Pour les mêmes raisons que les magazines.

8. Prévoyez toujours une grosse livraison le jour du prélèvement

Au moment où le prélèvement se fait, votre membre devrait recevoir quelque chose juste en suivant. Afin qu’il n’ait pas l’impression qu’il paye pour “rien”.

Si dès qu’il reçoit sa notification de prélèvement, une livraison arrive juste derrière, alors tout va beaucoup mieux pour lui, et tout redevient logique : Je paye, j’ai quelque chose.

9. Créez des statuts de membre

Comme le fait France Loisirs :

Si vous donnez la possibilité à vos membres d’appartenir à un statut, ils resteront au moins jusqu’aux différents paliers.

Et cela renforce leur sentiment d’appartenance, qui leur donne envie de rester un peu plus pour appartenir à la communauté.

Ne prévoyez pas forcément un an pour les périodes. Prévoyez plutôt 3 mois, 6 mois, 1 an et 2 ans...

Rendez le concept encore plus bénéfique en envoyant une VRAIE carte au membre. Chez lui.

Ca ne coûte pas bien cher de faire faire des cartes, et si vous arrivez à obtenir des réductions (même minimes) dans un ou plusieurs endroits connus sur présentation de cette carte, c’est le succès assuré.

A vous de jouer !

Vous avez ici de quoi donner envie à vos membres de rester plus longtemps avec vous.

L’important est que vous vous souveniez que d’une manière générale, si vous recevez des paiements récurrents, alors chaque mois, c’est comme si vous vendiez un nouveau produit.

Il est donc impératif de le voir comme tel.

En d’autres termes, si chaque nouvelle mensualité d’un abonnement payant se vendait avec autant d’enthousiasme que lors de la vente d’un nouveau produit, alors vos membres resteraient avec vous bien plus longtemps.

C’est logique, non ?


3 DECEMBRE 2013

A télécharger : 12 éléments de preuves sociales pour rassurer vos lecteurs

Si vous vous intéressez un peu au copywriting, alors vous savez que l'un des paragraphes capitaux d'une page de vente concerne la preuve sociale.

Oui, même si on vous a dit le contraire, une page de vente, c'est une succession de paragraphes qui devraient être placés dans un ordre précis.

Et parmi ces paragraphes se trouvent les preuves sociales. Vous savez… les témoignages clients, par exemple.

Hélas ! Beaucoup de gens s'arrêtent aux témoignages pour renforcer leur crédibilité, alors qu'il y a en bien plus à utiliser sur une page de vente.

Ça s'utilise partout !

Et en fait, quand vous voulez aller au restaurant, au ciné, dans un hôtel, un appartement ou même à un spectacle, les avis (leur nombre, surtout), les étoiles et les commentaires vous aident grandement à choisir.

C'est l'avantage de notre époque : Internet a rendu les avis clients accessibles à tout le monde, ce qui a permis d'éviter de nombreuses expériences désagréables à beaucoup de monde.

Si vous vendez des produits ou des prestations sur Internet, vous pouvez utiliser ce moyen pour gagner en crédibilité et ainsi augmenter vos ventes.

Je vous propose donc de découvrir 12 types de preuves sociales que vous allez pouvoir utiliser et rajouter sur votre page de vente :

Remplir sa page Facebook intelligemment

Il s'agit d'un guide en PDF que vous pouvez télécharger facilement en guise de cadeau de bienvenue dans la grande famille du Copywriting Pratique, et plus particulièrement dans celle de ce blog.

Indiquez juste votre prénom et l'adresse email à laquelle je peux vous envoyer votre accès à ce guide et à plein d'autres :

Votre mail est - enfin - ouvert ! Et c'est là que...

Cet article est la suite du thème des emails commencés mardi d’il y a deux semaines.

On a donc vu l’importance de soigner son champ “expéditeur” quand on envoie un mail, dans le but de se faire identifier instantanément, comme je l’expliquais ici et .

Aujourd’hui, nous allons voir la 3ème chose la plus importante à soigner dans un mail qu’on envoie : Son premier paragraphe.

mail-a-la-poubelle Votre mail finira-t-il à la poubelle ?

Dis-moi vite de quoi tu parles !

Quand on reçoit un mail, on suit un processus logique immuable :

La première chose qu’on regarde, c’est qui l’envoie (l’expéditeur).

Si on connait la personne, alors on regarde le sujet du mail. Et si celui-ci donne envie d’en savoir plus, alors on ouvre le mail.

On pourrait se dire alors que le plus gros est fait. Et pourtant, c’est loin d’être le cas.

Car une fois que votre destinataire a ouvert votre mail, l’objectif est qu’il le lise, et accessoirement qu’il clique sur un lien que vous aurez disposé là.

Et donc, lorsque le mail est ouvert, ce qui détermine la poursuite de la lecture, c’est le premier paragraphe.

En effet, les 2 ou 3 premières phrases qui composent votre message sont d’une importance capitale, car elles permettent au lecteur de décider en quelques secondes si ce dont vous allez parler dans ce fameux mail est digne d’intérêt pour lui.

En quelque sorte, si le sujet du mail est la personne qui vous donne vos billets d’avion au guichet d’embarquement, le premier paragraphe est le poste de contrôle de vos bagages : Être passé par le guichet ne vous dispense pas de faire attention à ce que vous avez sur vous.

C’est pareil avec l’email : Ce n’est pas parce que votre mail a été ouvert qu’il va forcément être lu et que la personne va cliquer sur votre lien.

On sous-estime vraiment l’importance du premier paragraphe d’un mail et également sa difficulté à le réaliser.

Voici donc quelques astuces de copywriter pour rendre votre premier paragraphe de mail attirant et intéressant.

L’importance du premier paragraphe

Avant toute chose, une précision : Il faut séparer deux types de mails.

Celui qui annonce de manière récurrente un nouvel article de votre blog, et celui que vous envoyez pour faire faire quelque chose à votre prospect ou membre.

Le premier n’a rien à véritablement prouver dans le corps du mail.

Si la personne qui reçoit vos articles de manière récurrente en a marre de vous ou de vos articles, alors elle se désabonne, et ne reçoit donc plus vos mails.

Dans ce style de message, seul le sujet du mail est véritablement important. Si le sujet donne envie, alors la personne ouvrira le mail.

Ce dont je vous parle ici, c’est du mail qui cherche à faire faire quelque chose à votre destinataire. Cliquer sur un lien, la plupart du temps.

Avec ce genre de mail, le premier paragraphe est crucial.

3 manières d’écrire un premier paragraphe efficace

Annonce / Résumé du mail

L’objectif ici est de faire une introduction qui annonce le contenu de ce que vous allez dire. C’est une sorte d’accroche “légère” qui présente votre prose et qui prolonge le sujet du mail.

Quelques exemples de démarrages possibles :

En résumé, tout ce qui introduit ce que vous allez dire, mais en plaçant l’action du côté de celui qui lit.

Avec ce style de démarrage, vous DEVEZ impliquer votre lecteur dans votre premier paragraphe en lui disant clairement ce que votre mail va lui apporter.

Table des matières dynamique

Cela veut dire que vous démarrez votre mail en disant un truc du genre : “Dans ce mail, vous allez découvrir :

Suivra alors plusieurs titres sur lesquels le lecteur pourra cliquer pour arriver directement au paragraphe correspondant dans le mail.

Cette entrée en matière est très puissante car elle permet de cumuler plusieurs bénéfices :

Ce n’est bien sûr pas possible à faire avec tous les mails, car cela suppose une hiérarchie de ce que vous y dites.

Idéal, donc, pour ce qu’on appelle des “publi-rédactions” où on informe le destinataire avec quelques bonnes astuces ou infos, avec un lien vers une page en ligne à la fin du paragraphe en question.

Cette manière de procéder ne peut fonctionner qu’avec un email envoyé en html.

Pour que ce soit puissant et efficace, vous devez :

Le plus important : Soignez vos titres !

Raconter une histoire

Une grande majorité de gens aime les histoires. Voilà pourquoi c’est toujours une bonne idée de démarrer un email avec une histoire forte.

Par contre souvenez-vous bien que les histoires les plus courtes sont les meilleures.

Ainsi, votre histoire ne doit-elle pas trainer en longueur, et pour le premier paragraphe (les 2 ou 3 premières lignes), vos phrases doivent être courtes, précises et dynamiques.

Voyez la différence entre :

En fin de journée, Anna s’avançait tranquillement dans la brume d’une rue calme et étroite, quand soudain, un inconnu jaillit devant elle.

et :

20:12. Anna marche dans la rue. Il fait sombre. Une brume épaisse rend l’endroit inquiétant. Soudain, un inconnu jaillit devant elle.

Plus votre histoire sera dynamique, et plus cela donnera envie à vos lecteurs d’aller plus loin.

En outre, rappelez-vous également que chaque histoire racontée doit être un préambule à ce que vous allez dire. Et chaque histoire doit avoir une morale. Ou alors être une métaphore pour présenter les arguments qui suivent.

En résumé, si l’histoire est bien amenée et bien trouvée, elle aide fortement pour l’entrée en matière, mais elle permet également au lecteur de mieux comprendre la suite du texte.

A vous de jouer

Vous le voyez, vous avez à votre disposition 3 manières de débuter le corps de votre email, afin que vos lecteurs ne ferme pas le mail au bout de quelques secondes.

Reprenez donc un à un tous vos mails, et voyez si leur premier paragraphe donne réellement envie de lire la suite.

Ha ! Et notez également ceci : Sur les messageries Gmail, on voit une cinquantaine de caractères du corps du message à l’écran, avant même de l’avoir ouvert.

D’où l’intérêt de soigner également votre toute première phrase !


19 NOVEMBRE 2013

Les 4 erreurs les plus communes qui font partir vos emails à la poubelle en 1 seconde chrono

Vous avez certainement déjà lu pas mal de fois que lorsque vous écrivez un email, vous deviez soigner en particulier votre sujet.

C’est vrai. Ecrire des sujets attractifs est l’une des choses les plus importantes à faire quand on écrit un mail. Mais c’est loin d’être la seule.

En fait, il y a 2 autres éléments que vous devez absolument soigner quand vous envoyez un mail.

Le tout premier, auquel on ne pense jamais, c’est le nom de l’expéditeur.

expediteur-mail

Peut-être que vous avez décidé, un jour, de créer votre nom d’expéditeur à la va-vite, pensant que ce n’était pas très important.

C’est une erreur. Cette partie se teste et se peaufine au même titre qu’un sujet de mail. Et même parfois plus.

Passons donc en revue pour commencer, les 4 erreurs les plus communes :

Erreur n°1 : Un prénom unique

A moins que vous vous appeliez Frodon, Roumpestilchen, ou Bernard-Marie-Clarence et que par conséquent vous ayez le seul prénom de ce style de l’Internet francophone qui envoie des mails à une liste, alors mettre votre seul prénom est risqué.

Pour plusieurs raisons :

Vous n’êtes pas seul

Déjà parce qu’il y a de fortes chances pour que plusieurs expéditeurs de plusieurs listes portent le même prénom que vous.

Ne croyez pas que vous êtes tout seul. Les gens reçoivent des dizaines (voire des centaines) de mails par jour, et un prénom unique donne rarement une info claire sur la nature de l’expéditeur.

Pour prendre un exemple, je suis abonné à 5 listes dont l’expéditeur s’appelle “Christian”. Pas facile d’identifier avec certitude qui m’écrit si je ne lis que ce prénom.

Gare aux spammeurs

Les spammeurs connaissent – et utilisent - les prénoms les plus courants.

C’est à dire ceux qui font ouvrir les mails parce qu’on connait tous au moins une personne qui le porte (Marie, Laura, Patricia, Christian, Stéphane, Olivier, Thomas…).

Un prénom connu donne envie d’ouvrir. Les spammeurs le savent. Ce qui fait que vos contacts reçoivent de plus en plus de mails provenant d’expéditeurs qui “semblent” être des amis. Dans le doute, ils ouvrent la première fois. Mais avec le temps, ce genre de mail part directement à la poubelle.

Vous n’êtes pas la priorité n°1 de vos contacts

Pour finir, à moins d’avoir martelé votre prénom partout sur votre site, et d’avoir axé votre communication spécifiquement dessus, dites-vous bien que ce dont les gens se rappellent en premier, c’est surtout le nom de votre site.

Par conséquent, un prénom unique peut très bien ne rien dire du tout à vos prospects, et ce même s’ils se sont inscrits chez vous en toute bonne foi.

Ils ne pensent pas à vous en permanence. Tout comme ils n’ont pas forcément retenu comment vous vous appeliez quand ils se sont inscrits.

Bref, la moindre des choses serait au moins de rajouter le nom de votre site ou de votre blog pour donner un peu plus d’infos à votre contact.

Erreur n°2 : Pas de prénom du tout

Peut-être que vous ne le savez pas encore, depuis le temps, mais tout ce qui éloigne un mail d’un humain est de plus en plus rédhibitoire quand on fait des affaires.

C’est le côté pervers de l’auto-répondeur : A force d’envoyer des mails et encore des mails à ne plus savoir qu’en faire, vos prospects ne sont plus dupes : Ils savent très bien que ce n’est plus un humain qui leur écrit mais un robot.

Ce qui veut dire, pour votre contact, qu’on ne lui écrit pas à LUI en particulier mais à des dizaines de milliers d’autres personnes. Ce qui n’est pas bien rassurant, car les gens n’ont jamais vraiment aimé être considérés comme des numéros.

Par conséquent tout ce qui permettra d’humaniser au maximum un email sera toujours ça de plus qui vous éloignera du robot.

Et ça commence donc par mettre votre prénom. Pas seulement lui (on vient de le voir), mais il faut qu’il y soit.

C’est encore VOUS qui envoyez vos mails. Ce n’est pas votre auto-répondeur. L’auto-répondeur est un outil à VOTRE service, qui fait l’intermédiaire technique entre vos prospects et vos clients et VOUS.

Donc la règle numéro 1 d’envoi de mail, c’est de mettre au minimum son prénom.

Sinon, non seulement votre taux d’ouverture va aller en s’amenuisant au fur et à mesure que vous allez envoyer des mails, mais en plus, les gens vont se désinscrire à vitesse grand V.

Erreur n°3 : Une accroche

C’est encore pire que l’erreur précédente.

Certains marketeurs croient qu’en mettant un truc du genre “Conseils en séduction” (ce qui est une accroche très nulle, en plus), ils vont “casser la baraque” des ouvertures.

C’est bien entendu le truc le plus idiot à faire, car on cumule les effets des deux premières erreurs :

Bref, c’est le truc le plus idiot à faire quand on envoie un mail.

Le champ expéditeur d’un mail est l’un des rares endroits sur un mail où vous DEVEZ parler de vous de la manière la plus explicite possible, afin que la personne qui reçoit le mail puisse vous identifier dans la seconde où elle le découvre.

Et une phrase du style '”Astuces de marketing”, ou “Trucs pour Aweber” ou “leçons de storytelling", ou quoi que ce soit d’autre du même style n’a absolument rien à faire TOUT SEUL dans un champ “expéditeur”.

Erreur n°4 : Un truc incompréhensible

C’est notamment le cas des acronymes, que la moitié des gens ne comprennent pas.

Ou encore des mots compliqués, que personne ne connait.

Ou pire encore, les initiales de votre site ou même de votre nom-prénom !

Imaginez si j’envoyais un mail avec comme nom d’expéditeur “YC de CP”. Risible, non ?

Parce que croire que mon expéditeur n’a que ça à faire que de passer une ou deux minutes à essayer de déchiffrer l’expéditeur d’un mail, c’est se regarder un peu trop le nombril.

Donc, bannissez une bonne fois pour toutes les acronymes et les initiales de tous vos documents.

Et plus particulièrement quand il s’agit d’un champ “expéditeur”.

Voilà.

A vous de jouer

Aujourd’hui, nous avons vu les erreurs les plus courantes.

Mardi prochain, je vous expliquerai comment vous devriez concevoir votre champ expéditeur à la manière d’un copywriter, afin qu’il booste le taux d’ouverture et le taux de lecture de vos mails.

Je vous donnerai également quelques astuces peu connues pour renforcer son impact auprès de vos destinataires et pour que votre mail sorte du lot.

D’ici là, si vous faites une ou plusieurs des erreurs énumérées dans cet article, vous pouvez corriger votre champ dès maintenant.


5 NOVEMBRE 2013

Et si vous augmentiez le taux de clic sur vos liens dans Twitter ?

Je ne vous apprends rien : Twitter est l'endroit le plus approprié pour partager des infos, mais aussi pour parler de vos articles de blog, et par conséquent, contribuer à faire connaître votre prose autour du monde.

Quand vous écrivez un tweet pour que vos suiveurs viennent lire votre article de blog (ou celui d'un autre), vous faites ce qu'on appelle un tweet de contenu.

C'est à dire que celui-ci se compose d'un texte (en général le titre de l'article) et d'un lien court vers votre blog (le contenu).

Dans cette discipline, il y a une difficulté majeure. Vous allez comprendre.

En effet, lorsqu'on écrit une info sur Twitter, c'est juste une info. L'objectif est qu'elle soit lue, et, à la rigueur, retweetée.

Mais lorsqu'on écrit un tweet de contenu, il y a une action supplémentaire à prévoir... Le clic sur le lien.

twitter-clic

Brian Clark, du blog Copyblogger, a constaté que la règle des 80/20 s'applique également à ça : 80% de gens lisent les tweets de contenu, mais seulement 20% cliquent sur le lien.

Calculer votre taux de clic sur Twitter

Dans l'absolu, il est impossible de savoir combien de personnes lisent vos tweets.

On pourrait partir sur le nombre de suiveurs que vous avez, mais si on prend mon exemple, je ne suis jamais sur twitter, et donc je ne suis pas vraiment ce qu'on pourrait appeler un vrai suiveur.

Donc forcément, les chiffres qui suivent seront forcément pessimistes, puisqu'on ne peut savoir combien lisent vos tweets. D'un autre côté, sont inclus dans les clics les différents retweets obtenus, donc ça compense.

Quoi qu'il en soit, vous pouvez déjà faire une moyenne de vos clics "bruts" mensuels pour vous donner une idée.

Pour ce faire, suivez ce plan en 4 étapes :

Voici par exemple mes chiffres pour le mois d'août 2011 :

Et pour le mois de septembre :

A vous de calculer le vôtre.

Comment améliorer le nombre de clics sur ses tweets de contenu

Votre objectif du jour va donc être de travailler un peu plus vos titres d'articles pour qu'ils soient adaptables sur Twitter, et que vos tweets arrivent à mener de plus en plus de gens chez vous.

Pour cela, voici quelques règles de copywriting :

1. Faites court et concis

Selon Julian Lewis Watkins et son étude sur les 100 meilleures publicités jamais écrites (livre en anglais), 95% des meilleures accroches ont un maximum de 8 mots.

Ca ne veut bien entendu pas dire que vos tweets doivent impérativement respecter cette règle, mais dans la mesure du possible, plus votre titre sera court et puissant, et plus vous devriez avoir de clics.

En plus, dans Twitter, il y a une limite imposée en nombre de caractères (140 maxi). Mais ne calculez pas trop vite.

Un tweet de contenu comporte un lien, qui prend environ 20 caractères, ce qui vous en laisse 120 pour le titre, mais il faut aussi prévoir que certains de vos suiveurs vont retweeter votre message.

Donc laissez l'équivalent du nombre de caractères de votre pseudo Twitter + 5 libres pour permettre le Retweet.

Par exemple, pour YvonCAVELIER, ça fera 12 + 5 = 17 caractères à laisser, car le retweet donnera ça : RT @YvonCAVELIER ou via @YvonCAVELIER

Je dispose donc de 140 – 20 – 17 = 103 caractères pour écrire mon titre, ce qui donne, pour des mots de 7 lettres en moyenne, un maximum de 14 mots.

A adapter bien sûr avec votre cas personnel, mais on peut partir sur un maximum de 105 caractères en moyenne pour votre titre.

2. Soyez utile pour vos lecteurs

Utile, ça veut dire que votre titre doit apporter quelque chose de concret et d'avantageux à votre lecteur.

Ici aussi, on parle d'avantages, et pas de caractéristiques.

Préférez donc toujours des titres qui promettent de grands moments une fois qu'on aura cliqué sur votre lien.

C'est ce que je m'efforce de faire avec mes titres d'articles. En rajoutant notamment le mot "Pour..." aussi souvent que je le peux.

Comme ça je réponds à la question implicite qui arrive à vos lecteurs quand ils voient votre titre : "Pourquoi j'irais lire ça ?". Pour...

Exemples :

3. Préférez une question

Quand on pose une question, on s'attend à une réponse. C'est naturel.

Le lien qui suit devient donc LA réponse à cette fameuse question, et cela favorise les clics.

Bien entendu, variez les plaisirs. Ne mettez pas QUE des questions.

Je vous rappelle quelques mots qui débutent les questions qui font cliquer ?

En voici quelques uns :

4. Essayez la flèche à la place des deux points

Vous avez le choix.

Faites des tests.

Une flèche, ça focalise l'attention.

Je visitais le blog de Maurane (la chanteuse), hier, elle utilise plein de caractères spéciaux dans ses tweets. Ca surprend, mais ça attire l'attention.

N'en abusez pas bien sûr, mais de temps en temps, pour vraiment attirer l'attention sur un article particulièrement important pour vous, utilisez-les.

Pour le faire, vous pouvez aller dans Word, ou dans OpenOffice, et faire "Insertion" + "Caractères spéciaux". Vous choisissez la flèche que vous voulez, et ça la colle dans votre document, vous n'avez plus ensuite qu'à copier et coller dans Twitter.

Vous pouvez aussi la copier à partir de cette page dans la liste ci-dessus.

A vous de jouer !

Je tiens à vous préciser une petite chose à mon sujet sur Twitter et consorts avant de conclure :

Twitter est un endroit où on discute, et où on échange de bonnes infos. Enfin, je crois que c'est surtout sa fonction première.

C'est une sorte de mini réseau social et à ce titre, je pense que le considérer UNIQUEMENT comme un endroit pour faire son auto-promotion est une erreur à terme.

Pour tout vous dire, je ne suis pas vraiment très au fait de ce qu'il faut faire ou ne pas faire dans ce contexte, d'un point de vue "diplomatique" en tout cas.

Et pour être parfaitement honnête avec vous, je me sers très rarement de cet outil pour communiquer avec mes "suiveurs" sur autre chose que sur les articles de mon blog. En cela, je reconnais que ça doit être une mauvaise stratégie puisque ça contredit ce que je disais plus haut.

Je le confesse, j'ai énormément de mal avec les réseaux sociaux. Totalement hermétique à Facebook, utilisateur plus que rare de Twitter, et même quand on m'ajoute à Google+, je ne sais pas vraiment quoi faire en retour pour être "correct".

J'en suis désolé. N'y voyez pas là un quelconque snobisme de ma part. Juste un manque de temps et d'intérêt.

Tout ça pour dire que cet article n'a pas pour vocation de vous encourager à ne faire QUE des tweets de contenu pour auto-promotionner votre blog. Pas du tout.

Il vous explique juste COMMENT vous devriez faire pour améliorer votre taux de clics sur vos liens QUAND vous faites un tweet de contenu.

J'imagine que plus vous aurez de tweets de qualité, plus votre communauté aura tendance à vous suivre plus facilement.

Et donc, au milieu de toutes les supers infos et discussions que vous pouvez avoir avec vos suiveurs, si vous trouvez des sites ou des infos sympas à leur transmettre, vous ferez alors un tweet de contenu.

Dans ce cas, et dans ce cas uniquement, alors utiliser les quelques conseils de cet article devrait vous permettre d'être plus efficace et d'améliorer à terme le taux de clic sur vos liens via Twitter.


15 OCTOBRE 2013

A télécharger : Stratégies pour remplir intelligemment sa page Facebook

Que vous ayez un blog, une page Facebook, un compte Instagram ou une chaîne Youtube, vous devriez faire attention à comment vous recrutez vos suiveurs et vos suiveuses (vos followers, quoi...).

Il vaut en effet mieux avoir 150 personnes à 100% engagées par ce que VOUS faites, par vos valeurs, plutôt que d'en avoir 1000 qui ne réagissent que lorsque vous les faites rire ou que vous leurs montrez votre ...

Bref, vous avez compris.

C'est pour cela qu'il faut éviter les erreurs de base qui sont encore commises de nos jours par les apprentis blogueurs, nouveaux entrepreneurs du web ou tout simplement par les personnes qui veulent ouvrir un groupe ou une page Facebook pro pour vendre leurs produits ou proposer leurs prestations.

Voici les 3 erreurs les plus fréquemment commises.

Attardez-vous particulièrement sur la 3ème erreur...

Si vous la faites, vous vous acheminez vers une hécatombe en 14 étapes qui réduira votre travail à néant, et vous poussera à tout recommencer dans quelques mois.

Autant démarrer sur de bonnes bases pour éviter ça, n'est-ce pas ?

Les 3 erreurs et les 14 étapes dont je parle ici sont dans un guide PDF réservé aux membres de Copywriting Pratique.

Remplir sa page Facebook intelligemment

Vous y trouverez également 4 manières intelligentes de remplir avec succès vos pages et groupes Facebook ou n'importe quel autre espace sur votre réseau social préféré avec des personnes qui seront enthousiasmées à l'idée d'acheter ce que vous leurs proposerez ensuite.

Remplissez le formulaire ci-dessous avec soin, et vous recevez ce guide par mail dans la minute, ainsi qu'un accès à toutes les autres ressources réservées aux membres :

Comment récupérer des centaines de ventes perdues chaque année...

Cet article est la suite de celui de mardi dernier, dans lequel nous avions vu les 3 premières règles à respecter pour éviter de perdre bêtement des commandes, alors que votre client veut acheter.

Je vous les rappelle brièvement :

Aujourd'hui, nous allons voir les 4 dernières règles à suivre :

recuperer-ventes 35 + 40 = 75% de ventes récupérées !!

Règle n°4 : Vérifier ses stats chaque semaine

Une fois que vous avez fait votre lettre de vente, que vous l'avez testée, et que vous avez mis en place un système de trafic récurrent sur votre page de vente, alors vous avez un taux de transformation précis.

Vous faites 2, 5 ou 10 ventes sur 100 visiteurs, mais vous avez un taux qui est plus ou moins linéaire dans le temps, en tout cas par période.

Normalement, si vous suivez bien la règle n°3, alors chaque transaction qui arrive est vérifiée par vous manuellement s'il manque l'un des 3 mails prévus.

Mais... l'expérience montre qu'on a beaucoup de travail quand on fait ce métier, et lorsque le nombre de produits augmente, ça devient de plus en plus compliqué et dur de trouver du temps.

Voilà pourquoi la règle de "secours", c'est celle là : Vérifiez vos stats de vente chaque semaine pour chacun de vos produits.

Voici comment procéder :

Faites-vous un tableau sur Excel ou sur Open Office (par exemple), dans lequel vous indiquez le nom de votre produit et le taux de transformation moyen par semaine, constaté lorsque tout fonctionne.

Chaque semaine, reprenez vos comptes Analytics, et indiquez le nombre de visiteurs uniques qui ont vu votre page du lundi au dimanche. En face, mettez le nombre de ventes réalisées. Calculez votre taux de transformation en divisant le nombre de ventes par le nombre de visiteurs et en multipliant par 100.

Puis indiquez-le taux obtenu dans une troisième case.

S'il y a un problème avec vos transactions, vous le verrez tout de suite car votre taux sera inférieur à votre taux de référence.

C'est le meilleur moyen de détecter "à la louche" un problème de transaction.

Règle n°5 : Tester à nouveau tout le processus une fois par mois

Ca peut paraitre fastidieux. Mais c'est nécessaire, car figurez-vous que vos organismes de paiement changent. Evoluent. Et vous, vous restez à la technologie d'avant.

Pourquoi ? Toujours pareil : Par fainéantise.

En effet, bien souvent, les banques (Paypal inclus) vous préviennent des changements majeurs qui arrivent sur leur site. Par contre, ils ne vous préviennent pas du tout des changements qui leur semblent insignifiants.

Et c'est comme ça que certains scripts ne fonctionnent plus, ou alors de manière beaucoup plus hypothétique.

Voilà pourquoi, en testant une fois par mois le processus complet de l'achat de votre produit, vous êtes sûr et certain que tout continue de fonctionner pour vous.

Et vous le verrez, le deuxième effet de cette règle, c'est qu'avec le recul, vous vous rendrez compte de certaines choses à améliorer dans vos textes.

C'est comme ça que je me suis aperçu (il y a maintenant bien longtemps) qu'il manquait quelque chose d'important dans mon processus.

J'en ai donc fait une règle à part entière :

Règle n°6 : Proposer un paiement alternatif à la CB (chèque ou mandat)

Selon la FEVAD, encore 20% des gens payent par chèque ou mandat sur Internet. Selon mes propres stats dans mes différentes niches, on tourne à près de 24% chez moi.

Donc, outre le fait que proposer un paiement par chèque ou mandat vous fait gagner près de 20% de ventes en plus (ce qui, par extension, vous en fait perdre autant si vous ne le proposez pas sur votre site) cela vous permet aussi de diriger les gens qui n'arrivent pas à payer par CB vers un autre moyen de paiement plus facile.

Une fois qu'ils ont essayé plusieurs fois et que ça ne fonctionne pas, s'il y a une alternative de règlement par chèque ou mandat, les plus motivés de vos clients passeront par ce moyen.

Donc, installez au plus vite ce système de paiement alternatif qui a une particularité géniale : Il ne bugge jamais ! et surtout, il convient à TOUT LE MONDE ! Sans exception. Notamment grâce aux mandats postaux.

Règle n°7 : Proposer au client de passer par Paypal pour régler en CB à la place de la banque

Cette règle-ci ne date pas de longtemps. Je l'ai mise en place à Noël dernier, excédé de voir le nombre de transactions qui échouaient à cause du 3DSecure et de MA banque en particulier.

J'ai mis du temps à la trouver, car en ce qui me concerne, je fais partie des premiers éditeurs sur Internet à avoir installé un système de paiement à distance avec ma banque (la Caisse d'Epargne).

Donc pour moi, Paypal n'était qu'une alternative de secours, mais qui imposait, à l'époque, d'avoir un compte Paypal pour pouvoir régler.

Mais les choses ont changé.

Maintenant, Paypal vous permet de payer directement avec votre CB, même sans avoir de compte. Ce qui fait qu'ils sont devenus un vrai terminal de paiement.

Donc depuis peu, je reprends systématiquement tous les paiements refusés par ma banque, et j'envoie un mail aux clients en leur disant qu'ils peuvent tenter de régler par CB en passant par Paypal, avec un lien direct email (reprenez la vidéo qui vous explique comment créer un lien de paiement Paypal par mail).

Résultat ? 40% des gens que je contacte comme ça repassent commande !

Quand je pense à tout l'argent que j'ai perdu les années précédentes, j'enrage un peu quand même.

Quoi qu'il en soit, vous, vous voici prévenu.

A vous de jouer !

Vous avez maintenant les 7 règles à suivre pour éviter de perdre bêtement jusqu'à 15% de vos clients (+ les 20% qui payent par chèque et mandat) pour une erreur de transaction qui n'est pas de votre fait.

Donc, je vous engage fortement à garder ces règles dans un coin, et à vérifier et appliquer chacune d'elle si vous vendez un produit.

Après tout, 35% de vente en plus, ça ne se refuse pas, n'est-ce pas ?

Si vous avez besoin de précisions, n'hésitez pas.

D'un point de vue technique, je ferai une vidéo qui vous montrera la mise en place d'un bon de commande et la liaison de tous les éléments d'une vente et d'une livraison.


8 OCTOBRE 2013

3 règles à suivre pour arrêter de perdre bêtement des ventes sur Internet

Comme je vous le disais mardi dernier, près de 15% de vos transactions sur Internet échouent à cause du service de paiement que vous utilisez, ou de la banque du client.

Je ne sais pas si vous mesurez bien le tragique de la situation...

Vous avez un produit, un prix, et en face, vous avez une personne qui a assez d'argent pour l'acheter et qui le veut absolument !

Et ça ne marche pas : Il ne peut tout simplement pas l'acheter !

Avouez que c'est rageant !

colere-paiement

J'ai donc mis au point, avec l'expérience, 7 règles à respecter pour réduire (voire même faire disparaitre) ce nombre de clients perdus bêtement.

Voici les 3 premières :

Règle n°1 : Le premier test du départ

C'est bien entendu le conseil à suivre en premier : Tester son processus de vente dans son ensemble au tout début.

Ca veut dire :

C'est le minimum.

Et vous devriez le faire 3 fois avec 3 personnes différentes.

Prévoyez 2 amis en plus de vous, et demandez-leur de tester le processus d'un bout à l'autre. Tout doit se passer comme sur des roulettes pour les 3 testeurs.

N'oubliez bien évidemment pas de les rembourser une fois le test fini !

Règle n°2 : Mettre en place une vérification de saisie de l'email du client

Ca c'est le truc tout bête.

Un client met une adresse email, et il se trompe. Il oublie l'@ ou met un point de trop, met .fr à la place de .com ou de .net... bref, il se trompe d'email.

Le souci, c'est que certains systèmes de paiement se réfèrent à ce critère unique pour classer leurs transactions. C'est notamment le cas de la Caisse d'Epargne (je ne connais pas les autres banques, mais croyez bien qu'il y en a d'autres).

Donc si l'adresse a été mal remplie, aucun moyen de communiquer avec le client. Il ne reçoit pas de confirmation et dans certains cas, la banque marque cette transaction comme échouée, car elle reçoit comme retour un avis de "Undelivered Mail".

Impossible pour le client de recevoir sa marchandise, impossible pour vous de le joindre pour lui demander une bonne adresse (!), et la banque vous envoie... rien du tout.

Bref, vérifiez l'adresse email de votre client avec un script de saisie, pour vérifier qu'il y a bien l'@ et le point (c'est le minimum).

Règle n°3 : Se faire notifier du paiement, de la transaction et de la livraison.

Vous avez certainement déjà lu des phrases de ce type : "Mettez votre business sur pilote automatique sans jamais y toucher, en ne faisant rien d'autre que d'encaisser votre argent, même quand vous dormez..."

Voici un scoop : N'en croyez rien !

Le pilote automatique n'est PAS du tout au point de nos jours.

Si vous ne vérifiez pas régulièrement vos transactions, vous perdez des milliers d'euros chaque année, et risquez de très gros ennuis avec vos clients et votre réputation.

Et là, on dépasse le stade de l'échec de la transaction. On parle de livraison d'un produit commandé.

Vous, si vous ne recevez pas votre produit commandé de suite, qu'est-ce que vous faites ? Vous attendez généralement une heure ou deux (parfois moins), puis vous contactez le vendeur. Et il vous livre.

Mais certains sont moins patients... Ils veulent tout tout de suite, et ils n'hésitent pas à crier à l'arnaque sur Twitter, Facebook, les forums, les blogs... Bref...

Epargnez-vous du stress, des avocats et des intimidations :

Faites vous notifier des transactions, des paiements et de la livraison de votre produit. Les TROIS.

Après chaque vente, vous devez recevoir TROIS mails :

Si vous n'en recevez qu'un seul ou deux, il y a eu un souci, et vous devez intervenir manuellement.

Personnellement, à chaque fois que je fais une vente, j'ouvre les mails de notification pour vérifier que tout s'est bien passé. Ca me permet de savoir qui a commandé, et si tout s'est bien passé.

Je prends toujours 15 à 20 mn par jour pour le faire. Ca me permet de découvrir parfois des soucis, soit de mails, soit de transferts.

Pour le mail qui informe de la livraison, une fois que les gens ont acheté, ils sont redirigés vers une page qui les inscrit d'office sur une liste de livraison (récupération des éléments via Paypal ou la banque : Ils n'ont pas à remplir de formulaire !).

Déjà, juste avec cette 3ème règle, on peut réagir à toute transaction qui n'a pas été finalisée.

Rappel du processus effectué par le client :

C'est simple, c'est direct, et ça permet de suivre un à un tous les abandons de panier.

Rendez-vous mardi prochain pour la suite de ces règles.

D'ici là, si vous avez besoin de précisions sur les 3 premières, n'hésitez pas :)


1 OCTOBRE 2013

Et à vous, ça vous viendrait à l'idée de faire un truc pareil ?

Il y a quelques jours, il est tombé chez moi en une journée l'équivalent d'une semaine de pluie habituellement.

Des cordes !

Des grosses gouttes bien dodues, du genre de celles qui vous trempent jusqu'aux os même avec un parapluie tellement elles sont lourdes et rebondissent sur le sol quand elles le touchent.

pluie

J'en étais donc là, en train de contempler ce spectacle par la fenêtre, tout en me disant que ce serait une belle aubaine pour le jardin, quand soudain, j'aperçois mon voisin qui s'avance sous la pluie battante, attifé d'un K-Way dernier cri, couleur bleu délavé façon génération 70.

Une curieuse façon d'occuper son temps libre...

Je le vois rentrer dans son jardin, et commencer à arracher les grosses herbes bien hautes qui envahissent l'endroit. Il ne s'en occupe pas trop d'habitude (oui en fait ce n'est pas un jardin, c'est plus une parcelle en vrac), et je suis carrément étonné de le voir en train de faire ce truc sous la pluie battante !

Je décide de lui faire part de mon étonnement par la fenêtre à l'aide d'un "Et bien alors, tu n'as pas trouver meilleure occupation que de désherber sous la pluie ?" un peu hilare.

Il me répond un truc du genre "Ben oui, c'est plus facile à arracher les herbes quand il pleut !!".

J'ai laissé tomber...

La bonne et la mauvaise façon de procéder

En fait, il est bien plus facile de désherber APRES qu'il ait plu !

Quand il pleut, il y a des flaques, ça glisse, il y a de la boue partout, et surtout, l'eau n'a pas encore pénétré dans la terre qui n'est mouillée qu'en surface.

En gros, c'est la galère, et la seule chose qu'on arrive à enlever en faisant ça, ce sont les petites herbes qui n'ont pas de grandes racines.

Pour désherber son jardin (surtout quand les herbes font 50 cm de haut), l'idéal est de le faire le lendemain : La terre est profondément humide, et ça sort tout seul.

Sans parler du fait que le lendemain, on n'est pas obligé de sortir en K-Way et de batailler avec la pluie !

Le rapport avec l'élaboration d'une lettre de vente.

Beaucoup pensent qu'il faut s'attaquer tout de suite à l'écriture de leur lettre.

Parce qu'ils sont inspirés, parce qu'ils pensent qu'ils ont une bonne idée de ce qu'ils veulent dire, parce qu'ils croient que leur expérience et leur connaissance personnelle suffira à trouver ce qui fera acheter les gens.

Ils se précipitent donc pour "arracher" les idées de leur cerveau, et pour les poser sur le papier le plus vite possible en négligeant toute la phase de recherche.

Seulement, procéder comme ça, ce n'est pas la bonne façon de faire.

En procédant de la sorte, le "sol" est encore trop dur. Le cerveau ne s'est pas encore mis en branle et n'a pas encore "assoupli" le terrain de l'inspiration.

Il s'ensuit que les idées qui sortent ne sont que les idées qui se trouvent à la surface. Avec de petites racines.

Les bonnes grosses idées –celles qui font vendre- celles-là, impossible de les extraire à froid.

Il s'ensuit des lettres médiocres, qui ne font qu'effleurer la surface de ce qu'il faut dire. Des lettres qui ne font pas réagir les gens, et qui ne font bien évidemment pas acheter beaucoup de monde.

Voici plutôt comment il vaut mieux procéder :

Soignez la recherche

AVANT de commencer à écrire une seule ligne de votre lettre, vous allez devoir trouver et rassembler un maximum d'idées.

Et pour cela, il faut prévoir du temps.

Vous devez poser des questions à votre cerveau, et c'est ensuite votre inconscient qui fera le reste. Mais vous devez lui laisser un peu de temps. Le temps pour lui d'aller fouiner dans tous les recoins dont il dispose pour pouvoir vous sortir les bonnes idées qui feront de votre lettre de vente une lettre qui vend.

Et pour l'aider, vous allez devoir faire quelques recherches à propos du produit dont vous faites la promo.

Rechercher d'autres produits identiques, d'autres sites qui parlent de votre sujet, d'autres pages de ventes, des forums ou des blogs où on en parle...

C'est la profusion d'informations sur le sujet du produit que vous vendez qui fera que votre lettre de vente sera parfaite.

Pas forcément longue. Juste.

Parce que les choses changent et évoluent à une vitesse considérable de nos jours. Et ce qui était intéressant il y a 10 ans est totalement "has been" aujourd'hui.

C'est par exemple le cas des clichés du genre "le temps c'est de l'argent" ou "le travail c'est la santé".

Combien de fois voit-on encore ces bons vieux dictons centenaires qui ne servent à rien du tout sur une page de vente (ou même dans un article de blog !) ? Bien trop souvent !

Quand on n'a pas renouvelé les infos qu'on donne à notre inconscient, ou qu'on ne lui a pas laissé le temps de les digérer, alors primo on va avoir du mal à écrire, et secundo ce que l'on va écrire sera bien trop superficiel.

A vous de jouer !

Si vous avez à écrire un mail ou une page de vente, prenez du temps pour réfléchir.

Ne partez pas de but en blanc à écrire tout ce qui vous passe par la tête.

Une lettre de vente, ce n'est pas un article de blog : Ca ne fonctionne pas à l'inspiration.

Au contraire, plus vous aurez abordé votre lettre de manière réfléchie, et mieux elle sera à la fin.

Passez au moins 3 jours pleins à faire des recherches et à fréquenter les endroits où l'on parle de votre produit. Vous devez vous imprégner du langage employé, des problèmes de vos clients, de ce qu'ils recherchent...

Cherchez des histoires et des témoignages sur votre thème et sur des produits similaires.

Dès que vous trouvez des questions, notez-les dans un coin. Vous pourrez faire un produit complet avec les réponses à ces questions, et vous en servir de cadeau à donner avec votre produit...

Bref, passez du temps à préparer le terrain. Ce sera ensuite bien plus facile d'écrire votre lettre.

On sous-estime le travail de préparation quand on écrit une page de vente. C'est pourtant la seule manière de faire quelque chose d'efficace.


3 SEPTEMBRE 2013

Accédez à des outils exclusifs pour copywriters

Tous les membres de Copywriting Pratique ont accès à 6 outils pratiques en ligne dont :

Ces outils sont accessibles gratuitement pour tous les membres.

Intéressé.e ? Remplissez simplement le formulaire ci-dessous, et recevez votre accès à tous les outils disponibles :

7 astuces pour monétiser son blog

Ceci est un article invité écrit par Marie BARROU, qui propose du référencement et de l’analytique tout en étant spécialisée dans les plateformes e-commerce. Elle s’occupe actuellement de construire des partenariats avec les principaux acteurs du web et les plus influents.

Selon une étude menée par le site conseil-marketing.com, près de 50% des bloggeurs parviennent à gagner de l’argent grâce à leurs blogs.

Ce n’est pas seulement réservé aux entreprises. N’importe quelle personne possédant un blog peut le monétiser.

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Si cela vous semble impossible, laissez-moi vous donner quelques outils et astuces qui vous permettront de monétiser votre blog :

1. AdSense

Adsense reste le moyen le plus prisé par les bloggeurs et la régie leader de la publicité contextuelle.Il est utilisé par 49% des blogs ayant plus de 500 visiteurs par jour en France.

Son principal avantage reste son utilisation facile qui ne requiert pas d’avoir des connaissances très approfondies en informatique.

Ainsi, pour pouvoir l’utiliser, il suffit de posséder un compte Adsense et de choisir le format de bannières que vous souhaitez afficher sur votre blog. Le tout est bien entendu vérifié par Google avant la diffusion. De plus, Adsense possède un réseau publicitaire très large.

Les + : Prise en main très facile, mise en place de publicités simples, très large choix des formats de publicité, paiement sécurisé, site d’administration bien fait.

Les - :Il faut organiser votre site de manière à pouvoir « recevoir » de la publicité. De plus, certains internautes peuvent se sentir agressés par les bannières présentes sur votre site si vous ne les contrôlez pas.

2. Programmes d’affiliation

Le 2ème moyen le plus utilisé par les bloggeurs en France reste les programmes d’affiliation.

Il s’agit de promouvoir des produits d’un e-marchand sur votre blog. Vous y placez un lien avec un code de suivi et pour tout client qui arrive sur le site e-marchand avec votre lien, une commission vous est reversée.

Par exemple, la version anglais de la plateforme Shopify propose de gagner de l’argent en postant simplement un lien via votre blog ou encore votre compte Facebook.

Un des programmes d’affiliation les plus connus reste Amazon. Ce programme vous permet de gagner « jusqu’à 10% de commission pour tout achat sur Amazon après un clic sur l’un de vos liens ».

Bien sûr, vous l’aurez deviné, l’affiliation fonctionne mieux quand le blog a beaucoup de trafic, ou qu’il a des visiteurs ciblés.

Les + : plusieurs options pour promouvoir les produits, recherche de produits facile sur le site, grand nombre de sites proposant de faire de l’affiliation.

Les – : certains programmes affiliés répondent à critères très spécifiques et il est parfois compliqué de réussir à remplir toutes les exigences de sites commerçants avant de pouvoir mettre le lien d’affiliation sur le site.

3. Vente d’espaces publicitaires

La vente d’espaces publicitaires représente un des moyens qui vous permettront de gagner le plus d’argent, mais c’est aussi une méthode surtout utilisée par les blogs ou les sites avec beaucoup de trafic qui pourraient attirer les annonceurs.

Il est aussi possible de vendre des espaces publicitaires dans votre newsletter, à vous de faire preuve de créativité pour attirer l’attention des annonceurs.

Les + : Génère plus d’argent, rémunération assez fixe.

Les - : difficulté de démarcher les annonceurs

4. Offrir des exclusivités

Pour offrir des exclusivités sur votre blog, vous pouvez tout simplement vous baser sur les modèles des journaux en ligne comme Lemonde.fr.

Ces sites offrent aux lecteurs un contenu accessible à tous, et un programme « premium » accessible seulement aux abonnés. Ce moyen est parfait pour les bloggeurs qui estiment avoir un nombre important de lecteurs fidèles.

Les + : Peut générer beaucoup d’argent.

Les - : La rémunération dépend du nombre d’ « abonnés », risque de perdre des lecteurs, votre blog doit avoir un nombre important de lecteurs pour que cette méthode soit efficace.

5. Créer et vendre des e-books

Cela rejoint un peu le point précédent, et consiste à vendre des E-books à vos lecteurs sur votre blog.

Pour que cela soit vraiment efficace, il faut proposer un contenu exclusif, que vous n’avez jamais publié sur votre blog auparavant.

Les + /Les - : semblables à ceux du point précédent.

6. Location de leads

Vous avez sans doute déjà vu ça sur de nombreux sites, mais vous n’avez jamais pensé à l’utiliser sur votre blog. Et pourtant, c’est possible.

Si votre blog possède une newsletter, vous pouvez proposer une location de leads. Cela consiste à proposer aux internautes de s’inscrire à votre newsletter et de cocher une case « J’accepte de recevoir les offres des partenaires de votre site ».

Si l’internaute coche la case, vous louez alors son adresse e-mail à des sites web en direct ou à des agences de marketing.

Les + : un des moyens les plus sûrs de gagner beaucoup d’argent,

Les – : rémunération instable, dépend du nombre de personnes qui acceptent la condition.

7. Organisation de Webinar Live

Quelque soit le thème de votre blog (cuisine, …), vous pouvez proposer des conférences ou des formations vidéo en direct via votre blog.

Cela vous donne la possibilité d’entrer en contact directement avec les personnes qui visitent votre blog et de fournir un contenu exclusif.

Les + : proximité avec les internautes, fidélisation des internautes.

Les - : avoir un nombre suffisant de lecteurs fidèles pour que cela soit bénéfique pour vous.

Comme vous pouvez le constater, les méthodes pour monétiser votre blog ne manquent pas.

Mais n’oubliez pas, ce qui peut vraiment faire la différence entre votre blog et un autre c’est vraiment son originalité et la pertinence de ses sujets.


17 AOÛT 2013

3 bonnes raisons de faire du BUZZ dans les médias avec votre blog

Ceci est un article invité, rédigé par Jérémy, qui donne des conseils pratiques pour décrocher des articles et des interviews dans les médias sur son site Séduire la Presse.

Vous venez de lancer votre blog et vous vous demandez bien comment attirer des visiteurs sur vos premiers articles ?

Vous êtes un blogueur confirmé, et vous voulez passer à la vitesse supérieure en vendant vos produits numériques ?

Vous vous dites que la seule solution, c'est de bosser votre référencement, encore et encore, quitte à y passer des nuits blanches ?

En fait, il existe une solution plus simple que ça.

Il s'agit de contacter les journalistes, et de leur demander de parler de vous.

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Pourquoi ?

1. Pour faire EXPLOSER votre trafic

D'abord parce que les journalistes ont une audience absolument énorme.

Imaginez... En obtenant ne serait-ce qu'une mention de 3 lignes dans Le Monde, Le Point ou même dans votre journal local (Sud-Ouest, Ouest-France, etc), le nombre HALLUCINANT de nouveaux visiteurs que vous allez acquérir ! Cela se compte par milliers, au minimum !

Et si c'est M6, TF1 ou France Télé qui parle de vous, alors préparez-vous à faire face à un véritable ras-de-marée sur votre blog !

Exemple : vous êtes musicien, et vous bloguez sur la guitare.

Vous avez sorti votre propre méthode pour apprendre à vos lecteurs "comment jouer du heavy metal".

Pour exploser votre trafic, soit vous allez passer des heures à commenter les sites qui parlent de Heavy metal en espérant grappiller 3 visiteurs par-ci par-là, soit vous envoyez un communiqué de presse à la presse spécialisée pour leur proposer de faire un article sur votre méthode.

Et là, ce n'est pas 3 visiteurs que vous allez gagner, mais 300, 3000 ou même 30 000 en fonction de l'audience du magazine.

Je prends un exemple volontairement "extrême" sur une niche que j'imagine minuscule, pour vous montrer à quel point l'utilisation des médias peut être puissante pour faire exploser votre trafic, et donc vos ventes.

2. Pour qualifier VRAIMENT les visiteurs de votre blog

Si vous suivez le blog d'Yvon depuis un moment, vous savez qu'il est important non pas de simplement obtenir des nouveaux visiteurs, mais surtout de faire en sorte que ce soit des visiteurs QUALIFIES.

Autrement dit, des gens qui soient réellement intéressés par ce que vous proposez, et qui vont effectuer des actions pertinentes pour vous (s'inscrire à votre newsletter, acheter vos produits, ou au pire "liker" votre page sur les réseaux sociaux).

En obtenant un passage dans la presse, vous faites une sélection naturelle de vos visiteurs : ceux qui seront VRAIMENT intéressés par le sujet de votre blog feront l'effort d'allumer l'ordinateur et de rentrer votre URL dans leur Firefox.

Comparativement, une mention sur un site web quelconque -même à fort trafic- va vous ramener une quantité de visiteurs non-qualifiés : des curieux, des gens qui auront cliqué là par erreur, etc.

Reprenons notre exemple du blogueur qui vend sa méthode de guitare.

En obtenant un article dans le journal régional, ce sont les VRAIS passionnés de guitare qui se rendront sur son site pour voir ses conseils et tester sa méthode.

Pas les simples curieux (eux ils auront oublié le nom de votre site avant même d'avoir refermé le journal).

3. Pour profiter de la crédibilité du média :

A qui faites-vous le plus confiance ?

A Jean Dupont, blogueur inconnu, qui totalise fièrement 50 fans (Twitter et Facebook cumulés), ou à L'Express, France 3 ou W9, qui existent depuis des années et dont les fans se comptent par dizaines de milliers ?

Imaginez que vous ayez mal aux pieds. Et que W9 vous dise : pour ton mal de pieds, je te recommande la Crème Machintruk. Certes, la marque est totalement inconnue. Mais c'est W9 qui vous la recommande.

En revanche, vous avez mal aux pieds. Vous tombez sur le site de Jean Dupont et ses 50 visiteurs par jour. Il vous recommande la marque Bidulechouette. Inconnue au bataillon également.

A votre avis, quelle marque allez-vous commander ? Je ne vous ferai pas l'affront de donner une réponse.

Le principe est simple : en mentionnant votre nom, le média procède à un transfert de crédibilité. En clair, c'est comme s'il vous recommandait auprès de son audience.

Et derrière, je vous garantis que vos ventes vont exploser. Parce que les gens diront "oh mais c'est le site dont j'ai entendu parler à la télé".

Maintenant, vous savez ce qu'il vous reste à faire : rédigez un communiqué de presse (un vrai, pas le texte bidon pour le référencement), contactez les journalistes, et faites EXPLOSER vos stats !

Pour aller plus loin...

Merci à Jérémy pour cet article complet.

Et si vous voulez avoir plus d’infos sur les bonnes manière de réaliser de bons communiqués de presse, alors rendez-vous sur son blog, et notamment dans la catégorie “Communiqués de presse”.

Vous y découvrirez notamment :

Et 9 autres articles qui vous donnent de bons conseils pour réaliser de meilleurs communiqués de presse.


3 AOÛT 2013

Si l'envie vous prenait de monétiser votre blog avec Amazon...

Suite à mon article de mardi dernier, où je parlais de page de vente personnalisée, est venu sur le tapis la question de la librairie Amazon.

Cet article vous explique à quoi sert vraiment cette fameuse boutique.

Et je suis bien persuadé que vous êtes bien loin de vous attendre à ce que je vais vous dire.

amazon-app-logo1

Expérience...

Je ne sais pas si vous avez une librairie Amazon. Je ne sais pas non plus si vous vous êtes inscrit sur leur site pour être partenaire (donc avoir la possibilité de vendre leurs livres).

Ce que je sais, c’est que moi, je suis partenaire d’Amazon.

Je sais aussi que j’ai fait une expérience pratique pour voir ce qu’on avait vraiment la possibilité de gagner avec cette plateforme.

Je me suis donc inscrit en tant que “partenaire”, via cette page. Les explications sont très détaillées, pas besoin d’en dire plus.

Pour tester la rentabilité de ce système, j’ai écrit un article très détaillé sur l’un de mes livres fétiches :

Le petit livre rouge de la Vente de Jeffrey GITOMER

Prenez le temps d’aller lire cet article. Comprenez qu’il s’agit presque d’une lettre de vente en règle, et que j’y ai mis toute mon expérience de copywriter.

En guise de bouton d’action, j’ai glissé quelques liens vers ma boutique Amazon (pour que les lecteurs qui le veulent puissent acheter le livre).

Et j’ai observé les résultats.

Les voici :

resultats-ventes-amazon

La période affichée est celle comprise entre le 14 octobre 2011 (date de parution de l’article) et aujourd’hui. Soit la bagatelle de 642 jours.

Comme vous pouvez le constater, j’ai passé environ 3 heures pour écrire un article sacrément détaillé, avec en plus une adaptation pour le blogging.

Résultat des courses, j’ai gagné la somme pharaonique de 10,76 euros.

Bref, vous l’aurez compris, si vous comptez ouvrir une boutique Amazon, ne vous attendez pas à pouvoir vous payer des vacances aux Caraïbes... Ni même un hébergement annuel pour votre site web.

Analyse

Point n’est besoin d’être fort en math pour calculer la rentabilité d’un tel système : Elle est nulle !

11 euros gagnés pour 3 heures de “travail”, c’est de l’exploitation intégrale.

Mais surtout, ce qu’il faut retenir, c’est que mes clients, je veux dire ceux qui ont effectivement acheté ce livre grâce à mon article, ont eu à débourser pas loin de 215 euros pour que moi, je puisse en toucher 11...

Avouez que c’est aussi rageant qu’inutile.

En effet, combien de livres à 2 euros devez-vous vendre pour arriver à un résultat pareil ?

La réponse est 6. Et si vous voulez gagner 10 fois plus que ça, alors il vous faut en vendre 60.

Alors... A votre avis... Pensez-vous être capable de vendre un livre à 2 euros à vos membres ?

Vu le prix, c’est une bagatelle.

Voyons ça :

Comment mieux monétiser son blog

Dans toutes les formations sur le blogging, je lis qu’Amazon est une solution comme une autre pour monétiser un blog.

Ai-je le droit de rire à cette affirmation ?

Ecoutez. Si le deal, c’est de gagner 15 euros par mois, alors je vous propose quelque chose d’au moins 10 fois plus rentable :

Ca fonctionnera bien mieux si vous procédez comme ça.

D’autant que là, vous en vendrez 10, voire 50 fois plus… Parce que les gens ne rechignent pas à “lâcher 2 €”.

Sans compter qu’en procédant de la sorte, vous aurez alors une belle base d’ACHETEURS (et pas de curieux).

Et comme tout le monde sait qu’on vend 5 fois plus à une personne qui nous a déjà acheté quelque chose qu’à quelqu’un qui ne nous connait pas, vous aurez les coudées franches par la suite pour proposer des produits en affiliation.

Bref… Vous l’aurez compris : Plutôt que de vous encombrer la vie à créer des articles pour vendre des livres à 15 euros qui ne sont même pas de votre cru, dépensez plutôt votre énergie à écrire des articles pour vous, et à créer un livre, VOTRE livre, que vous pourrez vendre facilement et éternellement.

Vous commencez quand ? :hin:


1 AOÛT 2013

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