Ecrivez facilement des textes qui font agir
Ressources gratuites pour Copywriters | Pourquoi ? | Un article au hasard
Aujourd’hui, je vous propose un article “invité” de notre ami Bernard KLEIN, du blog Vous-y-êtes, ancien journaliste, qui nous explique ici comment il choisissait parmi les centaines de communiqués de presse qu’on lui proposait.
Cet article est la retranscription d’un commentaire que Bernard a laissé sous l’article de lundi dernier, qui parlait de 23 conseils de spécialistes pour faire connaître son activité.
Ceci représente donc un 24ème conseil très pertinent à l’attention de celles et de ceux qui auraient envie d’utiliser les communiqués de presse comme moyen de se faire connaître :
Si je me remets en situation, disons il y a 10 ans lorsque j’étais journaliste, voyons comment je réagissais aux communiqués de presse que mon patron me collait par dizaines, voire par centaines, dans les mains chaque mois.
Première évidence : quand vous avez 150 communiqués à lire… vous ne les lisez pas !
Vous avez déjà vos sujets (ceux qui vous intéressent), et vous n’avez que moyennement envie de passer votre journée à éplucher les demandes de publicité gratuite des commerçants.
Donc, vous survolez très rapidement toutes ces feuilles volantes ; et tout ce qui est mal écrit passe direct à la poubelle.
Pourquoi ?
Parce que si le gars n’est pas capable de communiquer correctement, il y a statistiquement peu de chances pour que ce qu’il a à dire soit intéressant.
Et puis, au cas où vous auriez un trou à boucher, vous préférez ne pas vous prendre la tête à corriger des textes illisibles pour en faire des articles.
Donc :
Le style du communiqué doit être le plus proche possible de celui d’un article ou, mieux encore, d’un de vos articles.
Maintenant, au cas où votre problème ne serait pas de boucher un trou mais de trouver un vrai sujet intéressant… alors là, bien sûr, vous allez généralement privilégier ce qui est original.
Mais pas forcément.
Ça peut ne pas être hyper original, mais éveiller votre sympathie.
Prenons l’exemple de Rika Zaraï. J’avais fait un premier papier sur un de ses bouquins de médecines douces…
Un papier pas gentil du tout, du tout.
Puis elle a changé de genre et nous a sorti un bouquin de psy… hyper mais alors pas original du tout, du tout !
J’ai donc commencé par essayer de dissuader mon patron de m’envoyer l’interviewer.
Mais, le communiqué qu’elle nous a fourni, puis la conversation téléphonique que nous avons eu m’a fait changer d’avis.
Pourquoi ?
Parce que cette petite maligne lisait soigneusement les articles des journalistes spécialisés dans les domaines qu’elle exploitait, et elle les caressait dans le sens du poil.
Avec moi, me sachant branché Spi, elle usa donc d’arguments à tendance “spiritualisante”… et elle se rendit immédiatement beaucoup plus sympathique, sans pour autant avoir besoin de se donner la peine d’être originale.
Attention : ne me dites pas que c’est plus facile quand on est connu.
Non, concernant Rika Zaraï, c’est uniquement parce qu’elle a toujours su mettre les gens dans sa poche qu’elle a été connue.
Et non l’inverse !
D’autant que, dans les médecines douces, elle n’était pas connue pour la qualité de ses bouquins ! On l’évitait plutôt.
Si vous êtes original, tant mieux ! Vous plairez aux journalistes (au pluriel).
Mais si vous savez vous mettre le journaliste (au singulier) dans la poche… c’est aussi bien, sinon mieux !
Article rédigé par Bernard Klein, auteur-journaliste spécialisé dans les spiritualités du monde depuis 30 ans.
Il vous invite, au fil des articles de son blog consacré à l’éveil spirituel, à réaliser qu’il est inapproprié de chercher... car « vous y êtes » déjà !
24 MAI 2012
Savez-vous quel est le "degré de sympathie" de votre site web, vos articles de blog, vos emails ou de vos pages de vente ?
Saviez-vous que la sympathie d’un texte, quel qu'il soit, est mesurable ?
Voici comment…
Si vous avez quelques notions de copywriting, ce qui doit forcément être le cas si vous lisez ces lignes, alors vous avez certainement appris que le mot le plus important qu’on emploie sur une lettre de vente c’est le mot "vous" et tout ce qui s’y rapporte (votre, vos, tu, tes, ton, etc…). C'est ce qu'on appelle les MOTS D'OR.
Il s’ensuit que le mot le moins important est donc son contraire, à savoir le bon vieux "Nous" et ses dérivés (nôtre, nos, moi, mien, etc.). C'est ce qu'on appelle les MOTS INTERDITS.
J'ai donc créé un outil en ligne qui calcule le rapport entre le nombre de mots d'or qu'il y a dans un texte, par rapport au nombre de mots interdits.
Le résultat obtenu est un ratio baptisé "Sympathomètre".
Et donc forcément, plus le sympathomètre de votre texte est haut, et meilleur c’est pour vous.
Comment ça fonctionne ?
Prenez un texte, n'importe lequel. Une page de vente, un article, un mail, une page complète d'un site ou d'un blog, même, si vous voulez.
Copiez et collez ce texte dans le Sympathomètre, et vous obtiendrez le nombre de mots de votre texte, le nombre de mots d'or, et le nombre de mots interdits. Il ne vous restera plus qu'à améliorer ou non votre texte.
Pour accéder à cet outil de calcul, il vous suffit de laisser votre prénom et votre adresse email dans le formulaire ci-dessous. Vous recevez l'accès à cet outil et aux autres en quelques secondes.
Vendredi dernier je jetais un pavé dans la mare avec mon petit article sur la question de fin d’article.
Je disais qu’en fait, elle ne servait à rien.
Bon... Les plus futé(e)s d’entre vous l’auront compris, sur ce sujet comme avec tant d’autres, on ne peut pas être aussi catégorique que ça !
Dire :
“Il FAUT mettre une question à la fin de chaque article pour pousser les gens aux commentaires”
...est aussi absurde que dire l’inverse :
“Il ne faut surtout pas mettre une question à la fin d’article pour pousser les gens aux commentaires. Ca ne sert à rien !”
Car en fait, tout ceci dépend de plein de facteurs.
Déjà, il y a question et question.
Oui. Plutôt que de dire que mettre une question en fin d’article ne sert à rien, on peut par contre dire avec la certitude la plus absolue qu’il existe UNE certaine sorte de questions qui elles ne servent VRAIMENT à rien.
Il s’agit de la question “bâteau”.
Vous voyez de quoi je parle ? C’est ce genre de question-là :
Ce genre de question, comment dire...
C’est comme lorsque vous dites “ça va ?” à quelqu’un. “Salut, ça va ?”. On répond quoi ? “Ca va et toi ?”.
Bref, le dialogue de sourd par excellence.
Donc, soyons clairs : Si vous comptez mettre une question de ce style à la fin de votre dernier article, alors abstenez-vous.
Vraiment.
Parce que CETTE question précisément ne sert à rien du tout.
Ces 4 puces pour faire écho à cet article, réponse de mon article de vendredi dernier.
Bref si vous n’avez que ce style de question à poser pour la fin de votre article, n’en mettez pas.
Je n’ai encore lu nulle part ce dont je vais vous parler maintenant. Et pourtant, je trouve que ça tombe sous le sens.
Il existe en effet des questions qui apportent toujours d’excellentes et de nombreuses réponses très pertinentes.
Il s’agit des questions JUSTIFIEES.
En effet, la plupart des blogueurs posent une question pour avoir des commentaires. C’est assez égoïste comme désir, vous ne trouvez pas ?
En effet, qu’est-ce que ce genre de dessein apporte réellement à vos lecteurs ?
Rien du tout.
En fait, la question posée l’est UNIQUEMENT pour que VOUS ayez plus de commentaires.
Par conséquent, il est presque normal que vous ayez peu de commentaires si vous orientez vos questions dans ce sens.
Par contre, si votre question est JUSTIFIEE, alors là tout change.
En effet, si vous posez une question dans le but d’obtenir des INFORMATIONS ou des AVIS ou des ASTUCES qui serviront ensuite à toute votre communauté, alors LA c’est totalement différent.
En effet, le but de la question n’est plus d’obtenir des commentaires, il est d’obtenir des REPONSES pertinentes, dans le but de....
Vous saisissez bien la différence ?
Prenons cet article et ce sujet.
A la fin de mon article, je peux vous poser 3 styles de questions :
Qu’en pensez-vous ?
Quel est votre avis ?
Vous avez des questions ?
Vous en pensez quoi ?
Voyez-vous d’autres raisons de poser une question à la fin d’un article ?
Et vous, est-ce que vous posez des questions à la fin de chacun de vos articles ?
“J’ai prévu de faire un article supplémentaire demain qui reprendra la liste de tous les avantages à poser une question en fin d’article. J’en ai déjà trouvé 6. Je suis sûr qu’il y en a d’autres. Pouvez-vous m’aider ? Quels avantages voyez-vous à poser une question en fin d’article ? Toutes les réponses différentes des 6 que j’ai déjà seront publiées dans mon article de demain (avec un lien vers le blog de l’auteur de l’idée)”
Cette 3ème solution offre toujours énormément d’avantages à tout le monde :
En fait, vous avez compris que cette 3ème question devient justifiée et que le commentaire devient secondaire. Il ne reste qu’un moyen de communiquer.
Si vous me suivez depuis quelques temps, alors vous savez que je réponds en général à la majorité des commentaires que je reçois.
Ce n’est pas pour doubler le nombre de mes commentaires, comme je l’ai lu un jour. Il est évident que si je réponds à chaque commentateur, le nombre “global” de commentaires va doubler, mais l’intérêt n’est pas là du tout.
En fait, en répondant aux commentaires, non seulement vous montrez que vous vous intéressez VRAIMENT à ce que disent vos lecteurs, mais en plus vous “entretenez” les réponses.
Ce qui permet de rassurer celles et ceux qui n’auraient pas encore osé commenter par peur d’être ignoré.
Donc, si vous posez une question sérieuse et justifiée, alors participez à la discussion.
Parce que justement, les commentaires deviennent alors un lieu de discussion où certaines et certains vous donnent des idées, et où vous les validez tout en relançant la conversation.
Bon, je recommande de répondre toujours à un maximum de commentaires, mais dans ce cas précis c’est vraiment important.
Je ne pouvais pas terminer cet article sans aborder le fait que même sans aucune question, vous pouvez inciter les gens à participer en commentaire.
Vous pouvez le faire de 3 manières différentes.
La première ?
Si vous traitez d’un sujet banal, déjà abordé par plein d’autre monde, et déjà commenté par plein de monde, alors il y aura peu de chance que vous ayez des commentaires.
Par contre, si vous traitez d’un sujet un peu insolite, ou que vous affirmez des choses qui vont à contre-courant de la pensée “universelle”, alors forcément vous vous acheminez vers des réactions bien plus nombreuses.
Ou alors, vous pouvez faire un article en 7 étapes, n’en mettre que 3 dans un article, et demander alors à votre lectorat de deviner la suite.
En résumé, la teneur de votre article aura une grande incidence sur le nombre de commentaires que vous aurez.
Retenez que plus votre article sera original, à contre courant, ou riche en informations, plus il sera commenté.
Si sur votre blog, vous avez habitué les gens à des commentaires inutiles, sans intérêt, avec une faute tous les 3 mots, et auxquels vous ne répondez pas, alors il y a de fortes chances pour que vous ayez encore et toujours des commentaires de ce style.
Parce que lorsqu’on arrive sur un blog, juste avant de commenter, il est normal de s’enquérir un peu de la manière dont sont gérés les commentaires sur le blog où on est.
Donc les nouveaux arrivants vont aller voir les commentaires précédents, et vont se faire une idée de ce qui se passe chez vous.
Je vous conseille donc d’habituer les gens à laisser des commentaires bien construits, et pertinents, et à supprimer sans vergogne les commentaires de “courtoisie” qui ne servent qu’à chercher des liens pour Google (on les repère facilement avec le temps, ils font moins de 3 lignes et ne disent rien d’important).
Je tombe parfois sur des commentaires en spam qui me donnent envie d’en faire un livre d’or.
Le plus beau, je crois c’était celui-ci :
“Je suis tombé sur votre blog en cherchant un résultat de foot, j’ai lu votre article, et j’ai l’impression que je vais rester longtemps ici car j’adore ce que vous écrivez, et j’adore comment vous l’écrivez.”
Il est pas beau celui-là ?
J’ai failli tomber de ma chaise en le voyant genre 1 mois plus tard sur un blog que je visitais, et où le blogueur avait répondu gentiment.
Bref si vous habituez vos lecteurs à des commentaires qui sont 95% de passage de pommade sur les écrits du blogueur, ne vous attendez pas à du commentaire de qualité par la suite.
C’est véritablement ça qui fait toute la différence.
Si vous êtes là, alors les gens commenteront. Et il le feront de bon cœur. D’autant plus si vous leur répondez.
J’ai pris l’habitude de toujours prendre une heure par jour pour répondre aux commentaires que je juge utiles.
Parfois, je n’ai pas le temps de le faire, et je réponds alors au bout de 3 jours à la plupart des commentaires passés qui n’ont pas reçus de réponses.
Vous pouvez voir au nombre de réactions que les gens n’aiment pas trop ça. Répondre à un commentaire 3 jours après la parution de l’article, ce n’est pas bien encourageant pour laisser des commentaires par la suite.
En résumé, plus je participe au plus proche des commentaires laissés, et plus les commentaires suivants arrivent en masse.
Pensez-y si vous cherchez à en avoir plus.
La personne laisse un commentaire (le plus souvent modéré si c’est le premier). Si elle a une réponse dans les 15 minutes qui suivent, elle reviendra, soyez en sûr.
Parfois on ne peut pas (obligations diverses). Mais quand c’est possible, le nombre de vos commentaires s’envole.
Aparté : Je peine de plus en plus à mettre cette phrase en titre de chapitre (à vous de jouer) car hélas, je le vois maintenant partout. Je vais donc devoir en changer.
Ceci dit, j’espère que cet article vous aura ouvert les yeux sur les différentes possibilités qui s’offrent à vous pour inciter vos lecteurs à commenter vos articles.
Et pour parfaire l’idée de cet article et y adjoindre une petite illustration en live, je vous engage à aller lire les différents commentaires qui sont parus suite à cet article-ci...
Ils illustrent bien mon propos, et complètent à mon avis parfaitement ce que je dis dans cet article.
Il ne vous reste plus qu’à appliquer ces quelques conseils sur votre blog et à venir me dire d’ici quelques temps si cela a porté ses fruits.
Mais je suis quasiment certain du résultat.
Qu’en pensez-vous ?
Non, je déconne.
22 MAI 2012
Aujourd’hui, j’avais prévu de vous parler de questions, mais rien ne s’est déroulé comme prévu.
Alors je vous en parlerai demain.
Aujourd’hui, je vais vous donner accès en téléchargement gratuit à un livre auquel j’ai humblement participé à la demande de Jérémy, du blog “Séduire la Presse”.
Il a en effet posé cette question à 23 spécialistes de la communication d’entreprise :
Quel conseil donneriez-vous à un entrepreneur qui se lance pour faire parler de lui dans la presse ou ailleurs ?
Les différentes réponses ont été compilées dans un livre de 36 pages intitulé “Faites parler de vous !” que je vous propose de télécharger ci-dessous en cliquant sur l’image :
Mon conseil préféré est en page 17. Il tient en 10 mots.
C’est très court, mais je n’ai jamais rien lu d’aussi sensé depuis que je fais du blogging.
Il parle d’un des plus gros pièges dans lequel beaucoup beaucoup beaucoup de blogueurs tombent.
Je vous le dirais bien, mais non... Téléchargez plutôt le livre et dites-moi ce que vous en pensez.
Ou pas... Faites comme vous le sentez.
Mais suivez au moins ce conseil et quelques autres.
21 MAI 2012
Allez, pour cette fin de semaine, je vais m’acharner un peu sur une bonne vieillie idée reçue.
Celle de la question qu’on est sensé “toujours” trouver à la fin de chaque article de blog pour inciter les lecteurs à laisser un commentaire.
Comme pour beaucoup de choses, j’imagine que cette “stratégie” a été pondue un jour par un formateur en blogging.
Et comme de bien entendu, la masse des bloggeurs ayant trouvé que c’était une bonne idée s’est dit :
“Allez ! Une question à la fin de chacun de mes articles et mes commentaires vont s’envoler.”
Hé ben non. Raté.
Autant vous le dire de suite : La plupart des questions qui se trouvent à la fin des articles de blog n’ont jamais forcé qui que ce soit à commenter.
Ou plutôt si. 1 ou 2 personnes allez...
Mais rarement plus.
Vous ne me croyez pas ?
OK. Prenez un article au hasard sur le blog que vous voulez. Descendez au bas de l’article, et voyez s’il y a une question (ou des questions).
Ensuite regardez les commentaires, et dites-moi si vous en trouvez beaucoup qui répondent spécifiquement à la question posée...
C’est assez effarant.
Donc, forcément, une question (encore une) me brûle les lèvres :
Si la “question” pousse rarement les gens à commenter, pourquoi s’obstiner à en mettre une à la fin de chaque article ?
Ca c’est une question sympa, pas vrai ?
Ma réponse, c’est que la majorité des gens ne réfléchissent pas vraiment à l’impact de ce qu’ils écrivent.
On leur a dit de poser une question, ils la posent. Même si ça sert à rien, ils le font quand même.
Parce que c’est comme ça. Parce qu’on l’a dit. Parce que tout le monde le fait.
Je trouve ça totalement ridicule.
D’autant qu’il existe un moyen d’utiliser la stratégie de la question intelligemment (et d’autres choses aussi) pour inciter les gens à commenter vos articles.
Je vous en parlerai lundi.
D’ailleurs, lundi, je vous passerai en revue les “questions” qui fonctionnent et celles qui ne fonctionnent pas.
J’en profiterai pour vous donner quelques petites techniques de copywriter pour inciter les gens à plus commenter vos articles.
D’ici là...
Non rien...
18 MAI 2012
Que vous ayez un blog, une page Facebook, un compte Instagram ou une chaîne Youtube, vous devriez faire attention à comment vous recrutez vos suiveurs et vos suiveuses (vos followers, quoi...).
Il vaut en effet mieux avoir 150 personnes à 100% engagées par ce que VOUS faites, par vos valeurs, plutôt que d'en avoir 1000 qui ne réagissent que lorsque vous les faites rire ou que vous leurs montrez votre ...
Bref, vous avez compris.
C'est pour cela qu'il faut éviter les erreurs de base qui sont encore commises de nos jours par les apprentis blogueurs, nouveaux entrepreneurs du web ou tout simplement par les personnes qui veulent ouvrir un groupe ou une page Facebook pro pour vendre leurs produits ou proposer leurs prestations.
Voici les 3 erreurs les plus fréquemment commises.
Attardez-vous particulièrement sur la 3ème erreur...
Si vous la faites, vous vous acheminez vers une hécatombe en 14 étapes qui réduira votre travail à néant, et vous poussera à tout recommencer dans quelques mois.
Autant démarrer sur de bonnes bases pour éviter ça, n'est-ce pas ?
Les 3 erreurs et les 14 étapes dont je parle ici sont dans un guide PDF réservé aux membres de Copywriting Pratique.
Vous y trouverez également 4 manières intelligentes de remplir avec succès vos pages et groupes Facebook ou n'importe quel autre espace sur votre réseau social préféré avec des personnes qui seront enthousiasmées à l'idée d'acheter ce que vous leurs proposerez ensuite.
Remplissez le formulaire ci-dessous avec soin, et vous recevez ce guide par mail dans la minute, ainsi qu'un accès à toutes les autres ressources réservées aux membres :
Pour moi, qui fait ça depuis des années, tout ce dont je vais vous parler ici est facile. C’est mon quotidien depuis 13 ans.
Par contre, j’ai eu une question par mail aujourd’hui, qui me demandait précisément comment on pouvait créer et diffuser un livre électronique (un ebook quoi).
Vu que c’est bien la 4ème fois qu’on me demande ça, je me suis dit qu’une petite procédure de A à Z devrait pouvoir être utile à plein de monde.
Alors voici comme faire pour créer et distribuer un ebook en 7 étapes :
Avant de penser à créer et à distribuer un livre, il faut commencer par se munir des bons outils pour le faire.
Il vous en faudra au moins 4 :
C’est là dessus que vous allez écrire votre livre.
Le logiciel le plus connu reste bien entendu OpenOffice.
Vous pouvez télécharger la dernière version en français de ce logiciel directement sur la page de l’éditeur en cliquant ici (il s’agit de la version 3.4 à l’heure où j’écris ces lignes).
La version 3.4 pour Windows (PC) se trouve également ici (téléchargement immédiat). La version 3.3 pour Windows (celle d’avant) se trouve là.
Si vous avez besoin d’aide pour utiliser ce logiciel, alors passez par cette page pour vous diriger vers l’aide qu’il vous faut.
Une fois que vous avez téléchargé OpenOffice, installez-le (choisissez Installation typique).
Seul le programme “Writer” vous sera d’une utilité immédiate pour créer votre livre.
Il en existe plusieurs. Je vous en recommande un seul, le plus simple, The Gimp.
Les différentes dernières versions en français pour Mac et PC se trouvent sur cette page.
Vous pouvez télécharger la version 2.6.11 pour Windows (4 fois plus légère que la nouvelle) en cliquant ici.
C’est avec ce logiciel que vous pourrez créer une couverture graphique pour votre livre.
Celui que j’utilise est de loin le plus performant et le plus simple à utiliser (à mon avis), mais il est payant. Il s’agit de Box Shot 3D.
S’il vous intéresse, vous pouvez vous le procurer ici. Vous pouvez le télécharger et l’essayer avant de l’acheter. Il vous suffira d’obtenir une clef ensuite.
Sinon, il existe des outils gratuits en ligne, mais ils produisent des visuels un peu bof.
Voici 2 adresses :
Il s’agit d’un logiciel qui vous permet de transférer votre livre créé sur votre serveur pour que vos lecteurs puissent le télécharger.
Je vous recommande bien entendu FileZilla, que vous pouvez télécharger ici.
Une vidéo d’aide est déjà parue sur Copywriting Pratique. Elle se trouve là.
Voilà.
Une fois que vous avez téléchargé et installé ces outils, il est temps de créer votre livre.
Ouvrez donc OpenOffice et choisissez “Texte” :
Un nouveau document apparait. C’est là que vous allez écrire le texte de votre livre.
Bien entendu, si vous voulez écrire un livre, c’est que vous savez déjà ce que vous allez écrire.
Donc écrivez
Cette étape là est un peu plus technique.
En effet, une fois que vous avez un texte brut, alors vous allez devoir le mettre en forme pour rendre sa lecture agréable.
Un livre offert sans aucune mise en forme serait absolument illisible et si rébarbatif à lire que vous n’auriez pas beaucoup de succès avec.
Il faut donc réaliser un minimum de mise en forme.
Voici les 5 points les plus importants qu’un livre devrait contenir :
Un livre qui n’aurait pas de chapitre serait en fait un énorme article de blog de 50 pages.
Impossible de naviguer dedans, et surtout tellement de texte que ce serait fatigant.
Vous devez donc créer des chapitres dans votre livre.
A la fin de chaque chapitre, vous ferez un saut de page, ce qui fera démarrer le chapitre suivant en haut d’une nouvelle page. Pour cela, faites Insertion + Saut manuel.
Sélectionnez “Saut de page” puis cliquez sur “OK”
Vous pouvez aller plus vite en faisant “Alt” + “i” + “s” et en appuyant sur “Entrée”.
Cela aura pour effet de faire sauter le reste du texte en page suivante.
Puis ensuite, créez un titre pour chaque chapitre.
Si vous avez des sous chapitres, créez aussi un titre pour eux.
Chaque chapitre doit bien entendu être nommé. Et chaque titre de chapitre devra également être mis en forme.
Dans un traitement de texte, c’est comme sur le web : Vous avez plusieurs sortes de titres.
Ici, commencez par transformer tous vos titres de chapitre en Titre 1.
Si à l’intérieur de vos chapitres, vous avez créé des sous-chapitres, alors vous pourrez les mettre en Titre 2.
Procédez comme ça pour tout le livre.
Si à l’intérieur des sous-chapitres vous créez encore des rubriques, alors il faudra les mettre en Titre 3.
Un texte sans espace entre les paragraphes est illisible.
C’est compact, moche, et souvent si rébarbatif que personne ne veut lire ce genre de chose. Par conséquent, vous allez devoir modifier ça.
Pour le faire, sélectionnez votre texte, et cliquez sur “Format” + “Paragraphe”.
Choisissez l’onglet “Retraits et espacement” puis dans “En dessous du paragraphe”, choisissez par exemple 0,30cm.
Ce qui aura pour effet de séparer chacun de vos paragraphe avec une demie-ligne.
Ce qui rendra le tout bien plus lisible.
L’avantage d’un livre électronique, c’est qu’on peut normalement naviguer dedans bien plus facilement qu’avec un livre papier.
Pour cela, il faut que vous créiez une table des matières dynamique.
La bonne nouvelle, c’est que si vous avez créé et mis en forme tous vos titres en titre 1, titre 2, titre 3, etc., alors la création de la table des matières est relativement simple.
Commencez par vous mettre sur une page vierge (par exemple au début ou à la fin de votre livre), puis cliquez sur “Insertion” + “Index et table” + “Index et tables”.
Ensuite choisissez bien l’onglet “Index” et cliquez sur OK.
Une table des matières apparait.
Pour rendre dynamique, il faudra faire d’autres manipulations. Voici un tuto sympa qui explique comment faire.
Il ne vous reste plus ensuite qu’à personnaliser votre en-tête en y mettant le titre de votre livre.
Pour cela, faites “Insertion” puis “En-tête” puis cochez “Tout”. Une nouvelle zone apparait en haut de la page en cours. Marquez le titre de votre livre.
Il se retrouvera ainsi sur toutes les pages.
Pour le pied de page, mettez un lien vers votre blog ou votre site. Puis insérez-y également un numéro de page.
Pour cela, faites “Insertion” puis “Pied de page” puis cochez “Tout”. Une nouvelle zone apparait en bas de la page en cours.
Marquez le nom de votre blog, puis sélectionnez-le et faites “Insertion” + “Hyperlien”.
Marquez alors l’adresse web de votre blog dans la case prévue puis cliquez sur “Appliquez” puis “Fermer”.
Ensuite faites un retour à la ligne, puis marquez "Page " (avec un espace), puis ensuite faites “Insertion” + “Champ” + “Numéro de page”.
Cela s’affichera sur toutes les pages.
A ce stade, vous avez un livre à peu près potable.
Bien entendu, j’ai survolé le tout. Il faut bien sûr customiser vos paragraphes, vos titres, et la police de votre texte, mais pour l’heure, vous avez un livre fonctionnel.
Poursuivons :
Il va en effet falloir que vous créiez une couverture graphique pour votre livre.
Pour cela, vous allez utiliser le logiciel Gimp.
Il n’est pas question de vous faire un cours sur l’utilisation de The GIMP, il existe des centaines de tutoriels pour ça.
Par contre, vous allez pouvoir d’ores et déjà fabriquer une couverture pour votre livre.
Je vous ai créé un modèle universel que vous pouvez télécharger ici :
Faites un clic droit sur ce texte + “Enregistrer la cible sous”.
Vous allez télécharger un modèle qui ressemble à ça :
Si vous avez installé The GIMP sur votre ordinateur, vous n’aurez qu’à double cliquer sur le fichier “ExempleBaseCouvertureLivre.xcf” que vous venez de télécharger.
Puis vous modifierez les différents éléments texte de la couverture.
Par exemple :
Et vous pouvez “couper” un morceau de cette couverture pour la rajouter en toute première page de votre ouvrage.
Un peu comme ça :
Et voilà. Avec cette couverture rajoutée, vous avez un livre complet.
Il est temps de l’exporter dans un format que les gens vont pouvoir lire.
Pour cela, ce qui est bien avec OpenOffice, c’est que la fonction de transformation est intégrée à leur logiciel.
Il suffit donc de cliquer sur le petit bouton PDF qui se trouve dans la barre de menu de OpenOffice :
De sélectionner ensuite un dossier où vous voulez que le PDF s’enregistre, de renommer le fichier comme vous le désirez, et de cliquer sur “Enregistrer”.
Et voilà, vous avez un livre électronique en PDF près à être distribué.
Arrive le moment où vous allez devoir transférer le livre créé sur votre serveur Internet.
Il vous faut donc ouvrir le logiciel FileZilla que vous aviez déjà téléchargé et installé, normalement.
Vous allez vous connecter à votre serveur, et créer un dossier dessus (sur Internet).
Par exemple, vous vous mettez à la racine de votre site web (dans la fenêtre site distant), et vous faites un clic droit puis “Créer un dossier” :
Marquez par exemple “Livre”.
Ensuite vous vous mettez sur ce nouveau dossier, et vous allez transférer votre livre en PDF dans ce dossier :
En 1, c’est le dossier SUR votre ordinateur.
En 2 c’est votre livre SUR votre ordinateur.
En 3, c’est le dossier que vous avez créé sur votre hébergement web
En 4, c’est le livre transféré sur votre serveur, dans le dossier créé.
Et pour finir, il ne reste plus qu’à créer un nouvel article sur votre blog, qui permettra aux gens de télécharger votre livre.
Vous devez donc présenter ce livre.
Ensuite, vous allez utiliser l’un des services en ligne dont je vous ai parlé ci-dessus pour réaliser un visuel sympa.
Par exemple :
Visuel réalisé avec le logiciel BoxShot3D à partir
de la couverture présentée ci-dessus
Vous rajoutez donc cette image sur votre page.
Puis tout en dessous, vous mettez un lien pour le télécharger.
Pour cela, vous indiquez le chemin complet du livre en PDF que vous aviez transféré sur votre serveur.
Dans l’exemple ci-dessus, en admettant :
alors, le lien devra être comme ceci :
http://votre-blog.com/Livre/MonLivre.pdf
Vous remplacez bien entendu “votre-blog.com” par le nom de votre blog.
Et vous publiez votre article.
Et voilà ! Vous savez maintenant comment faire pour créer et distribuer votre livre sur Internet.
Samedi, je vous expliquerai tout ça plus en détail avec une vidéo.
En attendant, si vous avez des questions, n'hésitez pas.
17 MAI 2012
Voilà : C'est fini !
La première partie du premier évènement inter-blogueurs organisé par Copywriting Pratique a été un franc succès !
Il y a eu en effet une participation massive de blogueurs et de blogueuses de tous horizons.
Appréciez vous-même l'ampleur de la chose en découvrant ci-dessous tous les articles que l'on m'a proposés pour l'évènement "Echanges de compétences - Partagez vos 5 meilleurs tuyaux dans votre spécialité" :
global $wpdb;
$NumEvenement=1;
$user_count = $wpdb->get_var( $wpdb->prepare( "SELECT COUNT(*) FROM `copywritingpratiquecom`.`EvenementsInterBlogueurs` WHERE `NumEvent`='$NumEvenement' ;" ) );
?>
".$user_count; ?> articles !!
Un seul mot : Merci. Merci à toutes celles et tous ceux qui ont participé !
Maintenant, il s'agit de lire tout ça et de donner une note sur 5.
Alors bien entendu, vous n'êtes pas obligé de tout lire ! Lisez ceux que vous voulez, et attribuez-leur une note de 0 à 5 (si vous le voulez) en fonction de vos impressions. Il vous suffit de choisir la note voulue tout en bas de chaque article.
Important : Ces notes ne sont pas là pour établir un classement entre tous les articles, mais pour permettre à chaque auteur d'avoir une évaluation chiffrée de son propre article dans le but de savoir s'il a été apprécié ou non du plus grand monde.
Merci donc de donner votre avis sur les articles que vous lirez.
global $wpdb;
$NumEvenement=1;
$CatBase=0;
$NomCat[1] = "Business / Blogging / Marketing";
$NomCat[2] = "Forme / Santé / Bien-être";
$NomCat[3] = "Développement personnel";
$NomCat[4] = "Perso / Art / Famille / Activités diverses / Animaux";
$Acn=$_GET['n'];
if ($Acn!="adlo") {$Acn="";};
if ($Acn=="") {
echo "
Accès rapide à vos thèmes préférés :
";
echo "
for ($j=1;$j<=4;$j++)
{
echo "
};
echo "
echo "
Si vous préférez voir les articles apparaître dans leur ordre numérique, alors cliquez ici.
";
echo "
Cliquez sur le thème de votre choix ci-dessus, ou attaquez dans l'ordre :
";
$Mesuser = $wpdb->get_results("SELECT * FROM `copywritingpratiquecom`.`EvenementsInterBlogueurs` WHERE `NumEvent`='$NumEvenement' ORDER by `champ2`, `NumAuteur` ASC");
};
if ($Acn=="adlo") {
echo "
Si vous préférez voir les articles classés par thème, alors cliquez ici.
";
echo "
Voici donc les $user_count articles classés par l'ordre numérique dans lequel je les ai reçus (du 1er au dernier) :
";
$Mesuser = $wpdb->get_results("SELECT * FROM `copywritingpratiquecom`.`EvenementsInterBlogueurs` WHERE `NumEvent`='$NumEvenement' ORDER by `NumAuteur` ASC");
};
foreach ($Mesuser as $result)
{
$NumeroDarticle = $result->NumAuteur;
$Prenom = $result->PrenomAuteur;
$TitreArticle = $result->TitreArticle;
$LienArticle = $result->LienArticle;
$BlogAuteur = $result->BlogAuteur;
$Categorie = $result->champ2;
if ($Categorie<>$CatBase && $Acn=="")
{
$CatBase = $Categorie;
echo "
";
};
$cpt = 0;
$NbNotes = 0;
$Lecteurs = "";
$Notation = $wpdb->get_results("SELECT * FROM `copywritingpratiquecom`.`EvenementsInterBlogueursNotes` WHERE `NumArticle`='$NumeroDarticle' AND `NumEvent`='$NumEvenement'");
foreach ($Notation as $touteslesnotes)
{
$cpt++;
$Note = $touteslesnotes->Note;
$NbNotes += $Note;
};
if ($cpt==0)
{ $NoteDec = 0;}
else
{ $NoteDec = intval(($NbNotes / $cpt)*10)/10; };
if ($cpt>1)
{$Lecteurs = "s"; };
// echo "[jbox color=\"yellow\"]
$ExtraitArticle... Lisez la suite sur le blog $BlogAuteur...
Noté par $cpt lecteurs : ".$NoteDec."/5
[/jbox]
";
//echo "
$TitreArticle
Par $Prenom, du blog $BlogAuteur
Article n°$NumeroDarticle";
// noté par $cpt lecteurs : ".$NoteDec."/5
";
//echo "
$TitreArticle
Article n°$NumeroDarticle, écrit par $Prenom, du blog $BlogAuteur
Noté par $cpt lecteurs : ".$NoteDec."/5
";
echo "
Par $Prenom, du blog $BlogAuteur
Noté par $cpt lecteur".$Lecteurs." : ".$NoteDec."/5
//Noté par $cpt lecteur".$Lecteurs." : ".$NoteDec."/5";
};
?>
Vous l'aurez compris, il y aura au moins 4 livres bien distincts qui regrouperont chaque article de chaque thème. Les articles seront bien entendu répartis à l'intérieur de chaque livre par sujet, pour garder une certaine cohérence.
Donc rendez-vous le jeudi 31 mai pour le téléchargement des livres finaux.
Merci encore de voter pour les différents articles que vous avez lus. C'est le seul moyen d'informer les auteurs de la qualité de leur travail, dans le but de s'améliorer ou de poursuivre dans la voie qu'ils ont choisie.
Tout le monde compte sur VOUS !
Merci d'avance.
15 MAI 2012
Hé oui !
Déjà près de 15 jours que ce premier évènement a été lancé, et déjà 80 articles m’ont été envoyés.
Je vous rappelle que les inscriptions à cet évènement se finissent le 15 mai à 12:00 précises.
Il ne vous reste donc que quelques heures pour proposer votre article si vous ne l’avez pas encore fait.
Il ne sera plus possible de participer après 12:00 pile le 15 mai, car l’article récapitulatif qui reprendra tous les articles reçus se rédigera automatiquement à cette heure précise (merci le PHP).
Si vous pourriez participer à cet évènement et que vous ne le voulez pas, ce serait super sympa de me dire pourquoi dans les commentaires.
Comme ça, je peux répondre vite fait à vos questions (si vous en avez), ou alors, pour le prochain évènement, je peux améliorer la communication ou le règlement s’il y a des ratés ou des trucs que j’ai oubliés (fort possible, c’est mon premier évènement).
Bref si vous ne voulez pas participer et que vous avez pourtant un blog, dites-moi pourquoi.
Devant la multiplicité des sujets des articles reçus, je suis obligé de prévoir de créer 4 livres à la place d’un seul.
Pour 4 raisons :
Bref, vous l’aurez compris : Chaque livre aura un thème général bien précis, et chaque article sera classé dans le thème qui lui correspond le mieux (ou qui s’en rapproche le plus).
Je me suis arrêté à ces 4 thèmes :
De quoi contenter tout le monde.
J’en remets une petite couche : Si vous avez un blog, si vous avez une spécialité, alors vous avez bien 5 conseils qui cartonnent pour celles et ceux qui débutent dans votre activité (ou même pour des gens plus expérimentés).
Si c’est le cas, envoyez-moi un lien vers votre article avant le 15 mai à 12:00.
Rappel du règlement : 1er évènement inter-blogueurs sur Copywriting Pratique - Echanges de compétences
Rappel de pourquoi vous devriez participer : Pourquoi vous DEVEZ participer au 1er évènement inter-blogueurs de Copywriting Pratique
A tout de suite !
14 MAI 2012
Tous les membres de Copywriting Pratique ont accès à 6 outils pratiques en ligne dont :
Ces outils sont accessibles gratuitement pour tous les membres.
Intéressé.e ? Remplissez simplement le formulaire ci-dessous, et recevez votre accès à tous les outils disponibles :
Hier, je vous ai parlé de votre mini-biographie.
Aujourd’hui, on va compléter la panoplie du parfait blogueur sérieux et prévoyant, en parlant de la photo ou de l’avatar que vous devriez toujours avoir à portée de main.
Quand on écrit ailleurs que chez soi, on a de très grandes chances d’avoir un public qui ne nous connait pas.
Par conséquent, il semble tout à fait logique de fournir une belle photo de vous afin que les lecteurs que vous allez toucher puissent avoir un aperçu visuel de qui leur parle.
C’est valable pour TOUS les textes que vous laissez ailleurs que chez vous :
Sur pratiquement toutes les plateformes qui accueillent des médias extérieurs, vous avez la possibilité de renseigner votre profil avec une belle photo de vous.
Il est donc impératif que vous preniez 10 minutes pour préparer une bonne photo de vous, que vous pourrez fournir à celles et ceux qui vous la demande.
Pour cela, respectez ces quelques conseils :
Les photos en pied ne sont pas intéressantes. Parce qu’en général, les photos qui apparaissent sur les documents en ligne ou dans les profils sont de petite dimension.
Donc, ce qu’on veut voir, c’est surtout votre tête.
Donc si vous avez des grandes photos qui vous montrent en entier, prélevez juste la tête et une partie du buste, afin qu’on puisse bien voir votre visage.
On dit que le miroir de l’âme, ce sont les yeux. Ce n’est pas pour rien.
Plus on verra vos yeux, et plus on aura confiance en vous.
Pour une exposition de votre tête sur le net, évitez les photos prises dehors, face au soleil, ou avec une luminosité abondante. Préférez les photos prises à l’intérieur avec un flash.
Pourquoi ?
Parce que lorsqu’on est face au soleil, ou lorsque la luminosité est très forte, nos pupilles se rétractent.
Inconsciemment, on a 100 fois plus confiance en une personne qui a les pupilles dilatées plutôt que l’inverse. Parce que des pupilles dilatées veulent dire que la personne est impliquée émotionnellement dans ce qu’elle raconte.
Bref, on a bien plus confiance en une personne avec des pupilles dilatées.
Donc préférez des photos intérieures avec un flash.
Le flash vous fait apparaitre avec les yeux rouges sur la photo, mais après correction, vous aurez une expression faciale parfaite.
Une photo, c’est à double tranchant.
Ca vous rend autrement plus humain, mais ça peut également vous desservir en fonction de la mimique que vous faites dessus.
Par conséquent, il est impératif que vous ayez l’air sérieux et souriant sur votre photo.
Pas de grimace, pas de profil, pas de flou, et bien entendu, pas d’air d’enterrement.
Rappelez-vous que c’est la photo qui parle pour vous partout où vous passez.
Si vous n’avez pas de belle photo, alors faites en faire une, ou mettez autre chose (voir plus bas). Mais ne mettez pas de photo moche par dépit.
En fonction des supports sur lesquels vous allez laisser votre photo, alors sa taille maxi va varier.
Comptez environ 160 pixels de large pour un livre en PDF ou un article invité sur un blog :
Comptez environ 70 pixels de large pour un Gravatar sur un blog, mais votre photo doit avoir une version carrée :
Vous pouvez prévoir une photo carrée plus grosse car certains blogs proposent des gravatars plus gros (par exemple 168 px de large) :
Et bien sûr, il vous faut une grosse photo, si possible non réduite, si vous apparaissez dans un article de blog ou carrément dans un magazine papier.
Si vous appelez vos photos image1.jpg, image2.jpg etc., vous serez obligé de les visualiser pour savoir de laquelle il s’agit.
Gagnez du temps : rajoutez la taille de la photo dans son nom.
Par exemple : yvon-160x208.jpg ou yvon-168x168.jpg ou yvon-70x70.jpg
Et si vous avez plusieurs photos prises dans des endroits différents, alors rajoutez également un mot dans leur nom pour bien les différencier sans perdre trop de temps.
Comme je vous le disais, si votre photo n’est pas bonne, alors il ne faut pas la mettre.
Mais cela ne veut pas dire qu’il ne faut RIEN mettre !
En effet, vous pouvez vous créer un avatar (une photo virtuelle en quelque sorte) qui aura au moins l’avantage de présenter un “aperçu” de qui vous êtes.
Par exemple pour moi :
J’ai fait une procédure vidéo pour réaliser des avatars sympas. C’est ici !
Il vous suffit de suivre ce que je raconte dans cette vidéo, et dans moins de 15 minutes, vous aurez un avatar sympa bien à vous.
N’oubliez pas de prévoir plusieurs tailles pour les différents supports.
Il est très important que vous ayez toujours ces quelques photos bien accessibles sur votre ordinateur, ou mieux, sur votre serveur dans un dossier “photos” créé pour l’occasion.
Comme ça, vous n’aurez qu’à donner le lien de la photo désirée en fonction des endroits où vous comptez la mettre.
Pour les futurs évènements de Copywriting Pratique (et pour celui en cours également), je demanderai systématiquement une photo ou un avatar pour pouvoir personnaliser chaque article dans le livre final (sans photo ou avatar, l’article en question ne sera pas publié. Rappel : Un logo n’est pas une photo ou un avatar).
Donc mettez-vous à la réalisation de votre photo ou de votre avatar très vite, afin d’en avoir toujours un exemplaire à portée de main.
Et puisque vous êtes là, si vous n’avez pas encore de photo qui s’affiche à côté de votre nom dans les commentaires, alors revoyez la procédure vidéo pour vous inscrire sur le site Gravatar.com.
Demain, je vous montrerai en vidéo comment découper et redimensionner une photo avec un logiciel gratuit très facile à utiliser.
Cela ne vous empêche pas de préparer votre photo aujourd’hui !
11 MAI 2012
Alors que le premier évènement inter-blogueurs de ce blog bat son plein, arrive dans quelques jours la douloureuse question de la réalisation de sa “bio”.
Mon article du jour fera donc partie de cet évènement, et comme j’aime joindre l’utile à l’agréable, je vais vous expliquer ici comment faire pour réaliser une mini bio du tonnerre.
Commençons par la définir : Il s’agit de ce court texte de quelques lignes qui figure – ou qui devrait figurer - sous les articles invités que l’on écrit sur les autres blogs, ou juste après les articles figurant dans un livre collaboratif comme celui qui va voir le jour à l’issue de ce premier évènement.
Cette bio est de loin ce qu’il y a de plus important quand on participe à un évènement ou lorsqu’on écrit un article invité.
Pour prendre une image simple, je dirais qu’une bio réussie, c’est l’équivalent d’une porte béante ouverte sur vous, par laquelle des centaines de lecteurs peuvent arriver – et rester - sur votre blog.
Par conséquent, il est impératif que vous prépariez une bio très percutante, pour pouvoir profiter au maximum de tout le potentiel de visites que ce genre d’évènement permet.
A l’heure où j’écris cet article, déjà 31 blogueurs m’ont envoyé leur article.
Dans quelques heures, demain tout au plus, je vais leur demander de m’envoyer une bio de quelques lignes ainsi qu’une photo (ou un avatar).
Voici mes 5 conseils de copywriter pour écrire une bio qui donne envie de venir vous voir sur le champ.
Vous connaissez le terme “Elevator pitch” ?
En français, c’est le “discours d’ascenseur”. Une sorte de texte de présentation que vous devez dire en moins de 40 secondes à un compagnon d’ascenseur, c’est à dire pendant l’intervalle en temps qui sépare plusieurs étages.
En 40 secondes, on n’a pas le temps de dire des trucs qui ne servent à rien. Tout ce qu’on raconte doit servir à quelque chose.
Cette bio, c’est exactement la même chose. Mais c’est à l’écrit.
Vous ne devez pas mettre trop de fioritures dans une bio. Chaque mot doit avoir son importance.
Evitez donc tout ce qui est banalités, clichés, concepts abstraits, superlatifs, et par extension tout ce qui peut être enlevé de votre phrase sans en appauvrir le sens.
Votre bio doit être courte et précise.
Et elle ne devrait JAMAIS tenir sur plus de 4 lignes.
Pourquoi ?
Parce que lorsqu’on lit un texte sur Internet, je l’ai déjà dit, un paragraphe de plus de 4 lignes est pratiquement sauté à chaque coup. Car ça fait trop compact et ça “fatigue” d’avance.
La bio n’échappe pas à cette règle.
Donc, limitez vous à 3 lignes, et si vous débordez sur la 4ème ce n’est pas trop grave, mais vérifiez bien si vous ne pouvez pas enlever quelque chose.
Une mini-bio qui vient après un article, ça explique :
Vous le voyez, ce n’est pas bien long. Et en étant parfaitement direct, alors une bio peut tenir en deux ou 3 lignes si les mots sont percutants et bien choisis.
Par exemple :
Article écrit par Yvon CAVELIER, qui vous conseille chaque jour sur son blog, pour accroitre vos visiteurs et vos ventes grâce au copywriting.
Article écrit par Claire, qui vous montre chaque jeudi sur son blog, à l’aide d’une vidéo, comment améliorer votre voix pour être plus et mieux écouté.
Article écrit par Marie-Do, du blog Ado Mode D’emploi, où elle vous donne tous ses trucs pour améliorer sans cesse les relations parent-ados. Le tout avec humour.
etc.
Ce sont des exemples très courts. Ils ciblent à chaque fois UN SEUL avantage. Le principal.
Si vous remarquez bien les bios sur 2 lignes que j’ai écrites ci-dessus, dans 2 d’entre elles, je n’ai pas donné le nom du blog. J’ai juste mis “sur son blog”.
Si le nom de votre blog n’est pas une accroche à elle toute seule, alors il n’est pas besoin de le mettre dans votre bio.
Ca prend de la place pour rien, et si les gens ont envie de savoir ce que vous avez comme blog, ils vont cliquer sur votre lien.
Et c’est justement ce que vous voulez !
Bref, entretenez le mystère en ne dévoilant pas le nom de votre blog dans votre bio.
Et si vous avez des doutes, alors testez. Avec et sans. Et voyez laquelle des deux versions vous apporte le plus de visiteurs.
Ce 2ème conseil est assez proche du premier.
Pour autant, il est tellement important que j’ai décidé d’en faire un conseil à part entière.
En effet, une bio, c’est si court, qu’il n’y a aucune place pour de l’abstrait. AUCUNE !
Il s’ensuit que TOUS les mots abstraits doivent être éliminés sans aucun état d’âme.
Il ne doit rester QUE du 100 % concret.
Par exemple, tout ce qui est :
...tout ça c’est abstrait. Il n’y a aucun mot concret là-dedans.
La transformation concrète de ces 5 phrases, c’est :
Bien souvent, le concret est plus long que l’abstrait. Mais ce n’est pas grave.
Parce que l’abstrait ne provoquera rien du tout au niveau des émotions chez le lecteur, alors que le concret, surtout si vous employez des mots images, le fera réagir.
Par conséquent, même si ça doit vous rajouter une petite ligne de plus dans votre bio, alors transformez l’abstrait en concret.
Quand on cherche à faire une biographie concrète et rapide, on manque souvent d’idées.
Voilà pourquoi le jeu des questions est une véritable aubaine pour nous guider.
Pour que ça fonctionne, il vous suffit de répondre au maximum de questions avec un minimum de mots.
Voici une vingtaine de questions, qui vont vous permettre de VOUS définir, de définir VOTRE blog et ce qu’il peut apporter aux autres.
Répondez-y le plus succinctement possible :
Toutes ces questions fournissent des réponses courtes, précises et concrètes. Et c’est parmi ces réponses que vous pourrez trouver de la matière à alimenter votre biographie.
Si vous regardez bien ces questions, elles sont à chaque fois orientées vers un potentiel avantage de taille que vous pourrez mettre en avant.
On y parle de tout ce qui peut être susceptible d’intéresser les gens.
Ce conseil-là, c’est le conseil le plus “copywriting” des 5.
Et c’est aussi le moins respecté. Et ceci pour une raison simple :
C’est que ce texte est une BIOGRAPHIE. Par conséquent, quand on pense “biographie”, alors on pense qu’on ne doit parler que de soi.
Alors que ce n’est bien entendu pas le cas !
En effet, cette bio n’est pas vraiment là pour faire joli. Enfin, si, elle est là pour ça, mais pour VOUS, l’objectif c’est que cette bio vous serve à faire venir des gens chez vous.
Par conséquent, quel est le conseil le plus récurrent qu’on reçoit quand on fait une page de vente ?
Parlez aux gens d’EUX-MÊMES, et parlez moins de vous. Plus de “vous” que de “je”.
C’est donc également vrai ici.
Plus votre bio sera centrée sur le lecteur, et plus ce dernier sera intéressé par ce que vous avez à dire.
C’est un processus totalement logique.
Vous devez donc AU PLUS VITE, dans votre bio, orienter votre texte VERS le lecteur.
La meilleure manière de la faire c’est d’utiliser le mot “pour...” et surtout les groupes de mots “pour que vous...” ou “pour vous” :
Le “pour” introduit un avantage.
Il devrait être présent dans toutes les bios, au moins une fois.
Vous devez impérativement intéresser votre lecteur. Il doit avoir envie de cliquer.
Une bio, c’est une présentation. De vous, de votre blog et de ce que vous faites.
Mais c’est également un aimant à visiteurs. En tout cas, c’est ce que vous souhaitez.
Par conséquent, il est IMPORTANT voire primordial d’inciter le lecteur à cliquer sur l’un de vos liens.
Mais d’un autre côté, le but n’est pas de passer pour un bourrin en disant un truc du genre : “Visitez mon blog, vous ne le regretterez pas”.
Non, vous pouvez être plus subtil que ça.
J’en avais déjà parlé ici, pour autant, ce dernier conseil est tellement peu utilisé qu’il ne peut pas être occulté ici.
Pour inciter à l’action, il vous suffit de choisir UN élément de votre blog, et d’en extraire UN avantage certain et concret.
Cela peut être :
Une fois que vous avez choisi l’élément que vous voulez mettre en avant, alors il vous suffit ensuite de le définir à la manière d’une accroche la plus concrète possible.
Et vous introduisez le tout comme un exemple.
Ce qui donne (par exemple) :
Article écrit par Yvon CAVELIER, qui vous conseille chaque jour sur son blog, pour accroitre vos visiteurs et vos ventes grâce au copywriting.
Par exemple, voyez cet article qui vous explique 11 manières de se passer de Google pour faire venir gratuitement de 500 à 2 millions de personnes sur votre blog.
Si c’est fait proprement, sans forcer, alors ça passera tout seul.
Vous ne faites que CHOISIR un article spécial et vous en parlez.
Vous pourriez même choisir un article en rapport avec l’article que vous aviez écrit soit pour un évènement soit comme article invité.
L’important, c’est que cela arrive gentiment, sans forcer les gens à cliquer.
Mais surtout, il DOIT y avoir une incitation à l’action. C’est en fait le seul vrai conseil qui vous permettra d’avoir des clics à gogo sur votre bio.
Que celle-ci se trouve sur un livre viral ou sur un blog.
Et aussi... Pensez à faire varier vos exemples en fonction de l’endroit où se trouve votre bio.
Car non seulement cela vous permettra de ne pas proposer toujours la même bio en fonction des évènements, mais en plus, ça vous permettra de tester quels sont les exemples qui fonctionnent le mieux.
Donc, après vous être présenté succinctement, après avoir expliqué ce que votre blog va apporter aux gens, vous leur mettez un exemple et une petite accroche pour inciter à y aller.
Et les visites devraient pleuvoir
Ces 5 conseils devraient vous servir assez vite.
Surtout si vous avez proposé un article pour le 1er évènement de Copywriting Pratique.
Mais aussi, pensez qu’une fois que vous avez fait votre bio, celle-ci vous servira pour beaucoup d’occasions.
Vous pouvez même vous permettre d’en faire une plus longue (avec les 21 questions ce sera facile), et de sélectionner des phrases différentes en fonction de l’endroit où vous la collez.
Quoi qu’il en soit, respectez autant que faire se peut ces 5 conseils.
Et si vous avez du mal à établir votre bio, alors proposez-là en commentaires, et nous verrons ce qu’on peut y faire.
Cet article participe à l’évènement inter-blogueurs "Echanges de compétences" organisé par ce blog. Si vous avez lu cet article, à combien l’évalueriez-vous sur 5 ? Cliquez sur la note de votre choix : 0 – 1 – 2 – 3 – 4 – 5
10 MAI 2012
Aujourd’hui, jour “férié”, j’ai décidé de replanter quelques rosiers que j’ai achetés dans le sud. Ca tombe bien, ils n’ont annoncé la pluie que pour cet après midi, j’ai donc toute la matinée pour planter mes 4 rosiers.
Oui, je suis un passionné de roses.
Par contre, en jardinage, je suis une grosse quiche.
Donc, même si j’ai déjà replanté des rosiers plein de fois, je ne peux m’empêcher d’aller jeter un œil sur Internet avant d’attaquer mes plantations.
Au cas où j’aurais oublié un truc. Ou au cas où je pourrais trouver des nouveaux trucs sympas pour gagner du temps ou être plus efficace.
Bref, ce matin, je décide de me brancher sur Google et de marquer “replanter des rosiers” dans le champ de recherche.
Là, arrivent 2,4 millions de sites, et une annonce que voici :
Question : Pensez-vous que je vais trouver ce que je cherche si je clique sur cette annonce ?
Evidemment que oui !
4 éléments m’incitent fortement à cliquer pour ça :
Forcément, si je demande comment replanter des rosiers et que je tombe sur cette annonce, je vais cliquer.
C’est donc ce que j’ai fait.
Imaginez que vous cherchiez des conseils pour replanter des rosiers, et que vous cliquiez sur cette annonce. Voici la page où j’ai atterri et où vous atterrirez aussi.
Allez y jeter un petit coup d’œil avant de continuer.
Et dites-moi comment vous vous sentez une fois arrivé là bas.
Truffaut sont peut être bons en jardinage, mais par contre, en campagne Adwords ils sont aussi quiche que moi je le suis en jardinage.
Et ils perdent certainement des milliers d’euros par mois avec cette annonce Adwords.
Parce qu’en toute sincérité, quand on s’intéresse aux roses ou même au jardinage, alors on connait Truffaut.
C’est un peu LE spécialiste de référence dans le jardinage. Ils éditent même une encyclopédie que vous connaissez forcément si vous avez un jardin.
Ce qui fait que lorsqu’on tape n’importe quelle recherche à propos du jardinage dans Google et que Truffaut sort en premier dans les annonces, il n’est quasiment pas possible de NE PAS cliquer sur l’annonce.
Et quand on arrive sur un guide D’ACHAT quand on a demandé des conseils de plantation, c’est totalement incohérent.
Si encore il y avait un LIEN sur la page d’arrivée qui nous dirigerait vers la page de conseils promise.
Mais même pas !
Le seul lien qu’on voit, en rapport avec des rosiers, c’est “Découvrez nos rosiers”.
Comment peut-on imaginer un seul instant qu’une personne qui cherche des conseils pour planter ses rosiers puisse vouloir cliquer sur ce genre de lien ?
C’est totalement impossible !
Je ne vois donc pas comment une seule personne peut aller plus loin que cette page d’accueil si elle a fait cette requête en particulier !
Je ne sais pas si vous faites des annonces Adwords. Mais si c’est le cas, surtout ne faites jamais cette erreur.
Adwords est ainsi fait que vous pouvez personnaliser chacune de vos annonces pour faire atterrir celui qui clique sur une page précise, différente pour chaque annonce.
Pour l’exemple de Truffaut, si on décide de marquer “conseils rosiers” dans l’annonce, alors il faut faire atterrir les gens qui cliquent sur une page spéciale rosiers qui donnent des conseils pour planter, entretenir, tuteurer, alimenter... les rosiers.
Ensuite une fois que les conseils auront été donnés, ALORS il sera toujours temps de créer une accroche sur un lien pour aller découvrir d’autres rosiers et d’autres conseils.
Mais le secret des annonces qui fonctionnent (entendez des annonces qui vous rapportent des ventes ou au moins des inscriptions) c’est la bonne adéquation entre votre annonce et la page d’atterrissage.
Pensez-y si un jour vous devez faire une campagne de pub, sur Adwords ou ailleurs.
Ce petit truc dont je vous ai parlé dans cet article, et que j’ai choisi en titre, c’est du copywriting pur et simple.
En effet, que vous fassiez :
... assurez-vous toujours d’être COHERENT.
J’ai lu il y a peu un post de forum où l’intervenant disait qu’il n’avait pas (plus) confiance dans les longues pages de vente, car ça “sentait le truc pas très net”.
Je connais ce genre de pages de vente qui ne font “pas très nettes”. Dans 9 cas sur 10, l’accroche est en cause.
Car la promesse est soit trop forte, soit mal adaptée à la page en elle-même.
Dans tous les cas, même si on vous dit ici ou là que l’accroche est le plus important pour faire lire vos pages de vente, ne comprenez pas dans ces mots qu’il faille absolument marquer n’importe quoi pourvu que ça attire.
NON !
Une accroche a un triple dessein :
On ne fait pas des pages de vente gagnantes en ne traitant qu’un seul de ces desseins.
Les 3 doivent être pensés. Réfléchis. Testés.
Et le reste de la page doit correspondre en tous points à ce que vous dites en accroche.
Si on fait son accroche une fois que la page de vente a été entièrement écrite, et pas avant, ce n’est pas pour rien.
C’est ce qu’on appelle la cohérence.
Et c’est le seul VRAI passeport pour la réussite, que ce soit sur le net ou ailleurs.
8 MAI 2012
RECUPEREZ VOS RESSOURCES GRATUITES POUR COPYWRITERS
Le Générateur de Slogans, le Sympathomètre, le Créateur de Marque Instantané, le Générateur d'Accroches Hypnotiques et bien d'autres...
Mais aussi : des guides pour apprendre le copywriting et l'IA, des éléments graphiques pour embellir vos blogs et vos pages de vente...
Générateur de QRCodes | Générateur d'accroches hypnotiques | Catégories | Contact
Cultivez l'amour du copywriting avec Yvon CAVELIER
Mentions légales |
Conditions Générales de Vente
Conditions Générales d'Utilisation |
Politique de confidentialité