Ecrivez facilement des textes qui font agir
Ressources gratuites pour Copywriters | Pourquoi ? | Un article au hasard
Cet article participe à l’évènement “Comment écrire un article de blog efficace” du blog Virtuose Marketing de Cédric Vimeux.
IMPORTANT : La deuxième partie de cet article a été rajoutée ici-même aujourd’hui. Donc si vous avez déjà lu la première partie de cet article, vous pouvez sauter directement à la deuxième partie.
Certains blogueurs (et certaines blogueuses) ont beaucoup de mal à écrire un article attirant.
Ils peuvent écrire souvent, avoir de vraies et de solides compétences et les transmettre dans ce qu'ils racontent, mais leur article ne déclenche qu’ennui et indifférence chez la plupart de leurs lecteurs.
Je connais une bonne dizaine de blogs comme ça.
Des blogs qui publi(ai)ent en moyenne un article tous les 2-3 jours, depuis pas mal de mois, mais qui ne décollent pas des 200 à 300 visites par jour.
Et parmi ces visites, on constate qu’il y a plus de 50 % de nouveaux visiteurs. C’est à dire que ce genre de blog n’arrive pas à faire revenir ses anciens visiteurs chez lui.
Comme si les gens avaient décidé de déserter le blog en question après quelques semaines de lecture.
C’est tragique, surtout si le rythme de publication ne baisse pas. Ca veut tout simplement dire que les gens s’ennuient.
Si ça vous arrive avec votre blog, ou si vous avez peur que ça vous arrive, alors lisez bien attentivement cet article.
Je vous y explique pourquoi ça PEUT vous arriver, et comment faire pour que ça ne soit plus jamais le cas pour vous.
L’inverse d’un article ennuyeux, c’est quoi ?
C’est un article :
C’est également un article dont vous vous souvenez longtemps.
Parce qu’il a provoqué chez vous un torrent d’émotions qui a marqué votre mémoire.
C'est donc un article qui provoque une réaction émotionnelle : pleurs, rires, colère, peur, surprise, etc...
Bref. Pour qu’un article impressionne vos lecteurs, il DOIT provoquer quelque chose chez eux.
Si à la fin de la lecture d'un article, vos lecteurs ont déjà oublié de quoi il parlait, alors votre article est raté et il sombrera dans l’oubli.
Sitôt lu, sitôt oublié.
Et si vous faites comme ça avec chacun de vos articles pendant 2 à 3 mois, alors vos lecteurs désertent. Et c’est votre blog qui sombre dans l’oubli.
Vous l’aurez compris :
Parce que lorsqu’on lit un texte, on ne peut pas compter QUE sur sa simple mémoire des mots pour s'en rappeler.
Si l’émotion n’est pas là pour nous aider à imprimer les mots lus dans la partie imaginative de notre cerveau, alors il sera très dur de s’en souvenir.
Dans l’idéal, un article doit contenir des anecdotes, des histoires, ou des expériences. La majorité de vos articles devrait AU MOINS comporter l’un de ces 3 éléments.
Il doit permettre à votre lecteur de s’identifier à un personnage. Afin que ça éveille en lui une émotion basée sur sa propre expérience.
D'ailleurs, faites une expérience amusante.
Allez vous connecter sur un journal en ligne. Par exemple, lemonde.fr.
Lisez les 5 premiers articles du journal, et continuez votre journée.
Le lendemain, interrogez-vous : Quelles infos vous rappelez-vous avec le plus de détails ?
Tout simplement celles qui ont provoqué une émotion chez vous.
Même si un article de journal n'emploie pas le vous (c'est justement le principe d'un article de journal, il doit être le plus impersonnel possible), le lecteur peut s'identifier aux protagonistes de l'article s'il a vécu ou s'il connait quelqu'un qui a vécu la situation relatée dans l'article.
En effet, en faisant un parallèle avec une histoire vécue, on a de l'émotion dans l'équation. Et donc on s'en rappelle mieux.
Voilà pourquoi vous devez absolument vous mettre à la place de vos lecteurs et raconter au moins une expérience qui peut les concerner.
S’ils peuvent s’identifier à votre histoire, alors ils s’en souviendront longtemps.
Si vous cherchez des histoires à raconter, alors rendez-vous à la fin de cet article. Je vous explique comment en trouver des milliers.
Voici un exemple concret avec un extrait de blog trouvé sur la toile :
La manière factuelle, basique et barbante :
Pour faire revenir les gens sur un blog, il est bon d’installer un plugin d'inscription aux commentaires de son blog, ce qui permettra à ceux qui commentent d'être prévenus par mail lorsqu'un nouveau commentaire sera posté et validé sur l'article. Ca permet en outre d'augmenter le nombre de commentaires sur son blog et c'est plus pratique. Voici un exemple de plugin qui fait ça : XXXXX.
Voici une manière plus personnelle et plus émotionnelle de dire les choses :
Quand vous laissez un commentaire sur un blog, comment procédez-vous ?
Est-ce que vous vous rappelez de tous les commentaires que vous faites sur tous les blogs ?
Ou alors vous passez revoir un à un tous les commentaires que vous avez mis pour voir si on vous a répondu ?
Bien sûr que non ! Vous avez plein de choses à faire.
Et l'idéal, c'est de recevoir un mail quand un nouveau commentaire est dispo sur l'article que vous avez déjà commenté.
Comme ça vous pouvez revenir exclusivement sur les blogs actifs.
Beaucoup de gens sont comme vous. Alors si vous avez un blog, installez vous aussi un plugin qui prévient les commentateurs des réponses.
Celui que j'utilise avec succès, c'est lui :
Si on analyse les deux types d’écriture, on s’aperçoit que dans le deuxième paragraphe, le lecteur est totalement impliqué dans ce qu’il lit.
On lui pose des questions, auxquelles il répond en général par “oui”. Et surtout on lui parle de LUI. 14 fois “vous” dans le deuxième article, 0 fois dans le premier.
Le premier est impersonnel et froid, le deuxième est personnel et chaleureux.
Donc si vous voulez que vos articles soient plus lus, envisagez sérieusement ce qui suit :
Un article qui fonctionne est un article qui s'adresse à VOTRE lecteur en priorité. Et rien qu’à lui. Pas à une masse de gens.
Ce qu'aiment les gens, ce sont surtout qu'on leur parle d'eux. Ou au moins qu'on se mette à leur place. Ils veulent être impliqué dans l'article.
Si l'article en question ne parle pas de votre lecteur, alors celui-ci s'ennuie vite.
Parce que quoi qu'on dise ou quoi qu'on fasse, même si on n'est pas dans un processus de vente, on aime bien quand quelqu'un parle de vous.
J'ai démarré un jour une conférence sur le copywriting en faisant une expérience dont on me reparle encore aujourd’hui. Elle illustre bien ce concept :
Au tout début de la conférence (dès les premières secondes d’attention), j’ai demandé à tout le monde de sourire, et j’ai pris une photo de l'assistance.
Ensuite je l'ai mise sur l'écran, et j'ai demandé aux participants de me dire quelle personne ils avaient regardé en premier sur la photo.
Sans grande surprise, 32 personnes sur 34 avaient commencé à se chercher EUX-MEMES sur la photo.
Puis ensuite ils avaient regardé les autres.
Pourquoi ? Parce que même avec toutes les bonnes manières et l’éducation dont on peut faire preuve, la seule personne qui nous intéresse vraiment, c'est surtout NOUS-MÊME.
D'abord et avant tout. C'est instinctif.
Et c’est exactement la même chose avec un texte.
Lorsqu’une personne lit un texte, que ce soit une pub, une lettre de vente ou même un article de blog, la PREMIERE chose qu’elle va faire, c’est ESSAYER de s’identifier au “personnage” concerné par l’article en question.
Un peu comme sur la photo ci-dessus : Elle cherche à se trouver, à s’identifier en tout premier.
Si elle ne peut pas le faire, alors son attention va diminuer progressivement jusqu’à atteindre le zéro absolu : Et elle va arrêter de lire et passer à autre chose.
Par conséquent, même quand vous écrivez un article de blog, il est important que vous mettiez un maximum de référence à votre lecteur dans votre article.
Le meilleur moyen de le faire est d’employer autant que possible les mots d’or : Vous, Vos et Vôtre (Tu, T’, Te, Ton, Ta, Toi, Tes, Tien, Tienne, Tiens et Tiennes si vous vous adressez à vos lecteurs en les tutoyant).
Reprenez l’exemple que je vous mentionnais ci-dessus, et voyez la grosse différence en termes d’intérêt.
J’espère que vous aurez compris que le fait de rendre votre texte plus émotionnel et plus personnel va lui donner beaucoup plus de punch et d’intérêt pour vos lecteurs.
Voici donc les 2 manières de faire ça :
Vous n’êtes pas obligé de le faire à chaque fois bien sûr. Mais plus vous le ferez, et plus votre article plaira aux gens. Parce que, je vous le répète, les gens adorent les histoires.
Pour trouver des histoires ou des expériences à raconter, il faut que vous vous fassiez un stock conséquent d’histoires.
Il existe des milliers de livres qui racontent des histoires vraies incroyables. Voici 3 articles sur Copywriting-Pratique qui vous expliquent comment en avoir un stock permanent :
Vous y trouverez à chaque fois des techniques pour trouver, stocker et utiliser de bonnes histoires.
Si vous ne le connaissez pas encore, il y a un outil qui vous permet de vérifier si un texte est sympa ou pas.
Cet outil s’appelle le Sympathomètre.
C’est un outil qui a d’abord été créé pour les pages de vente, mais je vous conseille fortement de l’utiliser aussi pour vos articles de blog.
Comment procéder ? Très simplement :
Il vous suffit de copier le texte de votre article et de le coller dans la case prévue à cet effet sur cette page.
Et ensuite, vous cliquez sur le bouton. Et ça vous dit si votre article est “sympa” ou pas. Dans le cadre d’un article de blog, un sympathomètre de 2 est déjà une bonne chose (c’est à dire que vous parlez 2 fois plus de votre lecteur que de vous-même).
Vous trouverez plus d’explications sur le sympathomètre sur cette page.
Si vous souhaitez que vos articles de blog soient plus lus, alors n’hésitez pas à employer ces 2 astuces.
Bon courage pour vos futurs articles.
16 JANVIER 2012
Si vous vous intéressez un peu au copywriting, alors vous savez que l'un des paragraphes capitaux d'une page de vente concerne la preuve sociale.
Oui, même si on vous a dit le contraire, une page de vente, c'est une succession de paragraphes qui devraient être placés dans un ordre précis.
Et parmi ces paragraphes se trouvent les preuves sociales. Vous savez… les témoignages clients, par exemple.
Hélas ! Beaucoup de gens s'arrêtent aux témoignages pour renforcer leur crédibilité, alors qu'il y a en bien plus à utiliser sur une page de vente.
Et en fait, quand vous voulez aller au restaurant, au ciné, dans un hôtel, un appartement ou même à un spectacle, les avis (leur nombre, surtout), les étoiles et les commentaires vous aident grandement à choisir.
C'est l'avantage de notre époque : Internet a rendu les avis clients accessibles à tout le monde, ce qui a permis d'éviter de nombreuses expériences désagréables à beaucoup de monde.
Si vous vendez des produits ou des prestations sur Internet, vous pouvez utiliser ce moyen pour gagner en crédibilité et ainsi augmenter vos ventes.
Je vous propose donc de découvrir 12 types de preuves sociales que vous allez pouvoir utiliser et rajouter sur votre page de vente :
Il s'agit d'un guide en PDF que vous pouvez télécharger facilement en guise de cadeau de bienvenue dans la grande famille du Copywriting Pratique, et plus particulièrement dans celle de ce blog.
Indiquez juste votre prénom et l'adresse email à laquelle je peux vous envoyer votre accès à ce guide et à plein d'autres :
Comment aurais-je pu l’oublier ?
1, 2, 3... 10... 11... 11ème mail que je reçois où l’on me propose une montagne d’offres parce qu’aujourd’hui, c’est un jour de chance !
Et moi qui bosse aussi dans le jeu (le turf notamment), aujourd’hui est également un jour particulier, avec des placards sur tous les sites officiels, disant en substance des trucs du genre :
Oui, quand on fait des affaires sur le web, le vendredi 13 est le théâtre de tout un tas d’offres qui tournent toutes autour de la chance ou du cadeau.
Et ce quelque soit le domaine du produit ou du service rendu.
Le copywriter qui sommeille en moi me dit que ce n’est pas une bonne idée de choisir ce jour précis pour faire ça.
Parce que ce qui se fait “partout” n’est pas vraiment attirant.
Je veux dire que si votre job exploite le créneau de la chance, alors le vendredi 13 est un jour où il vous semble logique de faire une offre spéciale.
En effet, tout le monde le fait, pourquoi pas vous ?
Cette affirmation est discutable.
Parce que selon mon expérience, ce qui vend surtout, c’est l’insolite.
Le truc que personne ne fait et qui arrive comme un cheveu sur la soupe un jour où justement personne ne s’y attend.
Voilà pourquoi je ne fais jamais d’opération spéciale un vendredi 13 (même si je bosse dans le jeu).
Déjà parce que je trouve ça un peu hypocrite de dire qu’il s’agit d’un jour de chance.
En effet, les origines probables des évènements qui aurait donnés naissance à tout ce tapage du vendredi 13 ne sont pas franchement réjouissants.
De plus, si on regarde dans l’histoire (et dans les contes), alors le 13 n’est pas souvent associé à la chance.
Dans les religions chrétiennes, par exemple, le chiffre 13 est un symbole malheureux à la suite d'une interprétation de la Cène. Ce repas qu’on voit sur beaucoup de tableaux dans les musées, où Jésus aurait réuni les douze Apôtres autour de lui.
La treizième personne, Judas, fut le traître qui mena Jésus à la croix. Ainsi, le chiffre 13 est associé depuis ces temps aux malheurs et aux souffrances de Jésus.
Mais toutes les religions ont aussi leur interprétation. Si ce domaine vous intéresse, alors allez faire un tour sur Wikipedia, pas mal d’infos et d’histoires trainent à ce sujet.
Toutes ces histoires et ces croyances ne sont en réalité pas vraiment importantes.
En effet, que vous choisissiez de croire qu’il s’agit d’un jour de chance ou d’un jour de malchance, l’important est que vous preniez conscience de ceci :
Si vos clients reçoivent 15 offres de réduction le même jour (aujourd’hui donc puisqu’on est vendredi 13), de vous et de 14 de vos concurrents, alors, comme les vœux de nouvel an, ils ne liront que les 2-3 premiers messages.
Les autres iront grossir les poubelles électroniques sans même avoir été lus.
Donc, plutôt que de faire comme tout le monde, innovez.
Envoyez votre offre UN JOUR AVANT et exploitez le créneau quand même d’une manière amusante.
Dites par exemple :
“Demain, c’est un vendredi 13. Vous allez recevoir des dizaines d’offres de réduction parce qu’il s’agit soit-disant d’un jour de chance.
Personnellement, je trouve idiot d’attendre un vendredi 13 pour vous faire des cadeaux. Parce que grâce à vous et à votre fidélité, c’est tous les jours un jour de chance pour moi.
A ce titre, j’ai le plaisir de...”
Vous pouvez aussi l’envoyer une semaine après, ou un mois après.
En fait, vous pouvez l’envoyer n’importe quand à un autre moment que ce vendredi 13 qui sera le regroupement de toutes les mêmes offres de réduction.
Si vous prenez l’habitude de faire l’inverse de ce que font les autres, alors vos opérations seront uniques lorsqu’elles se présenteront à vos clients.
Ils ne verront qu’elles, car ce seront les seules qu’ils recevront.
Et par conséquent, vous serez au moins 10 fois plus lu que pendant un jour comme aujourd’hui où les offres sont légion.
C’est aussi ça faire du copywriting : C’est choisir précisément le moment où vos interlocuteurs seront les plus réceptifs à votre message.
Ou alors c’est choisir le moment où ils seront les moins distraits par d’autres messages que le vôtre.
C’est logique quand on y pense, non ?
Partagez votre liste en 3 :
Et observez votre taux d’ouverture et votre taux de vente pour les 3 segments concernés.
Ca devrait achever de vous convaincre.
Rappelez-vous en la prochaine fois que l’envie vous prendra de proposer une vente flash ou une “réduc” un jour comme celui-ci.
13 JANVIER 2012
Cette question, on me la pose souvent. Une fois par semaine, au moins, depuis que ce blog a vu le jour.
“Comment tu fais pour écrire chaque jour ?”
Je réponds toujours que je ne sais pas.
Parce que c’est pas évident à expliquer. Il faut bien le reconnaître.
C’est un peu comme demander à quelqu’un d’expliquer comment il respire, ou pourquoi il aime les frites. Ce sont des concepts abstraits qui ont de la difficulté à se transcrire avec les mots.
Vous pouvez me dire, vous, comment vous faites pour aimer le chocolat ?
Pas facile, hein ? Vous comprenez l’idée.
Pour autant, malgré la difficulté, aujourd’hui, je vais vous expliquer “Comment je fais pour écrire tous les jours”.
Vous vous attendez peut-être à un secret ancestral.
Ou encore à une formule magique qui permettrait à tout le monde de faire pareil.
Si c’est le cas, et bien autant vous le dire tout de suite : Oui ! Il y a bien une formule, et OUI elle est copiable à l’infini. Même par vous.
Je vais vous la donner dans un instant, mais avant, je voudrais vous prévenir.
Cette formule ne vous fera pas forcément plaisir.
En fait, vous aurez même l’impression que je me moque de vous.
Et pourtant, je vous assure que c’est réellement la seule VRAIE raison de mon écriture régulière et journalière.
Même si elle est incroyablement simple.
Ca me fait penser à un bouquin que j’ai lu quand j’avais 20 ans, et qui m’a beaucoup marqué. Il s’appelle “Le millionnaire instantané” (de Marc Fisher).
Le héros de l’histoire se retrouve à devoir acheter le secret de la richesse 10.000 $. En proie au doute, il hésite, hésite, puis se décide enfin.
Il ouvre fébrilement l’enveloppe que lui remet le “vendeur” et il découvre – enfin – ce secret tant convoité : Une feuille blanche...
La suite du livre explique pourquoi cet élément indispensable est bien la base du secret pour être riche.
Bref, ça risque de vous faire pareil. Autant vous prévenir :)
Voilà. Vous êtes prêt ?
Voici donc enfin la réponse à la question “Comment tu fais pour écrire chaque jour” :
“J’arrive à écrire tous les jours parce que je l’ai décidé”
Tout simplement.
Je vous avais prévenu. C’est court. Simple.
Complètement con ! diront certains (et certaines) Dire que je me suis tapé tout cet article pour ça !!
Et pourtant ! Réfléchissez :
Le 4 avril 2011, j’ai décidé d’écrire un article par jour. Et depuis ce jour, c’est ce qui s’est passé. Pas un seul jour sans écrire un article.
Vous le voyez, ça marche !
Alors bien sûr il faut savoir écrire, il faut lire, il faut avoir des idées...
Mais tout cela est secondaire.
Parce que si vous le DECIDEZ, et que vous décidez de vous tenir vraiment à cette discipline, alors les idées viendront toutes seules.
Vous trouverez les mots, vous trouverez les idées, et vous écrirez chaque jour.
C’est garanti.
C’est comme lorsqu’on DECIDE vraiment d’arrêter de fumer. Ou de maigrir. Comme par hasard, si on le décide VRAIMENT, on y arrive.
Ici, c’est pareil : Si vous décidez VRAIMENT d’écrire chaque jour, alors vous le ferez.
Profitez-en pour rajouter un peu de pression émotionnelle à cet engagement.
Dites-vous que si vous craquez, alors tout le monde vous considèrera comme un looser, un perdant incapable de respecter ses engagements.
Imaginez que toutes les personnes que vous aimez vous regardent en train de faire cette promesse. Et imaginez à quel point vous les décevriez si vous renonciez.
Croyez-moi. Si vous le décidez sérieusement, alors vous le ferez. Et vous vous y tiendrez. Tout comme moi.
Je suis de ceux qui tiennent le coup. Le plus longtemps possible et au maximum de mes possibilités. Et même au-delà parfois.
Je ne suis bien sûr pas à l’abri de perdre mes 10 doigts, ou mes bras, ou même ma tête. Ni à l’abri de perdre mes outils, mes ordinateurs, ma vie, pourquoi pas.
Mais tant que je pourrai écrire avec un clavier et que j’aurai décidé de garder ce blog, alors j’écrirai un article par jour.
Parce que si je ne le fais pas, alors c’est que je serai un gros looser qui baisse les bras. Et moi, baisser les bras, j’aime pas. J’ai pas été élevé comme ça.
Voilà.
On m’a posé la question. Vous avez ma réponse. J’arrive à écrire un article par jour, parce que je l’ai décidé. Un point c’est tout.
Mon pote Cédric, de Virtuose Marketing, l’a décidé aussi. Et il écrit chaque jour depuis presque un an. Jean de Web Marketing Junkie l’avait décidé aussi. Il a tenu le coup pendant 2 ans, puis il a décidé d’arrêter.
Cette formule fonctionne. Soyez en certain.
Et si vous voulez vraiment que votre blog fonctionne, alors vous n’avez qu’à le DECIDER aussi. Décidez de votre rythme de publication, et décidez de vous y tenir.
Si vous mettez assez d’émotions dans cet engagement, si vous mettez vos tripes dans cette formule, alors vous arriverez à écrire chaque jour. Ou à un autre rythme moins soutenu, si vous voulez.
Vous trouverez les ressources pour le faire. Vous trouverez le temps aussi. Et le jour où vous n’aurez pas d’idées, et bien vous en trouverez malgré tout une. Peut-être que vous n’écrirez qu’une ligne. Mais vous écrirez quand même.
Parce qu’une fois qu’on a VRAIMENT décidé d’une chose, alors tous les évènements et toutes les ressources se mobilisent comme par hasard pour vous aider à réaliser ce que vous avez décidé.
On trouve les idées qui nous serviront, on rencontre les bonnes personnes, on reçoit les bons conseils, ce qui fait qu’au final, on a tout pour réussir. Et on réussit !
Ne cherchez pas midi à 14:00 : Si vous voulez écrire tous les jours (ou même tous les deux jours) sur votre blog, décidez-le ici et maintenant, tout simplement.
Vous verrez, c’est imparable !
12 JANVIER 2012
Aujourd’hui, je reçois mon ami Cédric Vimeux du blog Virtuose-Marketing, pour un bel article sur le copywriting, qui illustre à merveille ce dont je vous parlais hier à propos des histoires.
Que faut-il à vos emails pour qu'ils donnent des résultats ?
Deux choses :
Le problème, c'est que vos compétences en copywriting sont peut-être limitées.
Vous envoyez des emails, mais personne ne les lit. Et s'ils les lisent, ils n'agissent pas...
La solution ? Utiliser des fables... Voici pourquoi, et comment :
Utilisez des fables dans vos emails
Pour deux raisons.
La première, c'est que des millions de fables font partie du domaine public. Vous pouvez donc les utiliser comme bon vous semble, les modifier, les réécrire avec vos propres mots, etc. Sans risquer d'être attaqué pour plagiat.
La seconde, c'est que l'être humain adore les histoires. Vous. Moi. Vos clients. Tout le monde.
C'est génétique. Un héritage de nos ancêtres qui ont inventé des mythes, des légendes, des fables et des contes, pour transmettre leur savoir, leurs idées, leur philosophie... Et cela, déjà bien avant l'invention de l'écriture.
À chaque fois que j'ai réalisé des tests, les emails les plus lus étaient toujours ceux qui racontaient des histoires. Et je suis certain que si d'autres copywriters ont fait le test, ils confirmeront mes dires.
C'est simple. Toutes les fables ont une morale.
Il vous suffit de trouver des fables dont la morale vous arrange, et de les utiliser pour faire un lien avec votre produit.
Qu'est-ce que j'entends par là ? Je vous explique :
Imaginons que vous veniez d'écrire un guide sur la sous-traitance. Vous voulez envoyer un email à vos abonnés, pour leur expliquer tout ce qu'ils pourraient accomplir grâce à la sous-traitance. Quelle fable pourriez-vous utiliser ?
Personnellement, je choisis "La tortue, l'éléphant, et l'hippopotame", une fable zaïroise (lisez la dans cet article) dont la morale est : "Le tortue laisse aux autres tous les efforts et s'en attribue le bénéfice."
Un autre exemple ?
Imaginons que vous vendiez un guide qui aide à se débarrasser d'une mauvaise habitude, quel qu'elle soit. Quelle fable utiliseriez-vous ?
En voici une, un peu passe-partout :
Un paysan avec 3 de ses ânes se rendait au marché pour vendre sa récolte. La ville était loin et il lui faudrait plusieurs jours pour l'atteindre.
Le premier soir, il s'arrête pour bivouaquer non loin de la maison d'un vieil ermite. Au moment d'attacher son dernier âne, il s'aperçoit qu'il lui manque une corde.
Si je n'attache pas mon âne se dit-il, demain, il se sera sauvé dans la montagne ! Il monte sur son âne après avoir solidement attaché les 2 autres et prend la direction de la maison du vieil ermite.
Arrivé, il demande au vieil homme s'il n'aurait pas une corde à lui donner. Le vieillard avait depuis longtemps fait vœu de pauvreté et n'avait pas la moindre corde, cependant, il s'adressa au paysan et lui dit :
"Retourne à ton campement et comme chaque jour fait le geste de passer une corde autour du cou de ton âne et n'oublie pas de feindre de l'attacher à un arbre."
Perdu pour perdu, le paysan fit exactement ce que lui avait conseillé le vieil homme. Le lendemain dès qu'il fût réveillé, le premier regard du paysan fut pour son âne. Il était toujours là !
Après avoir chargé les 3 baudets, il décide de se mettre en route, mais là, il eut beau faire, tirer sur son âne, le pousser, rien n'y fit. L'âne refusait de bouger. Désespéré, il retourne voir l'ermite et lui raconte sa mésaventure.
"As-tu pensé à enlever la corde ?" lui demanda-t-il.
- Mais il n'y a pas de corde !" répondit le paysan.
- Pour toi oui, mais pour l'âne..."
Le paysan retourne au campement et d'un ample mouvement, il mime le geste de retirer la corde. L'âne le suit sans aucune résistance.
MORALE : Ne nous moquons pas de cet âne.
Ne sommes-nous pas, nous aussi, esclaves de nos persuasions (imaginer qu'on "se doit" de faire ceci, ou qu'on " doit être" comme cela, ou la crainte du regard des autres, etc.) et pire encore : esclave de nos habitudes mentales (peurs, jalousies, orgueil, envie, etc.) ?
Tout ceci n'est pourtant qu'imagination de notre part... car rien ni personne ne nous oblige à quoi que ce soit en réalité. C'est nous qui nous obligeons à certains actes...
Dans tous nos actes, nous avons toujours le choix, il ne s'agit que de le vouloir vraiment...
Demandez-vous donc quelles cordes invisibles vous empêchent de vous exprimer, de vivre, de vous épanouir et de progresser... (et là, vous pouvez facilement amener votre produit...)
Voici quelques sites sur lesquels vous trouverez des fables, des contes et des mythes :
Vous en trouvez des milliers d'autres sur Internet.
Je vous conseille vivement de vous constituer un dossier avec des fables utiles, dont les morales vous intéressent.
11 JANVIER 2012
Tous les membres de Copywriting Pratique ont accès à 6 outils pratiques en ligne dont :
Ces outils sont accessibles gratuitement pour tous les membres.
Intéressé.e ? Remplissez simplement le formulaire ci-dessous, et recevez votre accès à tous les outils disponibles :
Cet article n’est que la présentation d’un gros article en deux parties qui sera publié lundi 16 janvier 2012.
Pour aller lire cet article, il faut vous rendre ici.
Il vous parle de la différence entre un blog ennuyeux et un blog apprécié.
Vous y découvrez entre autre quelles sont les deux astuces que vous devez appliquer pour écrire des articles de blog efficaces et attirants.
Vous y découvrirez aussi :
Allez lire la suite de cet article en cliquant ici.
10 JANVIER 2012
Il existe des blogs qui ont des articles très intéressants mais sur lesquels on n’a jamais envie de laisser un commentaire.
Pas forcément par ce qu’on n’a rien à dire. Non...
C’est surtout parce que le blogueur donne l’impression de n’être jamais là.
En effet, même si on pose une question, on n’obtient jamais de réponse.
Réagir de la sorte quand on a un blog, c’est le condamner à devenir un endroit froid et sans vie, où de moins en moins de personnes ont envie de participer.
Parce qu’on dirait pas comme ça, mais les commentaires font VRAIMENT partie intégrante de la qualité d’un blog.
“Dis, tu boudes, monsieur ?”
D’autant que beaucoup de gens lisent les commentaires, surtout quand ils sont pertinents et qu’ils alimentent une vraie discussion.
Bien souvent, ces commentaires poursuivent l’article, en le complétant la plupart du temps. Mais pour que ce soit vraiment “utile”, alors il faut que le rédacteur de l’article participe aux discussions. Sinon, aucun intérêt.
Et si un blogueur ne répond pas aux commentaires de ses lecteurs, alors, loin de la discussion, on assiste à une succession de monologues bien souvent inintéressants. L’expression de plusieurs egos, sans tenir compte de celui des autres.
Bref l’archétype de l’endroit ennuyeux à mourir où personne n’a envie de perdre du temps si ce n’est pour trouver du backlink.
Quand on veut gagner sa vie avec un blog, la relation qu’on entretient avec ses lecteurs est très importante. L’objectif, j’en parlais dans mes précédents articles, est d’isoler des gens qui vont devenir vos fans. Vos “amis”.
Si un ami vous pose une question, vous lui répondez, oui ?
C’est pareil avec un blog : Si vous souhaitez entretenir une relation de qualité avec vos lecteurs, il FAUT que vous répondiez à leurs commentaires.
Pas forcément à tous, bien sûr.
Mais en tous cas à ceux qui ont apporté une pierre de plus à l’édifice de l’idée que vous traitiez dans votre article.
Et aussi à ceux qui commentent pour la première fois.
Ca a plein d’avantages.
Prévoyez toujours de répondre aux commentaires de vos lecteurs AVANT tout le reste.
Avant de vous faire connaître, avant d’écrire vos articles et avant de vous occuper d’aller commenter sur d’autres blogs.
Oui ! Occupez-vous D’ABORD de vos commentateurs.
Ce sont eux qui font vivre l’endroit, eux qui vous donnent vos meilleures idées, et eux encore qui sont la raison d’être d’un blog.
S’ils s’en vont, votre blog va se transformer en quelque chose de froid et sans vie, et vous allez arrêter.
Parce que mine de rien, avoir des commentaires sur son blog, c’est motivant. Ca montre qu’on n’écrit pas pour personne.
Sans réaction, comment savoir si ce que vous écrivez est bon ?
Pensez-y : Même une petite réponse qui montre que vous avez “entendu” la personne, c’est déjà ça.
Ca montre AU MOINS que vous êtes là.
9 JANVIER 2012
Aujourd’hui, parlons de pop-up pour ce 3ème article de la série “Erreurs à ne pas commettre sur un blog”.
J’avais déjà écrit un bon gros article sur la pop-up et son impact sur vos visiteurs. Si vous ne l‘avez pas encore lu, alors ne vous gênez pas.
Dans cet article-ci, je vais vous expliquer pourquoi il n’est absolument pas rentable d’utiliser une pop-up quand on a un blog.
Pour bien vous le faire comprendre, je vais vous parler de jeu d’échecs. Et faire un parallèle avec les pop-up.
J’adore ce jeu. Les échecs.
Il y a toujours deux manières de jouer à ce jeu. La manière “joueur bourrin”, qui joue à court terme, et celle des vainqueurs.
Le joueur qui joue aux échecs avec la manière “Court terme” est tout content d’avoir piqué le cavalier de son adversaire alors que lui n’a perdu qu’un pion.
Il danserait bien sur la table, même, tellement il est content.
Ce qu’il ne sait pas, c’est que le jeu d’échecs n’est pas un jeu de dames.
Ainsi, le nombre de pièces restantes n’est pas du tout gage d’une réussite et d’une victoire certaine.
Le joueur qui joue avec la méthode des vainqueurs, lui, se moque totalement de perdre un cavalier (même deux) si cela lui a permis de positionner une pièce sur une case précise, et aussi si cela a obligé son adversaire à positionner quelques pièces sur des cases précises.
Et si le gars en question n’a rien vu, tout hypnotisé qu’il est par sa “petite victoire”, c’est encore mieux car sa chute sera plus rapide.
Ce que le vainqueur veut, ce n’est pas “dominer” son adversaire. Ce qu’il veut, c’est GAGNER.
Aussi, quand 3 coups plus loin, le “bourrin” se retrouvera avec son roi enfermé et mis en échec et mat, il n’aura rien vu venir. Et ses victoires passées ne seront que de jolis souvenirs qui n’auront servi à rien.
Si vous décidez de mettre ce genre d’outil sur votre blog, alors vous raisonnez “à court terme”.
Vous dansez sur la table parce que vous avez une vingtaine d’inscrits par jour grâce à cette pop-up, mais tout hypnotisé que vous êtes par cette “petite victoire”, vous ne vous rendez pas compte que derrière, ces prospects recrutés de la sorte ne vous servent à rien. Ils ne participent pas. Et surtout il vous achètent rien.
Ou plutôt si. Quelques uns vous achètent des produits. Un sur 100 tout au plus.
Ce qui fait qu’avec votre pop-up et votre base de prospects, à raison de 20 nouveaux inscrits par jour, vous en êtes à une vente tous les 5 jours, soit en gros 6 ventes par mois.
Raisonner en vainqueur c’est agir différemment.
C’est penser à l’avenir.
C’est comprendre qu’une personne qui DECIDE elle-même de s’inscrire sur un blog, sans qu’on l’y force, sera beaucoup plus disposée à vous acheter vos produits plus tard qu’une personne qu’on ennuie chaque jour avec une pop-up qui la dérange.
Pour vous en convaincre, faites bien DEUX listes distinctes.
Une première liste avec les gens qui s’inscrivent chez vous grâce à une pop-up, et une autre liste avec les vrais membres. Ceux qui s’inscrivent d’eux mêmes, sans qu’on leur force la main.
Il y a de fortes chances que votre liste “pop-up” contienne 5 fois plus d’inscrits que votre liste naturelle.
Mais ce n’est qu’une “petite victoire” qui ne sert à rien. Voici pourquoi :
Prenez vos deux listes, et observez plusieurs choses :
Observez bien ces données.
Vous allez tomber de votre chaise. J’ai déjà fait ces tests dans 2 niches différentes.
Je ne vous citerai que la dernière différence :
Qui serait assez fou pour garder la pop-up sur son site avec de tels chiffres ?
Utiliser une pop-up sur votre blog, c’est comme jouer aux échecs avec la manière “à court terme” :
C’est l’échec assuré plus de 98 fois sur 100.
Ce chiffre n’est pas cité au hasard : Selon mes tests, une page de vente qui s’adresse à des prospects “pop-up” transforme en moyenne entre 1 et 2 % sur le nombre total d’abonnés à votre liste.
Alors que si vous choisissez de vendre sur une liste construite naturellement, vous tournez entre 5 et 10% de vente (minimum).
Il y a des exceptions, bien sûr. Certains vendront plus, d’autres vendront moins dans les deux cas.
Mais le plus urgent, c’est d’arrêter de justifier le fait d’ennuyer vos visiteurs avec une pop-up parce que “ça inscrit plus de monde” que sans.
En fait, on s’en fout du nombre d’inscrits.
Ce qu’on veut surtout, ce sont des gens qui vous aiment, qui aiment ce que vous faites, et qui sont prêts à faire vivre votre blog (et vous même) en commentant, en participant, et en vous achetant vos produits.
Comme je le disais en commentaire sur un site qui parlait de ça, je préfère avoir une liste de 500 membres actifs qui me lisent et qui participent, plutôt qu’une liste de 5000 inscrits qui passent me voir toutes les morts d’évêque, ou qui ouvrent un mail sur 20.
Question de stratégie.
En outre, ça vous revient 10 fois moins cher d’avoir 500 mails dans votre base que si vous en avez 5000. Surtout avec Aweber qui semble être l’auto-répondeur le plus apprécié des blogueurs.
Bref, réfléchissez-y à deux fois avant de mettre cette foutue pop-up sur votre blog.
Et si vous en avez une, arrêtez de me dire que c’est bénéfique pour vous. Parce qu’en fait, vous n’en savez rien du tout.
Vous enquiquinez vos lecteurs (tout le monde le sait et tout le monde le dit), vous dévaluez vos articles, vous faites de votre blog un endroit pas cool, et vous forcez la main à vos visiteurs pour qu’ils deviennent vos fans.
Et le pire, c’est qu’à part votre liste d’inscrits, vous n’avez aucune idée de ce que ça donnera pour vous en termes de chiffre d’affaires.
Testez au moins les deux versions...
Le joueur qui raisonne à long terme gagne toujours plus que le joueur bourrin qui cherche les coups faciles et rapides, même s’il sait qu’il ne gagnera pas à la fin.
J’ai choisi mon camp. Et vous ?
6 JANVIER 2012
Savez-vous quel est le "degré de sympathie" de votre site web, vos articles de blog, vos emails ou de vos pages de vente ?
Saviez-vous que la sympathie d’un texte, quel qu'il soit, est mesurable ?
Voici comment…
Si vous avez quelques notions de copywriting, ce qui doit forcément être le cas si vous lisez ces lignes, alors vous avez certainement appris que le mot le plus important qu’on emploie sur une lettre de vente c’est le mot "vous" et tout ce qui s’y rapporte (votre, vos, tu, tes, ton, etc…). C'est ce qu'on appelle les MOTS D'OR.
Il s’ensuit que le mot le moins important est donc son contraire, à savoir le bon vieux "Nous" et ses dérivés (nôtre, nos, moi, mien, etc.). C'est ce qu'on appelle les MOTS INTERDITS.
J'ai donc créé un outil en ligne qui calcule le rapport entre le nombre de mots d'or qu'il y a dans un texte, par rapport au nombre de mots interdits.
Le résultat obtenu est un ratio baptisé "Sympathomètre".
Et donc forcément, plus le sympathomètre de votre texte est haut, et meilleur c’est pour vous.
Comment ça fonctionne ?
Prenez un texte, n'importe lequel. Une page de vente, un article, un mail, une page complète d'un site ou d'un blog, même, si vous voulez.
Copiez et collez ce texte dans le Sympathomètre, et vous obtiendrez le nombre de mots de votre texte, le nombre de mots d'or, et le nombre de mots interdits. Il ne vous restera plus qu'à améliorer ou non votre texte.
Pour accéder à cet outil de calcul, il vous suffit de laisser votre prénom et votre adresse email dans le formulaire ci-dessous. Vous recevez l'accès à cet outil et aux autres en quelques secondes.
La deuxième erreur que je constate le plus souvent sur les blogs – et même les blogs les plus visités et les plus pros – c’est qu’on y voit beaucoup d’offres pour des produits qui ne sont pas du blogueur. De l’affiliation, quoi...
Et aucune offre pour un produit personnel.
Si c’est votre cas, si vous recommandez d’abord les produits des autres avant de recommander votre propre produit, alors vous laissez des sommes colossales sur la table.
Colossales. Pourquoi ?
Si vous avez bien respecté tout ce dont je vous parle au niveau de la relation que vous entretenez avec vos membres, alors ceux-ci vous aiment.
Ils aiment vos écrits, ils aiment votre personnalité, et ils aiment aussi votre mentalité et vos conseils.
Si vous écrivez des articles de qualité sur votre blog, si vous donnez beaucoup, alors vous allez avoir une horde de fans qui seront prêts à vous acheter un produit de votre propre composition, ne serait-ce que pour vous remercier de les avoir si bien conseillés tout au long des premiers mois de votre blog.
C’est humain. C’est ce qu’on appelle le principe de réciprocité.
En gros, vos fans veulent vous faire plaisir.
Mais en même temps, ils veulent régler un de leurs problèmes. Et pour ça ils viennent sur votre blog. Votre blog qui présente des informations de qualité, données par une personne qui s’y connait. Qui les conseille.
Et donc, pour régler LEUR problème, ils veulent un produit DU BLOGUEUR.
Si à ce moment là, vous décidez de présenter l’ouvrage d’un copain à vous, quel est l’intérêt pour vos fans de passer par vous pour l’acheter ?
Ce qu’ils veulent, eux, c’est surtout récompenser VOTRE travail.
Pas celui du voisin. S’ils achètent un produit en affiliation en passant par votre lien, vous toucherez une commission, mais votre fan, lui, il n’aura rien à vous. Et il n’aura donc pas du tout l’impression de vous avoir rendu un grand service si ce n’est financier.
Il est donc impératif que vous prévoyiez de vendre un produit de votre cru en tout premier, AVANT de vendre quoi que ce soit d’autres.
C’est impératif si vous voulez construire une relation durable et rémunératrice avec vos membres.
Parce qu’ils seront heureux de vous faire plaisir après que vous l’ayez fait pendant des mois pour eux avant.
Alors j’entends déjà l’objection majeure : “Mais je n’ai pas les capacités pour créer mon propre produit” !
Allons !!
...surtout quand on est un blogueur.
Et oui ! Que faites-vous depuis l’ouverture de votre blog ? N’écrivez-vous pas des articles ?
Si c’est le cas, prenez un moment, et lisez bien ce qui suit :
Ben oui ! Votre blog, c’est un gigantesque livre, qui comporte un nombre de chapitres énorme, qui ont la particularité d’être totalement désordonnés.
En gros, l’accès à l’information sur un blog est totalement anarchique. Pas de possibilité d’avoir accès à un article en particulier mise à part en le recherchant (si on s’en souvient) ou en consultant les catégories.
Mais le propre d’un blog c’est justement d’utiliser un classement par date. Donc aucune logique dans l’information.
Vos membres voudraient bien avoir quelque chose de plus organisé. De plus pratique. et de plus suivi.
Ils s’attendent donc à ce que vous leur proposiez un livre, un dossier, un rapport, une série de vidéo, bref, un ouvrage pratique, qui récapitule un certain nombre de conseils que vous donnez sur votre blog, plus quelques autres qui ne s’y trouvent pas.
Vous pouvez le faire ! Ce n’est pas vraiment compliqué quand vous y réfléchissez.
Voici la procédure que je vous recommande pour ça :
Il vous suffit de sélectionner un groupe d’articles qui règlent un problème majeur pour vos lecteurs. Ca correspondra en général à une catégorie.
Utilisez pour ça Microsoft Word ou OpenOffice. Ouvrez un fichier, et collez vos articles un à un, l’un en dessous de l’autre, en mettant bien vos titres d’articles en style “Titre 1”, et vos sous-titres en “Titre 2”.
Placez vous au début de votre fichier, faites un saut de page, et mettez votre curseur en haut d’une page blanche.
Puis dans Word, faites “Insertion” + “Références” + “Table et index”.
Choisissez l’onglet “Table des matières” puis cliquez sur OK.
La table des matières s’inscrit alors à la place de votre curseur, en mettant les différents titres de vos articles les uns sous les autres.
Vous avez ainsi le plan de base de votre livre.
Il ne vous reste plus qu’à réorganiser vos chapitres en fonction de leur thème, en créant des parties.
Pour accéder à un chapitre, appuyez sur la touche “CTRL” puis cliquez sur son titre dans la table des matières.
Ensuite, sélectionnez l’intégralité du chapitre, faites “Couper”, et allez le coller à l’endroit que vous voulez dans votre fichier.
Quand vous avez fait ça, retournez sur la table des matières, et faites “F9”. Ca réorganise la table en fonction de vos modifications.
Quand vous avez fini de tout réorganiser, vous avez donc 75% de votre livre qui est fini.
Forcément, il va manquer des infos dans votre livre. Vous allez donc devoir écrire quelques chapitres manquants.
Pour cela, définissez quelques titres de chapitres qui manquent. Puis ensuite, procédez comme pour vos articles. Ecrivez-les un par un. En les intercalant au bon endroit dans votre livre.
A la fin, vous aurez un ouvrage complet.
Ecrivez l’introduction et la conclusion, et votre ouvrage sera à relire entièrement ensuite pour la correction et les derniers peaufinages.
C’est la dernière ligne droite.
Il vous faut donc trouver un titre pour votre ouvrage. Utilisez Amazon pour chercher des ouvrages similaires au thème que vous avez abordé pour vous inspirer et trouver un titre accrocheur.
Puis réalisez une couverture.
Vous n’êtes pas très fort en graphisme ? Interrogez vos amis. En échange de l’ouvrage final, ou d’un peu de pub à l’intérieur de l’ouvrage (par exemple un lien vers un site Internet), certains pourront vous créer une couverture gratuitement.
Echanges de bons procédés.
Et voilà. Votre livre est fini. Transformez-le en PDF pour qu’il soit lisible partout.
Il ne vous restera plus qu’à le vendre.
J’ai volontairement été rapide dans la présentation de la réalisation d’un livre. Ca vous prendra un bon mois si vous faites les choses sérieusement.
Mais c’est déjà relativement court quand on regarde le temps qu’on met généralement pour écrire un livre.
Un moyen d’aller plus vite, c’est de systématiquement faire une copie de chacun de vos articles quand vous les écrivez, en créant un fichier Word par catégorie. Ce qui vous permettra alors d’avoir déjà toute la partie rédactionnelle de base qui sera déjà faite.
Profitez-en alors pour supprimer toutes les références à votre blog, et à rajouter quelques phrases dans le fichier Word, pour compléter par exemple une idée avec une image ou une capture d’écran pourquoi pas ?
Commencez maintenant.
Ca vous prendra un peu plus de temps que d’habitude, mais quand vous présenterez votre ouvrage à vos fans, ceux-ci s’empresseront de vous le commander ne serait-ce que pour vous remercier de les avoir accompagnés tout au long de vos premiers mois de blogging.
Tous n’achèteront pas bien sûr. Mais vous aurez néanmoins beaucoup de gens qui se feront un plaisir de le faire, alors qu’ils se moquent totalement des produits qui ne sont pas à vous.
Si vous ne le faites pas, calculez combien vous perdez : 10 % du prix de votre ouvrage multiplié par l’intégralité de vos membres. Ainsi, si vous avez 2000 membres et que vous vendez un ouvrage à 27 €, vous perdez 2000 x 2,7 = 5400 euros.
C’est bête, non ?
Je suis sûr que vous avez des questions. N’hésitez pas à me les poser en commentaires.
Mais que cela ne vous empêche pas de démarrer votre ouvrage personnel ! ;)
5 JANVIER 2012
Cet article est le premier d’une série de 5, qui va énumérer les principales erreurs à ne surtout pas commettre quand on a un blog si on veut se servir de ce media pour gagner sa vie.
Commençons aujourd’hui avec la première de ces erreurs : Le lien vers un produit à vendre directement sur le blog.
J’en avais déjà parlé : Proposer des produits à vendre sur un blog n’est pas DU TOUT une bonne idée.
Pourquoi ?
Pour au moins 3 bonnes raisons que je vous énumère à nouveau ici.
Quand on s’occupe d’un espace gratuit, un blog notamment, il est relativement facile et rapide de se faire connaître.
Il suffit de faire des articles de qualité, de donner de l’information pertinente et d’apprendre des choses intéressantes à vos lecteurs, et ceux-ci n’hésiteront pas à faire un lien vers votre blog à partir du leur, et aussi à en parler à leurs amis.
Parce que ce qui est gratuit et de qualité ne reste pas longtemps dans l’ombre.
Et parce qu’une personne recommande bien plus volontiers à ses amis des ressources gratuites qu’une boutique de produits payants.
Donc, si vous indiquez SUR votre blog que vous vendez des produits, alors là tout change. Votre développement va beaucoup moins vite.
Parce que les gens (pas tous heureusement) vous recommanderont beaucoup moins que si vous semblez être un espace totalement gratuit.
Parce qu’ils auront l’impression qu’on pourra assimiler cette recommandation à une sorte d’affiliation, et qu’ils ne veulent donc pas forcément être associé à ça avec leurs amis.
Bref. Le processus “bouche à oreille” est beaucoup moins franc quand on met de l’argent dans le processus.
Donc, en mettant un produit à vendre directement sur votre blog, espace gratuit par excellence, vous vous coupez de tous les avantages du bouche à oreille, et donc vous perdez des centaines voire des milliers de visiteurs par an.
Visiteurs qui ne s’inscrivent pas à votre liste, et qui ne deviendront donc jamais des clients.
Ce qui nous amène au point 2 :
Vous avez appris qu’il fallait vous constituer une liste de membres. C’est impératif pour pouvoir construire une relation durable.
En mettant des liens vers des produits payants, vous réduisez les chances que vos visiteurs deviennent membres de votre blog.
Parce que vous leur donnez deux actions à réaliser, alors que tout le monde sait bien qu’il n’en faut idéalement qu’une seule.
Et quand je vous parle de 2 actions, en fait il y en a déjà bien plus à réaliser sur un blog :
Donc si vous rajoutez une action supplémentaire, celle-ci va se faire au détriment des autres, d’autant que cette action-là, effectuée dans ce cas-là, offre des résultats pas du tout conforme à ce que vous pourriez obtenir si vous vous y preniez différemment.
D’ailleurs c’est l’objet du point 3 :
Si vous êtes sur Internet depuis un petit moment, alors vous savez très bien qu’une simple bannière posée sur un site donne des résultats pitoyables en termes de clics.
Du genre 1% maximum de clic. Sans compter que les gens qui cliquent ne sont pas forcément qualifiés. Et surtout ils ne vous connaissent pas forcément.
Ce qui fait que votre page de vente va se retrouver devant un public froid et donc les résultats qui vont suivre seront en rapport.
Comptez entre 0,5 et 1,5% de transformation pour une bonne page de vente.
Alors que si vous concentrez l’action de vos visiteurs sur le fait de s’inscrire à votre liste, tout sera beaucoup mieux pour vous.
Vous leur offrez un maximum d’infos de qualité, des cadeaux, de l’attention, ils commencent à vous apprécier, et SEULEMENT ensuite, vous leur proposez votre page de vente.
Là, les pourcentages de vente peuvent largement atteindre les 10 ou 15 %.
Soit entre 5 et 20 fois plus !
Il est important que vous compreniez bien tout ça :
Si vous mettez un lien vers des produits à vendre sur votre blog :
Reconnaissez que ces 3 effets ne sont pas franchement attirants.
Alors bien sûr, certains vous diront : Oui mais que faire de ceux qui ne veulent pas s’inscrire sur ma liste mais qui veulent quand même acheter mon produit ?
Franchement...
Vous croyez sincèrement qu’une personne qui refuse de s’inscrire sur un blog où on lui donne accès à des outils, des cadeaux et à de l’information de qualité va vouloir sortir sa carte bleue pour vous acheter un produit payant ?
Franchement vous croyez ça ?
Ca peut arriver. Disons une fois sur 200.
Est-ce que ça vaut vraiment le coup de perdre 90 % de vos ventes pour les quelques hypothétiques acheteurs qui se décideraient sur un coup de tête ?
Mon expérience et ma logique me disent que non.
Après, comme je le dis toujours, chacun fait comme il veut.
Mais il serait bon que vous testiez néanmoins les deux manières pendant un mois entier. Si vous avez un trafic conséquent bien sûr !
Parce que quoi qu’il en soit, il devrait pas y avoir UN SEUL lien vers un seul produit à vendre tant que vous n’avez pas AU MOINS 200 visites journalières.
Sinon, vous mettrez 2 à 3 fois plus de temps à atteindre cette limite.
Vous voici prévenu :)
4 JANVIER 2012
L’un de mes restaurants préférés a fermé. Et il me manque déjà.
Il était situé à 100 mètres de mon bureau. C’était un petit resto italien de quartier.
J’allais y manger des pâtes ou des pizzas pratiquement 3 fois par semaine. Souvent 2 fois dans la même journée (midi et soir).
Est-ce que la pizza y était meilleure qu’ailleurs ? Pas vraiment.
Le cuisinier ne mettait pas d’herbes dessus.
Elles étaient bonnes, ses pizzas. Mais j’en ai souvent mangé de meilleures ailleurs.
Par contre, ce resto avait ce petit truc qui fait qu’on y venait et qu’on y revenait volontiers.
La patronne vous accueillait toujours par votre prénom. Elle vous asseyait toujours à votre table préférée. Et elle était toujours prête à vous offrir un café, un dessert ou un digestif à la fin de votre repas.
Et nos assiettes avaient toujours l’air plus remplies que les autres.
Bref... Plus qu’un diner, on allait surtout chercher de la chaleur, de la considération, de la sympathie, et de la joie de vivre, dans ce resto.
Ce qui fait que la nourriture passait au deuxième plan.
Et ce qui fait que ce resto me manque beaucoup.
Pourquoi est-ce que je vous parle de ça ?
Parce qu’on peut faire un parallèle avec cette histoire et ce qui peut vous arriver avec votre blog ou votre site Internet.
Dans mon histoire, ce qui faisait faire du chiffre d’affaires à ce restaurant, c’était surtout la personnalité de ceux qui s’en occupaient.
Rendez-vous compte : On n’appelait même plus ce resto par son nom ! On disait : “On va manger chez Laurence ?”.
Dans le même ordre d’idées, si vous tenez un blog, ce qui fait TOUTE la différence entre vous et tous les autres, c’est votre personnalité.
Et uniquement ça.
Votre personnalité qui s’exprime au travers :
Si vous cultivez consciencieusement toutes ces petites attentions envers vos visiteurs, si vous leur donnez sans compter, alors petit à petit, vous entrez dans leur cœur.
Et vous devenez peu à peu leur ami.
Celui (ou celle) qui les conseille, qui les aide, qui les rassure, et qui leur montre le chemin.
Celui ou celle qui leur manquera si vous vous arrêtez.
Si vous tenez un blog, ca devrait être, au démarrage, votre premier objectif :
Et faire qu’on se sente tellement bien sur votre blog qu’on y passe chaque jour par plaisir.
Et une fois que cet objectif sera atteint, alors quand arrivera le moment de proposer des produits à acheter à vos membres, à vos fans, alors tout sera beaucoup plus facile.
Vous vous en doutez.
Car le meilleur texte de vente du monde qui s’adresse à un public “froid” (comprenez “un public qui ne vous connait pas”) ne battra jamais un texte de vente moyen qui s’adresse à des gens qui vous aiment et qui vous apprécient.
C’est comme ça !
Ca vous parait évident comme concept ?
A moi aussi.
Oui ! Manifestement, ce concept n’est pas évident pour tout le monde.
En effet je vois encore des blogueurs :
Commettre ne serait-ce qu’une seule de ces 5 erreurs vous fait perdre un temps précieux et de nombreux euros de chiffre d’affaires.
Je reviendrai sur chacune d’elles dans les 5 articles suivants, et vous expliquerai pourquoi ce sont des erreurs et comment il serait préférable de procéder pour que tout fonctionne bien mieux pour vous.
D’ici là, que pensez-vous de tout ça ?
Vous sentez-vous concerné par certaines de ces 5 erreurs ? Avez-vous conscience que chacune d’elle est un handicap à votre réussite dans le blogging ?
3 JANVIER 2012
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