Ecrivez facilement des textes qui font agir
Ressources gratuites pour Copywriters | Pourquoi ? | Un article au hasard
Lundi et mardi dernier, je vous ai expliqué comment vous pouvez améliorer la compréhension de vos articles en utilisant l’exemple et la comparaison.
Aujourd’hui, je vais vous proposer le 3ème outil dont je vous avais annoncé la présence mardi, à savoir : La photo ou l’image.
Obligé de sortir ce bon vieux cliché des cartons pour appuyer ma démonstration :
Je l’emploie parce que c’est à la fois vrai, mais le plus souvent totalement faux pour la plupart des blogueurs.
Moi y compris.
Je veux dire que si vous choisissez mal votre photo, alors elle vaudra peut-être 1000 mots, mais 1000 mots qui n’auront rien à voir avec votre texte.
Soyons clairs d’entrée : L’objectif n’est pas de faire du 100% efficace en matière de photos.
C’est tout bonnement impossible, mais aussi tellement chronophage que cela en devient inutile.
Par contre, sur vos meilleurs articles, notamment ceux que vous publiez ailleurs que chez vous, maitriser cette technique du choix de votre photo est primordiale.
Dans cet article, je vous explique les erreurs à éviter et quelques astuces pour vous aider à choisir de bonnes photos, sans perdre trop de temps.
Le tout premier rôle d’une photo sur un article de blog, c’est SURTOUT d’informer de manière instantanée du contenu de l’article.
C’est également l’une des toutes premières chose que vont regarder vos visiteurs (la photo).
Surtout si chacun de vos articles a un extrait avec une miniature en insertion sur la page d’accueil de votre blog.
Si la photo est mal choisie, alors vous avez d’assez grandes chances que votre article soit zappé. Surtout si le titre est à l’avenant de la photo.
Mais en plus, une photo bien choisie permet de mettre le lecteur “en condition”, pour bien apprécier votre article.
La première valeur d’une bonne photo, c’est surtout son sujet :
Il est très fréquent de voir des photos qui ne servent à rien sur beaucoup de blogs.
Parfois, j’ai certains articles qui sont également concernés. Soit parce que je n’ai pas eu le temps de bien chercher, soit parce que j’ai la flemme. Tout simplement.
Sur certains blogs, on dirait que le blogueur a tout le temps la flemme. Les photos sont sans aucune âme, et sans vrai rapport avec le sujet de l’article. Ce sont des photo “bateau”, qui représentent en général une personne qui ne fait rien du tout, ou un objet totalement inexpressif.
Une photo de blog, normalement, ça doit “résumer” un peu l’idée force de votre article.
Elle doit reprendre UNE idée de votre article (la plus importante) et l’illustrer.
Par exemple, sur un article comme celui-ci, j’ai le choix.
Je peux choisir un objet inexpressif :
Ou alors une personne qui tient un appareil photo :
Ou alors je peux choisir quelque chose d’insolite :
Ou alors je peux choisir la photo que j’ai mise pour cet article, à savoir une sorte de patchwork qui montre 25 expressions différentes pour illustrer la relative difficulté de choisir la bonne.
Plus votre photo sera insolite tout en restant en rapport étroit avec le sujet de vote article, et plus elle aura d’impact sur votre lecteur.
Et n’oubliez pas : Ne mettez pas de personnage qui ne fait rien.
Voici quelques exemples de photos qui ne servent à rien :
Ce sont des gens. Qui sourient. Mais qui ne peuvent pas être rapproché de quelque sujet que ce soit.
Il faut que vous choisissiez des photos ANIMEES. Concrètes. Qui racontent une histoire. Une histoire en rapport avec le sujet de votre article.
Quand vous aurez choisi le style de photos que vous voulez mettre, il va vous falloir déterminer également quelques mots clefs pour aller les chercher sur les plateformes adéquates.
Pensez bien à en mettre plusieurs pour gagner du temps. Mais surtout pour REDUIRE le nombre de photos parmi lesquelles choisir.
Il existe beaucoup d’endroits pour chercher et trouver de bonnes photos.
Personnellement, j’en utilise 3 :
Le premier offre des photos de toutes les origines, de toutes les tailles, mais aussi de toutes les qualités.
Le moteur de recherche est exclusivement anglais, donc il est extrêmement difficile de trouver de bonnes photos car il y a de tout et n’importe quoi.
Mais si on a le temps, et en fonction de ce qu’on cherche, alors je dirais qu’on peut tout trouver là bas.
L’avantage est que c’est 100% gratuit (cliquez sur “advanced search” et supprimez de l’index “photoXpress” qui propose des photos payantes).
-> Photl
Les images de Photl sont parfaites. Excellente qualité.
Le seul souci : Elles sont relativement peu variées, à part si vous cherchez des personnes en situations.
Les deux premiers formats sont gratuits pour un usage non commercial.
Le gros inconvénient est que leur moteur de recherche est également en anglais, mais en plus il n’est basé que sur un seul mot-clef, et la base de mots clefs est ridiculement petite.
-> Fotolia
Au final, quand je recherche une bonne photo bien ciblée, et que je n’ai pas envie d’y passer plus de 5 minutes, alors je vais sur Fotolia.
La photo me coûte 75 ct d’euros (je prends toujours le format XS), mais surtout, pour faire des recherches sur ce moteur, c’est le paradis intégral !
Une base de mots clefs colossale, et bien entendu des photos d’une excellente qualité.
Bref 75% de mes photos sont prises sur cette plateforme.
Si vous voulez choisir une bonne photo sans y perdre trop de temps, alors sélectionnez Photl si vous trouvez, et Fotolia en dernier recours
Plus vous avez de choix, et plus votre risque de choisir une photo de piètre qualité et hors sujet décroit.
C’est la dernière chose à vous assurer : Votre photo doit être de qualité.
L’inconvénient des plateformes gratuites, c’est que les photos peuvent être mises par n’importe qui.
Par conséquent, il arrive souvent qu’on se retrouve avec de pauvres photos “amateur” qui donne une impression... “amateur”.
Certains puristes vous diront que c’est mieux que des photos “studio”, mais je ne suis PAS DU TOUT d’accord.
Quand on cherche à illustrer un blog perso, OK. Mais quand on a un blog pour gagner sa vie, alors on s’assure d’utiliser des photos qui donnent une qualité pro à l’ensemble.
Je vous recommande donc de choisir vos photos sur Photl ou Fotolia qui proposent des photos de qualité studio.
L’aspect général de votre blog n’en sera que plus pro.
Comme je vous le disais, la photo qui illustre votre article a plusieurs missions importantes :
Je ne sais pas comment vous abordez ce concept de photos sur votre blog, mais prévoyez de suivre au maximum les quelques conseils de cet article quand vous choisirez la prochaine.
Ne le faites pas forcément pour tous vos articles.
Mais je pense sincèrement que la photo qui accompagne un article de blog contribue largement à augmenter le temps de stationnement sur le blog en question.
Et plus les gens restent longtemps, plus ils ont de chances d’effectuer la tâche que vous voulez qu’ils fassent.
26 AVRIL 2012
Si vous vous intéressez un peu au copywriting, alors vous savez que l'un des paragraphes capitaux d'une page de vente concerne la preuve sociale.
Oui, même si on vous a dit le contraire, une page de vente, c'est une succession de paragraphes qui devraient être placés dans un ordre précis.
Et parmi ces paragraphes se trouvent les preuves sociales. Vous savez… les témoignages clients, par exemple.
Hélas ! Beaucoup de gens s'arrêtent aux témoignages pour renforcer leur crédibilité, alors qu'il y a en bien plus à utiliser sur une page de vente.
Et en fait, quand vous voulez aller au restaurant, au ciné, dans un hôtel, un appartement ou même à un spectacle, les avis (leur nombre, surtout), les étoiles et les commentaires vous aident grandement à choisir.
C'est l'avantage de notre époque : Internet a rendu les avis clients accessibles à tout le monde, ce qui a permis d'éviter de nombreuses expériences désagréables à beaucoup de monde.
Si vous vendez des produits ou des prestations sur Internet, vous pouvez utiliser ce moyen pour gagner en crédibilité et ainsi augmenter vos ventes.
Je vous propose donc de découvrir 12 types de preuves sociales que vous allez pouvoir utiliser et rajouter sur votre page de vente :
Il s'agit d'un guide en PDF que vous pouvez télécharger facilement en guise de cadeau de bienvenue dans la grande famille du Copywriting Pratique, et plus particulièrement dans celle de ce blog.
Indiquez juste votre prénom et l'adresse email à laquelle je peux vous envoyer votre accès à ce guide et à plein d'autres :
Hier, nous parlions de l’exemple comme élément pouvant rendre un texte obscur un peu plus clair.
Aujourd’hui, nous allons voir l’élément suivant :
Cette discipline est un peu plus complexe à pratiquer que l’exemple.
Même si ça semble plus simple au premier abord.
En effet, une comparaison correspond à une sorte d’explication, qui, non content d’améliorer la compréhension de l’ensemble, permet également d’en renforcer l’impact.
En gros, la comparaison, c’est un exemple compact. Imagé. Et fort.
Voici quelques exemples pour illustrer ça :
Le but est de partir d’un concept abstrait, de rajouter “comme”, et de définir le concept abstrait en le comparant à une situation bien plus facile à comprendre, ou alors insolite.
Il existe plusieurs techniques pour faire des comparaisons réussies.
En voici 3 :
Il s’agit de faire un tour d’horizon des objets qui se trouvent dans votre champ de vision.
Un clavier, un écran, une paire de ciseaux, une assiette, un casque, un micro, un livre, un sucre, etc... (j’ai fait un petit tour d’horizon de mon bureau pour l’exemple)
Ensuite :
Par exemple, prenons le concept abstrait suivant :
“Les mauvaises habitudes”.
Quelques propositions :
On peut faire la même chose, mais en utilisant un dico.
Le principe est simple : Vous ouvrez le dico au hasard, et vous choisissez un mot dedans. Un mot concret.
Puis vous construisez votre comparaison comme ci-dessus.
Ca c’est très malin !
Rendons à César ce qui est à César, c’est à Cédric, du blog Virtuose Marketing, que revient la paternité de cette excellente astuce pour trouver des centaines, voire des milliers de comparaisons.
Il s’agit d’aller marquer le début de votre comparaison dans Google, et de voir ce qu’en ont dit les autres internautes.
Je vous engage à utiliser cette technique à outrance, car c’est très efficace et très prolifique.
La comparaison est un élément très puissant pour rajouter un peu d’âme à vos textes, mais également pour les rendre plus compréhensibles.
Je vous recommande donc de ne pas hésiter à les employer dans vos articles de blog : Ca leur donnera une toute autre dimension.
Jeudi, nous verrons le 3ème outil de clarté d’un article. Le plus long à trouver, mais quand c’est bien fait, c’est imparable !
24 AVRIL 2012
Hier, j’ai publié une vidéo sur la génération Y réalisée par la société Adesias, et en me rendant sur leur site web, je suis tombé sur une vidéo assez sympa qui explique leur travail.
Il se résume à ça :
Cela m’a donné l’idée d’écrire cet article, car il est vrai que lorsqu’on écrit sur un blog – ou ailleurs – il n’est pas facile d’être clair.
Je dirais même que c’est hautement compliqué.
Surtout si on traite de concepts abstraits comme le marketing, le bien-être, le développement personnel, etc.
Je vous propose de faire le point avec vous sur cette notion de clarté.
Il ne faut pas se voiler la face : Plus on avance dans le temps, et plus l’information se multiplie sur Internet.
Il devient donc de plus en plus urgent d’aller à l’essentiel quand on écrit, mais surtout, il devient IMPERATIF d’être totalement clair et limpide.
Déjà que les gens n’ont plus le temps de lire, mais si en plus ils doivent batailler comme des fous pour comprendre ce que vous dites, alors votre blog est hélas voué à l’échec à terme.
Voilà pourquoi il est URGENT de réapprendre à être clair quand on écrit.
Pour cela, il faut apprendre à reformuler sa pensée pour la rendre plus simple.
Et ça, comme tout changement de comportement, c’est ardu. Surtout si vous n’êtes pas habitué à écrire clairement.
C’est ardu à peu près autant que de se laver les dents de la main gauche si vous êtes droitier (ou inversement). Avez-vous déjà essayé ?
C’est pas évident.
En fait, tout est une question d’habitude.
En effet, c’est à force de vous laver les dents avec la même main depuis des années qui fait que maintenant, vous ne faites même plus attention aux gestes que vous effectuez.
C’est devenu machinal.
Changez de main, et vous allez comprendre tout de suite.
Il en est de même pour beaucoup d’autres chose dans sa vie.
Ecrire avec un stylo, par exemple. Manger, couper sa viande, cliquer sur les boutons d’une souris.
Changez de main pour toutes ces actions, et vous verrez.
Quand on écrit, c’est la même chose.
On a une manière d’écrire qui nous est propre. Ca nous vient de ce qu’on a appris et pratiqué à l’école. Mais aussi et surtout de nos différentes lectures. D’aujourd’hui et d’hier.
Et la puissance de l’habitude a fait le reste.
Une fois que vous vous êtes forgé un style d’écriture, alors il est très dur d’en changer.
Et si vous avez l’impression que les gens ne vous comprennent pas, où que vous avez grand mal à exprimer vos idées, alors il va falloir MODIFIER la manière que vous avez d’écrire.
Il faudra vous forcer un peu au début.
Mais heureusement, vous allez pouvoir vous faire aider.
En effet, il existe un certain nombre d’outils pour faire passer nos idées avec plus de clarté.
En fait, il y en a 3 principaux.
Aujourd’hui, nous verrons le premier.
Le premier de ces outils est le plus “facile” des trois à employer.
Comprenez que les trois sont difficiles, mais que sur les trois, celui-ci l’est moins.
Par exemple, il est plus facile de faire décoller un avion que de le poser. Et pourtant, si vous n’avez jamais piloté d’avion, les deux tâches vous semblent très difficile.
C’est pareil ici.
Ce premier outil, c’est la force de l’exemple.
Utiliser un exemple pour illustrer vos propos, c’est transformer n’importe quelle notion abstraite (difficilement compréhensible) en une notion concrète.
C’est replacer une idée qu’on ne peut pas matérialiser dans un contexte concret qui nous permet de la visualiser en action
Je viens de le faire à l’instant avec mon histoire d’avion, et un peu plus haut avec mon histoire de brosse à dent.
Je lis beaucoup de blogs, et je suis forcé de constater que beaucoup de blogueurs n’emploient pas cet outil.
Ils parlent souvent de notions abstraites. Et moi, j’ai du mal avec l’abstrait, parce que je suis quelqu’un qui a beaucoup d’imagination.
Ainsi, à chaque fois que je lis un texte, je le projette dans ma tête pour le transformer en images. Sinon, j’ai du mal à comprendre.
Donc, si un texte est trop abstrait pour moi, si on se cantonne à me dire des trucs vagues et compliqués, je décroche très vite car je ne peux le transposer.
Je vous parle d’exemple, alors en voici un :
Un texte abstrait me parle d’amour, de joie, de bien-être. Un peu comme ça :
C’est si bon d’être amoureux. Ca procure tellement de joie et de bien-être qu’il n’existe rien de plus merveilleux dans sa vie.
Ce genre de texte fait se poser plein de questions. Questions dont on n’a pas la réponse dans le texte. Donc on est frustré.
Un texte concret ne fait pas ça.
Il me parle de Céline qui rougit et qui sent son cœur battre à tout rompre dans sa poitrine quand elle voit Adam s’approcher d’elle avec un grand sourire et le souffle court.
Et elle pourrait sauter et hurler de joie sur place tellement elle se sent bien après qu’Adam l’ait embrassée à pleine bouche... Il a un gout de caramel.
Je n’ai pas besoin de continuer.
Vous avez saisi la différence ?
Tout ceci évoque des images dans ma tête, et tout est beaucoup plus clair pour moi que de vagues notions d’amour, de joie ou de bien-être.
Et encore, avec l’amour, ça va encore.
Imaginez que je me mette à vous parler de marketing...
Il est absolument impératif que vous rajoutiez toujours au moins UN exemple dans vos articles.
Un exemple concret. Tangible. Qui met en scène des humains. Et auquel vos lecteurs peuvent s’identifier.
Reprenez le concept que vous exposez, et transposez-le dans la vie d’un être humain.
Pour se faire, répondez à un maximum de ces 13 questions à propos de votre personnage :
Si vous incluez ce genre de questions et surtout leurs réponses pour trouver
Si vous vous contentez de concepts abstraits, vos lecteurs s’ennuient et partent.
Au début, ce ne sera pas facile.
Vous devrez batailler pour en trouver un bon.
Mais prenez quand même l’habitude d’en mettre un à chaque fois.
Je vous assure que le nombre de vos lecteurs satisfaits va grimper en flèche.
Demain, nous verrons le deuxième outil de clarté que tous les blogueurs à succès utilisent dans chacun de leurs articles pour être appréciés par tous.
D’ici là, reprenez vos derniers articles, et voyez si vous y avez bien inclus des exemples pour expliquer vos concepts abstraits.
23 AVRIL 2012
Il y a 4 jours, on fêtait les 91 ans de La Vache Qui Rit.
Vous la connaissez forcément, cette vache rouge avec son regard malicieux et ses boucles d’oreilles en forme de boite de fromage.
Mais savez-vous comment est né son nom ?
Oui ! Ca vient d’un calembour qu’employaient nos grands pères pour surnommer l’opéra de Wagner “la chevauchée de la Walkyrie”.
Ils disaient “La chevauchée des vaches qui rient”.
Léon Bel, négociant en gruyère dans le Jura, avait un grand-père qui le disait tout le temps. Et il adorait ce jeu de mot.
Et quand fut venu le moment de nommer une nouvelle création de sa société, il opta pour ce nom : La Vache Qui Rit.
Il déposa cette marque le 16 avril 1921 et fit dessiner la tête que nous connaissons par un dessinateur du nom de Rabier.
Il y a de très grosses probabilités pour que vous soyez né bien après l’apparition de ce nom. Par conséquent, vous l’avez toujours connu. Il est même rentré dans le langage commun.
En effet, on ne dit pas “Tu veux une pâte de gruyère ?”, mais “Tu veux une vache qui rit ?”.
Au même titre que le mot “frigo” est en fait une contraction de la marque “Frigidaire” pour désigner un “réfrigérateur”.
Et ça parait totalement normal.
Mais imaginez un instant l’impact qu’a dû produire un nom pareil sur les gens dans ses premières années ?
Avouez que c’était assez insolite pour faire marrer des générations entières, et le succès de ce petit fromage n’est à mon avis pas sans rapport avec son nom.
Vous devriez vous en inspirer.
Choisir un nom insolite pour sa marque, c’est presque toujours un gage de succès car les gens vont en parler.
Autant de mots qu’on connait aujourd’hui mais qui ont tous une histoire et un potentiel viral important.
Parce que ça fait sourire.
Et parce qu’on imagine plein de choses en lisant ces mots. Surtout quand on découvre le produit qui va derrière.
Si vous le pouvez, faites pareil.
Essayez de choisir une marque insolite qui va faire parler les gens. Et essayez autant que faire se peut de choisir un nom assez évocateur qui fasse penser au produit qui va derrière en souriant.
Quelques exemples :
Ca peut ne rien vouloir dire.
Mais ça peut aussi marquer les esprits. Et c’est parfaitement le but.
Lâchez-vous !
20 AVRIL 2012
Savez-vous quel est le "degré de sympathie" de votre site web, vos articles de blog, vos emails ou de vos pages de vente ?
Saviez-vous que la sympathie d’un texte, quel qu'il soit, est mesurable ?
Voici comment…
Si vous avez quelques notions de copywriting, ce qui doit forcément être le cas si vous lisez ces lignes, alors vous avez certainement appris que le mot le plus important qu’on emploie sur une lettre de vente c’est le mot "vous" et tout ce qui s’y rapporte (votre, vos, tu, tes, ton, etc…). C'est ce qu'on appelle les MOTS D'OR.
Il s’ensuit que le mot le moins important est donc son contraire, à savoir le bon vieux "Nous" et ses dérivés (nôtre, nos, moi, mien, etc.). C'est ce qu'on appelle les MOTS INTERDITS.
J'ai donc créé un outil en ligne qui calcule le rapport entre le nombre de mots d'or qu'il y a dans un texte, par rapport au nombre de mots interdits.
Le résultat obtenu est un ratio baptisé "Sympathomètre".
Et donc forcément, plus le sympathomètre de votre texte est haut, et meilleur c’est pour vous.
Comment ça fonctionne ?
Prenez un texte, n'importe lequel. Une page de vente, un article, un mail, une page complète d'un site ou d'un blog, même, si vous voulez.
Copiez et collez ce texte dans le Sympathomètre, et vous obtiendrez le nombre de mots de votre texte, le nombre de mots d'or, et le nombre de mots interdits. Il ne vous restera plus qu'à améliorer ou non votre texte.
Pour accéder à cet outil de calcul, il vous suffit de laisser votre prénom et votre adresse email dans le formulaire ci-dessous. Vous recevez l'accès à cet outil et aux autres en quelques secondes.
Oui, c’est bientôt les examens. Arrive le moment des révisions.
Il ne vous serait certainement jamais venu à l’esprit qu’on pouvait utiliser le copywriting pendant ses études ?
Et pourtant, j’ai une belle idée de copywriter sur la question, mais avant de vous en parler, je DOIS vous préciser un truc très important.
Depuis que j’écris sur ce blog, je constate un truc qui me chagrine de temps en temps :
Beaucoup croient qu’il faut absolument suivre ce que je dis au pied de la lettre.
Comme si ma parole était d’évangile. Ou qu’il n’y ait pas d’autre solutions possibles.
J’imagine que c’est la manière dont j’écris qui fait ça.
Puisque je parle à l’impératif et que j’emploie des mots comme “Vous devez” ou “Faites”, etc.
J’écris comme ça parce que c’est ce qui me semble le plus naturel.
Tout comme vous n’êtes pas OBLIGE de lire TOUS mes articles.
J’ai décidé d’écrire tous les jours, mais VOUS, vous pouvez décider de n’en lire qu’un sur deux !
Parfois, dans certains commentaires, je lis que “les gens n’auront jamais le temps de TOUT faire” et que ce que je raconte est irréalisable pour le commun des mortels.
Allons !
Il y a 130.000 mots dans le dico, ca ne veut pas dire que vous les utiliserez tous ! Vous prenez et utilisez ceux dont vous avez besoin.
C’est pareil pour les conseils que je donne sur ce blog. Je vous parle de mes idées, et je vous dis ce que je considère comme judicieux de faire.
Ca ne fait pas de moi un mec parfait qui sait tout sur tout. J’ai mon avis sur certaines questions, qui vaut largement l’avis d’une autre personne, mais qui ne reste après tout que MON avis.
C’est à VOUS, cher lecteur et chère lectrice de choisir ou non de vous ranger de mon côté.
J’espère que vous avez bien compris ça.
Parce que justement aujourd’hui, ce dont je vais vous parler est... comment dire... limite.
Plausible, réalisable, mais très limite. Et carrément “couillu”, pour être franc.
Je vous engage donc à lire ça froidement, et à décider ensuite si vous vous sentez de transmettre.
Mais j’ai des doutes.
Allez... Assez tourné autour du pot.
Si j’ai décidé de vous parler de ça aujourd’hui, c’est grâce à mon ami Didier Penissard qui vient de m’envoyer un mail titré de la sorte : “6 stratégies qui marchent pour réviser ses études sans se prendre la tête”.
J’ai lu ses 6 stratégies, et elles sont pertinentes (suivez-les sans souci).
Pour autant, celle que j’ai utilisée pour avoir mon bac de français à l’oral n’y figure pas. Et pourtant elle m’a valu un 13/20 sans forcer du tout.
C’est de celle-ci dont je vais vous parler ici.
En préambule, sachez que j’ai toujours été un gros fainéant doublé d’un rebelle pur souche, et que j’ai donc toujours cherché à en faire le moins possible dans une tâche.
Surtout quand elle est rébarbative.
Voici donc une stratégie de fainéant compulsif :
Au bac de français – en tous cas dans ma section – on avait une vingtaine de textes de divers auteurs à étudier et une dizaine tirés d’une œuvre complète.
Le principe de l’examen oral était que l’examinateur choisissait un texte parmi les 30 et on devait alors en parler pendant 40 minutes.
Problème : Moi j’habitais dans le sud, et à l’âge que j’avais, j’étais bien plus attiré par la plage et les filles que par les révisions. Surtout en juin.
J’avais donc décidé de réviser utile. Voici comment :
J’avais pris UN texte. UN seul. Et je l’avais étudié à fond pendant une journée complète.
J’avais choisi le poème “A une passante” de Baudelaire, et en une journée j’étais devenu un vrai crack de ce poème et de l’amour romantique au 19ème. J’aurais pu en parler pendant des heures.
Puis j’avais passé 2 ou 3 heures de plus à relire vite fait les 29 autres textes + les quelques notes prises tout au long de l’année.
Et puis j’ai commencé à me faire de l’auto-suggestion en me répétant : “Je vais être interrogé sur ce poème”…
Naïf, je sais...
Puis est arrivé le jour J.
Je rentre tremblant dans la salle d’examen.
Là, une femme. La quarantaine. Un regard un peu triste.
Elle me dit “bonjour”, et elle tient dans sa main la liste de tous mes textes.
Je la vois la parcourir de haut en bas. Puis s’arrêter et me dire...
“Et si vous me parliez de Balzac et de... (j’ai oublié le nom du texte) ?”
Aïe ! Raté !
Je soupire.
Et puis d’un coup je lui dis : “Ho la la celui-là vous savez, je ne l’aime pas trop. Je préfèrerais beaucoup être interrogé sur “à une passante” de Baudelaire !”
Gonflé le gars...
Là elle me regarde avec des yeux écarquillés et elle me répond : “Ben c’est pas vous qui choisissez quand même !”
Je lui réponds : “Oui, je sais bien mais si je vous parle de Balzac, vous allez vous ennuyer et je vais me planter. Par contre, laissez-moi vous parler d’amour romantique et vous allez vous régaler !”
Elle a souri, et elle m’a dit : “Bon, OK.”
Et j’ai eu 13/20.
Bon je vous avais prévenu : C’est un peu limite.
Mais ça a marché.
On pourrait dire que j’ai eu une chance inouïe, mais on peut dire aussi qu’il s’agissait d’une négociation expresse que j’ai remportée.
Car si on m’avait interrogé sur ce poème directement, alors là, oui, on aurait pu parler de chance.
Mais là, c’est bien une ACCROCHE qui a fait basculer l’issue de cet examen en ce qui me concerne.
J’ai décidé de tenter le tout pour le tout en mettant un maximum d’impact dans une seule phrase, dans le but de convaincre l’examinatrice qu’il était mieux pour tout le monde que je parle de quelque chose d’autre.
Reprenons cette phrase et analysons-là :
5 mots interdits et 6 mots d’or.
Je parle donc plus de la personne que j’ai en face plutôt que de moi-même.
Je commence par un problème (vous allez vous ennuyer), et je conclus sur un bénéfice (vous allez vous régaler).
Et dans l’intervalle, je demande de me “laisser parler de...” alors que j’aurais pu dire “Je veux vous parler de...”.
Au final, tout le monde est gagnant.
Bref, cette phrase est une phrase de vente.
Elle convient à beaucoup de situations de la vie de tous les jours.
Prenons quelques exemples :
Vous l’aurez compris, le modèle est duplicable.
Vous pouvez utiliser ce schéma au cas où :
A vous de l’adapter comme vous le sentez.
Bon vous l’aurez compris, vous pouvez toujours proposer ça à vos enfants.
Ca reste risqué néanmoins, mais sans risque, la vie vaut-elle vraiment la peine d’être vécue.
On n’est pas tous d’accord sur ça, OK.
Pour finir, considérez ceci :
Si vous avez un enfant qui par nature est nul dans une matière. Ca arrive. Moi c’était en économie.
L’idée de lui faire apprendre UN SEUL truc parfaitement dans cette matière se tient, vous ne trouvez pas ? Parce que s’il tombe sur ça en particulier, alors ce sera tout bénéf pour lui.
Bien évidemment, il faut que cela se passe à l’oral pour qu’il y ait la possibilité de “négocier” avec l’examinateur en cas de mauvais tirage.
Après tout, le choix du sujet au hasard est largement aussi discutable qu’un sujet choisi en toute connaissance de causes, n’est-ce pas ?
Le but est que l’élève brille et que l’examinateur ne s’ennuie pas !
Le choix du sujet au hasard n’est qu’un raccourci ! Une méthode pour éviter d’avoir à choisir.
Et je suis persuadé qu’un examinateur saura facilement se laisser conquérir par le genre de phrase dont je vous ai parlé ici. Ca montre quand même une certaine implication et un certain culot de la part de l’élève, ce qui n’est pas pour déplaire je crois.
Voilà
Je vous avais prévenu, c’est un peu “facultatif” comme sujet. Mais bon, ça peut donner quelques idées.
A vous de voir...
19 AVRIL 2012
La semaine dernière, on a vu le gros travail que c’était de recenser les pages de ventes concurrentes.
Aujourd’hui, nous allons nous attaquer à un morceau largement aussi gros et aussi important.
Car il existe en effet plusieurs endroits où vous pouvez aller chercher des infos précieuses pour vous aider à réaliser une page de vente riche et intéressante.
C’est bien entendu par là que vous devriez commencer.
En effet, les forums sont des endroits qui, par définition, regroupent des gens qui sont intéressés par un même sujet, plus ou moins vaste.
Par conséquent, si vous trainez dans les forums qui correspondent au thème de votre produit, vous pourrez récupérer des centaines d’informations qui vous seront très utiles pour votre page de vente :
Des témoignages pour commencer. Les forums sont de vrais repaires de témoins en tous genre. Vous pouvez même contacter la personne en Message Privé pour lui demander d’autres infos. Je l’ai déjà fait.
Et en profiter pour lui demander si vous pouvez la citer dans votre lettre, quitte à lui offrir un exemplaire de votre produit pour la remercier. Vous seriez surpris du nombre de personnes qui acceptent.
On n’y pense pas, mais les forums regorgent de chiffres. Ceux qui sont bruts, et qui sont inscrits directement (les gens en parlent), et ceux qu’on calcule (Sur 15 personnes qui en parlent ici, 14 sont d’accord...).
Les forums regorgent de questions. Et la plupart du temps, ce sont vos futurs clients qui les posent.
Vous avez donc la possibilité de trouver un tas de questions pertinentes, auxquelles vous pourrez commencer de répondre dans votre page de vente.
Vous vous ferez une bonne grosse liste de questions que vous pourrez rapprocher du produit que vous vendez.
Si votre produit traite de près ou de loin de la santé et du bien être, alors bien sûr, allez écumer les pages du forum de Doctissimo, le plus fourni qui existe.
Vous avez aussi le forum AuFeminin.com excessivement bien fourni si votre thème s’y prête.
Si votre produit touche à la voiture, c’est sur le forum Auto que vous devez vous rendre.
Pour le reste, utilisez Google, ou pour aller plus vite, rendez-vous là.
Les forums étant ce qu’ils sont, il vous sera très difficile de retrouver une information une fois que vous aurez quitté l’endroit.
Par conséquent, je vous conseille d’ouvrir un fichier spécial (c’est ce que je fais) et de recopier carrément les posts entiers.
Vous pouvez aussi enregistrer la page comme je vous l’expliquais la semaine dernière.
Classez tout ça dans le sous-dossier “Forums” du dossier “3 – Recherche”
Pour le livre exemple que je cherche à vendre avec cette méthode de copywriting, le forum AuFéminin me donne plus d’infos que je ne peux en récupérer.
Dans la même lignée que les forums, mais beaucoup moins fréquentés, vous aurez les blogs.
Là, vous y chercherez plus de l’info pertinente que des commentaires au même titre que les forums.
La manière de rechercher une information sur un blog a été abordée de long en large dans mon article de vendredi dernier (la première partie), que je vous conseille donc d’utiliser pour trouver ce que vous cherchez en rapport avec votre produit.
Bien souvent, si vous recherchez sur Google, dans la section “Google Scholar”, vous trouverez de véritables mines d’or.
Des thèses étudiantes qui vous donneront des informations que vous ne trouverez jamais ailleurs (parfois l’étudiant en question a passé une année complète à faire des recherches à votre place, et vous vous n’avez qu’à vous servir de l’info).
Voici l’astuce pour en trouver :
Utilisez un ou deux termes avec l’attribut “filetype:pdf”.
Pour notre sujet, ça donne : réussite+succès filetype:pdf
Un jour, j’ai trouvé une étude complète sur l’effet du café sur votre organisme quand vous essayez de maigrir. Chiffres, exemples, schéma, photos, tout y était.
Il s’agissait d’une thèse d’un étudiant en médecine qui avait fait une étude colossale qui m’aurait demandé des mois de recherches. J’en ai tiré 3 mails de relance très détaillés.
Ceci dit en passant, si vous cherchez des idées d’articles utilisez Google Scholar. Il y a de quoi faire.
Ici, bien sûr, enregistrez vos fichiers PDF dans un dossier spécial (documents, thèses, appelez-le comme vous voulez).
Ensuite, si vous n’avez pas assez d’infos, ce qui serait bien étonnant, vous pouvez également aller consulter des sites d’infos et d’actualités, surtout les sites officiels des journaux nationaux.
On y trouve des articles assez sympa, et en fonction du thème de votre produit, vous pouvez ainsi citer les sources et donner ainsi un peu plus de valeur à vos arguments.
Bien entendu, la somme des recherches est colossale.
L’avantage, c’est que les grands journaux nationaux ont un système de recherche assez développé. Par exemple sur le site du journal “Le Monde” pour le mot clef “développement personnel”.
Il vous suffit donc d’indiquer les mots clefs désirés dans les champs de recherche pour avoir accès à des articles sur tous les sujets voulus.
Voici une liste non exhaustive des quotidiens français :
Si vous cherchez des chiffres et des articles de fond, vous avez de quoi faire avec tous ces sites.
Classez bien entendu les infos et articles trouvés dans un dossier spécial.
L’idéal, quand on cherche une info sur un sujet, c’est de recevoir une “alerte” qui vous dit qu’un article vient de paraître.
Pour cela, vous pouvez utiliser Google Alertes.
Il vous suffit d’indiquer les mots clefs que vous voulez surveiller, et dès que Google indexe une page web qui comporte ces mots-clefs, alors vous recevez un mail qui vous donne l’adresse de la page en question.
C’est excellent pour rester en permanence informé d’un sujet. Personnellement, j’utilise les articles et les pages qu’on m’envoie pour faire des mails de suivi après la vente, ou carrément à inclure dans ma séquence de mails de sensibilisation :
“Tenez, je viens de trouver le site suivant qui raconte que...”. Succès garanti !
Pour l’heure, ce genre d’alertes vous permet d’avoir d’autres informations plus fraiches sur le sujet que vous traitez.
Ce qui peut aussi vous permettre de modifier après coup votre page de vente.
Ca, c’est le nec plus ultra d’une page de vente : Indiquer des sondages et des chiffres précis pour étayer vos dires.
Et si les sondages en question émanent d’un organisme connu et respecté, alors c’est encore mieux.
Je vous conseille donc d’enregistrer cette liste d’instituts de sondages qui vous donneront matière à récupérer tous les chiffres que vous voulez sur pratiquement tous les sujets.
Il existe un système de recherche sur chacun de ces sites, et avec un bon choix de mots clefs, vous devriez trouver ce que vous cherchez assez rapidement.
Prévoyez néanmoins 3 bonnes heures pour faire les choses comme il faut. Commencez par Mingle.
C’est là que je prends mes meilleurs chiffres.
Voici la liste :
Enregistrez chaque site ci-dessus dans vos favoris. Créez un dossier spécial “Sondages”. Vous y reviendrez souvent.
Et pour finir, je dois bien évidemment vous parler d’Amazon, que j’utilise également pour rechercher des livres en rapport avec celui que je cherche à vendre.
Ils me donnent des infos vraiment intéressantes, comme par exemple :
Je passe toujours une bonne journée sur Amazon.
Et comme je maitrise aussi bien l’espagnol que l’anglais et le français, je passe en revue les livres qui existent dans les 3 langues, ce qui me donne une bonne base de livres annexes.
J’en achète parfois une bonne dizaine pour avoir plus d’infos.
J’enregistre chaque page de chaque livre en mht (je vous l’expliquais la semaine dernière) et je classe tout ça dans les dossiers correspondants.
En résumé, Amazon est une belle source d’infos.
Je le fais toujours à la fin de ma recherche, car c’est ce que je préfère.
Voilà !
Comme je vous avais prévenu, gros travail aujourd’hui. Cette phase est très importante et complète parfaitement la recherche des pages de ventes de la semaine dernière.
A l’issue de cette semaine, vous aurez appris des centaines de choses sur le sujet du livre que vous vendez.
Ca vous permettra d’accroître votre influence et votre savoir dans votre domaine.
La phase de recherche et de recensement des idées de la semaine prochaine sera une formalité si vous avez bien passé le temps qu’il faut cette semaine.
Je vous conseille de consacrer un jour par source. Pas forcément toute la journée.
Il faut laisser votre cerveau emmagasiner toutes les infos.
Par contre, vous le verrez, si vous le faites sérieusement, alors vous ressentirez une espèce d’euphorie qui vous permettra de réaliser la phase suivante en deux temps trois mouvements.
Donc prenez bien le temps de passer en revue tout ce qu’on a vu aujourd’hui.
C’est la clef pour le reste de la réalisation de votre page de vente. Dites-vous que vous aurez fait les 3/4 du chemin à l’issue de cette 5ème étape.
Rendez-vous la semaine prochaine pour la mise en place des idées.
D’ici là, n’hésitez pas à poser vos questions.
18 AVRIL 2012
Autant vous prévenir tout de suite : Cet article est long. Très long. Près de 3000 mots.
Peut-être même qu’il est un peu “grave” pour commencer. Dans le sens de déprimant.
Parce que ce que j’ai à vous dire est terrible. Implacable. Et malheureusement véridique.
En effet, je vais vous relater l’expérience douloureuse que vivent en ce moment des milliers de blogueurs et de blogueuses. Alors qu’ils ne l’avaient ni mérité, ni pressenti.
Ce n’est pas une fiction. C’est réel. Une diablerie, de mon point de vue...
Et une révolution, à n’en point douter.
Ca me fait penser à la phrase de teaser du dernier Harry Potter : De sombres heures nous attendent !
Voyez pourquoi...
Il y a un peu moins d’un an, j’écrivais cet article.
J’y expliquais comment et pourquoi il était très important d’apprendre à se passer de Google quand on a un blog ou un site Internet.
Je disais que l’idéal, c’était que le trafic généré par les moteurs de recherche ne représente pas plus de 10% de la somme totale de son trafic.
Aujourd’hui, vous allez mesurer à quel point ceci n’a jamais été aussi vrai. Et surtout si vous avez un blog.
Et à dire vrai, je peux même vous dire que je suis voyant.
En effet, je peux prédire avec une certitude absolue combien vous pouvez perdre de pourcentage de visiteurs si vous ne prenez pas garde à tout cela.
Suivez cette procédure en 3 étapes :
Pour trouver combien de visiteurs se trouvent du côté “fragile”, c’est facile :
Etape 1 : Allez ouvrir votre compte Analytics.
Etape 2 : Allez voir la rubrique “source de trafic”.
Etape 3 : Identifiez “Moteurs de recherche”. Vous avez un % qui s’affiche.
Et voilà.
C’est le pourcentage EXACT de visiteurs journalier, mensuel et annuel que vous êtes susceptible de perdre.
Du jour au lendemain.
Même si votre blog est superbe, magnifique, et très bien entretenu.
Même si vous êtes faites figure d’autorité dans votre secteur.
Vous ne me croyez pas ?
Vous croyez que j’affabule ? Que je fais du sensationnel à bon compte pour vous forcer à lire mon article ?
Je m’en doutais
Voici donc un petit exemple REEL de ce qui se passe depuis quelques jours dans la blogosphère française.
Vous allez voir si c’est une blague...
Comme je vous le disais, je suis pas mal de “blogs de filles”. Parce que ça me détend. Et parce que j’aime bien.
Et ce qu’il y a avec les blogs de filles, c’est que beaucoup sont hébergés sur des plateformes communes.
Les 3 plus connues sont :
Vous savez comment ça se passe avec ce genre d’hébergement ?
L’adresse se présente comme suit :
nom-de-votre-blog.adresse-de-la-plateforme.com
Depuis quelques jours, une très grosse partie des blogs hébergés sur la plateforme over-blog.com ont vu la majorité de leurs articles déclassés dans Google sur tous leurs mots-clefs principaux.
Direct.
Comme ça. Du jour au lendemain. Sans prévenir.
Une des personnes que je suis et dont je vous ai déjà parlé (Nessa du blog Mademoiselle Biotup) a vu son trafic baisser de 44% en quelques jours.
Et la grosse majorité des blogs hébergés sur cette plateforme ont constaté la même chose.
Juste un lien vers un post de forum qui reprend quelques exemples bien détaillés, pour vous montrer à quel point l’impact est réel et sérieux.
Pourquoi Google a-t-il fait ça ?
Mystère.
Et les suppositions vont bon train.
J’ai aussi les miennes :
Vous voyez ?
Des explications, on peut en trouver plein.
Et en fait, ce n’est pas ce qui est le plus important.
Le plus important, c’est qu’encore une fois, Google décide de ce qu’il affiche dans SON moteur de recherche.
Ce n’est pas VOUS, ni votre contenu, ni votre personnalité, ni votre audience, ni vos multiples sites. NON !
C’est LUI qui décide.
D’un autre côté, il est chez lui. Donc tout ceci semble logique !
Vraiment ?
Aujourd’hui, vous avez un blog WordPress qui est super bien placé sur quelques mots-clefs, qui a toutes les chances d’être apprécié par Google, et qui est optimisé pour tous les moteurs.
Mais qu’en sera-t-il demain ?
Qu’adviendra-t-il si Google décide que WordPress fait trop d’ombre à Blogger ?
Que se passera-t-il si Google se fâche avec un membre influent de la communauté Wordpress, et qu’il décide, en représailles, de pénaliser tous les blogs qui sont sur cette plateforme ?
Que se passera-t-il si le nombre astronomique de blogs WordPress de qualité moyenne croît encore, et que Google décide de mettre tous les blogs de ce style dans le même panier ?
Vous feriez bien de le prévoir.
Parce qu’on croit que tout avance comme sur des roulettes, et un jour, on se réveille et hop, on a perdu la moitié de son trafic du jour au lendemain. Sans prévenir.
Je vous propose donc 11 actions à effectuer au plus vite pour éviter ça.
Ce sera également l’occasion pour notre amie Nessa (si elle passe par là) de savoir quoi faire pour retrouver ses 44% de visiteurs qu’elle a perdus en quelques jours :
Si ce genre de chose vous arrive, vous allez devoir vous activer comme un beau diable (ou comme une belle diablesse) pour trouver en vitesse d’autres sources de trafic pour votre blog.
Vous serez accolé au mur : Vous ne pourrez pas faire autrement.
Mais aussi, avec un peu de chance, tout ceci ne vous concerne heureusement pas encore.
C’est donc le moment idéal pour passer en revue les différentes actions à mener pour ANTICIPER ce genre de déboires.
Avant qu’il ne soit trop tard.
Je vous propose donc de lister ci-dessous les 11 actions à incorporer dans votre semaine pour rééquilibrer votre trafic.
Je l’ai déjà dit : Je n’aime pas perdre trop de temps avec mon référencement.
C’est une activité qui prend beaucoup de temps, et dont les résultats sont non seulement incertains, mais surtout éphémères.
Depuis quelques temps, je parle de référencement sur ce blog. Vous avez pu le voir dans quelques articles.
Vous l’aurez compris ou pas, mais c’était pour respecter ce dont je vous parlais vendredi dernier.
Pour autant, je vais arrêter d’en parler.
Le souci, c’est que certains ont basé leur blog entièrement sur ça : Ils écrivent des articles basés sur des mots-clefs précis et passent la plus claire partie de leur temps à s’occuper de leur référencement au lieu de chercher d’autres sources de trafic.
Je frissonne à l’idée de l’état dans lequel ils vont être si Google décide un jour de s’acharner sur les WordPress-Users.
Je vous recommande donc de suivre ce conseil numéro 2 :
Ca fait un peu cliché d’écrire ça. Je sais.
Et pourtant, c’est important. Vous comprenez pourquoi.
Parce que ce n’est pas Google qui vous fait vivre. Google n’est qu’un moyen. Un chemin.
Ce qui vous permet de vivre avec votre blog, ce sont vos visiteurs. Vos membres.
Vous pouvez être très bien placé dans Google (pour l’instant), si vos visiteurs s’ennuient chez vous à cause de ce que vous écrivez, alors vous avez tout perdu.
Donc, passez un peu moins de temps à optimiser vos articles pour Google, et plus de temps à écrire des choses intéressantes.
Il existe une relation entre la faculté qu’on a – ou pas – à écrire des choses intéressantes et le temps journalier qu’on consacre à la lecture.
C’est si important que je mets une image pour que vous arrêtiez votre attention ici :
Ce n’est pas la piscine qui est important, c’est LIRE !
Lisez 30 minutes de plus chaque jour, et vos textes seront 10 fois plus intéressants qu’avant. Parce que vous connaitrez plus de choses.
Parce que vos histoires seront plus détaillées. Plus réelles. Plus intéressantes. Plus chiffrées.
Vous garderez vos visiteurs plus longtemps. Et ils auront envie de revenir vous voir. Il s’abonneront, même...
Le nombre de blogs augmente chaque jour.
Il est donc facile pour vous de prendre UNE heure en début de mois, pour chercher 10 nouveaux blogs à commenter.
Passez en revue les différentes manières que j’ai énumérées ici.
Et commentez utile.
Au cas où, relisez cet article qui vous rappelle ce qu’est un “commentaire trafic” utile.
Je vous en parlais (encore dans mon article de vendredi).
L’une des manières les plus efficaces d’avoir du trafic est d’intéresser une communauté de blogueurs bien remplie.
Pour cela, vous devez établir des ponts entre votre thématique et celle de la communauté en question.
Créez donc une nouvelle catégorie sur votre blog, et commencez à rédiger des articles dessus.
Commencez par faire une liste la plus exhaustive possible des blogs de cette nouvelle niche. Ne choisissez que ceux qui proposent le plugin CommentLuv.
Puis classez-les si possible par le nombre de visiteurs annoncé, du plus grand nombre au plus petit.
Et commentez-en 5 par jour en partant du haut.
Chaque semaine écrivez un nouvel article en rapport avec cette niche, et passez en revue tous les blogs que vous avez identifiés pour commenter les derniers articles.
Au bout d’un mois complet, ouvrez votre compte Analytics, et analysez les visites que vous avez reçues via vos commentaires. Supprimez de votre liste les blogs qui ne sont pas réactifs.
Si vous avez bien choisi votre nouvelle communauté, vous devriez avoir des centaines de blogs à commenter.
Alors n’hésitez pas à tailler dans le gras !
Vous devez viser TOUT ce qui n’appartient pas à Google : Twitter, Facebook, Linkedin, Viadeo...
Rajoutez une barre ou un menu de partage après chacun de vos articles. Vous pouvez suivre cette procédure en vidéo si vous ne l’avez pas encore fait.
Installez un plugin qui publie de manière cyclique vos anciens articles sur Twitter, Facebook et les autres si possible.
Après chaque article écrit, allez le poster manuellement sur au moins 2 réseaux sociaux en plus de Google.
Augmentez régulièrement votre communauté sociale en recherchant et en suivant plus de gens.
En multipliant votre présence sur d’autres blogs ailleurs qu’en commentaires, vous maximisez vos chances d’être vu partout.
OK un blog sur lequel vous avez écrit peut fermer du jour au lendemain. Comme Google.
Mais l’idée, c’est d'écrire sur PLEIN de blogs. Pas toujours sur les mêmes.
Ainsi, même si certains disparaissent, d’autres prendront la relève.
Essayez donc de prévoir un article invité ailleurs que chez vous par mois. Ca fait 12 par an.
Si vous vous entendez bien avec un ou plusieurs propriétaires de blogs, alors vous pourriez décider de passer des ententes pour partager vos communautés respectives.
La méthode est simple, il suffit de faire de fréquentes liaisons entre votre blog et celui de votre (vos) partenaire(s) en procédant de la sorte :
Vous pouvez contacter quelques personnes que vous appréciez, et leur expliquer le pourquoi d’une telle opération.
Faites un lien vers cet article pour être plus exhaustif.
Multipliez et faites tourner vos cadeaux de bienvenue.
Proposez au moins un nouvel outil, ou une nouvelle ressource, ou un nouvel ouvrage chaque mois.
Faites de temps en temps des packages à distribuer.
Favoriser le partage de ces ressources. Pensez aux scripts. Aux logiciels gratuits à mettre sur les plateformes de téléchargement, aux livres à personnaliser.
Et HABITUEZ vos membres à recevoir un nouvel outil chaque mois. Ils ne voudront plus vous quitter après ça !
La vidéo a le vent en poupe. Elle a l’avantage d’être moins monotone qu’un article.
Et surtout elle favorise le contact entre vous et vos membres.
Regardez par exemple celles que réalise Claire du blog Univoix.fr. Ne sont-elles pas adorables ? Ne donnent-elles pas envie de s’abonner pour en avoir plus ?
Si vous avez la moindre procédure ou leçon à transmettre aux autres, alors faites-le en vidéo. Profitez-en pour vous inscrire sur le blog de Claire. Elle vous explique quotidiennement comment améliorer votre voix.
Quand on fait de la vidéo, c’est DE LOIN le truc le plus important à maitriser, à moins d’être inaudible, incompréhensible, voire barbant.
Pour vos vidéos, utilisez votre iPhone, votre iPod, ou même la webcam de votre ordinateur.
Faites de l’enregistrement d’écran, même. Mais faites des vidéos.
Et postez-les sur Youtube (bien sûr) mais AUSSI sur d’autres plateformes qui n’appartiennent pas à Google.
Parce que faites confiance à Google : S’ils peuvent vous rayer de leur liste en quelques secondes, ils peuvent aussi décider de supprimer votre compte Youtube en quelques minutes aussi.
Donc prévoyez toujours au moins UNE plateforme en plus de Youtube.
Dailymotion, par exemple.
Voici un lien vers un article qui recense 150 services de vidéos. Il ne vous reste que l’embarras du choix !
Encore un autre canal pour vous faire connaître.
La méthode ? Facile : Enregistrez vos meilleurs articles (tous, même, si vous voulez) en mp3.
Allez suivre la méthode que je vous ai détaillée ici à l’aide de vidéos.
Puis inscrivez-vous sur iTunes (si ce n’est pas déjà fait) et publiez là-bas.
Aucune chance que Google rachète Apple un jour.
Pour finir, considérez les évènements inter-blogueurs comme de véritables mannes à visiteurs.
En fonction de votre thématique, les blogs sont très actifs dans ce domaine.
Je pense évidemment aux blogs sur le développement personnel et sur la cuisine, et les blogs de filles aussi.
C’est le moment de créer des ponts avec ces communautés pour pouvoir participer et profiter à fond de cette opportunité de se faire connaître.
Comme je le disais à mes clients, vous ne POUVEZ PAS savoir à l’avance si l’article que vous allez écrire va être apprécié ou pas.
Dans le doute, il peut faire un carton monumental.
Demain, je lance un grand brainstorming d’une semaine pour trouver des sujets d’évènements pour ces 12 prochains mois sur Copywriting Pratique.
Je compte sur VOUS pour participer à ces prochains évènements. Il y en aura un par mois. Et ça ne traitera pas QUE de marketing !
Bref, participez à un maximum d’évènements.
Et si vous vous sentez l’âme d’un organisateur, alors faites-le.
Je ferai un article détaillé suivi d’une vidéo pour expliquer comment bien s’organiser pour faire ça.
Ce sera une obligation pour moi qui compte faire un évènement mensuel durant cette année.
Et voilà !
11 actions à faire d’urgence pour que le pourcentage de vos visiteurs qui arrivent de Google tombe à 10% maximum.
Relisez bien l’article dont je vous parlais en intro à celui-ci et tous les commentaires qui y sont. Vous comprendrez pourquoi 10% pour Google est un gros maximum.
Il est absolument impératif pour vous d’envisager sérieusement de réaliser un maximum de ces actions au plus tôt.
Car vous ne pouvez pas du tout savoir à l’avance QUAND Google décidera que vous n’êtes plus le bienvenu chez lui.
Ca peut être jamais. Mais ça peut être tout à l’heure. Ou demain. Ou dans un mois.
Car tout ce que vous avez fait hier pour optimiser votre blog peut être obsolète ou considéré comme indésirable par Google. Son algorithme change à une vitesse grand V.
J’ai vu des empires Adsense s’effondrer en une semaine suite à la modification d’une simple ligne de leur règlement.
Des comptes Adwords qui dépensaient et rapportaient des milliers d’euros mensuels se faire fermer du jour au lendemain d’un simple clic. Sans aucune explication !
Des forums avec un PR 5 disparaitre purement et simplement de Google pendant près d’un mois complet à la suite d’un piratage et de l’implantation d’un virus sur leur serveur.
Des blogs reconnus subir le même sort.
En bref, Google est un môme capricieux. Vous ne pouvez jamais savoir comment il va réagir demain, alors il faut apprendre à vivre sans lui pendant qu’il est encore temps.
VOUS êtes le patron de votre blog ou de votre site Internet.
VOUS décidez de quoi faire pour faire venir du monde dessus.
Si plus de la moitié de votre trafic arrive via Google ou via l’un des sites qu’il possède (Youtube, Feedburner, Google+, etc.) alors c’est comme s’il était actionnaire majoritaire de votre entreprise : Il a droit de vie ou de mort sur votre trafic.
Vous DEVEZ ramener sa “part” de votre entreprise à 10%. C’est impératif. Urgent. Et salutaire.
Pensez-y sérieusement.
Ce qui vient d’arriver aux blogueuses et aux blogueurs d’over-blog vous arrivera aussi. Aujourd’hui, demain, ou dans un an. On ne sait pas encore pourquoi mais faites confiance à Google pour trouver.
Anticipez ça dès maintenant.
Reprenez les rênes de votre blog aujourd’hui, et DECIDEZ d’en faire un endroit où l’on arrive de plein de sources différentes.
N’hésitez pas à vous exprimer !
16 AVRIL 2012
Que vous ayez un blog, une page Facebook, un compte Instagram ou une chaîne Youtube, vous devriez faire attention à comment vous recrutez vos suiveurs et vos suiveuses (vos followers, quoi...).
Il vaut en effet mieux avoir 150 personnes à 100% engagées par ce que VOUS faites, par vos valeurs, plutôt que d'en avoir 1000 qui ne réagissent que lorsque vous les faites rire ou que vous leurs montrez votre ...
Bref, vous avez compris.
C'est pour cela qu'il faut éviter les erreurs de base qui sont encore commises de nos jours par les apprentis blogueurs, nouveaux entrepreneurs du web ou tout simplement par les personnes qui veulent ouvrir un groupe ou une page Facebook pro pour vendre leurs produits ou proposer leurs prestations.
Voici les 3 erreurs les plus fréquemment commises.
Attardez-vous particulièrement sur la 3ème erreur...
Si vous la faites, vous vous acheminez vers une hécatombe en 14 étapes qui réduira votre travail à néant, et vous poussera à tout recommencer dans quelques mois.
Autant démarrer sur de bonnes bases pour éviter ça, n'est-ce pas ?
Les 3 erreurs et les 14 étapes dont je parle ici sont dans un guide PDF réservé aux membres de Copywriting Pratique.
Vous y trouverez également 4 manières intelligentes de remplir avec succès vos pages et groupes Facebook ou n'importe quel autre espace sur votre réseau social préféré avec des personnes qui seront enthousiasmées à l'idée d'acheter ce que vous leurs proposerez ensuite.
Remplissez le formulaire ci-dessous avec soin, et vous recevez ce guide par mail dans la minute, ainsi qu'un accès à toutes les autres ressources réservées aux membres :
Hier, je vous faisais part de cette question que j’avais reçue par mail.
J’avais demandé des idées, j’en ai eu des dizaines. Merci !
Aujourd’hui, je vous propose donc une compilation de tout ce qui a été abordé dans les commentaires de mon article d’hier ainsi que de la solution initiale que j’avais trouvée avant la disparition de mon article d’origine.
Ce qu’il y a de bien avec ce genre de brainstorming en direct, c’est que ça vous force à remettre en question votre position initiale.
Pour tout vous dire, dans mon esprit, j’étais parti sur le principe que l’hypothèse était un manque évident et incompressible de blogs du même thème.
Par conséquent, j’avais orienté ma solution sur une ADAPTATION à cet état de fait.
En effet, plutôt que de vouloir à tout prix changer les données d’un problème, il me semble plus productif et plus facile de chercher à s’adapter au mieux à ce problème pour transformer cette contrainte en opportunité.
Je me base sur une citation de Dale Carnegie qui dit : “Le destin vous a donné un citron ? Faites-en une citronnade”.
Mais les différentes propositions que j’ai reçues m’ont montré que dans ce cas précis, on pouvait aisément modifier les données du problème pour arriver à nos fins.
Je vous propose donc de démarrer par le recensement des différentes techniques visant à RECHERCHER efficacement des articles ou des blogs à commenter.
Lorsque vous avez fait votre recherche de blogs dans votre thématique, vous êtes certainement allé sur Google.
Vous avez tapé le terme de votre thématique suivi de “blog” puis vous avez cherché dans les résultats.
Cela ne représente que 5% de ce qui existe vraiment.
Pourquoi ? Parce que certains blogs n’apparaissent pas encore forcément dans les premières pages des résultats de Google sur le mot clef recherché.
Voici donc 6 autres moyens de rechercher et de trouver des blogs qui correspondent à votre thématique :
C’est le moteur de recherche de blog de Google. Il se trouve ici.
Si vous mettez votre mot clef là-dedans alors ça n’affichera que les blogs. Si vous recherchez uniquement des blogs Wordpress, rajoutez ce mot clef dans votre recherche. Par exemple...
Si vous recherchez des blogs qui permettent de mettre un lien vers son dernier article à la fin de son commentaire, comme sur ce blog, alors rajoutez le terme “CommentLuv”. Par exemple...
Utilisez la fonction “intitle:” pour rechercher uniquement les blogs ou les articles qui parlent réellement de votre thématique (le terme inclus dans le titre). Par exemple...
Merci à Kristof pour l’idée.
Si votre thème principal est trop ciblé, vous pouvez chercher en effet des thèmes qui le complètent ou qui traitent plus ou moins la même thématique.
Par exemple, si le thème de votre blog est “La Trichotillomanie (tendance à s’arracher les cheveux), vous pouvez rechercher des blogs sur l’alopécie (perte des cheveux), sur l’entretien de ses cheveux, mais également sur tout ce qui touche à la beauté masculine ou féminine.
Avec le thème du webmarketing, si on ne trouve pas des blogs sur la question, on peut se rapprocher des blogs sur l’affiliation, sur le copywriting, sur les ebooks, sur la publicité en ligne, le blogging, etc...
En fait, le but est de lister toutes les activités et thématiques possibles et reliées entre elles et passer en revue tous les blogs existants avec la méthode 1.
Une bonne manière de procéder est de relever les différentes catégories des blogs principaux.
Par exemple, sur un blog de marketing comme celui de Thierry, on peut relever 4 catégories intéressantes (Droits de revente, Entreprendre, Monétisation, Trafic Internet).
Autant de mots clefs à mettre dans le champ de recherche de Google Blog.
Merci à Nassim, Marie-Eve, David K, Léa, François Vincent et Geoffroy pour l’idée.
Si votre thème principal est trop ciblé, vous pouvez étendre progressivement votre recherche à des thèmes un peu plus généralistes.
Par exemple, si votre blog parle d’hygiène alimentaire, et que vous ne trouvez pas de blog en rapport, il suffit d’élargir la recherche en allant vers une thématique plus large.
Par exemple, tout ce qui touche à l’hygiène tout court, ou à l’alimentaire tout court (cuisine, vente de produits alimentaire, agriculture, etc.).
L’objectif est de partir d’une thématique très ciblée pour migrer progressivement vers du général.
Exemple :
ou
En vous rappelant que plus vous commentez sur des blogs généralistes, moins les intervenants seront de qualité.
Merci à Julien pour l’idée.
Vous pouvez décider de commenter des blogs qui n’ont rien à voir avec votre thématique, à la condition expresse de suivre ces 4 particularités quand vous commentez :
Sans cela, vous perdrez du temps.
Il est également possible de le faire si la thématique de votre blog touche une grosse partie de la population.
Amaigrissement, migraine, insomnie, mal de dos, voiture, sport, adolescence, etc...
Vu que ça touche pas loin des 3/4 des gens de tous les horizons, vous pouvez commenter partout sans souci. Il faudra juste être attirant.
Merci à Jean-Yves, Marie-Do, Nancy, Geoffroy et Amélie pour l’idée.
Une fois qu’on a passé en revue tout ce qu’on avait à chercher dans Google, on peut se servir des blogs que l’on suit et que l’on commente déjà pour en trouver d’autres.
Il suffit de parcourir les listes de blogs présentes dans la barre latérale.
Mais également les liens des gens qui commentent qui sont une porte ouverte vers d’autres blogs peut-être en rapport.
Et on peut également demander carrément à l’aide d’un commentaire si les passants connaissent d’autres blogs en rapport avec la thématique visée.
Merci à Hervé pour cette dernière brillante idée.
Voilà une idée carrément brillante de Claire (du blog Univoix) qui consiste non pas à rechercher des blogs en rapport avec votre thème principal, mais plutôt des articles en rapport avec la thématique.
Voici la procédure proposée :
1- Taper des mots clés relatifs à sa thématique dans Google Adwords et élargir sa recherche afin d’avoir des suggestions par Adwords de phrases ou de mots-clés les plus demandés dans ce domaine.
2- Reprendre les phrases suggérées par Adwords et faire une recherche dans Google blog (voir idée 1)
3- Il y a forcément une liste de blogs, qui n’ont sans doute rien à voir avec la thématique en question mais qui ont publié un article en rapport avec cette thématique.
C’est cet article qui sera à commenter. Car les gens ayant lu ou cliqué sur cet article sont donc déjà intéressés par la thématique.
En plus avec ce système, les commentaires sont faits sur des articles qui sont déjà très bien référencés puisqu’en bonne place dans Google.
Une excellente idée à suivre.
Voilà, je pense avoir fait le tour de tout ce qui a été soumis. De bien bonnes idées à reprendre et à entretenir.
Passons maintenant à ma solution, qui répond, quant à elle, à une logique plutôt adaptative :
Voilà. Vous avez écumé tous les moyens possibles pour trouver des blogs à commenter, mais la liste obtenue ne vous satisfait pas.
Il vous en faut plus.
Il vous reste donc une solution imparable :
Se concentrer sur des blogs ayant une très forte communauté, et modifier légèrement la ligne éditoriale de son blog pour que cette communauté y trouve sa place.
Voilà l’idée :
Si vous allez commenter sur des blogs qui ne sont pas en rapport avec votre thématique, alors comment allez-vous inciter les gens à venir vous voir chez vous ?
La solution : En créant CHEZ VOUS des articles spéciaux EN RAPPORT avec le thème des blogs que vous visez.
En d’autres termes, vous pouvez créer un PONT entre VOTRE thème et celui des blogs que vous visez.
Les articles ainsi créés auront donc pour unique objectif d’intéresser les personnes venant d’une certaine catégorie de blogs.
Voici un exemple pour mieux comprendre.
Admettons que vous ayez un blog sur le sommeil. Cherchez bien, vous verrez que les blogs intéressants sur ce sujet ne courent pas les rues.
Par contre, vous SAVEZ que les troubles du sommeil touchent plus de 7 personnes sur 10.
Et vous savez aussi qu’il y a des centaines de blogs qui traitent du voyage.
Alors, comment pouvez-vous profiter de cette énorme masse de gens qui s’intéressent aux voyages pour en faire venir une partie sur votre blog ?
En écrivant simplement quelques articles qui traitent de sommeil ET de voyage.
Par exemple :
Si vous mettez un lien vers ce genre d’article à partir d’un blog de voyage, alors potentiellement, TOUS les lecteurs pourront être intéressés à venir jeter un coup d’œil chez vous.
Et si vous décidez de jeter votre dévolu sur ce genre de public, alors vous pourriez même carrément créer une nouvelle catégorie POUR les intéresser eux.
Et pour rester dans ce domaine du voyage, quel que soit le domaine de votre blog, vous pourriez avoir matière à intéresser des gens qui voyagent.
Par exemple :
Bref, vous avez compris l’idée ?
J’ai pris le voyage comme exemple, mais vous avez des centaines de thématiques qui peuvent être ciblées.
La cuisine par exemple.
Il y a tellement de blogs sur la cuisine que si votre thème peut se décliner avec quelques recettes, alors il peut être très bénéfique pour vous de créer une rubrique correspondante, que vous alimenterez chaque semaine.
Par exemple :
Ainsi, si vous décidez par exemple d'écrire un article culinaire chaque mercredi, alors vous pourrez utiliser ce jour également pour aller commenter en masse vos blogs de cuisine favoris.
Soignez bien le titre de votre recette, soyez insolite et intrigant et vous aurez des montagnes de gens qui viendront vous voir !
En adaptant votre blog à une thématique suivie par une grosse communauté, vous ouvrez un passage entre ces deux thèmes, et vous augmentez ainsi la vôtre.
D’ailleurs, si vous me suivez depuis le début, vous aurez remarqué que j’ai créé la catégorie “copyblogging” dans ce but, vu qu’elle ne s’y trouvait pas au départ mais que j’avais envie de rassembler quelques éléments de cette communauté.
Voici donc la solution que j’ai proposé à ma cliente et que je vous propose aussi :
“Adaptez la ligne éditoriale de votre blog pour la faire correspondre avec des thématiques qui sont beaucoup plus fournies en termes de visiteurs”
Et même si vous avez assez de blogs en rapport avec votre thématique, qu’est-ce qui vous empêche de le faire aussi ?
Ca fera toujours l’occasion d’évoluer un peu, mais également d’obtenir plus de trafic qualifié, et donc plus de potentiels abonnés.
Voici 5 communautés très fournies :
Laquelle choisirez-vous, et quel sera votre pont ?
13 AVRIL 2012
Argh !
Mon article du jour était pratiquement terminé.
Environ 1500 mots. J’étais en train d’écrire la dernière phrase quand soudain, PAF ! Mon interface a disparu.
Je me suis dit : Pas grave, j’ai enregistré l’article. Je rouvre donc Windows Live Writer, et vais rechercher le brouillon de ce que j’avais fait.
Disparu. Corps et âme. J’ai bien cherché, il n’est plus là.
Une heure de foutue. Et un super article dans lequel j’avais traité une question qu’on venait de me poser par mail.
Les boules !
Quand ça arrive ce genre de trucs, je balancerais bien mon PC par la fenêtre. Vous aussi non ?
Et puis bon...
Après tout, je parlais d’adaptation dans cet article.
En fait, j’expliquais pourquoi l’arme la plus absolue à maitriser quand on fait du blogging, c’est l’art de l’adaptation.
Parce que rien ne se passe jamais comme prévu quand on tient un blog. Si tout se passait toujours bien, alors ce serait trop facile. Et on s’ennuierait.
La vérité c’est qu’on se retrouve toujours avec des problèmes qui surgissent de nulle part, quand on ne s’y attend pas.
Exemple avec cet article qui a disparu.
J’ai comme l’impression que l’univers a voulu voir si ce que je disais était valable aussi pour moi ou si ce n’était que des paroles en l’air.
Donc voilà. Plutôt que de pester tout seul dans mon coin, j’ai décidé de m’adapter et de faire un nouvel article, en utilisant la situation pour changer mon fusil d’épaule.
Voici donc un article assez court, qui sera donc mon article réduit de la semaine.
Voici la question que j’ai reçu par mail ce matin :
“Comment puis-je générer du trafic grâce aux commentaires de blogs si je n’arrive pas à trouver de blogs à commenter en rapport avec ma thématique ?”
Voilà une très bonne question.
D’autant qu’elle peut vous concerner aussi si vous souhaitez augmenter votre trafic.
Alors... Que répondriez-vous à cette blogueuse ?
Quelle solution lui proposeriez-vous ?
Mettez vos avis en commentaires, je les compilerai demain avec la solution que j’ai trouvée.
C’est à vous :
12 AVRIL 2012
Si vous vendez un produit – ou plusieurs – en ligne, alors un jour vous serez invariablement tenté de proposer une réduction sur le prix de vente.
Surtout lorsque arrive une fête, ou un anniversaire.
Des formations, des livres vous le recommandent. On le voit même très souvent – pour ne pas dire tout le temps – dans les magasins.
Et les hypermarchés font ça à longueur d’année.
Moi, je ne le fais jamais.
Pourquoi ?
Parce que je sais que dans pratiquement 100% des cas, les remises vous font non seulement perdre de l’argent, mais aussi, elles vous font perdre des ventes.
C’est juste une question de mathématique.
Vous vendez un produit 47 euros.
Mettons qu’une fois qu’on a enlevé la TVA, les charges et les impôts que vous avez à payer et une somme forfaitaire d’1 euro pour compter le temps passé, il vous reste comme bénéfice net environ 20 euros (soyons large).
Si vous faites une “réduction” de 20 euros sur le prix de vente à l’occasion d’une “vente flash”, alors votre prix va tomber à 27 euros, et votre bénéfice va tomber à environ 11 euros.
Soit une perte nette de 9 € par rapport à une vente normale.
Vous comprenez donc que pour pouvoir combler ce manque de bénéfice, il faudrait vendre près de 2 fois plus qu’au prix normal.
Est-ce le cas ?
Bien sûr que non !
Une réduction n’augmente pas du tout le nombre de gens qui voient votre offre.
Elle sert uniquement à tenter de “décider” ceux qui l’ont déjà vue d’acheter aujourd’hui parce que c’est moins cher que d’habitude.
Et si vous pensez que plus de la moitié de vos prospects ne sont bloqués QUE par le prix de vente de votre produit, hé bien vous rêvez en couleur.
Parce que ce n’est pas du tout le cas.
En résumé, vous ne vendrez JAMAIS 2 fois plus en proposant une réduction de prix. Et vous n’augmenterez JAMAIS votre base de clients sérieux en faisant des offres pareilles.
Et c’est le moindre de vos soucis...
Oui, car une réduction, c’est comme un bon vieil anti-dépresseur : Ca fait un peu d’effet sur le coup, mais derrière, vous vous tapez une panoplie d’effets néfastes qui ne provoque que désolation et situations qui empirent.
Par exemple, une réduction n’argumente QUE sur le prix de votre produit, au détriment de sa qualité.
Alors que TOUS les BONS éditeurs – vendeurs savent très bien que ce qui est important, dans un produit, c’est le service rendu. Pas du tout le prix.
Donc rappelez-vous bien de ça :
Il n’y a QU’UN SEUL avantage à faire une réduction de prix :
On accroit artificiellement son chiffre d’affaires à un instant T.
Par contre, en face, il y a une demie-douzaine d’inconvénients :
Donc est-ce que le jeu en vaut vraiment la chandelle ?
Il est certain que non.
Si vous voulez faire une vente flash, alors oubliez la réduction.
Voici plutôt d’autres actions bien plus bénéfiques pour vous et pour vos affaires :
Proposez plutôt PLUS pour le même prix.
Rajoutez des cadeaux, des vidéos, des audios, des bons plans, des livres, des ressources, des avantages supplémentaires.
Proposez une aide pratique, une heure de votre temps, un coup de main à l’installation, des vidéos de prise en main, ou une aide téléphonique...
Bref, proposez-en PLUS pour le même prix.
Ne le faites que pendant une seule journée, et ne le faites qu’une seule fois par an et par produit. Et variez les cadeaux. Ne proposez jamais les mêmes.
Et surtout, surtout, le petit PLUS qui fera la différence entre vous et vos concurrents, quand vous ferez ça, alors contactez tous vos anciens clients, et donnez leur gratuitement tous les cadeaux que vous proposez le jour de votre action.
Non seulement vous évitez qu’ils se sentent lésés, mais en plus, vous cimentez votre relation avec eux.
En résumé, vous gagnez sur tous les tableaux, alors que la réduction, elle, vous fait perdre des deux côtés.
Pensez-y. Que l’appât du gain facile et immédiat ne détruise pas votre succès à long terme ! C’est l’une des base du marketing et de la vente.
Et puisqu’on parle de ça, comment vous sentez-vous, vous, quand vous avez déjà acheté un produit et que vous le voyez bradé quelques semaines plus tard ?
9 AVRIL 2012
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