Ecrivez facilement des textes qui font agir
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Je viens de me lever. Il est 6:15.
J’aime bien me lever tôt parce que de cette manière, à 7:00 je peux attaquer mon taf.
Et je suis à fond jusqu’à 10:30.
“A fond”, ça veut dire que mon cerveau carbure à plein régime pendant ces 3 heures et demie.
Ca veut dire que j’accomplis autant durant cette période que pendant le reste de la journée. Donc, c’est important pour moi de travailler à ces heures-là.
Mais ce matin, rien ne s’est passé comme prévu.
A 6:35, on a entendu une sorte de “boum” dans la chaufferie. Je suis allé voir, et là...
Bon... Je dois appeler le plombier... Le chauffe-eau vient de lâcher.
Et il a la mauvaise idée de se répandre partout… Donc il faut aller couper l’eau d’urgence. Seulement voilà...
A 6:35, la douche fonctionne. Et elle fonctionne même à plein tube parce que ma femme a décidé, ce matin – comme par hasard – de se laver les cheveux.
Donc forcément, moi, quand je me précipite sur le robinet de fermeture générale de l’eau, c’est le grand moment de solitude. Parce que...
Bon...
Je vais pas vous raconter ma vie et le déroulement de ce micro-drame en détails...
Avançons plutôt de quelques heures, et arrivons directement à la fin...
Il est 9:43...
Le plombier est venu en urgence (il habite quelques rues plus loin). Il a tout réparé. La maison a retrouvé son calme habituel. Tout le monde est parti.
Et moi je vais enfin pouvoir me mettre à travailler.
Sympa de bosser chez soi n’est-ce pas ?
Ce genre de petits désagréments arrivent souvent. Il n’y a qu’à imaginer ce qu’on peut rencontrer comme problème sur la route quand on se rend à son travail.
Et si on bosse à partir de chez soi, alors sans parler de ce genre de catastrophe relativement rare, on n’est jamais à l’abri de l’appel d’un client ou d’un souci technique sur son site, ou de toute autre tuile qui nous tombe dessus.
L’important n’est pas vraiment de se concentrer sur ce qui arrive. On SAIT d’avance que l’on peut avoir à gérer beaucoup d’imprévus.
Non, l’important dans tout ça, c’est surtout de savoir COMMENT vous vous adaptez à ce genre d’imprévus.
Est-ce que vous avez prévu le coup ?
Par exemple :
S’adapter aux imprévus, c’est surtout PREVOIR un maximum à l’avance que vous puissiez être amené à ne plus être disponible.
C’est imaginer que cela puisse vous arriver. C’est anticiper les éventuels problèmes en prenant un petit peu d’avance.
Et aussi, c’est prévoir de (faire) PREVENIR vos clients, vos partenaires, vos collaborateurs afin qu’ils ne s’inquiètent pas en public (genre en commentaires sur votre blog ou sur un forum).
Cet article est juste là pour vous alerter...
Si dans les 5 prochains jours, vous devez absolument vous absenter par suite d’un imprévu, est-ce que vous avez prévu un plan de secours pour vos affaires ?
Se poser la question, c’est déjà commencer à entrevoir des manières de s’adapter !
21 SEPTEMBRE 2012
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Hier j’ai publié un article concernant la relative erreur qui consiste à afficher des prix barrés quand on tient un site Internet (ou une entreprise bien réelle).
Je vous invite à aller lire les différents commentaires reçus, car tout cela me semble bien instructif.
En complément de cet article et des précisions que j’ai apportées, ainsi que quelques lecteurs, en commentaires, j’ai eu l’occasion hier (alors que j’étais dans une file d’attente interminable) de trouver sur le site Gourous du Net, quelques articles qui parlent de l’impact d’une remise sur la stratégie globale d’une entreprise.
Je vous ai sélectionné 4 de ces articles, et je vous engage fortement à aller les lire un par un (ils sont assez courts et très agréables à lire).
Cela vous donnera un peu plus de matière à réflexion si votre idée est de réaliser une remise sur votre prix initial.
Je vous retrouve à la fin pour une précision de taille sur la stratégie que j’utilise à ce propos sur Internet depuis plus de 7 ans avec succès.
“Les temps sont durs, l’argent ne coule plus à flots, les clients se font prier pour acheter.
Etant donné le climat économique, il est nécessaire de redoubler d’efforts et d’inventivité pour continuer à vendre correctement, voire pour simplement survivre.
La remise s’impose rapidement comme le meilleur choix.
C’est une grave erreur. En voici la preuve mathématique...”
Allez lire la suite de cet article ici...
“La raison principale pour laquelle un prospect n’achète pas est parce que le prix est trop élevé. Un bon commercial saura donc lui faire une remise et le convertir de prospect en client.
C’est du moins comme cela qu’est perçu ce métier par beaucoup.
En réalité, est-ce...”
Allez lire la suite de cet article ici...
“Je suis toujours impressionné par toutes ces personnes qui exposent un projet dont la seule approche est de vendre moins cher.
Je vais être clair: vendre moins cher est rarement une stratégie marketing et est encore moins souvent une stratégie commerciale viable au long terme.
Le prix doit être...”
Allez lire la suite de cet article ici...
“Depuis que l’état de crise a été déclarée, on voit fleurir les offres au rabais. C’est une stratégie à très court terme et si vous la suivez, vous risquez de courir à votre perte.
Cette période est une opportunité pour vous, pour ressortir plus fort et profiter de la chute de vos concurrents.
Pourquoi baisser les prix n’est pas bon ? Simplement parce que cela veut dire...”
Allez lire la suite de cet article ici...
Je n’ai pas vraiment été très loin dans mon article d’hier.
Et quand je regarde certains commentaires, je m’aperçois que le sujet de la remise (ou du rabais) est bien souvent mal compris et mal interprété.
Surtout sur Internet.
Si vous n’avez jamais utilisé et surtout mesuré les deux stratégies (à savoir vendre sans rabais et vendre avec un rabais) alors vous n’avez probablement pas le recul nécessaire pour analyser ce qui est le mieux pour vous.
Si vous avez basé votre stratégie sur le prix barré permanent directement sur la page de vente de votre produit, alors il y a de fortes chances pour que vous perdiez des sommes colossales chaque année, mais surtout – ce qui est pire – que vous ayez une majorité de “mauvais” clients.
Des clients qui ne vous achètent jamais rien quand vous ne faites pas de remise. Des clients qui ne sont intéressés que par le niveau du prix de votre nouveau produit, et ce quelle que soit sa qualité et ses avantages.
Des clients qui vous lâcheront sans la moindre hésitation s’ils trouvent moins cher ailleurs. Et ce même s’ils sont déçus après coup par le produit acheté à votre concurrent. Parce que ce qu’ils recherchent, c’est un prix. Une remise.
Votre produit, ils s’en foutent. Ou plutôt non. Ils veulent un produit comme le vôtre, mais que ce soit VOUS qui le leur fournissiez ou un autre, ils s’en foutent.
En conclusion, vous avez tout à fait le droit de pratiquer des remises permanentes.
Si votre CA vous convient, si vos clients vous conviennent, et si vous êtes satisfait par le nombre de ventes que vous réalisez pour chacun de vos produits, alors soit...
Mais si vous ramez un peu – beaucoup ? - pour vendre, alors essayez plutôt la stratégie du “juste prix”. Et utilisez la remise intelligemment.
Les clients que vous récupèrerez comme ça vous rapporteront 5 fois plus à long terme que ceux dont vous avez l’habitude d’avoir avec des remises permanentes.
En ce qui me concerne, c’est cette stratégie du juste prix que je pratique depuis que j’exerce sur Internet.
Mes clients savent très bien que je ne fais jamais de remise sur mes produits, à part lors d’évènements (TRES) extraordinaires.
Donc ils m’achètent mes produits dès leur sortie. Et je n’ai donc pas besoin de leur mettre un – FAUX - prix barré pour ça.
Mais c’est moi...
Je ne dis pas que j’ai la meilleure stratégie du monde, mais elle me convient. Mes clients également. Et le CA généré par mes produits me convient aussi.
Et vous ?
Votre CA vous convient-il ? Vos clients aussi ? Vous ne ramez pas trop pour leur vendre vos produits au prix normal ?
18 SEPTEMBRE 2012
Il y a quelques jours, je suis tombé sur une annonce dans une agence immobilière qui indiquait “Exclusivité : Prix en baisse”.
Cette petite affichette sensée attirer le chaland était mise en travers de la photo d’une maison.
Alors il est vrai que c’était dans une étoile jaune. Et que c’était inscrit en rouge.
Donc d’un point de vue visuel, aucun doute ça attire l’œil.
Par contre, une fois qu’on a été attiré, et qu’on commence à réfléchir, alors ce genre d’annonce fait peur.
Vous voyez pourquoi ?
Parce qu’elle dit clairement : “On a du mal à vendre cette baraque, alors on la baisse”.
S’ensuivent alors tout le cortège d’idées négatives qui peuvent accompagner ce genre d’interprétation :
En bref, cette annonce dessert non seulement l’agence immobilière, mais également la maison et le propriétaire, car elle véhicule une image négative du bien.
Parce qu’un produit (surtout une maison) qu’on apprécie, c’est surtout celui dont le prix monte. Parce qu’une fois qu’on l’a acheté, alors on souhaite qu’il monte encore, histoire qu’on puisse le revendre un jour avec une belle plus-value.
Bref, en gros, mettre un “prix en baisse” et l’annoncer en plus, ce n’est pas vraiment une bonne idée.
Il en est de même avec beaucoup de produits que l’on trouve en vente sur Internet.
Trop souvent, on peut voir des prix barrés directement sur la page de vente.
Ce n’est pas une bonne idée.
Parce que comme pour la maison ci-dessus, le cortège des idées négatives qui accompagnent ce genre de faux argument me semblent carrément rédhibitoires tant pour le produit que pour le vendeur.
Parce que lorsque je vois qu’un produit est bradé, alors je me dis qu’il n’a pas marché et que le vendeur sort ses dernières cartouches pour essayer de me le fourguer quand même.
Parce que lorsque je vois un prix barré, je me dis que le produit est obsolète et qu’il ne me semble plus vraiment correspondre à quelque chose de nouveau. Et qu’il existe sûrement mieux ailleurs.
Parce que lorsque je vois qu’un prix est barré, je me dis que si j’attends encore alors je pourrai avoir le produit encore plus bas.
Et pour finir, lorsque je vois qu’un prix est barré en dehors d’une période de soldes, alors je me dis que primo le vendeur ne sait pas qu’il n’a pas le droit de faire ça, et secundo qu’il a bien mal évalué son prix au départ.
En résumé, je n’ai pas confiance en ce vendeur et encore moins dans son produit.
Le prix d’un produit se détermine avec soin.
Il est un élément déterminant dans le succès – ou l’échec – de la vente de ce produit.
Beaucoup pensent que le fait de faussement “brader” un produit aide à le vendre mais ce n’est pas du tout le cas.
Une réduction doit se faire de manière intelligente.
Soit sous la forme d’une vente flash, une ou deux fois dans l’année, soit en la réservant à quelques personnes triées sur le volet (des membres par exemple), par mail.
Mais sûrement pas dans un lieu public.
Parce que le nouveau visiteur qui tombe sur une réduction avant même de connaître le vendeur et son produit ne peut logiquement pas avoir la moindre confiance en ce vendeur et en ce produit.
Ou alors c’est un coup de bol.
Réfléchissez avant de faire ça. Parce que si vous le faites, vous perdez certainement beaucoup d’argent.
17 SEPTEMBRE 2012
J’ai une petite énigme pour vous. Voyons si vous êtes perspicace et si vous saurez répondre à cette simple question :
Si vous n’avez encore jamais été confronté à ce genre de question, alors il y a de grandes chances pour que vous ne trouviez pas la bonne réponse (même si vous êtes très très calé en animaux).
Il peut y avoir des exceptions, bien sûr (il y a toujours des exceptions).
Mais la grande majorité de ceux qui vont lire cette question vont soit se planter, soit simplement ne pas trouver.
Je vais vous donner la solution dans quelques minutes, mais auparavant, j’aimerais attirer votre attention sur un concept assez fondamental qu’on se doit de pratiquer et de maîtriser quand on est blogueur :
Quel rapport avec la question me direz-vous ?
Il est total.
Parce que la solution à cette énigme est à la fois simple et franchement très compliquée.
Simple parce qu’une fois que vous la connaîtrez, vous allez vous en vouloir de ne pas l’avoir dit.
Et très compliquée parce que pour la trouver, cela va vous demander de prendre un recul énorme sur votre manière de comprendre et d’aborder les choses.
Je vous donne la réponse ou pas ?
Je vous sens fébrile.
Allez, attendons encore un peu...
Ca veut dire envisager des solutions différentes et “originales” à un problème.
Ca veut dire comprendre qu’il y a un piège, s’asseoir, et réfléchir calmement à la situation.
C’est sortir de son mode de pensée habituel, et ouvrir son esprit à d’autres chemins.
Bref, comme je vous le disais, ce n’est pas facile du tout.
Car de nos jours, il est de plus en plus difficile de “sortir” de nos croyances et de nos manières d’agir.
On pense avoir la science infuse. On croit qu’on connait tout ce qu’on doit connaître. On croit qu’on a des principes qui tiennent la route. On croit qu’on a des manières d’agir qui sont réfléchies. Et contrôlées.
Mais en réalité c’est un leurre.
Prendre du recul, c’est donc accepter qu’il existe d’AUTRES solutions à un problème. Même si on ne les connait pas encore.
C’est accepter de changer sa manière de penser, d’abandonner ses vieux principes obsolètes et de réfléchir un moment à d’autres moyens d’arriver à une solution correcte.
Alors...
Après ce petit laïus, pouvez-vous me dire quel animal saute plus haut qu’un poteau télégraphique ?
Ou toujours pas ?
Je sais... Je vous avais prévenu, la réponse à cette question est compliquée...
Pour autant, essayons de réfléchir en “prenant du recul”.
Je vais essayer de vous aider à trouver la solution.
Quand vous avez lu cette question, votre processus mental a fait UNE chose : Il a commencé à passer en revue TOUS les animaux que vous avez déjà vus. En vrai ou dans les livres ou à la télé.
Vous avez avancé quelques hypothèses. Le kangourou, probablement. Parce que d’instinct, c’est l’animal qui semble sauter le plus haut.
Et puis vous vous êtes dit qu’un poteau télégraphique c’est quand même haut... Et vous vous êtes certainement demandé alors à combien pouvait bien sauter un kangourou.
Certains d’entre vous ont été chercher sur Google pour avoir cette info. Hé oui, certains l’ont fait (vous peut-être ?).
D’autres ont essayé de trouver un classement des animaux qui sautent, avec un tri par le plus haut saut.
Et d’autres encore on commencé à interpréter la question. Et à y trouver des failles, des manques. Du genre :
Mais combien ont essayé de visualiser un poteau télégraphique en train de sauter pour s’apercevoir qu’en toute logique, un poteau, ça ne saute pas ?
Hé bien personne. Ou peut-être une ou deux personnes...
Parce que – c’est un scoop – en effet, un poteau télégraphique, ça ne saute pas !
Donc la bonne réponse à cette question, c’est : “Tous les animaux sautent plus haut qu’un poteau télégraphique, parce qu’un poteau ça ne saute pas du tout”.
Je vous avais prévenu : Trop facile !
Il y a toujours deux manières d’aborder un problème : La façon “commune” et la façon “originale”.
Les deux chemins peuvent mener à la bonne solution. Mais ce sera toujours la manière originale qui viendra à bout des problèmes les plus complexes.
Parce que si beaucoup de monde connait la solution à un problème, alors ce n’est pas un problème complexe.
Donc pour être original, vous devez prendre du recul.
Vous vendez peut-être un ou plusieurs produits sur Internet, mais vos revenus ne décollent pas : Peut-être que vous n’avez pas pris assez de recul et que vous vous cantonnez donc à des systèmes “communs”. Que tout le monde utilise.
Vous avez peut-être un blog, mais peu de visiteurs, peu de commentaires et peu d’abonnés à votre liste. : Peut-être que vous dites la même chose que beaucoup d’autres blogueurs et que vous n’employez pas de méthode “originale” pour sortir de la masse.
Prenez du recul.
Adossez-vous à votre siège, et regardez votre activité avec un œil extérieur. La solution à votre problème existe. Vous devez ouvrir votre esprit pour la voir.
Elle n’est pas facilement trouvable, mais une fois que vous l’aurez trouvée, vous vous en voudrez de ne pas l’avoir trouvée plus tôt tellement elle était “facile”.
Voyons si vous avez compris :
Celle là, je vous laisse la trouver tout seul ;)
14 SEPTEMBRE 2012
Savez-vous quel est le "degré de sympathie" de votre site web, vos articles de blog, vos emails ou de vos pages de vente ?
Saviez-vous que la sympathie d’un texte, quel qu'il soit, est mesurable ?
Voici comment…
Si vous avez quelques notions de copywriting, ce qui doit forcément être le cas si vous lisez ces lignes, alors vous avez certainement appris que le mot le plus important qu’on emploie sur une lettre de vente c’est le mot "vous" et tout ce qui s’y rapporte (votre, vos, tu, tes, ton, etc…). C'est ce qu'on appelle les MOTS D'OR.
Il s’ensuit que le mot le moins important est donc son contraire, à savoir le bon vieux "Nous" et ses dérivés (nôtre, nos, moi, mien, etc.). C'est ce qu'on appelle les MOTS INTERDITS.
J'ai donc créé un outil en ligne qui calcule le rapport entre le nombre de mots d'or qu'il y a dans un texte, par rapport au nombre de mots interdits.
Le résultat obtenu est un ratio baptisé "Sympathomètre".
Et donc forcément, plus le sympathomètre de votre texte est haut, et meilleur c’est pour vous.
Comment ça fonctionne ?
Prenez un texte, n'importe lequel. Une page de vente, un article, un mail, une page complète d'un site ou d'un blog, même, si vous voulez.
Copiez et collez ce texte dans le Sympathomètre, et vous obtiendrez le nombre de mots de votre texte, le nombre de mots d'or, et le nombre de mots interdits. Il ne vous restera plus qu'à améliorer ou non votre texte.
Pour accéder à cet outil de calcul, il vous suffit de laisser votre prénom et votre adresse email dans le formulaire ci-dessous. Vous recevez l'accès à cet outil et aux autres en quelques secondes.
Il y a quelques jours, je vous parlais de la méthode que j’ai décidé d’utiliser pour écrire des articles plus courts, mais tout aussi intéressants et captivants que les longs articles que j’ai l’habitude d’écrire.
Je vous révèle cette méthode ici.
Vous allez le voir, c’est d’une facilité déconcertante. En tout cas au premier abord.
En fait, le PRINCIPE est très simple. Il tient en une seule petite phrase.
La réalisation et la mise en œuvre par contre, me semble un peu plus compliquée sans un peu d’entrainement.
Mais cessons le suspense, voici la méthode :
Je vous avais prévenu, c’est concis !
En fait, c’est prodigieux de simplicité.
Il vous suffit de “décoder” un article court que vous avez trouvé sympa, et d’utiliser le même schéma pour écrire votre article à vous.
Je vous montre ?
Prenons cet article sur Gourous du net : Je suis vieux et j’en suis fier
Pour faire ça, il vous suffit de décortiquer et de séparer l’article en plusieurs morceaux, et de “nommer” chaque partie de telle manière que vous puissiez vous en resservir à foison ensuite.
Pour l’article pris en exemple, je dirais ça :
Vous pouvez même décider de rajouter une étape si vous le souhaitez.
Moi j’ai décidé de rajouter :
Pour pouvoir utiliser le schéma d’un article de ce genre, il faut trouver une idée approchante au thème de l’article.
C’est à dire, ici, une idée qui peut se décliner en “je suis ceci…” et “je ne suis pas cela…”
Je propose par exemple :
Il suffit ensuite de “remplir” les blancs et de construire votre article sur le même modèle.
En rajoutant au besoin quelques étapes au fur et à mesure de votre écriture.
Pour l’exemple choisi, je vous renvoie à mon article d’hier ;)
Il fait très exactement 267 mots et a été écrit en un peu moins de 14 minutes (oui je me suis chronométré).
Que vous souhaitiez écrire long ou court, en décortiquant et en décodant certains articles existants, vous pouvez arriver à avoir un schéma, une trame d’article déjà existante, que vous allez pouvoir réutiliser à foison pour écrire vos articles à vous.
En fait, vous vous créez des “modèles” d’articles.
Vous pouvez le faire pour tous les articles qui vous ont inspiré.
Il est beaucoup plus facile et beaucoup plus rapide ensuite d’écrire “court”, parce que vous n’avez qu’à suivre la trame.
Ca vous aide à trouver des idées. Ca vous donne un plan bien défini. Une direction.
Ainsi, vous perdez moins de temps à chercher.
Vous n’avez qu’à suivre la ligne.
Essayez, vous verrez. Que vous écriviez long ou court, ça marche bien !
13 SEPTEMBRE 2012
Je lis partout que les gens n’aiment plus lire.
En fait, on me raconte plein de trucs à propos de la lecture :
Je ne suis pas comme ça...
J’aime tenir un bon vieux livre en papier dans les mains. J’aime y passer le temps qu’il faut pour bien comprendre ce qu’on me raconte. J’aime écrire des notes dessus pour y revenir plus tard au besoin. Et je le fais aussi sur un PDF.
J’aime ouvrir un dico quand je ne comprends pas un mot. J’aime relire un texte qui m’a beaucoup plu. Même si ça me prend 20 minutes de plus.
Oui ! J’aime lire, et j’en suis fier !
Et j’ose espérer que ceux qui me lisent sont comme moi.
Voilà pourquoi j’écris long. Parce que j’aime lire, écrire et j’aime les lecteurs. Les vrais.
Les autres, les scanneurs, m’intéressent beaucoup moins. Parce que j’ai l’impression qu’ils ne m’écoutent pas.
J’ai plutôt l’impression qu’ils ne font que passer...
Quels types de visiteurs vous intéressent ? Ceux qui vous écoutent ou ceux qui passent juste ?
Lesquels deviendront un jour vos clients à votre avis ?
12 SEPTEMBRE 2012
Il y a quelques temps (8 mois pour être précis), j’avais écrit un article qui s’intitulait Apprendre à écrire court... Pas facile.
J’y faisais part de mon intention d’écrire un article de moins de 300 mots le vendredi, challenge que je n’ai pas vraiment réussi à mener à bien.
Avec le recul, j’ai compris pourquoi.
En effet, en ce qui ME concerne, ma manière d’écrire est spéciale.
Je fais rarement – voire jamais – de plan.
En fait, le plan de mes articles arrive tout seul.
J’écris d’une traite, en partant d’une idée de base, et je brode. Ensuite, je crée des liens entre les idées, je rajoute des intertitres, et ça donne un article complet.
Il ne reste plus qu’à rajouter une intro et une conclusion, et hop, le tour est joué.
Quand on procède comme ça, pas facile d’écrire court.
Parce que les idées qui se sont enchainées sont arrivées là pour une bonne raison, qui découlait de ce qui venait d’être dit.
Et donc lorsqu’arrive le douloureux moment de réduire l’article à 300 mots ou moins, hé bien le fait d’enlever une idée fait perdre tout son sens réel à tout ce qui vient après.
Un peu comme si on enlevait un maillon d’une chaîne : Ce qu’il y avait avant et après ce maillon se désolidarise.
Alors qu’en fait, écrire court est relativement facile...
Je dirais même que c’est très facile d’écrire court.
Il suffit d’avoir une bonne méthode pour le faire.
Celles que j’ai trouvées et décidé d’adopter sont absolument parfaites pour ça.
J’aimerais bien savoir si vous allez pouvoir les trouver (il y en a deux).
J’y reviens dans une minute...
Dans l’article que je présentais en intro à celui-ci, j’avais demandé des méthodes, des astuces, des secrets, pour écrire court.
Beaucoup de commentateurs y étaient allés de leurs avis, et l’une des commentatrices est clairement sortie du lot.
Il s’agit de Marianne, du blog Parler en public online, qui m’a proposé ces 7 méthodes :
Ca donne de bonnes pistes n’est-ce pas ?
J’ai décidé quant à moi d’appliquer – entre autre - celle de “l’essentiel en 3 phrases”, puisque autant que faire se peut, je rajoute une rubrique “Ce que vous devez retenir de cet article” à la fin de tous les articles qui s’y prêtent.
Pour autant, les DEUX méthodes que j’ai choisies pour écrire court ne figurent pas parmi ces 7 propositions.
En effet, j’en ai trouvé deux autres qui sont très efficaces et que je vais employer le plus possible à compter de maintenant.
L’une d’entre elles a réussi à me faire écrire 7 articles en moins de 2 heures.
Je vous en parlerai dans quelques jours.
Aujourd’hui, je voudrais parler de la deuxième méthode.
La plus rapide et la plus facile à mon avis.
Mais surtout, la plus performante en terme de temps.
J’aimerais bien tester un peu votre perspicacité et je vais donc vous demander de proposer vos idées à ce propos, histoire de voir si vous allez trouver.
Je vous remercie donc d’utiliser les commentaires ci-dessous pour indiquer vos propositions.
Je vous pose la question clairement :
A votre avis, quelle méthode ai-je décidé d’utiliser pour écrire des articles pertinents de moins de 300 mots en à peu près 15 minutes ?
Tant que la réponse ne sera pas donnée ici, je ne publierai pas l’article qui explique tout. Je compte donc sur vous pour participer.
En outre, vu qu’il y aura certainement beaucoup de bonnes idées – j’ai confiance en vous -, je reprendrai les meilleures dans un article récapitulatif avec un lien vers le blog des participants.
Pour l’heure, c’est à vous :
11 SEPTEMBRE 2012
A moins que vous n'ayez vécu dans une grotte depuis un an, vous ne pouvez pas être passé à côté de l'Agent Conversationnel "ChatGPT", baptisé pour l'occasion "Gepetto" sur ce blog.
Il a vu le jour en novembre 2022, mais a réeellement explosé à partir de février 2023, en récupérant 100 millions de membres en moins de 8 mois.
On n'avait pas vu de croissance pareille depuis bien longtemps.
Il est donc important d'apprendre à maîtriser cet outil (car, OUI, ce n'est qu'un outil) pour gagner un temps phénoménal dans des milliers d'actions.
En ce qui me concerne, je l'utilise tous les jours pendant 2-3 heures, et j'écris régulièrement des articles dessus pour vous apprendre à l'utiliser aussi, avec ou sans objectif d'améliorer votre copywriting.
Voici les plus populaires :
Et si vous voulez recevoir de temps en temps des "prompts" ou des "invites" en français, par mail, alors inscrivez-vous en tant que membre de ce blog, et une fois inscrit.e, demandez à recevoir l'article du jour par email.
J'envoie fréquemment un nouveau prompt intéressant en PS, en plus de l'article. De quoi vous faire souvent gagner un temps fou.
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Il ne faut pas se leurrer : La plupart des phrases que l’on dit ainsi que le vocabulaire qu’on emploie vient de ce qu’on a déjà lu ou entendu.
On emploie chaque jour beaucoup de phrases de ce style : “rien ne sert de courir, il faut partir à point”, ou “l’argent ne fait pas le bonheur” ou encore “après la pluie vient le beau temps”...
Ca ne vient pas de vous... Ca vient des livres.
Vous avez également certainement déjà entendu parler de “c’est juste pas possible”, de “colère palpable” ou bien de “c’est que du bonheur”. Ce genre de phrase nous arrive tout droit de la télé.
Ces phrases ont été prononcées par des animateurs, des acteurs, ou des journalistes, et la répétition de ce genre de phrase a été à l’origine d’une sorte d’emploi collectif de ces phrases à travers le pays.
Vous avez un blog ou vous écrivez un livre et vous manquez d’inspiration ?
Pourquoi ne pas utiliser ce que vous avez déjà lu ou entendu quelque part ?
Comment ? En lisant tout simplement. En enrichissant votre vocabulaire. En lisant toujours de plus en plus de livres, et en sélectionnant les formules qui vous parlent, pour les réutiliser dans vos courriers.
C’est le principe des citations.
Personnellement, je fais ça tout le temps.
Je place en effet souvent dans mes articles quelques phrases que j’ai entendues dans un film, ou que j’ai lues dans un livre ou un magazine et qui me semblent appropriées pour l’occasion.
Il vous suffit de noter les phrases qui vous inspirent quand vous lisez un article ou quand vous voyez un film.
Et ensuite, il vous suffit de les réemployer à bon escient dans vos courriers, vos pages de vente, ou vos articles.
Le but n’est pas de construire vos articles QUE comme ça et qu’avec ce genre de phrases – encore que l’exercice peut être sympa.
Non, cela sert juste à ENRICHIR vos écrits.
Plus vous lirez, et plus vous enrichirez votre vocabulaire, et plus vos idées pourront s’exprimer clairement.
C’est une activité préparatoire et continue. On ne s’y prend pas au dernier moment. Ca se fait sur du long terme. Ca se travaille. Ca s’entretient.
Vous pouvez vous créer une base de données de citations et de phrases “phares” qui vous inspirent au fur et à mesure que vous lisez, ou que vous voyez des reportages à la TV ou sur le web.
Comme les anecdotes.
Ayez toujours un petit carnet sur vous ou la fonction “dictaphone” de votre smartphone pas loin.
Au fil du temps, vous vous constituerez une base de données importante de phrases toutes faites, et c’est la meilleure manière pour vous d’écrire des articles un peu plus riches.
Pensez-y, c’est facile à faire.
Un article captivant, c’est un article qui emploie un vocabulaire simple, imagé et qui parle à vos lecteurs.
Au fil de vos lectures, ou du visionnage de films en tous genres, vous rencontrez des phrases qui provoquent chez vous des émotions.
Prenez l’habitude de les noter systématiquement dans un carnet prévu à cet effet.
Et utilisez-les dans vos articles ou dans vos écrits en général.
Ces expressions donneront du relief à ce que vous écrivez. Et elles rendront vos écrits plus riches et plus intéressants.
10 SEPTEMBRE 2012
J’aime les articles bien écrits qui me bouleversent, ou qui me font réfléchir. Les articles qui me donnent envie de réagir. Ou qui me motivent pour la journée.
J’en ai des cartons entiers dans mes favoris.
Le web est rempli d’articles médiocres et peu fouillés, je sais.
Mais quand on cherche bien, on trouve parfois de vraies perles au milieu d’un blog que l’on lit.
Un article qui nous a inspiré. Qu’on met en favori, et qu’on relit de temps en temps.
Parce que chaque auteur qui écrit, peut être frappé par un éclair de génie et peut ainsi sortir un article exceptionnel.
Ca ne peut pas arriver tout le temps.
Chez certains blogueurs, ou chez certaines blogueuses, les articles comme ça sont légion. On en trouve des dizaines tout au long de leur blog.
Pour d’autres, c’est bien plus rare. Mais ça arrive quand même.
Donc, comme ce blog est un blog axé sur l’écriture, j’ai décidé de rajouter une rubrique, pour faire la lumière sur un blogueur ou une blogueuse, à travers un article exceptionnel qu’il aurait écrit.
Parce que chacun d’entre nous peut briller. Une fois, 10 fois, cent fois.
Je suis donc à la recherche d’articles rares et exceptionnels qui tournent autour de :
Vous l’aurez compris, toutes ces disciplines en rapport avec le copywriting.
Je recherche une écriture exaltée. Une passion qui transparait dans les mots, et une véritable information qui sert.
Aucune notion de taille d’articles n’est requise.
Je cherche plutôt de l’exaltation. Du plaisir à la lecture. De la réflexion. Parfois une seule phrase, ou quelques paragraphes suffisent. Dans d’autres cas, un article énorme duquel on ne peut lever les yeux avant la fin.
Si vous avez lu quelque part un article qui vous a époustouflé, captivé ou tout simplement fait pleurer ou rire, alors utilisez le formulaire ci-dessous pour m’en donner l’endroit où je peux le lire aussi.
Indiquez bien votre nom et le nom de votre blog car je ferai également un lien vers le vôtre en tant “qu’inspirateur” de cette rubrique.
J’irai lire chaque article que vous me soumettrez, mais je ne vous garantis pas que je le publierai ici, puisque l’article choisi doit bien évidemment provoquer chez moi une émotion forte.
Ce que je vous explique depuis le début de cet article, quoi...
Bref j’espère que vous aurez compris l’idée.
Utilisez donc le formulaire ci-dessous pour me donner vos petits bijoux.
Vous pouvez bien entendu m’en soumettre plusieurs.
Merci d’avance pour cette collaboration ! Cette rubrique sera présente chaque vendredi sur Copywriting Pratique.
Si vous avez besoin de précisions sur tout ça, n’hésitez pas !
7 SEPTEMBRE 2012
Cet article fait suite au précédent, qui vous donnait les 3 premières étapes dans la rédaction d’un commentaire ET d’un article conjointement pour répondre à une question, et pour faire venir des gens chez soi dans le même temps.
Aujourd’hui, nous voyons les 4 dernières étapes de cette procédure.
Je vous invite à retourner lire l’article qui se trouve avant celui-ci pour bien vous remettre dans le contexte.
Toujours le même conseil mais pour le coup, ici, il est très important. En effet, c’est le titre qui va attirer les gens chez vous.
L’alchimie : Information pertinente + promesse d’une info de qualité + titre attirant = la certitude quasi absolue de voir arriver des gens chez vous.
Donc fouillez un peu dans ce blog et trouvez mes astuces pour réaliser un titre accrocheur.
C’est la moindre des choses. Et c’est surtout très facile à faire. Il vous suffit déjà d’en parler.
Et de mettre un lien vers l’article original – comme je l’ai fait ici - au début ou à la fin de votre article pour remercier le bloggeur initiateur et son commentateur dans la foulée.
Si vous pensez à remercier les gens qui vous inspirent, vous vous placez au-dessus de ceux qui se servent mais qui ne le font jamais.
Bref, mettez-vous à la place des gens. En général, cela suffit à trouver ce qu’il est bon de faire pour rendre tout le monde content.
L’idéal, c’est la liste en X étapes.
C’est ce que je viens de faire ici.
C’est généralement ce que les gens préfèrent car c’est facile à comprendre et à reproduire.
Détaillez bien chaque étape par contre. Une liste vierge, sans explication, vous fera passer pour quelqu’un de mesquin.
Une liste bien détaillée, avec des explications, et pourquoi pas un exemple réel en filigrane aura un impact bien plus sympa sur tout le monde
Hé oui ! Qu’est-ce que ça vous coûte ?
En général, si tout ceci est bien fait, alors le blogueur auteur de l’article n’aura pas du tout matière à vous le refuser.
En outre, appliquez la technique bien connue de je ne sais plus qui : Il vaut mieux agir et demander pardon ensuite, plutôt que l’inverse.
Tout ce que vous risquez, c’est que le blogueur efface votre lien.
Ca n’enlèvera pas le fait que vous avez un article écrit sur votre blog et qu’il aura généré du trafic par sa présence.
Cela dit, le fait de demander après coup, en disant par exemple directement sur le commentaire un truc du genre : “N’hésitez pas à supprimer ce lien si vous pensez que c’est inadapté”...
Bien peu refuseront si votre article suit bien le plan énuméré ici.
Et s’il supprime votre lien, ma foi, ce n’est pas bien grave. Vous pourrez toujours négocier directement avec lui soit par mail soit par commentaires interposés.
Vous pouvez vous servir des commentaires sur les autres blogs pour faire venir du monde chez vous.
Pour cela, il faut suivre le plan en 7 étapes que je viens de vous énumérer qui vous évite de passer pour un vautour qui va à la pêche aux visiteurs de manière vénale et sans respect.
Si vous faites cela comme il faut, tout le monde sera content :
Si vous voulez réagir à tout ça, les commentaires sont là pour ça.
Et vous pouvez même utiliser ce plan pour l’illustrer dans la vie réelle, en réalisant un début de commentaire instructif, et la suite dans un article créé spécialement pour l’occasion !
6 SEPTEMBRE 2012
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