Ecrivez facilement des textes qui font agir
Ressources gratuites pour Copywriters | Pourquoi ? | Un article au hasard
Tout le monde s’accorde à dire que l’accroche est l’élément LE plus important d’une lettre de vente.
En ce qui me concerne, je ne trouve pas que c’est le truc le plus important. Je l’avais déjà expliqué ici.
Ce que je trouve par contre, c’est que c’est la chose la plus efficace pour ATTIRER du monde sur cette fameuse page de vente.
Ce qui fait qu’on se retrouve en présence d’un joli paradoxe quand on lit cette affirmation :
“Dans une lettre de vente, la chose la plus importante à tester, c’est l’accroche”
En effet, qui vous a dit qu'il fallait absolument la tester DANS la lettre de vente ?
Surprenant ?
Voyez plutôt :
Une accroche, ça sert avant tout à "qualifier" vos visiteurs.
En effet, si le message que vous délivrez dans l'accroche ne lui donne pas envie de lire le reste, c'est que ça ne sert à rien de lui présenter une page de vente.
Voici donc mon conseil du jour : Ne testez pas votre accroche dans votre lettre de vente. Testez-là ailleurs.
Il y a plein d’endroit où le faire :
Ou alors, si vous voulez VRAIMENT gagner du temps, alors testez-là dans Google Adwords ou dans une régie similaire.
En effet, utiliser ce genre d’outil vous permet d’organiser tous vos tests en une seule fois, et d’une manière assez simple.
Il vous suffit d’indiquer plusieurs accroches, et de laisser Google faire le test lui-même.
L'avantage de Google Adwords, c’est que vous avez la possibilité de tester toutes vos accroches beaucoup plus rapidement que n’importe quelle autre source. Sans que vous ayez à faire quoi que ce soit d’autre que de paramétrer votre campagne au début.
Ensuite, il ne vous reste plus qu’à attendre qu’il y ait un nombre de visiteurs significatif (500 ou 1000 serait parfait) et de choisir alors l’accroche qui vous aura amené le plus de visiteurs.
Vous pouvez utiliser le générateur d’accroches de ce site, ou votre imagination. Mais il en faut idéalement 5.
Vous ne pouvez pas savoir d’avance laquelle fonctionnera le mieux. Donc plus vous aurez d’accroches, et plus vous aurez de chances de trouver la perle rare.
Mais si vous en mettez trop, ça vous prendra trop de temps.
5 est un bon compromis.
Ici aussi, il faut choisir un juste milieu : Le but est d’aller assez vite.
Si vous choisissez des mots clefs qui sont trop demandés, ça va vous coûter un bras.
Et si vous en choisissez des qui vous apportent 10 visiteurs par mois, ça va vous prendre des jours et des jours pour les rassembler, et configurer votre campagne.
Ce n’est vraiment pas le but.
Voici comment vous devriez procéder :
Si vos accroches sont bonnes, vous pouvez espérer 5 % de taux de clic minimum sur vos annonces.
Il vous faut 500 clics pour vous faire une bonne idée de la meilleure accroche.
500 clics / 5% = 10.000 vues
Il vous faut donc :
Choisissez plutôt ce genre de mot clef. Normalement, le coût par clic ne devrait pas dépasser les 0,20 €.
Ce qui vous coutera donc une centaine d’euros pour un bon test réussi.
Et si l’idée vous venait de dire que c’est trop cher et que vous pourriez tester ça gratuitement directement sur votre page de vente, je vous retrouve à la fin de cet article pour vous expliquer pourquoi vous faites fausse route si vous pensez ça.
Pour l’heure, dernier point :
Une fois que votre prospect est arrivé sur votre page de vente, plus besoin de tester l'accroche puisque vous l'avez déjà fait en amont.
Il faut bien entendu que l'accroche qui se trouve sur votre page de vente corresponde à celle qui était dans l'annonce.
Pour cela, le mieux est de créer autant de page de vente que vous avez d’annonces.
En haut de chacune, mettez exactement la même accroche que celle d’Adwords.
Pour la cohérence.
Puis dirigez chaque annonce vers la page qui lui est dédiée. C’est extrêmement important, et très facile à faire.
Quand vous avez départagé vos différentes accroches, et que vous avez eu au moins 500 visiteurs sur votre page de vente, prenez les 2 gagnantes, et faites un dernier test entre les deux pour confirmer avec 200 nouvelles visites.
Juste pour confirmer.
Et surtout, n’hésitez pas à remettre en challenge de temps en temps votre meilleure accroche avec une nouvelle.
Les accroches, c’est comme les saisons : Ca bouge.
Une accroche qui marchait en hiver peut avoir des résultats lamentables en été.
Donc faites de fréquents tests de vos accroches. On parle de milliers d’euros gagnés en plus avec une bonne accroche.
Vous vous dites peut-être que si vous avez une liste de membres, tester comme cela vos accroches sur Adwords et dépenser entre 100 et 200 euros est totalement inutile ?
Vous vous dites peut-être qu’il vous suffit d’envoyer un mail à 500 de vos membres pris au hasard dans votre base et de choisir la meilleure accroche comme ça ?
Si c’est ce que vous pensez, alors arrêtez tout de suite.
Ma solution vous coutera entre 3 et 10 fois moins cher.
Je vous montre ?
Certaines accroches multiplient les rendements par 3 ou 4. Pourquoi ? Parce que les gens décident de cliquer avec une accroche, et pas avec une autre.
Donc il vous faudra envoyer bien plus que 500 mails pour vous faire une idée de la meilleure accroche. Parce que certaines accroches feront cliquer 10% de vos destinataires.
D’autres accroches en feront cliquer 30 ou 40 %. Et parfois, une accroche fera cliquer 7 personnes sur 10.
Admettons que vous ayez une page de vente qui fasse du 10 % de rendement.
Et 5 accroches qui fassent respectivement 10, 20, 30, 40 et 70% de clic.
Calculons. 1+2+3+4+7 = 17 ventes.
Si vous vendez un produit à 27 euros, vous faites donc un CA de 27 x 17 = 459 €
Maintenant, imaginez que vous ayez testé votre accroche AVANT.
Vous avez déterminé avant, pour un cout de 100 € que votre meilleure accroche était la 5ème.
Vous envoyez donc 500 mails à vos membres avec l’accroche n°5. 350 personnes vont cliquer. 35 vont acheter. Vous faites donc 35 x 27 = 945 € de CA.
Soit plus du double que la première méthode.
Si vous enlevez les 100 € de frais de campagne il vous reste un écart de 386 € de CA en plus. Qui correspond à ce que vous couterait donc l’emploi de votre liste pour tester vos accroches (3 à 4 fois plus cher).
Bref. Testez votre accroche ailleurs que sur votre page de vente.
Vous doublerez probablement votre CA.
31 JANVIER 2012
Un bon slogan peut augmenter considérablement le nombre de personnes qui vous suivent. Il est surtout le véhicule de votre image à travers le monde.
Et comme un bon slogan n'est pas forcément facile à trouver, j'ai créé pour vous GUS : le Générateur Universel de Slogans.
C'est un outil en ligne, réservé aux membres de Copywriting Pratique, qui va révolutionner votre manière de créer des slogans accrocheurs.
Comment ça fonctionne ?
GUS a dans sa base 1005 structures de slogans, créées à partir des meilleurs slogans du monde, tous pays confondus.
Vous indiquez un terme (votre marque, votre nom, ou même une thématique), vous indiquez si c'est féminin ou masculin, et vous cliquez sur un bouton.
GUS vous donnera 10 slogans engageants et originaux. Vous pouvez n'en garder qu'un seul ou plus, ou pas du tout.
Vous pouvez relancer la machine autant de fois que vous le souhaitez jusqu'à tomber sur LE slogan qui sera l'ambassadeur de votre marque.
Plus besoin de vous creuser la tête, il vous suffit de libérer votre créativité en explorant des combinaisons de mots et de phrases que vous n'auriez jamais imaginées.
Pour accéder à cet outil révolutionnaire, il vous suffit de laisser votre prénom et votre adresse email dans le formulaire ci-dessous. Vous recevez l'accès à cet outil et aux autres en quelques secondes.
Dimanche matin. 8:32.
Géraldine s’étire tranquillement dans son lit. Robert, juste à côté d’elle, en fait de même. Puis ils se lèvent, s’habillent et se préparent à prendre leur petit déjeuner.
Robert a l’habitude d’aller chercher le pain et les croissants le dimanche matin.
Il enfile sa veste, ses chaussures, attrape son portefeuille, son téléphone, ses clefs, et il claque la porte de l’appartement. Géraldine fume tranquillement une cigarette sur la terrasse, et elle voit Robert tourner au coin de la rue...
Elle lui fait un petit signe de la main, et il fait de même.
C’est la dernière fois que Géraldine verra son compagnon.
En effet, Robert n’est jamais revenu. Il a “disparu”. Corps et âme. Plus aucune nouvelle. Plus de signe de vie. Pas de réponse aux SMS, aux mails, ni même de réponse au téléphone.
Bref, la disparition totale. Pas même une lettre d’explication. Ou ne serait-ce qu’un post-it sur le frigo.
Dans quel état se trouve Géraldine ? Disons-le tout net : Dans un état pitoyable.
Parce que depuis un an qu’ils étaient ensemble, tout semblait aller très bien.
Et soudain, d’un coup, plus rien...
Enfin si... 6 mois plus tard, au détour d’une conversation, elle a appris que Robert avait décidé de tout arrêter avec elle, mais qu’il n’avait pas jugé bon de la prévenir. Qu’elle comprendrait.
Sympa...
Vous trouvez ça un peu gros ? Impossible ? Carrément scandaleux ?
Ca l’est...
Et pourtant, pour aussi incroyable que cela puisse paraitre, ça arrive.
Souvent même.
Cette histoire vraie, qui est arrivée à l’une de mes amies - et à des centaines d’autres gens dans le monde – est là pour faire un parallèle avec des personnes que vous connaissez et que vous appréciez, mais qui ont plus ou moins la même mentalité que ce Robert.
Vous savez...
Ces blogueurs ou ces blogueuses qui disparaissent sans crier gare, du jour au lendemain, sans même un petit mot d’explication, alors que vous les suiviez depuis des mois !
Comme si vous n’étiez qu’une pauvre bouse, posée dans un champ, qui ne mérite même pas la plus petite once de considération.
Ca écrivait chaque jour, ou tous les 2-3 jours. Ca envoyait des mails à tout bout de champ. Et d’un coup, plus rien. Le calme plat. Plus d’article, plus de réponse aux commentaires, plus de mails, et plus de nouvelles du tout.
Et bien entendu, aucun message pour dire ce qui se passe.
Non, le silence total.
Comme s’il était trop compliqué d’écrire même un tout petit message de 2-3 lignes pour dire qu’on a trop de boulot, plus envie, qu’on est malade, ou démotivé, et que le blog en question va faire un break...
Bref, vous l’aurez compris, des “Robert”, il y en a à tous les coins de rue.
Et chez les blogueurs, ils sont légion !
Parce que oui, on pourrait imaginer que la majorité des blogueurs et des blogueuses ont un MINIMUM d’intérêt à l’égard de leurs suiveurs. Et pourtant...
Le nombre de blogs bien fournis qui s’arrêtent du jour au lendemain sans aucun mot d’explication de la part du blogueur est énorme.
Rien que pour moi, j’ai déjà vu 5 blogs que je suivais s’arrêter comme ça.
Comment peut-on imaginer prendre un jour les blogs véritablement au sérieux quand on voit avec quelle désinvolture certains blogueurs (pour ne pas dire 99%) traitent leurs suiveurs ?
Je trouve ça absolument scandaleux.
Quand vous avez un blog, vous décidez de créer, de suivre et de développer une communauté de personnes qui aiment ce que vous faites.
En quelque sorte, vous devenez un peu ami avec eux.
Et un ami qui disparait, comme ça, du jour au lendemain, sans crier gare, sans même prévenir, c’est un drôle d’ami.
Et c’est ahurissant de voir le nombre ASTRONOMIQUE de gens qui sont comme ça sur le net.
Des personnes avec qui vous avez partagé, échangé. Des personnes que vous avez aidées, supportées, rencontrées, même, parfois. Des personnes qui semblaient avoir des valeurs. Une personnalité intéressante. Et des idées très franches sur les relations avec les autres.
Hop ! Disparues ! En quelques jours.
C’est absolument pitoyable. Et inacceptable !
On peut être démotivé, bien sûr.
On peut tomber malade. Avoir des soucis familiaux. Ou tout simplement ne plus avoir le temps. Trop de boulot. Ou tout simplement plus envie de s’occuper de son blog.
Mais bon sang, qu’est-ce qui empêche de prévenir les gens qui vous suivent ??
Vous les avez gavés avec vos conseils, vos idées, vos états d’âme. Pendant des mois. Vous leur avez raconté votre vie, vos malheurs, vos bonheurs.
Ils vous ont écouté, applaudi, suivi, aidé...
Alors bon sang, si vous voulez arrêter, mettez au moins un petit mot pour leur dire ce qui se passe.
Même 2 mots, allez : Par exemple : “J’arrête !”
Ca prend 4 secondes. Et au moins ils savent à quoi s’en tenir.
Et si vous avez 4 secondes de plus, ma foi, fendez-vous d’une ou deux lignes d’explication. Pas besoin de vous étendre.
Par exemple : “Désolé, j’arrête pendant quelques mois. Plus envie. Plus motivé. Merci de m’avoir suivi et à bientôt peut-être.”
La version féminine : “Désolée, j’arrête pendant quelques mois. Plus envie. Plus motivée. Merci de m’avoir suivie et à bientôt peut-être.”
Ca prend 8 secondes chrono. Vous pouvez même recopier l’une des 2 phrases ci-dessus si vous voulez.
Cet article s’adresse donc aux blogueurs et aux blogueuses de tout bois. A celles et ceux qui ont des blogs qu’on suit depuis quelques mois.
Le jour où vous comptez vous arrêter, merci de nous prévenir. Ne nous laissez pas dans le vent. Vous aurez certainement une excellente raison pour tout arrêter, mais pensez ne serait-ce que 1 minute aux personnes qui vous suivent.
Prévenez-les. Je le répète, ça prend moins de 10 secondes.
Et ce sont les règles élémentaires du savoir-vivre.
Quand on m’a dit, il y a quelques mois, qu’un blog pouvait tout à fait faire l’affaire quand on voulait monter un business en ligne, j’ai émis quelques doutes.
Mon idée était qu’un blog étant un truc personnel, je voyais difficilement comment on pouvait lier ce genre d’endroit avec le milieu professionnel.
Alors on a insisté ! On m’a dit : “Mais si, tu vas voir ! Avec un blog tu montes une communauté de gens qui te suivent, et c’est génial, parce que ensuite ils deviennent tes amis !”
L’idée d’origine était sympa.
Mais quand je vois comment réagissent la majorité des blogueurs une fois qu’ils en ont marre de leur blog, alors je me dis que mes doutes étaient fondés.
Et je finis par comprendre ceux qui critiquent les blogs “pros” ici et là, parce qu’avoir une telle mentalité ne fait pas très sérieux.
Parce que dans les affaires, on ne laisse pas tomber ses clients du jour au lendemain, en claquant des doigts, parce qu’on “n’est plus motivé” ou pour une toute autre raison, sans les prévenir.
Tout comme dans la vraie vie, on n’abandonne pas son compagnon, sa compagne, ses enfants, ou ses amis sans leur fournir un minimum d’explications.
Moi, quand je ne pourrai plus assumer ce blog, à moins que je ne sois mort, je vous préviendrai. Ca ne sera peut-être pas long, mais vous saurez au moins à quoi vous en tenir.
Ca me semble être la moindre des choses.
Et ça me semble aussi être le MINIMUM à offrir à des personnes qui me font l’honneur de me suivre chaque jour depuis bientôt 10 mois.
Et j’espère TRES sincèrement que vous ferez de même avec vos lecteurs si vous avez un blog, et que vous êtes forcé de vous arrêter un jour.
30 JANVIER 2012
Quand on a un blog, la partie référencement est généralement la plus fastidieuse et la plus longue à mettre en place.
Vous connaissez mon relatif désintérêt pour ce domaine, aussi n’ai-je pas vraiment les compétences (ni l’envie) de vous faire de bonnes vidéos sur le référencement.
Heureusement, certaines personnes sont bien plus calées que moi dans ce domaine, aussi vais-je, le temps de quelques samedis, passer la parole à une personne qui maîtrise bien le sujet.
Il s’agit de Bastien, du blog VideoNoob.fr.
Il a fait une série de plusieurs vidéos pour expliquer les différentes étapes à respecter et à suivre pour que votre blog soit bien référencé naturellement dans les moteurs de recherche.
Ce qui est sympa, c’est qu’il aborde tout ça depuis le début, ce qui fait que si vous vous êtes toujours demandé comment faire les choses correctement de A à Z en matière de référencement, alors ces vidéos sont là pour ça.
Je vous propose donc de suivre les 3 premières vidéos de sa mini-formation aujourd’hui :
Une vidéo pour parler un peu de tout ce qu’il faut prévoir de faire quand on veut s’occuper du référencement de son blog :
Ici, il passe en revue les différents points à vérifier d’ores et déjà sur votre blog pour favoriser son référencement :
Et pour finir aujourd’hui, vous découvrirez ici comment installer et suivre le script qui va vous donner toutes les infos nécessaires au bon suivi de votre blog en matière de référencement et donc de visites :
Nous verrons la suite samedi prochain.
J’en profiterai pour faire une sorte de rappel de tous les articles qui traitent de référencement sur ce blog.
D’ici là, passez un excellent week end, sous la neige en ce qui me concerne ;)
28 JANVIER 2012
Si vous devez écrire une page de vente, alors vous savez qu’il faut composer votre texte en employant un maximum de mots d’or.
En effet, la page de vente parle de VOTRE client. Pas de vous. Vous, vous n’êtes que le narrateur d’une histoire qui n’est pas la vôtre.
Quand on écrit un article de blog par contre, c’est bien différent.
Le blog est un endroit où vous pouvez – et devez - parler de VOUS et de vos expériences.
Pour autant, il ne faut pas oublier d’impliquer votre lecteur.
Vous pouvez le faire de 2 façons différentes :
Quand je raconte une histoire perso, c’est souvent pour illustrer un concept que je veux faire passer ou un conseil.
L’histoire perso est là pour attirer votre attention et vous mettre dans l’ambiance de ce dont je vais parler ensuite.
J’aime faire un lien entre l’histoire et ce qu’elle peut vous apprendre.
Je parle donc de moi au départ, et de vous pour le reste du temps.
Même si vous racontez votre week-end, ou une vidéo qui vous plait, il est toujours bon de clore votre article avec un truc à faire.
Une action à réaliser pour avancer.
De cette manière, le lecteur ne se sent pas seulement spectateur. Il devient acteur, et vous pouvez ainsi occuper son esprit bien après qu’il ait quitté votre article.
Voilà pourquoi je finis souvent mes articles avec ça :
Vous POUVEZ parler de vous dans vos articles. C’est même franchement conseillé.
Pour autant, n’oubliez pas de prévoir au moins 25% de votre texte pour parler de VOS lecteurs.
Ils vous aiment. Ils aiment ce que vous faites.
Mais ils s’aiment EUX encore plus que tout le reste !
[jbox color="yellow" width="450"]Cet article a été écrit en réponse à une question de Marie-Noël, des E-ditions LABELVIE dans le cadre de mon "défi du vendredi" : Ecrire un article de maximum 300 mots le vendredi. Celui-ci en fait 300 tout pile.[/jbox]
27 JANVIER 2012
Que vous ayez un blog, une page Facebook, un compte Instagram ou une chaîne Youtube, vous devriez faire attention à comment vous recrutez vos suiveurs et vos suiveuses (vos followers, quoi...).
Il vaut en effet mieux avoir 150 personnes à 100% engagées par ce que VOUS faites, par vos valeurs, plutôt que d'en avoir 1000 qui ne réagissent que lorsque vous les faites rire ou que vous leurs montrez votre ...
Bref, vous avez compris.
C'est pour cela qu'il faut éviter les erreurs de base qui sont encore commises de nos jours par les apprentis blogueurs, nouveaux entrepreneurs du web ou tout simplement par les personnes qui veulent ouvrir un groupe ou une page Facebook pro pour vendre leurs produits ou proposer leurs prestations.
Voici les 3 erreurs les plus fréquemment commises.
Attardez-vous particulièrement sur la 3ème erreur...
Si vous la faites, vous vous acheminez vers une hécatombe en 14 étapes qui réduira votre travail à néant, et vous poussera à tout recommencer dans quelques mois.
Autant démarrer sur de bonnes bases pour éviter ça, n'est-ce pas ?
Les 3 erreurs et les 14 étapes dont je parle ici sont dans un guide PDF réservé aux membres de Copywriting Pratique.
Vous y trouverez également 4 manières intelligentes de remplir avec succès vos pages et groupes Facebook ou n'importe quel autre espace sur votre réseau social préféré avec des personnes qui seront enthousiasmées à l'idée d'acheter ce que vous leurs proposerez ensuite.
Remplissez le formulaire ci-dessous avec soin, et vous recevez ce guide par mail dans la minute, ainsi qu'un accès à toutes les autres ressources réservées aux membres :
Aujourd’hui, j’accueille Kristof Maret, de l’agence Référencement PME à Montréal, qui nous parle des réglages de base à effectuer sur le plugin SEO de Yoast pour Wordpress.
Wordpress est une plateforme bien codée prête pour le référencement, pourtant ses templates sont plus ou moins « lourds » et sa configuration ainsi que celles de vos plugins vont faire la différence en pesant sur l’optimisation générale de votre blog.
Intervenu sur deux articles qui traitaient de près ou de loin de Yoast et de référencement, Yvon m’a invité à publier un texte à propos du SEO avec pour seule contrainte « des réglages que l’on n’aurait à faire qu’une fois »
J’ai hésité entre les options de configuration propres et simples de WordPress SEO de Yoast, le plugin SEO aux multiples fonctions, et les paramétrages SEO de WordPress - incluant ses plugins orientés référencement.
Complémentaires, les deux sont finalement publiés simultanément sur chacun de nos sites.
Bien que son vrai nom soit WordPress SEO et que Yoast soit le nom de l'éditeur, j’utiliserai parfois Yoast pour décrire le plugin.
Voyons un à un les paramètres de réglage de ce « Couteau Suisse » du SEO.
Désactivez la date dans l'affichage de l'extrait, elle mobilise de précieux caractères dans le « snippet », gardez-les plutôt pour votre texte d’accroche.
Cochez « utiliser la balise Keyword » même si elle ne sert à rien gardez-la, c’est une question de principe.
Fonction moyennement utile sauf pour la page d’accueil.
Ici, vous pouvez entrer des modèles de titres et des modèles de descriptions pour chaque type de page de votre site Internet, ceux–ci viendront combler votre omission si vous oubliez de renseigner ces balises lors de la publication d’un post.
Cela peut arriver à tout le monde.
Renseignez : Accueil, Yoast prend la main sur les autres réglages de votre blog (vérifiez)
Laissez en blanc Post et page et forcez-vous à remplir votre balise à chaque article, chaque page et chaque catégorie.
Puis ne renseignez que les types de pages que vous ne désindexez pas.
Abuser de cette fonction produirait des titres et descriptions similaires, redondants, très mauvais pour votre SEO.
Ici, le choix divise la communauté des webmasters et des référenceurs et vous choisirez votre camp.
Laisser indexer toutes les pages agrégées par les différents paramètres d’un blog peut entraîner un grand nombre de publications du même article avec des URL différentes.
Par exemple pour ce blog, une recherche qui fait ressortir 7 fois le même article sous des URL différentes :
Si votre blog attribue la balise canonique à l'article original, Google est capable de voir que ce texte est mécaniquement dupliqué. Apprécie-t-il pour autant cette multiplication du même contenu qu’il indexe « pour rien » ?
Difficile à affirmer de façon tranchée. Par prudence, je recommande de désindexer :
Je soigne en revanche les pages catégories parce qu’elles peuvent être 100% différentes de votre contenu d’article.
Mais ne jamais associer plus de 2 catégories à un même article.
Pour cela vous devez faire l’effort de rédiger « l’extrait », un résumé très court dans le champ prévu à cet effet. (En général tout en bas de la page d’édition des articles)
Le blog et les catégories affichent alors l’extrait plutôt que les premiers mots de l’article, ce qui édite un contenu différent. Vous pourrez même rendre vos extraits très accrocheurs grâce aux conseils d’Yvon et gagner du lectorat.
Cette recommandation est applicable aux Tags si on désindexe les catégories en contrepartie et si l’on garde la maitrise du nombre de mots clés associés à un article…
C’est donc l’un ou l’autre.
S’il est probable que ce contenu dupliqué interne ne pénalise pas directement la visibilité de votre article, on peut se poser la question pour ce qui concerne votre « quality rank ». Personnellement, dans le doute je bride.
Vous cocherez donc les options en fonction de votre feeling.
J’ajoute que je considère les tags très utiles à « l’expérience de navigation », à l’ergonomie du site plutôt qu’à l’optimisation SEO… mais cela se discute
Si vous cochez la première case, WordPress SEO de Yoast génère automatiquement un sitemap XML , l’actualise et le soumet à Google et à Bing à chaque ajout de contenu.
Il suffit de cocher que vous voulez notifier Yahoo et Ask .
Yahoo ayant intégré Bing et Ask ayant lâché la fonction de moteur de recherche proprement dite, vous pouvez ou non cocher ces cases , comme dit l’autre « ça ne mange pas de pain »
Page délicate et technique, si vous comprenez ces options, jouez avec, sinon passez votre chemin, la seule que je vous recommande est l’ajout de barre oblique au bout de vos url afin de les fermer, c’est plus propre et plus lisible pour les moteurs.
Activez le fil d’Ariane si vous avez une structure verticale (catégories d’articles et pages parents)
Sinon cela n’apporte rien.
Choisissez votre séparateur (recommandé : le slash “/” ).
Choisissez un texte d’ancrage pour votre page d’accueil. Faites le bon choix. On doit comprendre que c’est la page d’accueil mais on peut glisser un mot clé important.
Ce mot renforcera un peu votre page d’accueil.
Vous pouvez travailler les intitulés (en fait les ancres) de chaque catégorie de page avec précision, Yoast utilise pour cela le mot « préfixe »
Vous choisirez la taxonomie par catégorie… si vous m’avez suivi jusque là.
Et vous cocherez les deux cases :
Si votre thème n’accepte pas le plugin, il vous faudra passer par la méthode manuelle expliquée en bas de la page.
Deux champs pour introduire et conclure vos fils RSS.
Et la capacité de créer des fils qui suivront le blog, les articles d’un auteur en particulier et des choix d’ancres très sympas.
Cette cerise sur le gâteau de Yoast permet d’importer le contenu de vos balises Meta, vos fils RSS et vos fils d’Ariane.
Voici comment procéder :
Vous êtes content de vos réglages ? Alors faites-en une sauvegarde en les important pour un futur site ou en cas de crash serveur (fonction exportation)…
Yoast génère un fichier que vous pourrez importer depuis le même panneau.
Si vous n’avez jamais entendu parler de htaccess et de redirection, ne vous aventurez pas à modifier la moindre virgule de ce fichier, votre site serait « down » à la moindre micro modification non adéquate.
Je trouve d’ailleurs un peu fou de mettre à disposition ce fichier sensible auquel on accède habituellement via le FTP…ou un plugin spécifique.
Le tour des fonctions offertes par ce tout-en-un du SEO pour WordPress est bouclé, certains réglages dépendent de vos choix.
Il n’y pas de configuration parfaite, il n’y a que des options à prendre ou non.
Au-delà de ces conseils, n’oubliez pas à chaque publication de soigner votre balise « Title » et votre « Méta description ».
En espérant être utile à deux ou trois d’entre vous.
Kristof Maret est consultant en référencement à Montréal, venu au référencement via la rédaction optimisée « moteur de recherche », c’est un inconditionnel de WordPress et un grand fan de Copywriting pratique qu’il lit par pur intérêt intellectuel. Ses compétences vont de l’installation de WP aux campagnes de backlink en passant par la rédaction web optimisée pour les moteurs de recherche.
23 JANVIER 2012
Aujourd’hui, j’ai décidé d’écrire un article court, à la Seth Godin.
Croyez-moi quand je vous dis que c’est un véritable calvaire pour moi, qui ai l’habitude de faire des articles assez long.
J’ai pris les 296 articles que j’ai déjà publiés depuis l’ouverture de ce blog. Je trouve une moyenne de 1926 mots par article.
Ca fait pas mal quand même.
Ca fait plusieurs fois qu’on me dit que je suis trop long, alors j’ai décidé qu’à partir d’aujourd’hui, le vendredi serait un article de 300 mots maximum.
Ca contentera ainsi celles et ceux qui veulent lire mes articles en moins d’une minute puis passer à autre chose.
Et puis ça me fait toucher du doigt la stratégie de Seth Godin.
Et surtout, ça va me forcer à sortir de ma zone de confort. Et ça c’est très bon parce que ce n’est jamais bon de se reposer sur ses lauriers.
Déjà ça prend – normalement – moins de temps à écrire qu’un article de 2000 mots (logique). Et ça c’est toujours ça de gagné.
Même si dans mon cas, le gain de temps pour écrire ce genre d’article est loin d’être une chose évidente.
Ensuite, synthétiser une idée en peu de mots pour n’en garder que l’essentiel est très bénéfique pour un article. Car alors l’idée principale n’en a que plus de force.
Et pour finir, bien sûr, j’imagine qu’un article court est plus facile et rapide à lire.
J’imagine donc que l’article en question aura plus de lectures que les autres. Je regarderai ça...
Bonne question. Je n’ai pas la réponse.
Je dirais qu’il faut :
Un peu succincts comme conseils.
Et vous... Que me conseilleriez-vous de faire pour arriver à écrire plus court tout en restant intéressant et original ?
Je vais compter maintenant...
366 mots. Aïe !
Allez pour le premier ça ira. Je n’ai plus le courage de simplifier encore (j’ai déjà supprimé plus de 100 mots).
Promis, vendredi prochain, je ferai encore moins.
D’ici là, vos idées sont les bienvenues. Merci d’avance !
20 JANVIER 2012
Incroyable !
Il y a quelques jours, je regardais une vidéo de présentation de je ne sais plus quel produit, et je me disais : “Dis donc, ce gars là, il m’endort tellement ses yeux sont statiques”.
Et en regardant ça, je me disais qu’il fallait que j’écrive un article pour expliquer pourquoi le prompteur, quand on fait une vidéo, est le truc qui vous rend le plus inhumain qui soit.
Et ce matin, je reçois un nouvel article de Seth Godin par mail, dans lequel il me parle exactement de ça !
Incroyable la coïncidence. Peut-être qu’on a regardé la même vidéo ?
Bref, voici en gros ce dont il parlait :
Il est très difficile de lire un texte et de faire croire au monde qu’on parle.
Quand on lit, on a une posture et une intonation de voix qui est totalement différente de quand on parle.
Et je ne peux pas croire que ceux qui font de la vidéo pour persuader et qui s’écoutent juste derrière, ne s’en rendent pas compte.
D’autant que la voix n’est pas le seul problème.
L’autre souci – bien plus rédhibitoire pour moi – ce sont les yeux.
Des yeux rivés sur un prompteur n’ont pas la moindre vie.
Quand vous parlez, vos yeux suivent votre voix.
Et tous ces micro-mouvements sont captés par vos interlocuteurs. Ils renforcent vos paroles, et permettent aux gens de mieux comprendre ce que vous dites.
D’autant que lorsque vous parlez devant une caméra, vos mots ne représentent qu’une trentaine de pour cent dans la compréhension globale de ce que vous dites.
Tout le reste est fait par la gestuelle et par l’intonation de votre voix.
Note : Si l’étude de la gestuelle vous intéresse, alors je viens de trouver un petit guide de 25 pages en PDF édité par Toastmasters, qui vous explique vite fait comment maitriser la communication non verbale. Téléchargez-le ici.
Donc si vos yeux restent fixes, alors votre gestuelle et votre voix communiquent quelque chose de mou.
Et votre discours perd grandement de sa pêche et de sa puissance de persuasion.
Un discours, une formation ou même une présentation de produit n’a absolument pas le même impact si elle est lue ou si elle est parlée.
De mon temps, on ne se servait pas d’un prompteur pour faire un discours.
On apprenait notre texte par cœur, et on le répétait devant un miroir. En l’améliorant. En y rajoutant des effets de voix.
Bref, les discours d’avant étaient plus “punchy”.
Alors vous me direz que le prompteur permet d’éviter de bafouiller et d’oublier des trucs.
Peut-être. Mais à l’époque, nous, on utilisait des fiches. Avec UNE idée force écrite dessus. Autant de fiches que d’idées. Et toujours qu’un seul mot. Ca évitait les trous de mémoire.
Et les discours étaient vivants et passionnants.
Aujourd’hui, on dit partout que c’est l’explosion de la vidéo. Mais quand je vois la plupart des prestations, je me dis que Seth Godin est complètement dans le vrai quand il conclut son article par :
“Si vous ne pouvez pas apprendre à parler sans lire, alors ne vous embêtez pas à faire un discours. Il suffit d’envoyer un memo aux gens avec ce que vous voulez dire, et vous ferez gagner du temps et du stress à tout le monde – à commencer par vous.”. L’article original est là.
Pour illustrer ce que je dis, voici quelques exemples.
Vous avez forcément entendu parler de David Jay, qui a mis la vidéo à la portée de pas mal de personnes – et il faut lui rendre hommage pour ça.
Vous pouvez consulter les 3 vidéos qu’il a faites à ce sujet ici.
Ses conseils en matière de vidéos sont très bons. Excellents même. Et je vous engage fortement à les suivre.
Par contre, le conseil qu’il ne vous donnera pas, c’est d’apprendre votre discours et de le prononcer sans prompteur.
Parce qu’il fait exactement l’inverse.
Regardez attentivement l’une de ses premières vidéos. Et regardez ses yeux. Tout son corps bouge, mais pas ses yeux. Ils restent droits, rivés sur le prompteur.
Personnellement, ça me donne le tournis. Et ça enlève une grosse part d’humanité à son discours.
Bon, lui c’est un pro de la vidéo. Il maitrise son sujet. Sa voix est “presque” fluide – même s’il ne fait aucun doute qu’il lit – et l’ensemble reste agréable.
Mais pour vous, qui débutez, ou qui ne faites des vidéos qu'occasionnellement, ce sera une autre paire de manches.
Si vous lisez un prompteur, alors on le verra. Consciemment, et inconsciemment. Et le résultat sera très moyen.
Voyez, à titre de contre-exemple, la dernière prestation de Christian Godefroy.
Notez la chaleur et l’enthousiasme qui se dégage de cette vidéo. Pas de prompteur. Pas de lecture. Un vrai discours. Qui marque. Et qui fonctionne. Comment ne pas remplir le formulaire dessous, ne serait-ce que pour savoir de quoi il s’agit ?
Autre exemple d’un vrai discours enthousiaste : Pierre Etienne Bourget.
Vous remarquez bien la différence, oui ?
Je ne sais pas quels sont vos rapports avec la vidéo. Je ne sais pas si vous avez prévu d’en faire prochainement, parce qu’on vous a dit que c’était l’avenir.
Quoi qu’il en soit, si vous avez dans l’idée de vous lancer, alors voici 3 petits conseils qui vous permettront de faire de bonnes vidéos enthousiastes et efficaces :
Comment croyez-vous que les acteurs de cinéma font pour jouer dans leurs films ? Ils lisent un prompteur à votre avis ?
Bien sûr que non ! Ils apprennent leur texte. Tout simplement.
Votre discours – le texte de votre vidéo dans ce cas précis – doit être répété pas mal de fois. Il ne s’agit pas de l’apprendre par cœur, bien sûr. Quoique ce serait plus facile après.
Mais il faut le répéter au moins 5 fois – en situation - pour qu’il devienne une partie de vous-même.
Vous pouvez même le répéter en vous filmant.
Ca vous prendra certainement plus de temps qu’avec un prompteur, mais le résultat en terme d’impact sera bien plus intéressant.
C’est comme un texte de lettre de vente qui doit être peaufiné et testé.
Ici, si vous décidez de faire une vidéo – et surtout si c’est pour une vidéo de vente - alors vous devrez le peaufiner et l’apprendre. Pour pouvoir le prononcer de manière fluide et parlée.
Je vous en parlais ci-dessus.
Si vous avez peur d’oublier des passages, alors préparez-vous des “fiches” sur lesquelles vous ne marquerez qu’un seul mot, qui déclenchera alors le reste de votre texte.
Vous pourrez transformer ces fiches en pages Power Point, que vous pourrez faire défiler à l’aide d’une télécommande pour ne jamais perdre le fil.
On n’est pas à la TV. Vous n’êtes pas un présentateur vedette. Et vous ne ferez pas croire à vos interlocuteurs que vous êtes un professionnel de la vidéo. En plus ils s’en foutent.
Votre but n’est pas de produire une vidéo parfaite, montée comme à la télé, avec des effets spéciaux et de la musique comme dans les films.
Votre but est de convaincre. Avec vos mots. Avec votre corps. Avec vos gestes. Avec votre voix.
Vos clients se contrefoutent de la qualité de votre vidéo. Ce qui les intéresse, c’est surtout que VOUS leur parliez. Avec enthousiasme.
Et quand on lit, on est beaucoup moins enthousiaste que quand on parle. C’est comme ça. C’est humain.
Donc si vous avez dans l’idée de faire de la vidéo pour améliorer votre image ou pour convaincre vos visiteurs d’acheter un produit, de s’inscrire sur votre site ou simplement pour leur faire passer un message important, et que vous avez décidé de montrer votre tête, alors soyez vrai.
Préparez, apprenez et répétez votre discours, et transmettez-le avec vos tripes. Comme vous le sentez.
Si vous n’êtes pas prêt à ça, alors ne montrez pas votre tête.
Faites simplement des captures d’écran, et expliquez ce que vous faites pendant que vous le faites. Ca suffira amplement. Ou alors faites défiler des slides Power Point, et commentez le tout.
Certains pros adorent la vidéo et ils trouvent le temps de faire les choses bien. Bravo et tant mieux pour eux.
Mais vous, qui ne voulez pas en faire un métier à part entière, restez vrai, simple et enthousiaste.
Vos clients, vos membres aimeront vous voir et vous entendre comme si vous étiez devant eux. Même si vous n’êtes pas parfait. Même si vous bafouillez un peu.
Quand vous êtes dans une soirée et que vous parlez de votre métier avec des gens, vous lisez un prompteur ou des fiches ?
Vous comprenez l’idée ;)
19 JANVIER 2012
Si vous vous intéressez un peu au copywriting, alors vous savez que l'un des paragraphes capitaux d'une page de vente concerne la preuve sociale.
Oui, même si on vous a dit le contraire, une page de vente, c'est une succession de paragraphes qui devraient être placés dans un ordre précis.
Et parmi ces paragraphes se trouvent les preuves sociales. Vous savez… les témoignages clients, par exemple.
Hélas ! Beaucoup de gens s'arrêtent aux témoignages pour renforcer leur crédibilité, alors qu'il y a en bien plus à utiliser sur une page de vente.
Et en fait, quand vous voulez aller au restaurant, au ciné, dans un hôtel, un appartement ou même à un spectacle, les avis (leur nombre, surtout), les étoiles et les commentaires vous aident grandement à choisir.
C'est l'avantage de notre époque : Internet a rendu les avis clients accessibles à tout le monde, ce qui a permis d'éviter de nombreuses expériences désagréables à beaucoup de monde.
Si vous vendez des produits ou des prestations sur Internet, vous pouvez utiliser ce moyen pour gagner en crédibilité et ainsi augmenter vos ventes.
Je vous propose donc de découvrir 12 types de preuves sociales que vous allez pouvoir utiliser et rajouter sur votre page de vente :
Il s'agit d'un guide en PDF que vous pouvez télécharger facilement en guise de cadeau de bienvenue dans la grande famille du Copywriting Pratique, et plus particulièrement dans celle de ce blog.
Indiquez juste votre prénom et l'adresse email à laquelle je peux vous envoyer votre accès à ce guide et à plein d'autres :
Aujourd’hui, je vais vous parler d’un livre exceptionnel. Que vous allez avoir la possibilité de télécharger gratuitement.
Il s’agit d’un “livre rose”, édité par la société Altics, agence e-commerce spécialisée dans l'eye-tracking et l'audit de sites web, qui vous explique, à l’aide de 60 études de cas concrètes, comment faire pour séduire vos visiteurs dès la page d’accueil de votre site web, et... conclure.
Car dans la vraie vie comme sur Internet, on n'a pas deux fois l'occasion de faire une bonne première impression.
Ce livre a été créé à l’origine pour les sites marchands.
Pour autant, les conseils sont tellement pertinents et tellement universels, que toutes les personnes qui ont un site web ou un blog peuvent les appliquer.
Et bien entendu je VOUS engage fortement à en appliquer un maximum pour votre site à vous.
Cliquez ici pour télécharger ce livre gratuit
Ce livre est divisé en 5 parties :
Mais ce guide, c’est aussi 60 sites marchands analysés, des témoignages de sites web qui cartonnent et une foule de conseils, le tout sur un fond d’humour qui n’est pas pour déplaire, surtout sur un sujet aussi sérieux.
Bref, téléchargez ce guide gratuit de 133 pages en cliquant ici.
Et apprenez en 30 leçons comment séduire vos visiteurs dès la page d’accueil de votre site ou de votre blog.
18 JANVIER 2012
La “différence”.
Voici un mot qui ne veut rien dire en copywriting.
Et pourtant, il est employé bien des fois dans beaucoup de slogans publicitaires. J’ai même déjà dû l’employer aussi avant de m’apercevoir que c’était complètement idiot.
En effet, on emploie ce mot dans ce genre de slogan :
On ne devrait JAMAIS employer ce terme en tant qu’avantage. Tant dans une lettre de vente que dans un slogan.
Comprenez-vous pourquoi ?
Parce que c’est un mot abstrait. Un mot qui désigne quelque chose d’inexistant. D’impalpable.
Et surtout, un mot beaucoup trop employé par tout le monde. Si tout le monde déclare “faire la différence” alors tout le monde fait la même chose.
Ce mot est donc à bannir de vos lettres de vente si vous l’employez en tant qu’avantage.
Déjà, faire la différence est un “morceau” de phrase. Il manque “par rapport à...” quelque chose.
Ensuite, pourquoi ne pas être plus explicite ? Plus concret ?
Il vaut toujours mieux donner des chiffres et des faits par rapport à ce que vous faites réellement MIEUX que les autres plutôt que de dire à tout va que vous êtes le meilleur ou que vous faites “la différence”.
Pour reprendre les 4 exemples ci-dessus, on pourrait les transformer comme suit :
Comme vous pouvez le constater, ces phrases / slogans sont plus concrètes. Elles parlent d’avantages directement bénéfiques pour le client.
Vous pouvez faire pareil
Si vous employez ce terme de “différence” à titre d’avantage dans l’une de vos pages de vente, alors transformez-le vite en quelque chose de plus concret pour vos clients.
Utilisez des chiffres. Des faits.
Ca produit un impact bien plus mesurable et quantifiable dans l’esprit de vos clients. Et ça coupe l’envie d’aller voir ailleurs.
Cet article a été librement inspiré du chapitre 20 de l’un de mes livres fétiches : Comment devenir un as du marketing de Jeffrey Fox (que je vous recommande bien évidemment de lire au plus vite).
17 JANVIER 2012
Cet article participe à l’évènement “Comment écrire un article de blog efficace” du blog Virtuose Marketing de Cédric Vimeux.
IMPORTANT : La deuxième partie de cet article a été rajoutée ici-même aujourd’hui. Donc si vous avez déjà lu la première partie de cet article, vous pouvez sauter directement à la deuxième partie.
Certains blogueurs (et certaines blogueuses) ont beaucoup de mal à écrire un article attirant.
Ils peuvent écrire souvent, avoir de vraies et de solides compétences et les transmettre dans ce qu'ils racontent, mais leur article ne déclenche qu’ennui et indifférence chez la plupart de leurs lecteurs.
Je connais une bonne dizaine de blogs comme ça.
Des blogs qui publi(ai)ent en moyenne un article tous les 2-3 jours, depuis pas mal de mois, mais qui ne décollent pas des 200 à 300 visites par jour.
Et parmi ces visites, on constate qu’il y a plus de 50 % de nouveaux visiteurs. C’est à dire que ce genre de blog n’arrive pas à faire revenir ses anciens visiteurs chez lui.
Comme si les gens avaient décidé de déserter le blog en question après quelques semaines de lecture.
C’est tragique, surtout si le rythme de publication ne baisse pas. Ca veut tout simplement dire que les gens s’ennuient.
Si ça vous arrive avec votre blog, ou si vous avez peur que ça vous arrive, alors lisez bien attentivement cet article.
Je vous y explique pourquoi ça PEUT vous arriver, et comment faire pour que ça ne soit plus jamais le cas pour vous.
L’inverse d’un article ennuyeux, c’est quoi ?
C’est un article :
C’est également un article dont vous vous souvenez longtemps.
Parce qu’il a provoqué chez vous un torrent d’émotions qui a marqué votre mémoire.
C'est donc un article qui provoque une réaction émotionnelle : pleurs, rires, colère, peur, surprise, etc...
Bref. Pour qu’un article impressionne vos lecteurs, il DOIT provoquer quelque chose chez eux.
Si à la fin de la lecture d'un article, vos lecteurs ont déjà oublié de quoi il parlait, alors votre article est raté et il sombrera dans l’oubli.
Sitôt lu, sitôt oublié.
Et si vous faites comme ça avec chacun de vos articles pendant 2 à 3 mois, alors vos lecteurs désertent. Et c’est votre blog qui sombre dans l’oubli.
Vous l’aurez compris :
Parce que lorsqu’on lit un texte, on ne peut pas compter QUE sur sa simple mémoire des mots pour s'en rappeler.
Si l’émotion n’est pas là pour nous aider à imprimer les mots lus dans la partie imaginative de notre cerveau, alors il sera très dur de s’en souvenir.
Dans l’idéal, un article doit contenir des anecdotes, des histoires, ou des expériences. La majorité de vos articles devrait AU MOINS comporter l’un de ces 3 éléments.
Il doit permettre à votre lecteur de s’identifier à un personnage. Afin que ça éveille en lui une émotion basée sur sa propre expérience.
D'ailleurs, faites une expérience amusante.
Allez vous connecter sur un journal en ligne. Par exemple, lemonde.fr.
Lisez les 5 premiers articles du journal, et continuez votre journée.
Le lendemain, interrogez-vous : Quelles infos vous rappelez-vous avec le plus de détails ?
Tout simplement celles qui ont provoqué une émotion chez vous.
Même si un article de journal n'emploie pas le vous (c'est justement le principe d'un article de journal, il doit être le plus impersonnel possible), le lecteur peut s'identifier aux protagonistes de l'article s'il a vécu ou s'il connait quelqu'un qui a vécu la situation relatée dans l'article.
En effet, en faisant un parallèle avec une histoire vécue, on a de l'émotion dans l'équation. Et donc on s'en rappelle mieux.
Voilà pourquoi vous devez absolument vous mettre à la place de vos lecteurs et raconter au moins une expérience qui peut les concerner.
S’ils peuvent s’identifier à votre histoire, alors ils s’en souviendront longtemps.
Si vous cherchez des histoires à raconter, alors rendez-vous à la fin de cet article. Je vous explique comment en trouver des milliers.
Voici un exemple concret avec un extrait de blog trouvé sur la toile :
La manière factuelle, basique et barbante :
Pour faire revenir les gens sur un blog, il est bon d’installer un plugin d'inscription aux commentaires de son blog, ce qui permettra à ceux qui commentent d'être prévenus par mail lorsqu'un nouveau commentaire sera posté et validé sur l'article. Ca permet en outre d'augmenter le nombre de commentaires sur son blog et c'est plus pratique. Voici un exemple de plugin qui fait ça : XXXXX.
Voici une manière plus personnelle et plus émotionnelle de dire les choses :
Quand vous laissez un commentaire sur un blog, comment procédez-vous ?
Est-ce que vous vous rappelez de tous les commentaires que vous faites sur tous les blogs ?
Ou alors vous passez revoir un à un tous les commentaires que vous avez mis pour voir si on vous a répondu ?
Bien sûr que non ! Vous avez plein de choses à faire.
Et l'idéal, c'est de recevoir un mail quand un nouveau commentaire est dispo sur l'article que vous avez déjà commenté.
Comme ça vous pouvez revenir exclusivement sur les blogs actifs.
Beaucoup de gens sont comme vous. Alors si vous avez un blog, installez vous aussi un plugin qui prévient les commentateurs des réponses.
Celui que j'utilise avec succès, c'est lui :
Si on analyse les deux types d’écriture, on s’aperçoit que dans le deuxième paragraphe, le lecteur est totalement impliqué dans ce qu’il lit.
On lui pose des questions, auxquelles il répond en général par “oui”. Et surtout on lui parle de LUI. 14 fois “vous” dans le deuxième article, 0 fois dans le premier.
Le premier est impersonnel et froid, le deuxième est personnel et chaleureux.
Donc si vous voulez que vos articles soient plus lus, envisagez sérieusement ce qui suit :
Un article qui fonctionne est un article qui s'adresse à VOTRE lecteur en priorité. Et rien qu’à lui. Pas à une masse de gens.
Ce qu'aiment les gens, ce sont surtout qu'on leur parle d'eux. Ou au moins qu'on se mette à leur place. Ils veulent être impliqué dans l'article.
Si l'article en question ne parle pas de votre lecteur, alors celui-ci s'ennuie vite.
Parce que quoi qu'on dise ou quoi qu'on fasse, même si on n'est pas dans un processus de vente, on aime bien quand quelqu'un parle de vous.
J'ai démarré un jour une conférence sur le copywriting en faisant une expérience dont on me reparle encore aujourd’hui. Elle illustre bien ce concept :
Au tout début de la conférence (dès les premières secondes d’attention), j’ai demandé à tout le monde de sourire, et j’ai pris une photo de l'assistance.
Ensuite je l'ai mise sur l'écran, et j'ai demandé aux participants de me dire quelle personne ils avaient regardé en premier sur la photo.
Sans grande surprise, 32 personnes sur 34 avaient commencé à se chercher EUX-MEMES sur la photo.
Puis ensuite ils avaient regardé les autres.
Pourquoi ? Parce que même avec toutes les bonnes manières et l’éducation dont on peut faire preuve, la seule personne qui nous intéresse vraiment, c'est surtout NOUS-MÊME.
D'abord et avant tout. C'est instinctif.
Et c’est exactement la même chose avec un texte.
Lorsqu’une personne lit un texte, que ce soit une pub, une lettre de vente ou même un article de blog, la PREMIERE chose qu’elle va faire, c’est ESSAYER de s’identifier au “personnage” concerné par l’article en question.
Un peu comme sur la photo ci-dessus : Elle cherche à se trouver, à s’identifier en tout premier.
Si elle ne peut pas le faire, alors son attention va diminuer progressivement jusqu’à atteindre le zéro absolu : Et elle va arrêter de lire et passer à autre chose.
Par conséquent, même quand vous écrivez un article de blog, il est important que vous mettiez un maximum de référence à votre lecteur dans votre article.
Le meilleur moyen de le faire est d’employer autant que possible les mots d’or : Vous, Vos et Vôtre (Tu, T’, Te, Ton, Ta, Toi, Tes, Tien, Tienne, Tiens et Tiennes si vous vous adressez à vos lecteurs en les tutoyant).
Reprenez l’exemple que je vous mentionnais ci-dessus, et voyez la grosse différence en termes d’intérêt.
J’espère que vous aurez compris que le fait de rendre votre texte plus émotionnel et plus personnel va lui donner beaucoup plus de punch et d’intérêt pour vos lecteurs.
Voici donc les 2 manières de faire ça :
Vous n’êtes pas obligé de le faire à chaque fois bien sûr. Mais plus vous le ferez, et plus votre article plaira aux gens. Parce que, je vous le répète, les gens adorent les histoires.
Pour trouver des histoires ou des expériences à raconter, il faut que vous vous fassiez un stock conséquent d’histoires.
Il existe des milliers de livres qui racontent des histoires vraies incroyables. Voici 3 articles sur Copywriting-Pratique qui vous expliquent comment en avoir un stock permanent :
Vous y trouverez à chaque fois des techniques pour trouver, stocker et utiliser de bonnes histoires.
Si vous ne le connaissez pas encore, il y a un outil qui vous permet de vérifier si un texte est sympa ou pas.
Cet outil s’appelle le Sympathomètre.
C’est un outil qui a d’abord été créé pour les pages de vente, mais je vous conseille fortement de l’utiliser aussi pour vos articles de blog.
Comment procéder ? Très simplement :
Il vous suffit de copier le texte de votre article et de le coller dans la case prévue à cet effet sur cette page.
Et ensuite, vous cliquez sur le bouton. Et ça vous dit si votre article est “sympa” ou pas. Dans le cadre d’un article de blog, un sympathomètre de 2 est déjà une bonne chose (c’est à dire que vous parlez 2 fois plus de votre lecteur que de vous-même).
Vous trouverez plus d’explications sur le sympathomètre sur cette page.
Si vous souhaitez que vos articles de blog soient plus lus, alors n’hésitez pas à employer ces 2 astuces.
Bon courage pour vos futurs articles.
16 JANVIER 2012
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