Copywriting Pratique

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Commenter pour se faire connaître : les 4 principes à suivre pour que ça fonctionne

Quand j’ai démarré ce blog en avril 2011, je me suis lancé un défi : Le faire connaître en partant de zéro.

J’ai donc décidé de ne pas prévenir les personnes que j’avais déjà sur mes listes, et de me lancer dans la recherche de trafic en utilisant les mêmes armes que n’importe quel blogueur qui débute.

L’une des manières qui m’a apporté le plus de visiteurs ciblés a toujours été le commentaire laissé sur quelques blogs bien choisis.

Et c’est véritablement ce que je conseille de faire à tout blogueur débutant qui cherche ses premiers visiteurs : Commenter utile, mais surtout, commenter au bon endroit.

people with speech bubbles

J’en ai déjà parlé dans différents articles ici, mais quand je vois certaines pratiques de blogueurs qui cherchent manifestement à faire du commentaire “trafic”, je me sens en quelque sorte obligé d’écrire cet article – et le suivant - pour lister ce qu’il faut et ce qu’il ne faut pas faire dans cette discipline.

Devant la liste importante de ce que j’ai à vous dire sur ce sujet, je le traiterai en deux articles.

1. Identifiez-vous correctement

Quand on commente sur un blog pour se faire connaître, le but, c’est d’indiquer à ceux qui vous lisent QUI vous êtes et D’OÙ vous venez.

Voilà pourquoi moi, quand je vais commenter sur un blog qui ne me connait pas, je mets toujours Yvon de Copywriting Pratique. Ou alors Yvon

Copywriting Pratique.

Je vous engage fortement à faire pareil.

Si vous vous appelez Julien ou Michel ou Stéphane ou David ou un prénom très courant du même style, dites-vous bien que vous aurez – au bas mot – au moins 10 personnes qui commenteront avec le même prénom que vous.

Ca ne PEUT donc PAS être suffisant pour marquer les esprits. Pour laisser une empreinte de votre passage.

Rajoutez donc si possible le nom de votre site derrière, ou à défaut, au moins votre nom de famille.

Evitez – par pitié – les mots clefs, qui montrent de manière bien trop évidente quel est votre véritable dessein quand vous commentez.

Vous aurez remarqué qu’aucun commentateur ici ne se présente comme ça. C’est parce que la plupart du temps, je vire les mots clefs et je les remplace par le prénom du commentateur. Et quand je ne le trouve pas, ou alors que le commentaire est vraiment trop nul, alors je le vire.

Jamais de votre vie – mais vraiment JAMAIS – vous n’interviendriez dans une conférence en levant la main et en disant “Julien maigrir vite et bien” pour vous présenter !

Dites-vous que lorsque vous intervenez sur un blog, c’est comme dans la vraie vie : On se présente, on dit bonjour, et on salue en partant. C’est la moindre des choses.

Seuls ces éléments peuvent véritablement vous permettre de marquer les esprits.

2. Mettez une tête sur un prénom

Dans ce monde virtuel qu’est Internet, on a besoin de photo. Besoin de mettre une tête sur qui nous parle.

Un commentaire qui draine du trafic, bien souvent, est fait par une personne que l’on peut aisément identifier en quelques secondes grâce à sa photo.

Ca marche aussi avec un logo, mais beaucoup moins que la photo.

Donc, autant que faire se peut, mettez une photo à côté de votre prénom lorsque vous commentez.

3. Restez à votre place

Quand on commente un article sur un blog, l’une des règles de base de la bienséance, c’est d’abord et avant tout de s’adresser à l’auteur de l’article.

C’est lui qui a écrit, c’est SON avis, et SA manière de voir les choses, par conséquent, quand vous réagissez à l’un de ses articles, alors vous devriez vous adresser à lui, et à lui seul. Au moins lors de votre premier commentaire.

Quand vous assistez à une formation ou à une conférence, vous iriez lever la main en pleine séance de questions / réponses pour donner une leçon aux autres participants, et chercher à vous mettre en avant ?

Comment pensez-vous que réagirait le conférencier ? Et comment pensez-vous que réagiraient les autres participants qui ne vous connaissent probablement pas ?

C’est la même chose sur un blog.

Certains commentateurs essayent d’attirer l’attention en se supplantant à l’auteur. C’est une mauvaise idée qui met tout le monde mal à l’aise.

Mettez-vous à la place du blogueur chez qui vous intervenez, et imaginez ce que vous ressentiriez si un commentateur venait et commençait à donner des conseils à VOTRE place sur VOTRE propre blog.

Certains vont même jusqu’à dire à la fin de leur commentaire un truc du genre “Si vous voulez en savoir plus, allez voir mon article de blog ici…”. Incroyable, non ?

Il existe des moyens un peu plus subtils pour faire venir du monde chez vous, plutôt que de tenter de se supplanter à l’auteur du blog.

La meilleure des méthodes, c’est de vous adresser UNIQUEMENT à l’auteur, et d’aller plus avant UNIQUEMENT s’il vous demande plus d’informations sur le sujet.

Vous pouvez aussi bien entendu répondre à une question posée par un autre commentateur.

Auquel cas, c’est au commentateur que vous vous adresserez, et pas à une masse.

4. Commentez utile

Utile, ça veut dire quoi ?

Eh bien pour commencer, ça veut dire qu’il faut déjà lire l’article jusqu’au bout. Et en entier. Ca évite en général de parler de trucs qui ont déjà été traités dans l’article. Ou pire d’être carrément hors sujet.

Ensuite, c’est parler d’autre chose que de la qualité de l’article, ou du blogueur, ou du blog (vous savez, genre : Super article, super blog, super blogueur, j’adore !Continuez comme ça !).

Vous savez comment on reconnait ce genre de commentaire ? Facile : Vous le prenez tel quel, et vous le recopiez sur un autre blog qui n’a rien à voir avec le thème de celui où vous êtes. Et ça marche :hin: !!

Non ! Commenter utile, c’est laisser un avis objectif sur l’article que vous venez de lire. Un avis qui ouvre des perspectives de débat. Qui montre que vous avez compris ce que vous avez lu, et dans lequel vous indiquez si vous êtes ou non d’accord et pourquoi.

C’est également un commentaire qui pose de bonnes questions.

Pas de question du genre “Qu’en pensez-vous ?” ou “Pas d’accord ?”.

Non… Un commentaire qui attire les gens, c’est un commentaire qui montre que vous avez eu une véritable réflexion sur l’article et que vous posez réellement une question dans le but de préciser quelque chose.

Dans pratiquement 100% des cas, une bonne question posée dans un commentaire provoquera automatiquement une réponse de l’auteur. Et surtout un débat.

Le débat, s’il est engagé avec l’auteur, vous amènera toujours un trafic incroyable.

Mon plus gros “débat” en commentaire, je l’ai eu avec Jean de Web Marketing Junkie sur l’un de ses articles, du temps où les commentaires étaient ouverts sur son blog.

Le résultat en termes de trafic a été de 180 visiteurs uniques en provenance de cet article. Dont 124 sont devenus membres car ils atterrissaient sur un article protégé.

Je ne dis pas que vous arriverez à la même chose, mais en multipliant ce genre de débat ouvert, les personnes qui voudront en savoir plus sur vous seront légion. 

Donc, rappelez-vous : Commentez utile !!

A vous de jouer !

J’ai répertorié en tout 9 éléments à surveiller et à travailler quand on veut commenter un article de blog dans le but d’en faire une source de trafic ciblé.

Je vous ai proposé les 4 premiers ici, et vous détaillerai les 5 restants dans mon article de jeudi.

D’ici là, avez-vous une idée sur ce que sont ces 5 principes restants ?

Que faut-il également à votre avis pour qu’un commentaire attire vraiment du monde ?

Laissez vos idées en commentaire. Je noterai les plus pertinentes à la suite des 5 principes que j’avais déjà prévus, avec un lien vers votre blog à titre de source.

Et pour ceux qui s’inquièteraient de l’absence de la suite des principes de Jack Canfield adaptés pour le copywriting, rassurez-vous : Je cherche un autre angle d’approche pour les 22 principes restants. Ils seront présentés prochainement !


17 MARS 2016

Calculez le "Sympathomètre" d'une page de vente ou d'un article

Savez-vous quel est le "degré de sympathie" de votre site web, vos articles de blog, vos emails ou de vos pages de vente ?

Saviez-vous que la sympathie d’un texte, quel qu'il soit, est mesurable ?

Voici comment…

Si vous avez quelques notions de copywriting, ce qui doit forcément être le cas si vous lisez ces lignes, alors vous avez certainement appris que le mot le plus important qu’on emploie sur une lettre de vente c’est le mot "vous" et tout ce qui s’y rapporte (votre, vos, tu, tes, ton, etc…). C'est ce qu'on appelle les MOTS D'OR.

Il s’ensuit que le mot le moins important est donc son contraire, à savoir le bon vieux "Nous" et ses dérivés (nôtre, nos, moi, mien, etc.). C'est ce qu'on appelle les MOTS INTERDITS.

J'ai donc créé un outil en ligne qui calcule le rapport entre le nombre de mots d'or qu'il y a dans un texte, par rapport au nombre de mots interdits.

Le résultat obtenu est un ratio baptisé "Sympathomètre".

Et donc forcément, plus le sympathomètre de votre texte est haut, et meilleur c’est pour vous.

Comment ça fonctionne ?

Prenez un texte, n'importe lequel. Une page de vente, un article, un mail, une page complète d'un site ou d'un blog, même, si vous voulez.

Copiez et collez ce texte dans le Sympathomètre, et vous obtiendrez le nombre de mots de votre texte, le nombre de mots d'or, et le nombre de mots interdits. Il ne vous restera plus qu'à améliorer ou non votre texte.

Pour accéder à cet outil de calcul, il vous suffit de laisser votre prénom et votre adresse email dans le formulaire ci-dessous. Vous recevez l'accès à cet outil et aux autres en quelques secondes.

6 secondes pour perdre 100.000 euros... Voyons si ça peut vous arriver :

Dans la première partie de ma vie professionnelle, j’étais responsable du rayon jouets d’un grand hypermarché près de Genève.

Ma tâche quotidienne était de vérifier que les actions "basiques" de bonne tenue d'un magasin étaient bien effectuées.

A dire vrai, dans ce genre d'endroit, on passe un bon tiers de sa journée à rendre les rayons conviviaux, bien rangés, et attirants.

On vérifie que le sol est propre, on habille les vendeurs comme il faut, on s'assure que les caissières savent bien compter, on vérifie les prix, qu'on a bien tous les produits, etc, etc...

mesaventure

Un matin de janvier 1994, tout était prêt...

Rayon nickel, personnel nickel, prix vérifiés, rayons remplis. Le magasin ouvrait normalement à 8:45. Encore une belle journée de vente qui s'annonçait...

Hé non...

La catastrophe

Ce jour-là, l'agent de sécurité a tenté d'ouvrir le rideau de fer de la porte d'entrée du magasin, et comme ça ne montait pas très bien, il a forcé. Résultat : le rideau de fer s'est coincé à 1 mètre du sol.

Rien n'y a fait. Il a fallu appeler une entreprise spéciale pour le décoincer.

Les gens sont donc rentrés chez eux, le magasin est resté fermé toute la matinée.

Je me suis renseigné : A l'époque, le magasin dans lequel je travaillais faisait environ 30.000 € de chiffre d'affaires par heure. Ce qui fait que cette petite aventure lui a coûté pas loin de 100.000 € de CA.

La note est salée pour un petit geste d'impatience...

Vous voyez, on prévoit tout, tout est nickel, et le petit truc de rien du tout, qu'on ne teste généralement jamais, met toute votre belle mécanique par terre en quelques secondes.

Et sur Internet ?

Cela me fait penser à un site ou à un blog sur lequel on vend.

On étudie son marché, on soigne son offre et son copywriting, on met du temps à trouver un juste prix de vente. On soigne aussi son produit, son site, ainsi que son système de paiement, et bien entendu sa livraison.

Bref, on teste tout, et tout fonctionne. Il n'y a plus qu'à faire venir du monde.

Mais qui vérifie le bon fonctionnement du traitement des transactions de vos futurs clients au fil du temps ?

Vous pensez que votre banque ou que Paypal s'en occupe pour vous ? Que tout roule tout seul ?

N'en croyez rien...

Comme le rideau de fer du magasin dont je vous parlais au début de cet article, on suppose que cet élément fonctionne sans problème, en se basant sur le principe suivant :

Si ça a marché une fois,
alors ça marchera toutes les fois.

Dans la réalité, ce n'est pas comme ça que ça se passe. Pas du tout.

Prenons un exemple :

Il y a quelques mois, j'avais mis un produit en vente avec un script qui se basait sur l'API de Paypal. Ca fonctionnait sans souci, je l'avais testé au moins 3 fois au début...

Et puis un jour, je reçois un email d'un client qui me dit un truc du genre "J'ai essayé d'acheter votre livre 3 fois, et à chaque coup, Paypal me dit que la transaction a échoué. Que faire ?"

Je suis donc allé vérifier.

Résultat ?

Depuis plus de 42 jours, plus une seule transaction n'avait été validée par Paypal pour ce produit.

Le script utilisé a dû générer une erreur d'interprétation chez Paypal, qui lui a fait refuser systématiquement toute transaction qui se présentait, ce qui a fait tomber les ventes de ce livre de 1 par jour à environ... ZERO.

Soit une perte sèche de chiffre d'affaires d'environ 1550 € pour une simple erreur de script, mais surtout – et c'est ça le pire - des dizaines de clients frustrés et insatisfaits.

Mon expérience des systèmes de paiement...

Cette expérience douloureuse m'a donné l'envie de faire des recherches plus poussées sur l'année écoulée.

Voici le résultat de cette recherche pour MON activité (qui ne signifie bien sûr pas que vous aurez les mêmes incidences que moi - à mon avis elles sont plus importantes chez vous) :

1 –> Même avec des scripts de base (juste un bouton acheter sur une page de vente), plus de 2 transactions sur 10 sont invalidées par Paypal sans aucune raison.

2 –> Avec une banque classique, le système 3DSecure, qui est censé protéger le consommateur, provoque une erreur de transaction 1 fois sur 10. Le paiement est tout simplement refusé.

3 –> Sans parler du fait que pour 1 client sur 5, ce système de sécurité est trop contraignant pour lui (demande d'un code qu'il n'a pas, ou d'une information inconnue). Donc il abandonne...

Au total, ça fait en moyenne un peu plus de 15 clients sur 100 qui n'achètent pas votre produit NON PAS parce qu'ils ne le veulent pas, mais parce qu'ils ne le PEUVENT pas, du fait du traitement de leur paiement.

Donc réjouissez-vous. Vous ne perdrez certainement pas 100.000 € en une matinée à cause de ça, mais par an, les défauts de transaction peuvent représenter plusieurs milliers d'euros.

J'ai calculé le montant total des transactions refusées et des paniers abandonnés de mon exercice précédent, tous produits confondus (j'en ai une trentaine) : 17.000 €.

Et je n'ose imaginer les pertes annuelles sèches de mes collègues qui ne suivent pas les quelques conseils dont je dois vous parler pour endiguer ces soucis...

6 conseils pour arrêter de perdre du CA bêtement

En effet, depuis mes débuts sur Internet (1999) j'ai pu isoler 6 conseils majeurs dans ce domaine.

Le dernier a été "créé" suite à la mésaventure ci-dessus, et il réussit depuis à me faire rattraper près de 40% des paiements refusés par ma banque et des paniers abandonnés par défaut de traitement de la transaction.

Je vous en parlerai mardi prochain.

D’ici là, avez-vous vérifié que votre système de paiement fonctionne bien ?

Avez-vous déjà eu des mésaventures à ce niveau ?


10 MARS 2016

Vous avez donc été personnellement sélectionné(e)...

Je viens de recevoir un email dans lequel cette phrase est écrite telle quelle...

Suis-je le seul à comprendre que cette phrase montre que cette lettre a été envoyée à l’intégralité du fichier dudit vendeur ? Et qu’en fait, le mot “personnellement” n’est qu’un artéfact ?

Comment pourrait-il en être autrement ?

En effet, si j’ai été personnellement sélectionné, alors pourquoi mettre un (e) entre parenthèses ? Je ne suis pas UNE. Je suis UN...

Bref, si cette lettre s’adressait vraiment à moi, alors ce (e) ne serait pas là.

young business man pointing at you

Cette envie d’unicité...

Ce qui me permet de revenir sur cette notion tellement importante quand on vend des produits (sur Internet ou ailleurs), je veux parler de la sensation de se sentir vraiment unique.

En effet, tous les manuels de vente vous diront que ce qui intéresse le plus les gens, c’est eux-mêmes.

OK, les autres sont importants, mais pour un client, la personne la PLUS importante, avant toutes les autres, c’est elle-même.

Voilà pourquoi quand on écrit une lettre de vente ou un email, il est essentiel de le faire comme si on s’adressait à une seule personne. Un seul lecteur.

Et quand vous mettez un (e) entre parenthèses ou que vous parlez au pluriel (Vous êtes conscients de l’offre exceptionnelle que je vous fais ?), il est impossible pour celui ou celle qui lit ça de se sentir unique.

Ce genre d’erreur fait hélas drastiquement chuter le taux de réussite d’une lettre de vente. Et il est donc important de bien veiller à ça.

En ce qui vous concerne, éprouvez-vous des difficultés à écrire “personnel” ?

Si c’est le cas, rassurez-vous : Il existe en effet trois astuces de copywriter pour éviter les erreurs de ce type.

3 astuces pour écrire “personnel”

1. Intention directe

La première de ces 3 astuces consiste à choisir UNE personne que vous connaissez qui pourrait être intéressée par ce que vous vendez, et d’écrire comme si vous vous adressiez à ELLE et à ELLE SEULE.

Prenez votre voisin de palier, par exemple. Quand vous lui parlez en face à face, vous viendrait-il à l’idée de lui dire par exemple : Vous êtes vraiment satisfait (ou satisfaite) de votre opérateur téléphonique ?  

Vous comprenez le ridicule de la chose.

Donc choisissez une personne en particulier. Visualisez-là. Imaginez-là en face de vous.

Et ensuite, écrivez votre mail ou votre lettre. Ou en tout cas, relisez-le (ou la) avec cette personne en tête.

Vous êtes ainsi persuadé de ne pas faire d’impair.

2. L’art de concerner tout le monde

Ce qui peut trahir le fait que vous vous adressez à plein de monde, ce sont les mots qui ont besoin d’être accordés avec un sujet féminin ou masculin.

Tous les participes passés ou la plupart des adjectifs par exemple. Comme sélectionné(e), choisi(e), satisfait(e), etc...

L’astuce consiste... à changer de formulation, tout simplement pour éliminer cette contrainte.

Le plus souvent, il suffit de changer le temps du verbe, et d’abandonner définitivement le participe passé.

Ainsi, à la place de “Vous avez donc été personnellement sélectionné(e)”, vous pourriez dire à la place : “Nous avons donc décidé de vous sélectionner personnellement”.

A la place de “vous avez été choisi(e)” vous pourriez mettre “Notre choix s’est porté sur vous”, ou “Ce fut un honneur de vous choisir” ou encore “Vous êtes la personne qu’on a choisie !

Il existe TOUJOURS une formulation qui implique aussi bien les hommes que les femmes.

Et si c’est trop dur pour vous, alors voici une troisième astuce de copywriter qui résout tous les problèmes :

3. L’art de prévoir le coup AVANT

Les auto-répondeurs ont ceci de magique que vous pouvez créer autant de “variables” que vous voulez pour une liste de prospects.

Pour ce qui nous intéresse, il vous suffit donc de rajouter une case à cocher lors de l’inscription à votre liste qui demande simplement :

“Vous êtes : q un homme  q une femme”

Et si vous pensez que vos prospects vont se demander pourquoi vous leur demandez ça, vous pouvez rajouter une phrase du genre :

Afin d’adapter le genre des messages que je vous envoie, j’ai besoin de connaître cette information

Vous pouvez aussi être plus explicite. C’est à vous de voir.

Ensuite, une fois que cette case a été renseignée, il vous suffira de créer un maximum de variables qui contiendront les fins de mots à accorder.

Pour cela, il faut créer autant de variables dans votre formulaire que dans votre auto-répondeur.

Et rajouter un script sur les deux cases à cocher de votre formulaire qui font changer les valeurs de ces différentes variables.

Voici par exemple 5 variables à créer (il y en a sûrement d’autres que vous pouvez m’indiquer si vous en trouvez - merci) :

Ainsi, quand vous écrirez votre mail, il vous suffira de remplacer la fin des mots à accorder par la variable concernée.

Ainsi, vos lecteurs pourront se sentir vraiment concernés par votre texte. Et plus besoin de parenthèses.

A vous de jouer !

Vous voici armé maintenant pour écrire des lettres ou des mails de vente qui donneront l’impression à vos lecteurs d’être uniques.

C’est une notion qu’il est important de maîtriser au moins autant que celle qui dit qu’il vaut mieux employer plus de “vous” que de “nous”.

Ça vise le même dessein : Faire que votre lecteur se sente VRAIMENT concerné par ce que vous dites.

Le succès dépend beaucoup de tout ça, et ce quels que soient les avantages du produit vendu.

En êtes-vous bien conscient(e) ? :hin:


3 MARS 2016

Les 18 questions à prendre en compte quand vous envoyez un mailing à une entreprise

Le copywriting n’existe pas uniquement pour vendre aux particuliers. Il existe en effet un copywriting qui se pratique dans la sphère "Business to business".

Vous l’aurez compris, il s’agit d’entreprises qui vendent à d’autres entreprises.

Si vous avez déjà eu à traiter ce genre d'affaires, alors vous savez que la vente aux entreprises est bien différente de la vente au particulier.

entreprise

Et quand vous envoyez une lettre de vente, un mailing ou même un mail de prospection à une entreprise, vous devez prendre en compte des facteurs que vous ne rencontrerez jamais avec un particulier.

Le cas particulier des entreprises

Pour commencer, votre acheteur n'achète pas pour lui mais pour un groupe de personnes (une société). Il doit donc faire avec les désirs et les besoins de plein de monde en plus des siens.

Ensuite, il devra rendre des comptes de son achat auprès de sa direction. Ce qui implique qu'il a besoin de beaucoup d'infos pour justifier son action. Il compte sur votre lettre pour l'aider à le faire.

Mais au milieu de tout ça, on retrouve malgré tout des attentes "d'humain". Car la personne qui achète est aussi un humain. Avec ses émotions, ses désirs, et ses problèmes.

On doit le prendre en compte quand on écrit sa lettre.

Vous l'aurez compris, faire du copywriting pour les entreprises n'est pas un travail facile. Cela demande en effet une structure de rédaction solide, et un certain nombre de points à respecter.

Pour vous aider à vous acquitter de cette tâche ardue, je vais passer la parole à Mike Pavlish, de Profit Boosters Copywriting, qui a recensé les 18 questions principales qui traversent la tête d'un client "entreprise" quand il est devant une lettre de vente.

Ces questions ont été établies sur la base des travaux de copywriting réalisés par Mike auprès de plus de 450 entreprises américaines depuis 1978.

Je les ai légèrement adaptées au marché des entreprises françaises avec son accord, et avec l'aide de quelques dirigeants parmi mes connaissances, mais "l'esprit" de chaque question a été à chaque fois retransmis le plus fidèlement possible.

Vous allez retrouver quelques principes applicables aussi aux lettres de ventes des particuliers, et c'est normal puisque je le répète, même en faisant partie d'une société, la personne qui achète est un humain comme vous et moi.

A quoi pense votre client quand il vous lit ?

1. Avez-vous fait toutes les recherches nécessaires pour savoir quels bénéfices principaux je compte retirer de votre produit ou service ?

Ne comptez pas sur moi pour vous le dire. Je n'ai pas assez de temps pour vous dire A VOUS ce que je veux DE vous. C'est votre travail de me connaître et de me satisfaire.

2. Que faites-vous ? En quoi pouvez-vous m'être utile ?

J'ai besoin de le savoir immédiatement ou je m'en vais.

3. Pourquoi devrais-je vous croire ?

Quels arguments crédibles et vérifiables avez-vous à me proposer ?

4. Pourquoi devrais-je vous lire ?

J'ai déjà un fournisseur pour ce produit.

5. Est-ce que votre lettre est facile à comprendre ?

Je veux lire, comprendre, naviguer et scanner votre lettre de vente facilement. Si c'est trop compliqué et si cela me demande des efforts, je préfère ne pas lire.

6. Êtes-vous vraiment un expert dans votre domaine ?

Et surtout, êtes-vous vraiment spécialisé pour MA situation, MES besoins et MON type de business ? Qu'avez-vous déjà fait qui me le prouve ? Je peux avoir des références de personnes qui utilisent déjà ce produit ou ce service ?

7.  Est-ce que je vais m'ennuyer avec votre lettre ?

Ne m'ennuyez pas. Je suis fatigué du langage corporatif, des termes alambiqués et des mots techniques que je ne comprends pas. Tant que votre prose sera ennuyeuse et difficile à comprendre pour moi, je ne la lirai pas.

8. Pouvez-vous me donner TOUS les détails et les spécificités de votre produit ?

Je veux avoir notamment sa notice technique, ses applications, un plan de montage s'il y a lieu, les frais et accessoires à prévoir pour son utilisation et les coûts de transport. La majorité des acheteurs n'ont pas accès à toutes ces données. Il me les faut toutes.

9. Avez-vous bien mis toutes les infos vous concernant ?

Je veux que ce soit une vraie personne qui me parle d'homme à homme. Avec une signature, un nom, une photo et un numéro de téléphone où je puisse appeler pour avoir plus de renseignements si j'en ai envie. Je ne veux pas d'une compagnie impersonnelle qui parle à plein de clients en même temps.

10. Est-ce que vous tenez compte de mes émotions quand vous me parlez de votre produit ?

Je ne l'admettrai jamais directement, mais j'achète aussi et surtout avec mes émotions. Bien sûr, j'ai besoin de logique et de caractéristiques pour vérifier que ce produit correspond à ce que je recherche, mais si vous pouvez parler à mes émotions, alors j'aurai beaucoup plus envie d'acheter chez vous.

11. En quoi votre produit peut me permettre de gagner du temps en travaillant moins pour un résultat identique ? Peut-il réduire mon stress quotidien ?

J'aime mon travail, mais mon travail n'est pas la chose la plus importante dans ma vie. J'ai aussi envie de me détendre et d'être plus serein. Si votre produit me permet ça, vous m'intéressez beaucoup.

12. Quelle est LA chose que je peux faire ici et maintenant avec votre produit et pourquoi ?

Rendez-moi les choses faciles. Si vous listez plein de choses que je peux faire avec votre produit, je suis confus.

13. Quelles informations pertinentes et qui m'aideront vraiment avez-vous à me donner sur votre produit ?

Ne surchargez pas votre lettre avec du vent. Je suis fatigué de lire toute cette diatribe inutile et générale sur le web. Je n'en lirai pas plus aujourd'hui.

14. Quels sont les avantages de votre produit ou service par rapport à celui de vos concurrents, s'il est si bon que vous le dites ?

Soyez honnête. Je connais déjà ce que font les autres. J'en ai déjà vu beaucoup.

15. Que vendez-vous exactement ? En quoi ça me concerne ?

Soyez spécifique. Les généralités partent directement à la poubelle.

16. Quelles sont vos garanties ?

Je veux savoir si vous vous engagez à me suivre une fois que j'aurai acheté votre produit ou service. Et ce que vous faites si j'ai un problème.

17. Comment puis-je tester gratuitement ou à très faible coût votre produit ou service avant de m'engager ?

J'en ai besoin pour savoir si ce que vous me dites est vrai, et si votre produit ou service est adapté à la situation de mon entreprise.

18. Comment pouvez-vous m'aider à justifier cet achat auprès de mon patron en terme de retour sur investissement ?

Expliquez-moi en quoi ce produit ou ce service va me faire gagner ou économiser de l'argent. Mon patron n'est intéressé que par ça.

Comment utiliser cette liste

Je vois deux manières de le faire.

1. A utiliser AVANT

Recopiez ces 18 questions dans un fichier Word, et en faites-en un modèle.

Ensuite, lorsque vous avez une lettre de vente ou un mail à faire à une entreprise, prenez la première question, et répondez-y.

Puis passez à la seconde, en allant jusqu'à la fin.

Ensuite, virez les questions, et vous aurez un squelette de lettre de vente quasi parfait, que vous n'aurez plus qu'à rendre un peu plus fluide.

2. A utiliser après

Vous avez déjà fait une lettre de vente ? Prenez la première question, et voyez si vous y avez répondu avec votre lettre.

Puis passez en revue les 17 autres questions une à une, et complétez votre lettre au besoin.

Je remercie une nouvelle fois Mike Pavlish pour ces 18 questions précieuses. Si vous comprenez l'anglais, allez visiter son site. Vous y retrouverez la version anglaise de ces 18 principes au milieu d'autres articles très pertinents.


25 FEVRIER 2016

A télécharger : 12 éléments de preuves sociales pour rassurer vos lecteurs

Si vous vous intéressez un peu au copywriting, alors vous savez que l'un des paragraphes capitaux d'une page de vente concerne la preuve sociale.

Oui, même si on vous a dit le contraire, une page de vente, c'est une succession de paragraphes qui devraient être placés dans un ordre précis.

Et parmi ces paragraphes se trouvent les preuves sociales. Vous savez… les témoignages clients, par exemple.

Hélas ! Beaucoup de gens s'arrêtent aux témoignages pour renforcer leur crédibilité, alors qu'il y a en bien plus à utiliser sur une page de vente.

Ça s'utilise partout !

Et en fait, quand vous voulez aller au restaurant, au ciné, dans un hôtel, un appartement ou même à un spectacle, les avis (leur nombre, surtout), les étoiles et les commentaires vous aident grandement à choisir.

C'est l'avantage de notre époque : Internet a rendu les avis clients accessibles à tout le monde, ce qui a permis d'éviter de nombreuses expériences désagréables à beaucoup de monde.

Si vous vendez des produits ou des prestations sur Internet, vous pouvez utiliser ce moyen pour gagner en crédibilité et ainsi augmenter vos ventes.

Je vous propose donc de découvrir 12 types de preuves sociales que vous allez pouvoir utiliser et rajouter sur votre page de vente :

Remplir sa page Facebook intelligemment

Il s'agit d'un guide en PDF que vous pouvez télécharger facilement en guise de cadeau de bienvenue dans la grande famille du Copywriting Pratique, et plus particulièrement dans celle de ce blog.

Indiquez juste votre prénom et l'adresse email à laquelle je peux vous envoyer votre accès à ce guide et à plein d'autres :

Comment vendre plus facilement grâce à la tactique du concert

Aujourd’hui, je voudrais vous démontrer qu’il est parfois plus vendeur de proposer un choix plutôt que de faire une proposition unique.

Principe : Vous avez un produit à vendre. Vous proposez à votre client de choisir entre ce produit et un beaucoup plus cher.

Le prix du produit à vendre en devient donc dérisoire.

Si on analyse le principe, on comprend que c’est logique.

En admettant qu’on veuille absolument un produit, qu’on est prêt à l’acheter, et que la seule chose qui nous bloque soit le prix, alors quand on a un choix entre deux prix, un cher, et un moins cher, d’instinct, on est plus attiré par le moins cher.

Surtout si le produit cher est par trop inaccessible et compliqué à avoir.

Un petit exemple ?

La tactique du concert

J’ai appelé cette technique comme ça car j’ai eu l’occasion de rencontrer dans ma vie une personne qui était la reine de ce genre de truc : Ma nièce. 16 ans. A croire que certaines personnes ont ça dans le sang très tôt (voir à ce sujet les deux héroïnes de nos vidéos d’hier).

tactique-concert

Voici comment ça se passe :

L'objectif est de faire faire un FAUX choix à votre client.

Qu'est-ce qu'un faux choix ? C'est proposer un choix qui n'en est pas un du tout.

Suivez bien la tactique :

Une ado veut absolument que sa mère lui achète ce dernier CD de Lady Gaga qu'elle convoite depuis quelques semaines.

Plutôt que de lui demander de lui acheter ça, elle va plutôt se battre pour quelque chose de bien plus inaccessible, et de bien plus cher.

Donc elle lui demande chaque jour si elle ne peut pas aller assister à ce concert "super génial" qui se passe à 500 km de chez elle, qui coûte pas loin de 100 € et qui ferait "trop fun" devant les copines.

Et là, la mère commence à avoir un peu des sueurs froides car elle pense à toutes ces dépenses, et toutes ces contraintes que lui imposerait le fait de satisfaire les désirs de sa fille. Mais la fille tient bon... Et la mère aussi...

C'est à dire confrontation, conflits, pleurs, cris... Bref, la situation pas spécialement agréable. Surtout pour la mère.

Et un jour, la fille lâche nonchalamment un truc du genre : "Quand je pense que toutes mes copines ont déjà son dernier CD, je les aurait trop fait bisquer si moi, j'étais allée à son concert...".

La porte de sortie est ouverte. Et l'occasion est trop belle pour la mère de compenser un refus qui, malgré tout, lui pèse un peu, en achetant "un pauvre CD à 14 €", qui parait maintenant une dépense bien dérisoire par rapport à ce concert infernal.

Et la fille a son CD. Mission accomplie.

Je vous sens un peu énervé(e) par cette histoire, je me trompe ?

Hé oui... On n'aime pas trop avoir été manipulé. Quoi qu'on en dise. Mais le fait est que ça marche.

Dans le même ordre d'idées, je ne peux résister à l'envie de vous mettre un lien vers cette lettre d'une fille à sa mère que vous pouvez lire sur le blog Ado Mode d'emploi de Marie-Do, et qui nous montre comment on peut utiliser cette technique pour faire passer une (grosse) pilule amère.

L'important, c'est que vous pouvez reprendre ce concept en faisant faire un faux choix à vos clients.

Par exemple, vous pouvez proposer votre produit à 27 €, mais faire également une offre plus haute. Bien plus haute.

Comment adapter cette technique avec vos produits

Cette technique fonctionne surtout avec les produits "composés".

Dans la mesure où ce que vous proposez est déclinable en plusieurs options, alors vous devriez envisager de proposer une version de votre produit beaucoup plus élaborée.

Par exemple, vous décidez d'écrire un livre pour apprendre la couture à vos semblables (ca marche aussi avec le scrapbooking, la sculpture de citrouille, le marketing, le copywriting, la construction de terrasses en bois, etc...).

Vous avez décidé de vendre ce livre en version électronique à 17 €. C'est donc votre version de base.

L'objectif est maintenant de rendre la dépense de votre produit dérisoire, et pour cela, vous commencez par lire à haute voix votre guide pour en faire une version audio. Comme ça vos clientes peuvent suivre les instructions sans avoir à lire le livre.

Ensuite, vous pouvez décider de transformer ce livre en un véritable cours de couture sur Internet.

Vous allez donc filmer une dizaine de vos réalisations, en vous basant sur les différents chapitres de votre livre. Vous déciderez alors de livrer une vidéo par semaine pendant les 10 prochaines semaines.

Couplé à ça, vous déciderez de ne pas laisser tomber vos "élèves", et donc, chaque mois, vous pourrez organiser une séance de "coaching commun" d'une heure où vous pouvez répondre aux différentes questions de vos élèves.

Vous essayerez de dénicher des outils existants tels que des logiciels pour établir des patrons (ça doit bien exister) quitte à en faire fabriquer un. Vous pouvez aussi passer des partenariats avec des éditeurs existants.

Vous avez donc là un produit beaucoup plus complet qu'un "simple ebook", ce qui fait que vous pouvez maintenant proposer cette version de votre produit à 97 €.

Et si vous comptez aller encore plus loin, il vous suffit de passer les séances de coaching commun à toutes les semaines. Séances que vous filmez et que vous pouvez rajouter à votre produit d'origine, qui devient alors un véritable cours de perfectionnement, où chaque "élève" est suivi.

Vous passez alors votre cours à 87 euros par mois, devenant ainsi une véritable formation en ligne, avec un suivi personnalisé et des exercices à corriger.

Vous avez vu, on est passé de 17 € à 97 € puis à 261 € (87 euros par mois pendant au moins 3 mois).

Le prix de votre produit d'origine à 17 € devient clairement dérisoire par rapport au reste.

Vous avez compris le principe. D'autant que cela fonctionne avec n'importe quel produit qui peut être décliné en séances de cours filmé.

L'effet sympa sera que vous pourrez aussi proposer vos versions plus élevées en gamme, après l'achat du produit à 17 euros.

Et vous en vendrez également directement sur votre page de vente d'origine.

Comment présenter sa page de vente

Bien entendu, vous devez présenter votre page de vente de manière à ce que ce soit le produit principal à 17 € qui soit la star du jour.

Les versions plus élaborées viennent après.

Vous pouvez même inclure la notion de prix dès le début de la lettre en faisant comme les magasins avec leur fameux "A partir de..."

Dans notre exemple, ça donnerait une accroche du style "Devenez une pro de la couture. A partir de 17 €."

L'objectif est de bien présenter le CONTENU de votre livre qui sera dans les faits le même contenu que celui des vidéos de la version à 97 €.

Pensez avantages, photos, succès dans la démarche, et surtout fierté d'avoir réussi.

Vous présentez des travaux facile à réaliser, puis le prix de l'ouvrage dans sa version de base.

Et ensuite, vous allez axer la deuxième partie de votre lettre de vente sur la relative facilité de suivre des cours en vidéo. Sans dénigrer bien sûr votre produit principal.

Il ne s'agit absolument pas de ça ! Ce serait même une grosse erreur de le faire.

Votre produit principal est excellent, facile à mettre en œuvre et pratique à plus d'un titre.

Les versions au-dessus sont faites pour les gens qui en veulent plus. Qui veulent aller plus vite. Qui veulent voir les choses réalisées pas à pas de leurs yeux, avec la voix de la personne qui le fait.

Mais la majorité de vos clients commenceront par la version écrite, ne serait-ce que pour voir s'ils y arrivent comme ça.

Il sera toujours temps ensuite de leur réécrire pour leur dire "Voulez vous tester la vidéo ?" et de les diriger alors sur une page de vente plus complète qui présente vraiment la vidéo comme quelque chose de pratique, avec en plus des bonus et des concepts qu'on n'abordait pas dans la version texte.

Résumons-nous

Dans votre page de vente qui propose 2 ou 3 versions de votre produit, vous devez respecter ce plan :

Bien évidemment, il vous faudra prévoir 2 pages de vente supplémentaires pour vos 2 versions supérieures, où là, vous pourrez (et devrez) axer sur le contenu desdites versions, quitte à en présenter des extraits.

Et vu que la majorité des gens qui verront ces lettres de vente seront déjà vos clients, alors vous pourrez leur parler de manière plus intimiste, ce qui donnera à l'ensemble quelque chose de plus convivial.

Surtout si vous entretenez une relation sympa par mail, avec par exemple l'envoi d'un mail d'info par semaine. Avec un lien vers vos versions plus élaborées après un ou deux mois de "contact" privilégié.

A vous de jouer

Vous le voyez, le "faux choix" est une technique qui peut être employée sans risque pour vos affaires, si tant est que vous avez la possibilité de fournir au moins deux versions de votre produit.

D'autant qu'au mieux, vous pourrez vendre la meilleure version !

Vous n'êtes bien sûr pas obligé de faire la version avec abonnement mensuelle au début. Une version plus interactive avec des vidéos et de l'audio (pour passer la barrière du simple texte) sera déjà une bonne idée.

Donc si vous avez un produit "livre" à vendre, prévoyez d'en faire des vidéos, si c'est possible.

Et si vous vendez déjà un cours en vidéo, pourquoi ne pas en faire une version ebook à moindre coût ?

Cela permettrait à certains de vos visiteurs, qui n'ont pas forcément envie de s'embarquer tout de suite dans un cours vidéo complet de débuter dans ce que vous proposez avec un livre à lire ?

Certains n'ont pas beaucoup de temps, et préfèrent de loin le livre à la vidéo. Pensez-y !


18 FEVRIER 2016

Les 23 verbes qui boosteront la vente de vos produits

L'ingrédient numéro 1 du copywriter, ce sont les mots. C'est avec eux qu'on construit une bonne (ou une mauvaise) lettre de vente à l'aide du copywriting.

Et une lettre de vente, c’est une sorte d’assemblages de mots qui ne servent ni plus ni moins qu’à créer des images mentales dans la tête de vos futurs clients.

Plus les mots que vous allez employer évoqueront des images, et plus votre lecteur se sentira impliqué dans ce qu’il lit au niveau émotionnel.

Couplez les images avec de l’action, et vos taux de commande vont crever le plafond.

idees

Je vous propose donc dans cet article 23 verbes que vous pouvez employer pour votre propre produit si vous tombez en panne d'inspiration au moment d'en parler en terme actifs et imagés.

Les 23 verbes qui vendent :

Que fait votre produit ?

Il...

En manque d'inspiration ? Utilisez un de ces verbes pour créer une phrase active et imagée qui parle de votre produit.

Un exemple ?

D'accord.

Prenons un guide qui vous explique comment créer un produit d'information pour gagner de l'argent en le vendant :

23 phrases que vous pouvez adapter comme bon vous semble.

A vous de jouer

Faites-le avec votre propre produit.

Vous pensez que vous n'y arriverez pas ?

Essayez quand même. Je ne pense pas qu'il existe un seul produit pour lequel ces 23 verbes ne fonctionnent pas.


11 FEVRIER 2016

Ces associations explosives qui réduisent vos chances de vendre à néant...

J’ai une question insolite pour vous, en ce mardi matin :

Avez-vous déjà eu l’occasion d’étudier les différents poisons qui existent ?

Cette question peut surprendre sur un blog consacré au copywriting, mais vous allez comprendre pourquoi dans quelques instants.

Les poisons me fascinent. Tout comme la chimie, d’ailleurs.

La faute à quelques tantes lointaines qui ont relaté certaines expériences dans certains vieux manuscrits que j'ai eu l'occasion de trouver dans un grenier poussiéreux quand j'avais 10 ans, mais aussi à quelques ouvrages qui me sont passés dans les mains bien après.

C'est passionnant. Vraiment !

OK, ça fait un peu Harry Potter, mais l'étude des poisons et de la chimie nous donnent des enseignements irremplaçables sur l'importance du dosage des choses.

Et ça c'est un truc qui sert continuellement quand on pratique le copywriting.

chimie

C'est comme l'étude des poisons. J'y reviens en détail dans quelques instants, mais avant, je voudrais vous parler du cyanure.

Quand du dosage vient le succès... ou l'échec

Dans l'ouvrage "Poisons et empoisonneurs célèbres" de Roland Villeneuve (1968), l'auteur nous explique que l'empoisonnement au cyanure est celui qui est le plus connu et le plus craint par le "peuple", mais que les exemples d'empoisonnements par ce moyen sont très rares dans l'histoire, car très très difficiles à réaliser.

En effet, le cyanure, qui était à l'origine extrait de la fleur de pêcher, est un toxique foudroyant à partir d'une dose infime, qui est capable de produire une mort immédiate sous réserve qu'il soit pur et dosé de manière absolument parfaite, au microgramme près.

Il n'hésite même pas à dire que tous ceux qui ont réussi à empoisonner quelqu'un par ce moyen ont en fait eu "de la chance", et que les victimes n'auraient jamais dû mourir.

Ce fut notamment le cas de Raspoutine qui se fit administrer des doses de cyanure tellement énormes qu'il aurait dû y passer en quelques secondes.

Ca le rendit juste vert et malade. :hin:

L'inverse est aussi vrai : La plupart des médicaments qui vous soignent ne sont des médicaments QUE parce que leurs composés -essentiellement chimiques - sont dosés de parfaite manière.

Et les mêmes composés, dosés de la mauvaise façon, se transforment en poison des plus violents. C'est le cas de la digitaline ou de la morphine, par exemple.

Quel rapport avec le copywriting me direz-vous ?

Il est total, et voici pourquoi :

Si vous ne dosez pas de manière parfaite les différents arguments de votre lettre de vente, alors dans 99 cas sur 100, votre dosage va provoquer... la mort immédiate de votre vente.

 
En effet, la vente d'un produit résulte également de la chimie. Mais d'une chimie beaucoup moins expérimentable à l'aide de tubes à essai et de pipettes :

Il s'agit plutôt de chimie "émotionnelle" qui provoque ou non l'achat de votre produit.

Et dans ce domaine, force est de constater que les dosages des différents éléments de votre lettre ont tout à voir avec la réussite de votre opération.

Voyons le premier élément : L'accroche.

Ces composés de chimie émotionnelle qui provoquent l'inverse de l'effet désiré en copywriting

L'accroche est le premier élément de votre page de vente qui va être lu.

C'est également lui qui va provoquer la "chimie émotionnelle" nécessaire à la lecture du reste de votre texte.

Et si vous ne rendez pas la promesse que vous faites dans votre accroche crédible et "nuancée", alors les gens ne vous croiront pas, et il partiront.

Ce qui provoquera alors une mort immédiate de vos chances de vendre !

L'erreur fatale à ne pas commettre

Par exemple :

Voici LA méthode qui m'a fait gagner 37.885 € en deux semaines grâce à un livre de 50 pages.

ou encore :

Devenez financièrement indépendant en ne bossant pas plus de 4 heures par semaine.

Dans ces deux accroches, les deux concepts "je gagne beaucoup d'argent" et "sans trop d'effort" mis ensemble produisent un composé "émotionnel" non crédible qui provoquera la mort immédiate de la vente.

Ca marche aussi avec : "Comment j'ai perdu 25 kilos en 30 jours sans faire de régime".

Tous ces composés sont inefficaces.

A l'ère de l'information en continu et en abondance que nous offre Internet, on ne peut pas convaincre une personne sensée qu'elle va pouvoir perdre 20 kilos en 1 mois. Même si c'est ce qui s'est produit chez vous ou chez une personne qui a suivi le truc.

Même si c'est prouvé à la télé, même si Sonia Dubois vient vous voir en personne pour vous dire que c'est ce qui lui est arrivé :

20 kilos en un mois, c'est trop !

Beaucoup trop pour être accepté par une personne, surtout si vous lui demandez de l'argent en échange de la méthode.

Idem pour les 37.885 €. Gagner ça en deux semaines, même si ça vous est déjà arrivé, c'est impossible à réaliser pour plus de 999 personnes sur 1000 qui débutent – ou pas.

Personne, je dis bien personne qui a un soupçon de bon sens ne pourrait croire un truc pareil s'il n'a jamais fait une seule affaire sur Internet.

Ca marchait peut-être il y a 3 ou 4 ans, et ça fonctionne encore peut-être pour 1 personne sur 1000, mais pour la majorité des gens, ce genre de "médicament" ne fonctionne plus : C'est devenu le poison des pages de ventes, ce qui fait que tout vendeur qui tente de prouver que c'est possible s'attire non seulement les foudres de ses congénères, mais se décrédibilise dans les grandes largeurs.

Ce qu'il faut faire

Donc plutôt que d'employer des termes trop forts et d'associer des concepts explosifs, essayez plutôt de produire un composé stable et crédible.

Par exemple, transformez les accroches ci-dessus par quelque chose de plus nuancé et de plus réalisable par vos prospects :

D'une manière générale, vous devez toujours évaluer votre promesse en fonction du public que vous visez.

Si votre accroche parle d'une chose qui n'est faisable que par une toute petite partie des individus, alors revoyez la question : Ca ne dira rien du tout à la majorité des lecteurs que vous voulez convaincre.

Le cas similaire des témoignages

C'est pareil pour vos témoignages : Certains composés d'un témoignage sont non seulement instables, mais surtout explosifs.

En voici 3 :

La situation exceptionnelle

Si vous étiez un SDF qui a vécu dans la rue pendant 10 ans, et qu'un jour vous avez décidé de retourner chez vos parents et de vendre jusqu'à la dernière chose qui vous a appartenu pour vous lancer sur Internet et gagner aujourd'hui 10.000 euros par mois, c'est une histoire magnifique, mais qui ne concerne que 0,01% de la population, et certainement 0% de vos clients, qui eux, ont accès à Internet et qui peuvent taper "devenir riche sur Internet". Ce qui est loin d'être le cas d'un SDF, sauf exception.

Seuls 0,000000001 % des SDF du monde entier auront l'idée – et la possibilité - de faire la même chose.

L'inverse est aussi vraie.

La possession exceptionnelle

Si vous recevez le témoignage d'une personne qui possède un million d'adresses email sur lesquels il a décidé d'appliquer votre méthode, et qu'il soit arrivé à gagner ses 150.000 euros en 3 heures, croyez-vous franchement qu'il soit utile de produire ce témoignage ?

Combien de personnes ont une base de UN million d'adresse email ?

Combien peuvent gagner cette somme en 3 heures ?

Et surtout, qu'est-ce qu'une personne qui a 1 million d'email fait sur votre page de vente ?

La faculté exceptionnelle

Dans le même ordre d'idée, si vous avez une personne qui vous envoie un témoignage pour vous dire qu'elle a réussi à lire et à appliquer votre enseignement (lecture rapide, mémoire, langue vivante, méthode pour devenir riche, etc...) en un seul mois au lieu de 2 ans, vous avez manifestement affaire à une personne douée pour l'apprentissage ou qui a la faculté de bouger les foules.

Mais est-ce qu'il en sera de même pour tous vos clients ? Evidemment non !

Je pense que vous avez compris l'idée.

Elle tient en une seule phrase :

Ne promettez sur votre page de vente que ce qui peut être copiable par un maximum de personnes, même par celles qui ne possèdent pas une faculté, une chose ou une situation extraordinaire.

 
Accroche, témoignages, preuves... Tous ces éléments doivent être crédibles et accessibles au plus grand nombre.

Le plus important est l'accroche bien sûr !

A vous de jouer !

Reprenez vos accroches, et passez-les au travers de ce filtre des 3 questions :

Si vous répondez OUI à ces 3 questions, alors votre accroche comporte les composés qu'il faut pour produire une chimie émotionnelle parfaite qui ne les fera pas fuir. C'est déjà ça.

Mais si l'une ou plusieurs de vos réponses est NON, alors revoyez vite la question, car le composé explosif que vous avez produit va provoquer incessamment sous peu la mort de près de 99% de vos ventes...

BAOUM !!

Si vous avez des doutes sur votre accroche, mettez-la en commentaire. On va la passer ensemble à travers ces 3 filtres.


4 FEVRIER 2016

Créez vos slogans en moins d'une minute avec ce Générateur Universel de Slogans :

Un bon slogan peut augmenter considérablement le nombre de personnes qui vous suivent. Il est surtout le véhicule de votre image à travers le monde.

Et comme un bon slogan n'est pas forcément facile à trouver, j'ai créé pour vous GUS : le Générateur Universel de Slogans.

C'est un outil en ligne, réservé aux membres de Copywriting Pratique, qui va révolutionner votre manière de créer des slogans accrocheurs.

Comment ça fonctionne ?

GUS a dans sa base 1005 structures de slogans, créées à partir des meilleurs slogans du monde, tous pays confondus.

Vous indiquez un terme (votre marque, votre nom, ou même une thématique), vous indiquez si c'est féminin ou masculin, et vous cliquez sur un bouton.

GUS vous donnera 10 slogans engageants et originaux. Vous pouvez n'en garder qu'un seul ou plus, ou pas du tout.

Vous pouvez relancer la machine autant de fois que vous le souhaitez jusqu'à tomber sur LE slogan qui sera l'ambassadeur de votre marque.

Plus besoin de vous creuser la tête, il vous suffit de libérer votre créativité en explorant des combinaisons de mots et de phrases que vous n'auriez jamais imaginées.

Pour accéder à cet outil révolutionnaire, il vous suffit de laisser votre prénom et votre adresse email dans le formulaire ci-dessous. Vous recevez l'accès à cet outil et aux autres en quelques secondes.

Annoncer le prix d’un produit en affiliation sans que votre client ne tombe à la renverse

Voici le dernier article de la série de ceux qui concernent la manière d’augmenter le nombre de ses ventes en affiliation grâce au copywriting.

Aujourd’hui, nous allons parler tarif.

Que ce soit votre produit ou celui d’un autre...

Sur la page de vente qui présente le produit vendu, on va trouver forcément, à un moment ou à un autre, l’annonce du prix.

Et dans cette discipline ardue, il existe quelques astuces de copywriter pour le faire afin qu’il paraisse le plus dérisoire possible.

En voici une que vous ne verrez pas souvent employée et pourtant, c’est une véritable merveille d’efficacité.

Notez que si vous n’avez pas la possibilité d’intervenir sur la page de vente en question, vous pouvez tout à fait en faire une petite, vous-même, qui comporterait cet encart au moment d’annoncer le prix.

Libre à vous ensuite de diriger les gens directement vers le bon de commande, ce qui ne vous empêchera pas de rajouter un lien vers la page de vente d’origine si votre lecteur a envie d’en savoir plus.

Quoi qu’il en soit, réaliser une petite page de vente perso, c’est toujours plus bénéfique que d’envoyer les personnes qui VOUS connaissent ailleurs que chez vous.

De cette manière, vous pouvez déjà faire une grosse partie du travail en donnant votre ressenti et votre abord du produit en question.

Le problème émotionnel de l’annonce du prix

L’annonce du prix d’un produit est un moment très important dans le processus de vente, car c’est généralement lui qui détermine la suite favorable ou non des opérations.

Et dans la majeure partie des cas, les gens abandonnent l’affaire parce que le prix proposé leur semble trop élevé par rapport à l’argumentaire qui précède.

Ceci est renforcé par le fait qu’on leur annonce généralement le prix de but en blanc, ce qui fait qu’ils passent de zéro (pas de prix) à 37 € (par exemple) d’un seul coup.

La technique dont je vous parle aujourd’hui permet d’inverser le processus en partant d’un prix très élevé (mettons 400 euros), pour arriver au final au prix de votre produit, beaucoup plus bas.

Il est en effet plus rassurant pour votre prospect de passer d’une dépense de 400 € à 37 € plutôt que de passer de rien du tout à une dépense de 37 €.

“Combien pour vous en débarrasser ?”

Pour pouvoir mettre en place ce style d’annonce, vous allez devoir vous concentrer sur le principal problème de votre prospect, et vous allez lui demander ce qu’il serait prêt à payer pour avoir la paix ou pour voir son problème résolu.

L’objectif est de créer une charge émotionnelle forte en appuyant très fort sur le problème, et en demandant ensuite s’il serait prêt à payer une somme dérisoire (généralement 1 euro) pour s’en débarrasser ponctuellement.

Ensuite, le jeu consiste à multiplier cette somme dérisoire par un nombre de fois bien plus grand pour pouvoir régler le problème sur une période plus longue, ce qui donne au final un prix très élevé qui fait paraitre le prix de votre produit dérisoire.

Un exemple pratique

Voici un exemple pour un de mes produits sur le sommeil afin que vous compreniez bien le principe :


[jbox color="yellow" width="480"]

Combien de temps résisteriez-vous ?

Imaginez une nuit typique de privation absolue de sommeil...

Vous êtes sur les nerfs... Vous avez les yeux rouges, et vous en pleureriez de rage, tout en contemplant le plafond et croyant devenir fou à chaque minute de la nuit.

Dans ces moments-là, s'il vous était possible de pouvoir payer ne serait-ce qu'un seul euro pour passer une nuit de merveilleux et reposant sommeil, combien de temps pensez-vous pouvoir tenir avant de craquer ?

Seulement 1 € pour la paix et le calme... bref, un euro pour une nuit de repos absolu...

Je parie que vous résisteriez pas plus d'une heure...

Et si vous poussiez le "luxe" jusqu'à le faire chaque nuit, il vous en coûterait la somme substantielle de 365 € pour une année complète.

La bonne nouvelle, c'est que le programme dont il est question sur cette page ne vous coûtera pas 365 €, mais 10 fois moins : Son prix est de 37 Euros.

[/jbox]

A vous de jouer

Normalement, plus le problème de votre prospect est handicapant, et plus il est facile d’employer cette technique.

Mais cela fonctionne aussi avec n’importe quel produit, pour autant qu’il ait été conçu spécifiquement pour régler les problèmes de vos clients.

Commencez donc par identifier le souci, et demandez ensuite à votre prospect combien il est prêt à payer pour profiter de sa solution chaque jour.

Partez de cette phrase :

“Combien seriez vous prêt à payer pour avoir _____ chaque jour ?”

Et complétez l’espace avec la solution la plus attirante et la plus récurrente que votre produit peut apporter.

Ca fonctionne avec tout si votre produit est conçu pour résoudre les problèmes des gens - ce qui devrait généralement être le propre de tous les produits à vendre.

Si vous avez des difficultés à trouver ça pour votre produit, indiquez-le en commentaires, et voyons ça ensemble...

Pour résumer :

Voilà. Cette série d’articles sur l'affiliation se termine.

Je vous en résume les grands points :

Si vous respectez ces étapes, l'affiliation ne sera plus pour vous une activité qui ne sert à rien.

Elle deviendra plutôt une activité rentable que vous pourrez dupliquer avec d'autres produits.

Tentez l'expérience... Vous ne serez pas déçu ;)

Pour aller 1000 fois plus vite…

Vous le savez maintenant, si j’ai choisi de vous présenter cette série d’articles sur l’affiliation, c’est parce qu’en ce moment, mes amis Cédric et Ludovic rouvrent les portes de leur Club Affiliation Pro.

Je crois que c’est aujourd’hui le dernier jour pour vous décider.

Si vous ne savez pas ce que c’est, alors je vous le présente vite fait :

Il s’agit d’un Club qui propose de la “valeur ajoutée” à un produit qui est déjà en vente en affiliation.

En gros, ils choisissent un produit de bonne qualité qui se vend en affiliation, avec une commission généreuse pour les affiliés.

Et ils proposent également tout un tas de contenus (articles, vidéos, infos) en rapport avec le produit vendu, que leurs membres (vous dans quelques minutes) peuvent utiliser :

Ils font donc une très grosse part du travail de recherche, et vous, il ne vous reste plus qu’à vendre.

Et surtout, ils proposent toujours POUR CHAQUE PRODUIT, une série de vidéos en rapport avec le thème du produit en question. Ce qui permet d’attirer des gens intéressés avec des éléments d’excellente qualité et avec une valeur perçue très haute.

Et vous avez ainsi un énorme avantage sur ceux qui font de l’affiliation “normalement”, puisque vous avez vous plus de valeur ajoutée.

Voilà.

Actuellement, dans le cadre de la réouverture des portes de leur Club, Ludovic présente une série de vidéos qui vous expliquent comment faire pour créer un blog et tout ce qui va autour et pour le monétiser grâce à l’affiliation.

Vous pouvez accéder à ces vidéos en cliquant ici.

Vous l’aurez compris, si vous passez par le lien ci-dessus, alors je toucherai une commission (35 €) si vous devenez membre du Club Affiliation PRO. Je vous en reverserai plus de la moitié chaque mois

Mais bon, si l’idée que je puisse gagner 15 € (et vous 20 €) sur votre inscription vous est absolument insupportable, alors vous pouvez cliquer directement sur ce lien. Vous accèderez alors aux vidéos sans que je touche quoi que ce soit.


20 JANVIER 2014

Comment rajouter de la valeur et de l'envie à un produit en affiliation

Cet article fait suite à ceux d'hier et d'avant-hier, dans lesquels je vous expliquais comment faire pour utiliser le copywriting pour vendre plus et mieux un produit en affiliation.

Aujourd'hui, nous allons voir comment vous pouvez créer de la valeur ajoutée autour d'un produit qui n'est pas à vous, pour vous démarquer de vos concurrents directs, à savoir les autres affiliés.

Je vous propose 5 types de cadeaux à associer avec le produit que vous vendez.

1. Une vidéo qui montre comment fonctionne le produit

Ca, ça fonctionne bien entendu avec tous les produits techniques, comme les logiciels ou les scripts, ou même les meubles...

Faites une vidéo qui montre comment vous vous en servez en direct, et vous pouvez ainsi faire gagner des heures à vos futurs clients.

Si vous rajoutez en plus des trucs et des astuces que vous avez trouvées vous-même et que vous racontez en vidéo comment vos clients peuvent s'y prendre, alors le produit final aura encore plus de valeur aux yeux de vos futurs clients.

L'astuce en plus...

Deuxième application de la vidéo de démonstration : Le partenariat avec le vendeur du produit.

Si votre vidéo est de qualité et aide réellement les clients, alors vous pouvez contacter le vendeur pour lui dire que vous acceptez de mettre votre vidéo à la disposition de tous les clients du produit, contre par exemple un ou deux euros par vente, même si cela ne passe pas par votre lien.

Le montant de la rétribution est bien entendu à négocier en direct avec le vendeur.

2. Une vidéo qui montre des applications du produit

Ca, c'est surtout pour les produits qui ne nécessitent pas de démonstration. Les fleurs, par exemple, ou même les voyages, les assurances, les vêtements, l'hébergement de site web, les produits immobiliers, etc...

L'objectif est de trouver soit des applications liées directement au produit, soit des applications liées à une activité annexe.

Par exemple, si vous êtes affilié à un marchand de fleurs, vous pouvez concocter quelques vidéos où vous montrez comment faire quelques compositions florales vite faites. Ou alors comment empaqueter un bouquet de fleur comme les pros.

Vous n'êtes même pas obligé de le faire vous même. Vous pouvez allez voir un fleuriste de votre ville et lui demander si vous pouvez filmer ses mains pendant qu'il travaille, en échange d'un lien sur Internet vers le site de son magasin.

Pas besoin de faire un montage compliqué. Ce n'est pas un concours de vidéo. L'important, c'est que ce soit clairement filmé.

Ce genre d'astuce est valable pour beaucoup de produits :

Ce n'est limité que par votre imagination.

3. Un autre produit qui traite d'un problème similaire.

Cà, c'est valable surtout pour tous les produits qui vendent de l'information. Ebook, vidéos, formations, coaching, DVD, CD-Rom, Logiciels, solutions audio...

L'objectif est de créer un autre livre ou un autre logiciel qui prolonge en quelque sorte l'action du produit principal.

Voici quelques exemples :

Di vous vendez un livre ou une formation qui explique comment monter un blog, vous pouvez tout à fait écrire un livre qui rassemble les différents moyens de se faire connaître avec son nouveau blog ainsi monté.

Si vous vendez un livre ou une solution audio pour mieux dormir, vous pouvez écrire un petit livre qui donne une trentaine d'astuces pour ne plus jamais être fatigué. Ou pour gérer le stress, qui engendre fatigue et insomnie...

Notez qu'ici aussi, ça peut être aussi une vidéo.

L'astuce en plus...

Voici un bon moyen, si vous avez créé un produit, de le monétiser sans perdre trop de temps, juste en l'associant avec un même produit à vendre en affiliation.

En effet, le montant que vous touchez (votre commission d'affiliation) peut représenter le prix de vente de ce produit.

Quand on y réfléchit, c'est très astucieux, car ça vous fait gagner un temps fou sur toute la partie marketing. En effet, comme il s'agit d'un produit complémentaire, il est livré uniquement lors de la vente d'un autre produit en affiliation.

Donc pas de page de vente, et pas de prix à fixer.

Avouez que c'est malin !

4. Un livre ou une vidéo qui gère les problèmes que n'abordent pas le produit en question.

L'objectif est de montrer comment VOUS vous en êtes sorti avec les soucis d'utilisation que vous avez rencontrés lors de votre phase de test du produit.

Vous pouvez aussi montrer quelques raccourcis, rajouter un support ou un manuel supplémentaire.

Imaginez un carnet de bord, ou un mode d'emploi spécial, un peu comme la rubrique que l'on trouve parfois dans les manuels des appareils électro-ménagers "Que faire en cas de panne".

Ca, c'est un style de cadeau qui fonctionne avec pratiquement tous les produits.

J'en ai cherché pour lesquels ça ne fonctionnerait pas, et je n'en ai pas trouvé.

Si vous avez une idée de produit pour lequel ce genre de manuel complémentaire "d'urgence" ne fonctionne pas, n'hésitez pas à m'en parler.

5. Un produit qui rassemble des centaines de ressources à propos du produit

Ca, c'est le plus facile, je dirais.

Il s'agit de répertorier tous les sites Internet ou toutes les adresses physiques en rapport avec le produit vendu. Dans une thématique approchante, bien entendu.

Si vous vendez des fleurs, cherchez à rassembler les sites Internet qui proposent des infos sur tout ce qui touche aux fleurs. Entretien des différentes sortes de fleur (roses, orchidées, pour les plus populaires), ou alors des sites de compositions florales, ou tout ce qui touche à l'horticulture...

Si vous vendez des logiciels, pensez ressources.

Des voyages ? Les sites informatifs sur le sujet sont légion. Pensez également aux blogs ou aux forums qui rassemblent d'autres voyageurs.

En gros, vous pouvez créer un guide qui rassemble des milliers d'astuces qui viendront compléter à merveille le produit que vous vendez déjà.

Un simple lien et une micro présentation de ce qu'on y trouve au bout suffit à créer un produit complémentaire de grande qualité.

Les autres avantages du cadeau

Bon... Vous avez créé votre cadeau unique.

Par conséquent, lorsque un client va acheter le produit concerné en passant par votre lien, alors il recevra en plus le cadeau que vous avez préparé spécialement pour lui.

Le premier avantage, hormis le fait que vous proposez un pack unique, c'est que vous pouvez récupérer l'email et les coordonnées du client après qu'il ait acheté.

Cela vous permettra ainsi d'entretenir une relation avec lui après, pour par exemple lui proposer d'autres produits.

Mais le second avantage, non négligeable, c'est que vous pouvez AUSSI vous servir d'une partie de ce cadeau pour CIBLER votre clientèle.

En effet, vous pouvez tout à fait créer un blog ou une squeeze page qui vous permet d'offrir une partie de votre cadeau contre l'adresse email de votre prospect.

10 ou 15 minutes de vidéos gratuites pour l'adresse email, et la suite une fois qu'il aura acheté le produit.

Vous créez ainsi une liste de gens intéressés par le thème en question, que vous pourrez relancer par la suite. Vous connaissez déjà le principe.

Pour aller 1000 fois plus vite…

Si j’ai choisi de vous présenter une petite série d’articles sur l’affiliation, c’est pour une bonne raison :

En ce moment, mes amis Cédric et Ludovic rouvrent les portes de leur Club Affiliation Pro.

Si vous ne savez pas ce que c’est, alors je vous le présente vite fait :

Il s’agit d’un Club qui propose de la “valeur ajoutée” à un produit qui est déjà en vente en affiliation.

En gros, ils choisissent un produit de bonne qualité qui se vend en affiliation, avec une commission généreuse pour les affiliés.

Et ils proposent également tout un tas de contenus (articles, vidéos, infos) en rapport avec le produit vendu, que leurs membres (vous dans quelques minutes) peuvent utiliser :

Ils font donc une très grosse part du travail de recherche, et vous, il ne vous reste plus qu’à vendre.

Et surtout, ils proposent toujours POUR CHAQUE PRODUIT, une série de vidéos en rapport avec le thème du produit en question. Ce qui permet d’attirer des gens intéressés avec des éléments d’excellente qualité et avec une valeur perçue très haute.

Et vous avez ainsi un énorme avantage sur ceux qui font de l’affiliation “normalement”, puisque vous avez vous plus de valeur ajoutée.

Voilà.

Actuellement, dans le cadre de la réouverture des portes de leur Club, Ludovic présente une série de vidéos qui vous expliquent comment faire pour créer un blog et tout ce qui va autour et pour le monétiser grâce à l’affiliation.

Vous pouvez accéder à ces vidéos en cliquant ici.

Vous l’aurez compris, si vous passez par le lien ci-dessus, alors je toucherai une commission (35 €) si vous devenez membre du Club Affiliation PRO.

Si cette idée vous est absolument insupportable, alors vous pouvez cliquer directement sur ce lien. Vous accèderez alors aux vidéos sans que je touche quoi que ce soit. Non mais !

motorcycle racer

Et quoi qu’il en soit, rendez-vous demain, où je vous parlerai du prix d’un produit en affiliation$


19 JANVIER 2014

Créer une lettre qui recommande un produit en affiliation en 11 étapes simples

Hier, je vous disais que le copywriting pouvait grandement vous aider à vendre plus si vous faites de l'affiliation.

J'en profitais pour vous expliquer que la toute première étape, lorsque l'on veut efficacement recommander un produit en affiliation, c'est de l'essayer personnellement afin de vous faire votre propre opinion dessus, et surtout afin de pouvoir la transmettre.

C'est maintenant que nous voyons ensemble comment faire pour transformer cette expérience personnelle du produit en mots qui vont faire acheter le produit en question grâce à vous.

Vous l'aurez compris, vous allez devoir faire une "micro" lettre de présentation, pour parler du produit que vous voulez proposer à vos clients, document qui doit comporter un certain nombre d'éléments que nous allons répertorier ci-dessous.

La lettre de vente spéciale affiliation

En fait, j'appelle ça une "lettre de vente", mais ce n'en est pas une. On dira que c'est plutôt une "lettre de recommandation", ou un "compte rendu d'expérience".

Car en effet, cette lettre est basée essentiellement sur votre utilisation personnelle de ce produit.

Il ne s'agit bien entendu pas de reprendre un à un tous ses avantages, ce qu'a déjà certainement fait le vendeur.

Ici au contraire, on attend de vous que vous racontiez votre expérience. Si vous avez bien suivi les conseils que je vous donnais à ce propos hier, alors ce qui reste à faire est juste de la retranscription.

Et pas besoin qu'elle soit trop longue.

Une information sincère sur les avantages et sur les inconvénients du produit, avec des exemples d'utilisation ou d'application personnelle devraient largement suffire.

Pour autant, il est important de bien faire figurer ces 11 éléments à l'intérieur de votre lettre (et vous pouvez même en faire une liste) :

Partie 1 : Pourquoi vous écrivez aux gens

1. Une phrase d'intro qui interpelle

L'idée est d'annoncer en quelques mots pourquoi vous contactez les gens.

Vous avez trouvé quelque chose de sympa, d'insolite ou de très utile. Un outil, un livre ou un produit qui permet de faire exactement ce que cherche votre client.

2. Une durée d'utilisation

Et SURTOUT, vous devez indiquer qu'il s'agit d'un produit que vous venez de tester avec succès pendant un temps bien défini (mettez un nombre de jours ou de semaines) pour résoudre un certain type de problème.

3. Un problème résolu

Vous pouvez décrire le problème en quelques phrases. Vous pouvez vous servir sur la lettre de vente principale.

L'idéal est bien sûr de choisir LE problème principal

Partie 2 : Une présentation rapide du produit

4. Définition et objectif du produit

A moins qu'il ne s'agisse d'un produit que tout le monde connait, (du genre d'un téléphone, par exemple) vous devez bien entendu expliquer vite fait de quoi il s'agit, et ce que ce produit peut faire pour votre lecteur.

5. Son principal avantage

Rappelez simplement l'avantage principal, et son but.

Vous pouvez vous servir de la phrase la plus active de la page de vente du produit et vous pouvez aussi la modifier pour l'adapter à VOTRE vision des choses.

Vous pouvez aussi indiquer l'avantage principal qu'il a produit pour VOUS.

Partie 3 : Votre expérience avec ce produit

Voilà la partie la plus importante. Bien sûr.

Vous devez raconter :

6. Son utilisation au quotidien

L'objectif est d'annoncer des faits. De raconter ni plus ni moins comment vous vous êtes approprié ce produit pour votre utilisation personnelle.

Pensez bien évidemment à la vidéo pour montrer comment ça fonctionne. Surtout si c'est un logiciel ou un script.

Et si c'est un livre, alors vous pouvez aussi faire une mini présentation PowerPoint avec la table des matières, ou en sélectionnant un chapitre qui vous a particulièrement servi et en le commentant "utilement".

7. Les arguments négatifs

Parlez des arguments positifs bien sûr, mais parlez aussi des négatifs.

On n'a pas vraiment confiance en un produit qui n'affiche que des avantages.

Tous les produits ont des inconvénients, et une des meilleures preuves que vous pouvez apporter dans votre recommandation, c'est de reporter justement les différents éléments négatifs que vous avez constatés lors de son utilisation.

Et surtout la manière que vous avez eu de les contourner et de vous en sortir.

Avez-vous dû contacter le vendeur pour vous en sortir ? Vous a-t-il répondu dans les temps ? Est-ce que vous avez dû chercher dans le manuel d'utilisation ? Etait-ce facile à trouver ?

Toutes ces petites situations "pour de vrai" viennent renforcer la qualité de votre recommandation. Vous vous mettez en quelque sorte du côté du client. Vous devenez son allié "contre" le vendeur.

Un vendeur ne vous dira jamais ce qui ne va pas. Un utilisateur, par contre, c'est différent. Il utilise réellement le produit. Et donc il peut largement parler de trucs qu'on ne trouvera jamais (ou rarement) dans une page de vente.

C'est le plus grand secret des recommandations qui cartonnent.

Partie 4 : La transparence

Cette partie là n'est pratiquement jamais traitée. Les gens ont peur.

Comme tout ce qui va à contre-courant, ça fonctionne fort. Et c'est bien évidemment ce que je préfère personnellement, car j'aime bien donner de grands coups de pieds dans la fourmilière des habitudes et des idées reçues.

J'expliquerai plus en détail dessous pourquoi c'est une bonne idée, mais bien évidemment, vous êtes libre ou non de ne pas adhérer à ce concept (comme le font 99 vendeurs sur 100).

L'idée ici est de "vendre" la recommandation. D'expliquer pourquoi c'est une vente un peu spéciale.

8. Pourquoi vous recommandez ce produit

Quand vous envoyez à une personne un mail qui vante les mérites d'un produit dont vous n'êtes pas le vendeur, quelles sont les chances, à votre avis, pour que cette personne croit que vous faites ça gratuitement ?

Elles sont nulles. Aucune personne ne peut décemment, en 2011, croire que vous recommandez un produit juste parce qu'il vous plait ou parce que ça vous fait plaisir. Surtout si vous écrivez à cette personne uniquement pour lui proposer ce genre de deal.

Donc, autant le lui dire clairement.

Dites-lui que vous recommandez ce produit parce que vous touchez une commission sur les ventes, et que par conséquent, vous avez décidé de le tester en profondeur pour pouvoir en parler avec franchise et détail.

Vous pouvez même dire que vous avez testé plusieurs produits, et que c'est finalement lui que vous avez retenu parce que... (suivent les avantages par rapports aux autres).

Et puisqu'on en est à la transparence dites aussi :

9. Combien vous gagnez sur chaque vente

Pourquoi le cacher ? Si vous gagnez 50% de commission sur un produit, autant en parler.

De toute façon, votre client se pose la question. Autant lui répondre tout de suite et lever ainsi le doute qui l'habite.

D'autant que si vous êtes malin, vous pouvez vous servir de ça pour prendre un avantage énorme sur vos concurrents :

10. Ce que ça implique pour vos clients

Vous venez d'expliquer que vous allez toucher X% de commissions sur les ventes du produit en question.

Pourquoi ne pas reverser une partie de cette commission à vos clients ?

Vous touchez moins au final, mais vos clients peuvent bénéficier alors d'une réduction qu'ils n'auraient pas eue ailleurs.

Comment pourraient-ils refuser une offre pareille ?

Comme procéder en pratique ? Indiquez simplement sur la lettre qu'une fois que la personne est bien passée par votre lien pour régler, qu'elle vous indique son nom et son adresse email.

Que vous pourrez recouper alors avec les commissions que vous allez toucher.

11. Le lien direct

Voici la partie qui fait le plus mal aux idées reçues.

Vous venez d'expliquer à votre client que vous touchez une commission sur les ventes du produit. Donc forcément, les explications qui précèdent ont 100 fois moins de poids que celles que vous auriez données de manière totalement désintéressée.

En indiquant le lien direct sur la page de vente, vous balayez d'un revers de la main toutes les réticences qui pourraient subsister chez votre client.

Vous pouvez l'annoncer de la manière suivante :

Autant être honnête avec vous : Si vous achetez ce produit en cliquant sur ce lien (ça c'est votre lien d'affilié), je toucherai une commission de 25 € sur sa vente.

Et comme je trouve normal de vous remercier de me faire confiance, je vous propose donc de vous reverser 10 € sur votre compte Paypal, juste après votre achat. Ce qui fait que vous toucherez au final ce XXX à 30 euros au lieu de 40.

Comment procéder ? Voici :

Et si vraiment vous ne pouvez pas concevoir que je gagne le moindre argent en vendant ce produit, alors voici le lien (le lien direct) pour y accéder directement.

Par contre, bien évidemment, si vous passez par ce lien-ci, je ne toucherai rien et je ne pourrai donc pas vous reverser vos 10 €.


Cette réduction vient généralement à bout de toutes les dernières réticences

Pourquoi c'est une bonne idée le lien direct ?

Le fait de mettre un lien direct, même s'il n'y a pas de réduction liée à la commission, permet en général de rattraper pas mal de ventes qui n'auraient pas été comptabilisées pour vous si le lien direct ne s'y trouvait pas.

Parce que certaines personnes ont vraiment du mal à supporter qu'on leur recommande un produit sans signaler qu'ils vont toucher une commission sur la vente de ce même produit.

C'est une question d'éthique.

De plus, les liens d'affiliation étant ce qu'ils sont, ils sont modifiables très facilement.

Sans parler du fait que de nos jours, on a à notre disposition 3 navigateurs quasiment identiques : Chrome, Firefox et Internet Explorer.

Donc une personne qui voudra absolument passer par le lien en direct cliquera simplement sur votre lien d'affilié avec un navigateur (Chrome par exemple), comme ça elle arrivera sur le site et n'aura plus qu'à relever le lien direct.

Elle fermera Chrome et ouvrira Firefox, puis elle collera le lien direct dans la barre d'adresse. Il n'y aura alors AUCUN MOYEN pour vous de toucher la moindre commission.

Ceci rendant absolument inutile tous les raccourcisseurs d'url ou logiciels qui protègent soit-disant les liens d'affiliation.

Donc, mettez le lien direct SUR votre page de recommandation directement.

Ce geste rend votre démarche plus transparente, et désamorce donc un sacré paquet de fraudes au lien.

Un peu comme il est évident que si on interdit à un enfant de toucher à un bibelot, la première chose qu'il fera sera d'y toucher dès que vous aurez le dos tourné.

Mais je peux concevoir que la plupart d'entre vous ait peur de le faire.

Moi, je le fais pratiquement tout le temps quand je vends un produit en affiliation. J'ai testé les deux cas, et je vends toujours plus avec que sans.

Mais ça peut être différent dans certaines niches que d'autres.

Pour aller 1000 fois plus vite…

Je vous en parlais hier. Si j’ai choisi de vous présenter une petite série d’articles sur l’affiliation, c’est pour vous parler du Club Affiliation Pro qui rouvre ses portes pour quelques jours.

A ce titre, Ludovic présente une série de vidéos qui vous expliquent comment faire pour créer un blog et tout ce qui va autour et pour le monétiser grâce à l’affiliation.

Vous pouvez accéder à ces vidéos en cliquant ici.

Vous l’aurez compris, si vous passez par le lien ci-dessus, alors je toucherai une commission (35 €) si vous devenez membre du Club Affiliation PRO. Et pour être bien sûr que vous lisez bien ce texte, je décide de rajouter ce dont j’ai parlé aujourd’hui dans mon article, soit :

Comme je trouve normal de vous remercier si vous passez par ce lien, je vous propose donc de vous reverser 20 € sur votre compte Paypal sur les 35 que je toucherai chaque mois si vous vous inscrivez.

Pour en profiter, c’est très simple : Dès que vous vous serez inscrit, transférez-moi simplement le mail de la transaction Paypal. Je vérifierai que vous êtes bien passé par mon lien et vous reverserai vos 20 €. Et vous ferez de même chaque mois.

Et bien entendu, si cette idée vous est absolument insupportable, alors vous pouvez cliquer directement sur ce lien. Vous accèderez alors aux vidéos sans que je touche quoi que ce soit.

Et quoi qu’il en soit, rendez-vous demain pour la suite de mes astuces de copywriter pour améliorer vos scores en affiliation (ce qui vous donnera un avantage supplémentaires sur ceux qui ne les utiliseront pas !)


18 JANVIER 2014

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