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5 astuces pour que vos cartes de voeux ne se transforment pas en cauchemar pour vos clients ou vos membres

Allez-vous envoyer un mail de vœux à vos clients ou à vos membres pour cette fin d’année ?

bonne-annee

Si vous l’avez envisagé, c’est une très bonne idée.

En effet, cela renforce les liens que vous pouvez avoir avec vos membres ou avec vos clients, et cela vous permet d’annoncer tranquillement ce que vous avez prévu pour l’année qui vient.

Voici néanmoins quelques astuces pour que cette période ne se transforme pas en cauchemar pour vos membres.

1. Prévoyez votre coup

Il y a de fortes chances pour que vos membres soient inscrits sur pleins de listes comme la vôtre.

Donc le 1er janvier, plus ou moins une semaine, ce sont des dizaines de cartes de vœux qui sont envoyées et reçues.

Si vous êtes le premier, bravo. Mais si vous arrivez en 10ème position, alors ne croyez pas que vous serez lu. Surtout si votre correspondant en a déjà reçu 7 avant la vôtre la même journée.

Donc, envoyez vos cartes un peu plus tard dans le mois de janvier.

Vous aurez plus de chances de toucher vos correspondants. Ou alors, envoyez-la à minuit pile.

C’est possible de le faire avec un auto-répondeur.

A ce propos, attention : Si vous utilisez Aweber, il y a 6 heures de décalage avec l’heure d’envoi européenne.

Ce qui veut dire que si vous voulez programmer un envoi à minuit pile, alors réglez votre broadcast sur l’heure 06:00, ce qui correspondra à minuit pile chez vous (si vous êtes en Europe, bien sûr !!)

2. Soyez original dans votre sujet

Si vous pensez que vos clients vont ouvrir un mail où il y a écrit “bonne année” ou meilleurs vœux, vous rêvez hélas.

95% des entreprises vont faire comme vous. Votre mail sera perdu dans cette masse de pub déguisée en bons vœux, et il ne sera pas plus lu qu’elles.

Soyez plutôt inventif, et mettez un bon titre insolite.

Celui qui m’a donné le plus gros taux d’ouverture d’une carte de vœux, c’était celui-là :

“Voilà... C’est fini...”

Le premier paragraphe commençait par : “Hé oui, 2009 est finie ! Vive 2010 !”.

Mais laissez parler votre imagination. Vous trouverez bien un sujet de mail insolite !

3. Surtout pas de pub !

Combien de fois reçois-je des vœux avec des réductions ou des cadeaux à l’achat d’un produit avec mes vœux de fin d’année ?

Trop de fois !

Vous faites ça quand vous envoyez vos vœux à vos proches ? Vous leur proposez d’acheter un truc ? Pas moi.

Donc ne faites pas ça. Rien à vendre dans une carte de vœux à moins de vous attirer tout le contraire de l’effet escompté.

4. Un beau petit texte plutôt ?

On est sur Internet ! Une carte de vœux virtuelle devrait raconter une belle histoire qui fait sourire, ou pleurer… Bref, une histoire qui provoque de l’émotion.

Utilisez donc ce moment unique dans une année pour raconter quelque chose de sympa à vos clients.

Vous pouvez allez vous servir sur les sites qui racontent de belles histoires, en mentionnant la source, bien sûr. Essayez Evene.fr

Mais vos correspondants vous remercieront beaucoup si vous leur composez un joli truc personnel.

5. Un petit merci ?

Et si vous profitiez de ce moment pour remercier vos clients et vos membres de vous suivre ?

Ils passent du temps avec vous, tout au long de l’année. Vous pouvez largement faire l’effort de les remercier pour ça.

Surtout à cette période.

Faites-le, vous verrez comme vous vous sentirez bien après. Et surtout vous verrez comme certaines personnes vous répondront avec gratitude.

Il en faut parfois très peu pour délier les doigts :)

Allez ! Ce sera tout pour aujourd’hui. J’aurai à vous reparler de ces cartes de vœux d’ici quelques semaines.

Il y a beaucoup à en dire !


15 DECEMBRE 2011

Calculez le "Sympathomètre" d'une page de vente ou d'un article

Savez-vous quel est le "degré de sympathie" de votre site web, vos articles de blog, vos emails ou de vos pages de vente ?

Saviez-vous que la sympathie d’un texte, quel qu'il soit, est mesurable ?

Voici comment…

Si vous avez quelques notions de copywriting, ce qui doit forcément être le cas si vous lisez ces lignes, alors vous avez certainement appris que le mot le plus important qu’on emploie sur une lettre de vente c’est le mot "vous" et tout ce qui s’y rapporte (votre, vos, tu, tes, ton, etc…). C'est ce qu'on appelle les MOTS D'OR.

Il s’ensuit que le mot le moins important est donc son contraire, à savoir le bon vieux "Nous" et ses dérivés (nôtre, nos, moi, mien, etc.). C'est ce qu'on appelle les MOTS INTERDITS.

J'ai donc créé un outil en ligne qui calcule le rapport entre le nombre de mots d'or qu'il y a dans un texte, par rapport au nombre de mots interdits.

Le résultat obtenu est un ratio baptisé "Sympathomètre".

Et donc forcément, plus le sympathomètre de votre texte est haut, et meilleur c’est pour vous.

Comment ça fonctionne ?

Prenez un texte, n'importe lequel. Une page de vente, un article, un mail, une page complète d'un site ou d'un blog, même, si vous voulez.

Copiez et collez ce texte dans le Sympathomètre, et vous obtiendrez le nombre de mots de votre texte, le nombre de mots d'or, et le nombre de mots interdits. Il ne vous restera plus qu'à améliorer ou non votre texte.

Pour accéder à cet outil de calcul, il vous suffit de laisser votre prénom et votre adresse email dans le formulaire ci-dessous. Vous recevez l'accès à cet outil et aux autres en quelques secondes.

Comment avoir toujours des idées sur n'importe quel sujet et ne plus jamais louper d'opportunités

Aujourd'hui, je voulais vous parler d'opportunisme ! Un de mes sujets préférés.

Donc, voici ma vision de ce qu’est l’opportunisme et une manière infaillible de vous entraîner à profiter des centaines d’opportunités qui se présentent à vous chaque jour et que vous ne voyez jamais passer.

opportunite

Un impérieux besoin d’opportunisme

Oui ! Être opportuniste, de nos jours, c’est survivre dans ce monde de concurrence et de surpopulation numérique.

Surtout quand on travaille sur Internet.

Quand on a un blog, il faudrait être opportuniste à chaque fois que vous écrivez un article.

Une info à la radio, sur une affiche, ou dans un commentaire. Tout devrait être bon pour saisir l’opportunité de l’idée qui fera votre article du jour.

Hé oui ! Être opportuniste, ce n’est pas nécessairement pour gagner de l’argent, même si on a tendance à le voir comme ça.

Être opportuniste, c’est aussi – et surtout - saisir les opportunités pour agir. Ecrire, rencontrer les bonnes personnes, avoir les bonnes infos avant les autres, etc...

Si vous avez du mal à trouver des idées pour écrire vos articles, par exemple, ou même pour écrire de bons arguments sur vos pages de vente, c’est parce que vous n’avez pas assez cultivé cette qualité que l’on appelle l’écoute.

Parce qu’être opportuniste, c’est être à l’écoute de son environnement.

C’est ce que Jean-Claude VANDAMME appelle être “Aware”. Quand on est à l’écoute de son environnement, alors tout devient bien plus facile.

Mais c’est comme tout : Ca se travaille.

Plusieurs fois on m’a demandé comment je pouvais arriver à écrire un article par jour depuis 8 mois sans avoir de problème pour trouver des idées.

Je vais être honnête avec vous : J’ai été formé pour ça.

Il y a... pfiouu... Il y a 23 ans ! j’avais 20 ans !

Comment j’ai été formé à l’écoute

Et cette année là, j’ai eu à vivre une succession d’expériences qui m’ont à jamais appris à repérer les bonnes opportunités et à avoir toujours quelque chose à dire sur n’importe quoi.

Voici pourquoi :

Il y a 23 ans, j’étais en classe préparatoire à HEC. Durant cette année, on avait ce qu’on appelait 1 heure de colle tous les soirs. On était 3. A chaque coup.

Ce ne sont pas les heures de colles qu’on se choppaient parce qu’on avait mal parlé à un prof ou qu’on n’avait pas fait notre boulot. Non.

Il s’agit de la colle dans le sens “Tu me poses une colle”.

Le principe était simple : La prof nous faisait piocher un petit papier dans un grand chapeau, sur lequel était écrit un mot. Un seul. Ou une citation.

On avait 10 minutes de préparation, et on devait ensuite parler sur ce mot sans s’arrêter pendant 10 minutes.

Imaginez. Vous tirez le mot “abat-jour”.

Vous devez préparer un truc pendant 10 minutes là dessus (pas d’Internet, pas de livre, pas d’Iphone), et en parler ensuite pendant 10 minutes devant 3 personnes.

Vous êtes noté sur 20.

Alors, vous auriez dit quoi ?

C’est à ça que j’ai passé mes soirées 4 fois par semaine pendant une année scolaire, à raison d’une heure par jour.

Au début, c’est la galère.

Mais petit à petit, vous apprenez à réfléchir vite et bien, et surtout vous apprenez à vous organiser :

Mes premières notes furent pitoyables. Le premier mot que j’ai tiré c’était : la passion.

J’ai parlé de passion des timbres. La prof aurait préféré que je parle de Roméo et Juliette. J’ai eu 3.

Et encore, ce mot était facile. Essayez de parler pendant 10 minutes sur des phrases de ce style :

Bref...

Vous pouvez vous entraîner aussi !

Vous l’aurez compris, l’objectif de ce genre d’exercice était de nous former à ce qu’on appelle “la répartie”.

Et en plus de nous apprendre à parler, ça nous apprenait aussi à développer notre faculté d’adaptation. Parce qu’être opportuniste, c’est savoir s’adapter en un éclair à une situation nouvelle.

C’est prendre l’avantage sur le reste du monde en quelques instants.

Pendant les 4 ou 5 premières semaines de l’expérience contée plus haut, on en a tous bavé. Vraiment.

Et puis petit à petit, on a commencé à pouvoir parler d’à peu près tout. On était obligés d’aller se servir dans ce qu’on avait lu ou entendu, et on s’apercevait alors qu’on connaissait plein de choses.

Que notre cerveau avait déjà emmagasiné des centaines de milliers d’informations qu’un tout petit peu de gymnastique mentale permettait de faire ressortir.

Ce qui est sympa avec cette discipline, c’est que vous pouvez le faire n’importe où, et avec n’importe quel mot. Ca ne vous coûte rien. Vous pouvez même vous rassembler à 2 ou 3, et faire l’exercice ensemble.

C’est très formateur, et une dizaine de séances devraient arriver à vous mettre de plus en plus à l’aise pour trouver des idées sur à peu près n’importe quoi.

Vous pouvez le faire dans le bus, dans une file d’attente, ou posé sur un banc dans un parc. Vous pouvez le faire avec vos enfants, qui seront ravis de s’entraîner avec vous – et ça leur donnera un avantage énorme pour leur avenir.

Bref... Vous l’avez compris : Vous POUVEZ cultiver votre sens de la répartie.

Si vous avez un blog, vous ne serez plus jamais à cours d’idées pour vos articles.

Si vous avez une page de vente à écrire, vous aurez des dizaines de sujets à aborder, et plus obligé d’employer des clichés.

La procédure pas à pas

Je vous la rappelle :

Il est 1000 fois plus bénéfique d’être deux pour faire cet exercice. Vous pouvez ainsi le faire chacun votre tour. C’est très motivant !

Faites-le si possible 4 fois par semaine aussi longtemps que vous le pouvez.

Vous pouvez même organiser des soirées entre ami(e)s pour jouer à ce style de jeu.

Au bout d’un mois de pratique de cette discipline, vous vous surprendrez à avoir plus d’idées qu’avant, et écrire vous sera devenu bien moins compliqué qu’avant.

Tentez le coup.

Vous voulez quelques mots pour démarrer ? OK :

Pustule, foire, soucoupe, marché, pâle, piocher, girafe, planète, miam...

Tout un programme !


12 DECEMBRE 2011

Est-ce que le copywriting peut vous aider à augmenter vos revenus avec Adsense ?

La question que je pose dans le titre est un paradoxe à elle toute seule.

En effet, par définition, le copywriting est une discipline qui sert à faire agir les gens. Et dans ce cas précis, l’acte à faire accomplir à vos visiteurs est le clic sur une annonce Adsense qui se trouve sur votre site.

Problème : Google stipule expressément dans son règlement qu’il est INTERDIT de dire aux gens de cliquer sur les annonces, et encore moins de les forcer à le faire.

Alors... Comment procéder pour faire cliquer plus sur ses annonces malgré tout grâce au copywriting ?

C’est ce que je me propose de vous expliquer dans cet article.

Le principe d’Adsense

C’est une manière de gagner de l’argent sur Internet assez facile. J’emploie le mot “facile” à bon escient.

En effet, le principe est tellement simple à comprendre qu’un enfant de 10 ans saurait comment ça marche.

Ca tient en 4 étapes :

Notez bien l’étape 1 : avoir UN SITE WEB

Je n’ai pas parlé d’un blog dans le sens “outil de développement d’audience”.

C’est pour une bonne raison, et vous allez comprendre pourquoi.

Dans chaque activité de monétisation, on doit avoir un objectif bien précis. Et un seul.

Quand on vend un produit, l’objectif unique est la vente de ce produit.

Quand on fait de l’Adsense, le seul et unique objectif est le clic sur cette annonce.

Il s’ensuit que le site qui va autour DOIT être construit EXPRÈS pour ça.

Sur un blog, il y a plein d’objectifs.

Commenter, s’inscrire, télécharger, cliquer... Autant d’actions qui seront des détourneurs d’attention si vous cherchez à faire de l’Adsense avec succès.

Je vais donc vous expliquer maintenant comment procéder pour vous faire aider du copywriting.

Mon expérience avec Adsense

J’en parle rarement. Mais bon, comme c’est le sujet d’aujourd’hui, alors autant vous montrer quelques chiffres, histoire que vous sachiez que j’en parle en connaissance de causes.

Mon expérience d’Adsense a débuté en mars 2007. A l’époque, c’était l’eldorado, et il était facile de gagner de l’argent avec ce moyen sans faire grand chose.

Mais plus le temps a avancé, et plus c’est devenu difficile. Le règlement s’est durci, les gens ont commencé à moins cliquer qu’avant, et les annonceurs à payer aussi moins bien.

Voici donc un tableau qui reprend mes revenus depuis un peu plus de 4 ans et demi avec Adsense (cliquez sur l’image pour la voir en plus gros) :

TableauAdsense

Vous le voyez, entre 2008 et 2009, je me suis “gavé” comme on dit.

J’affichais des revenus qui tournaient aux alentours de 1000-1200 euros mensuel. Pas énorme énorme, mais toujours ça de gagné.

Puis avec le temps, comme je voulais que cette activité ne me coûte plus de temps, alors à partir d’août 2009, je ne m’en suis plus occupé.

Bien évidemment, les revenus ont commencé à chuter, et aujourd’hui, sans rien faire de plus que payer annuellement l’hébergement des 11 sites rentables que j’ai gardés comme support d’Adsense, mes revenus stagnent aux alentours de 350 € mensuel.

Ce qui reste honorable pour quelque chose dont je ne m’occupe plus du tout.

Quoi qu’il en soit, les sites qui me restent ont été optimisés au maximum afin qu’il y ait un maximum de clics sur les annonces, tout en respectant le règlement d’Adsense.

Voici comment...

Les 2-3 erreurs à ne pas commettre

On lit vraiment tout et n’importe quoi à ce sujet. Beaucoup de choses sont intéressantes, mais beaucoup ne servent à rien.

Et parfois, on lit des choses totalement absurdes qu’il ne faut surtout pas appliquer.

1. Du contenu médiocre

La première de ces choses, c’est de faire un site web avec du contenu médiocre (pour ne pas dire pourri). Du contenu sans vraie valeur ajoutée. Qui n’intéresse pas le lecteur, et qui rend votre site absolument insipide.

Les bases d’une telle réflexion venait de l’hypothétique fait qu’une personne qui arriverait sur un site médiocre aurait tout de suite envie de repartir, et qu’elle cliquerait alors sur les annonces pour quitter le site.

La réalité est que lorsqu’on quitte un site pourri, on le fait soit en cliquant sur “Précédent” soit en cliquant sur la croix pour fermer la fenêtre

Donc avoir un site pourri ne sert à rien d’autre qu’à empêcher les gens de faire venir les autres dessus, car ils n’en parlent jamais.

Quant à ceux qui me diraient que tant qu’il y a des mots clefs et que Google indexe ces mots clefs, c’est le principal, hé bien non ! Google débarrasse son index des sites poubelle à une vitesse grand V, et se sépare de ses éditeurs Adsense loosers en un temps record.

2. Du contenu qui n’en est pas

D’autant que comme dans toutes les activités, celle-ci a également eu droit à son lot de gros boulets qui ont pensé que des articles anglais traduits par Google sans retouche feraient un magnifique site à faire fuir les gens.

Quand ce ne sont pas des suites de mots incompréhensibles pour autant qu’il y ait les bons mots clefs.

Oui, oui... J’en ai vu des centaines des comme ça. Et j’ai même vu passer une méthode qui expliquait comment le faire correctement.

Par contre, bizarre, je n’ai jamais entendu parler de revenus conséquents (ou même minimes) avec ce genre de site.

3. Un design inexistant

L’une des deuxièmes plus grosses inepties que j’ai pu lire sur Adsense était qu’il ne fallait pas perdre de temps avec le design. Une bannière avec une photo pourrie (décidément) et un style de base en times suffira bien.

Il ne manquerait plus que les gens se plaisent sur votre site et qu’ils ne veuillent plus le quitter, vous vous rendez compte ?

Cela a donné des sites incroyablement moches qui feraient fuir le plus aveugle de tous les visiteurs.

Croire qu’on veuille cliquer sur des annonces pour s’en aller d’un site pareil, c’est comme croire que la première chose qui nous passe par la tête quand on croise un cafard dans un grenier c’est de l’attraper et de lui caresser les antennes.

Bref. Un site Adsense qui rapporte est comme tous les autres sites : Il donne envie au visiteur de le visiter.

Les bases d’un business Adsense qui fonctionne

Maintenant qu’on a vu ce qu’il ne fallait surtout jamais faire, voici comment vous devez envisager la création d’un site pour gagner votre vie avec Adsense.

Je vais synthétiser, parce qu’il faudrait 50.000 mots pour tout aborder.

Ces quelques astuces vous serviront déjà à créer de bonnes bases. Je pars du principe que vous avez suivi les conseils de Stéphanie, et donc que vous avez trouvé un thème, des mots clefs et un nom de domaine qui tient la route.

Une fois que vous avez ça, arrive le moment de construire le site.

Voilà :

1. Construisez un site sympa

Un site sympa, c’est un site qui donne de la vraie info sur de vrais sujets. Une fois que vous avez choisi votre thème, renseignez-vous comme il faut, et prévoyez du vrai contenu.

Vous pouvez créer un blog de base pour ça. Ca veut dire une base wordpress, un thème sympa, et une dizaine d’articles.

Attention : Ne prenez que la partie “PRATIQUE” d’un blog. C’est à dire la partie qui fait qu’on peut en construire un en 10 minutes, avec un thème sympa.

Ne perdez pas de temps à ouvrir les commentaires. Ne perdez pas non plus de temps à mettre en place des plugins orientés visiteurs et communauté.

Un site Adsense qui fonctionne est un site qui informe, qui offre des données, des logiciels, des infos, des photos, des vidéos, à des gens qui sont intéressés par un sujet, mais qui ne fait SURTOUT pas du social.

La personne qui arrive chez vous doit trouver votre site sympa, bien fourni, beau et pratique, mais elle ne doit SURTOUT pas y trouver une personne avec qui discuter.

Donc désactivez les commentaires, et laissez le minimum de menus affichés dans votre barre latérale.

Ce sera une base de blog, mais il s’agira en fait d’un site web classique.

2. Soignez votre SEO

Installez tous les plugins qu’il faut pour que votre site/blog soit optimisé.

Réglez comme il se doit les différents éléments de votre blog pour qu’il soit visible et attirant pour Google.

Et soignez votre référencement. La réussite d’un site Adsense passe d’abord par un bon référencement.

Un paramétrage optimisé fera 50% du boulot.

Vos articles feront le reste.

3. Ecrivez des articles courts et compréhensibles

Le contenu qui fait cliquer sur les annonces est tout sauf fourni.

Il est court, concis et précis, car il sera consulté très vite. Scanné, même. Il doit donner des infos très pertinentes, mais rapides.

300 mots suffisent largement.

C’est même un maximum à prévoir. Mettez 2 ou 3 titres, des paragraphes courts et des phrases courtes.

Prévoyez une zone qui fait 500 px de large maximum, et une police moyenne, en corps 12.

4. Publiez au moins 2 fois par mois

Vous devrez publier régulièrement, à raison de 25 articles par an minimum. Pas besoin de faire plus. Le but est de faire venir Google régulièrement et d’augmenter petit à petit votre base de contenu.

Plus vous publierez, plus vous serez vu. C’est aussi simple que ça.

N’hésitez pas à faire court. Mieux vaut publier 3 articles de 200 mots répartis sur une semaine ou 15 jours, plutôt qu’un article de 600 mots en une seule fois

5. Positionnez vos annonces intelligemment

Vous savez ce que c’est la zone chaude ? C’est la zone en haut à gauche d’une page. Celle qu’on voit le plus. Et celle où l’on voit le plus de blocs d’annonces.

Et pourtant, c’est une bêtise d’en mettre là. Ca fonctionnait avant, mais ça fait bien longtemps que ce n’est plus le cas.

Pourquoi ? Parce que le contenu s’est peu à peu imposé. Maintenant, quand on arrive sur un site web, la première chose que l’on cherche, c’est du contenu pertinent.

Donc ceux qui mettent une annonce en plein milieu à la place du contenu voient leur site déserté. Parce que les gens ne lisent pas. Ils s’en vont.

Mettez-vous à la place du visiteur : Quand il arrive sur un site, la première chose qui l’intéresse, c’est le contenu. Pas la pub.

La pub vient après. Si le contenu a été pertinent et a apporté quelque chose au lecteur, alors il va envisager de cliquer sur la pub.

Voilà pourquoi l’endroit le plus intelligent pour placer un bloc d’annonce, ce n’est ni au début ni au milieu du texte. C’est APRES.

Juste après la fin de l’article. Comme suite logique à la lecture.

Réfléchissez-y : C’est d’une logique implacable. Une logique de copywriter ;)

Pour aller plus loin

L’étape qui suit est de faire connaître votre site.

Pour cela, vous allez utiliser Google, bien sûr, mais que cela ne vous empêche pas de chercher à faire des campagnes d’échanges de lien avec d’autres sites en rapport avec votre thème.

Tous les sites Adsense qui ont fonctionné pour moi sont liés à plein d’autres sites, soit par le biais d’échanges de liens, soit par le biais de commentaires sur des blogs.

Ca fonctionne car le site est de qualité. C’est un vrai site, avec du vrai contenu, donc les gens ont envie de venir dessus.

Ils viendront en grosse majorité de Google, et c’est pour cela que lorsque vous écrirez des articles, vous devrez véritablement soigner votre titre et votre description afin qu’il corresponde bien au contenu en face. Sinon, c’est un visiteur de perdu et un clic en moins.

Il y aurait encore beaucoup à dire sur Adsense, mais à un moment, il faut s’arrêter.

Avec ce dont je vous ai parlé ici, vous avez déjà matière à démarrer un site Adsense dans de bonnes conditions.

Si vous avez des questions, n’hésitez pas.


8 DECEMBRE 2011

Pas facile, celui-là... Voyons si vous êtes fait pour sous-traiter...

J'ai du mal avec la sous-traitance ...

Sûrement parce que j’ai beaucoup de mal à sous-traiter.

Mon côté perfectionniste, à n’en point douter.

A chaque fois que j’ai essayé, soit le résultat ne m’a pas convenu, soit j’ai perdu plus de temps à expliquer que le temps que j’aurais pris si j’avais fait le boulot moi-même.

Donc, question conseils à ce niveau, je suis un peu mal placé. Et cet article ne va donc pas casser des briquettes. Désolé !

Malgré tout, je dirais ceci :

Il y a deux sortes de travaux à sous-traiter :

1. Les travaux que vous savez faire

Dans ces cas-là, vous souhaitez vous dégager du temps pour faire autre chose, alors vous cherchez à vous alléger en travail en en confiant certaines parties à quelqu’un d’extérieur.

Sympa, comme idée, mais soyez malgré tout prévenu de deux choses :

1. Si vous êtes du genre perfectionniste, si vous aimez le travail bien fait, ou que vous adorez vraiment le boulot que vous faites, alors évitez de sous-traiter. Vous gagnerez du temps, de l’argent et du stress.

Parce que le résultat ne vous satisfera pas.

Et parce que vous perdrez certainement beaucoup de temps à adapter le travail effectué pour le rendre à votre image.

2. Et si vous sous-traitez malgré tout, acceptez que cela soit différent de ce que vous auriez fait vous-même. Acceptez aussi que les gens s’en rendent compte et ne vous disent rien, et acceptez aussi que cela ternisse un peu votre image.

Parce que le principe de la sous-traitance, c’est de faire faire un travail, et d’en assumer ensuite derrière les conséquences comme si c’était vous qui aviez fait ce travail.

Donc vous avez intérêt à avoir une grande confiance en la personne que vous désignez pour le travail en question, et surtout, vous avez intérêt à vérifier minutieusement ce qu’on vous rend comme travail final.

Si vous acceptez tout ça, alors allez-y : sous-traitez sans trembler les tâches que vous savez faire.

2. Ce que vous ne savez pas faire

Pour ce genre de boulot, où vous n’avez pas les compétences, alors vous avez deux alternatives :

Personnellement, je préfère la première solution. Même si ca demande plus de temps, je préfère acquérir des compétences et du savoir plutôt que de dépendre de quelqu’un d’autre.

C’est entre autre pour ça que j’ai décidé de travailler sur Internet, de chez moi, et sans rendre de compte à personne.

Mais c’est un avis tout personnel :)

Bref, vous l’aurez compris, je ne suis pas vraiment pour la sous-traitance, parce que je connais mes limites et mes défauts.

Et vous, ça vous tente, la sous-traitance ? Et si c’est le cas, êtes vous prêt à en accepter les conséquences ?


7 DECEMBRE 2011

Créez vos slogans en moins d'une minute avec ce Générateur Universel de Slogans :

Un bon slogan peut augmenter considérablement le nombre de personnes qui vous suivent. Il est surtout le véhicule de votre image à travers le monde.

Et comme un bon slogan n'est pas forcément facile à trouver, j'ai créé pour vous GUS : le Générateur Universel de Slogans.

C'est un outil en ligne, réservé aux membres de Copywriting Pratique, qui va révolutionner votre manière de créer des slogans accrocheurs.

Comment ça fonctionne ?

GUS a dans sa base 1005 structures de slogans, créées à partir des meilleurs slogans du monde, tous pays confondus.

Vous indiquez un terme (votre marque, votre nom, ou même une thématique), vous indiquez si c'est féminin ou masculin, et vous cliquez sur un bouton.

GUS vous donnera 10 slogans engageants et originaux. Vous pouvez n'en garder qu'un seul ou plus, ou pas du tout.

Vous pouvez relancer la machine autant de fois que vous le souhaitez jusqu'à tomber sur LE slogan qui sera l'ambassadeur de votre marque.

Plus besoin de vous creuser la tête, il vous suffit de libérer votre créativité en explorant des combinaisons de mots et de phrases que vous n'auriez jamais imaginées.

Pour accéder à cet outil révolutionnaire, il vous suffit de laisser votre prénom et votre adresse email dans le formulaire ci-dessous. Vous recevez l'accès à cet outil et aux autres en quelques secondes.

L'astuce infaillible pour trouver des idées d'articles chaque semaine sans forcer

Quand on écrit sur un blog, la partie difficile, justement, c’est de trouver des idées pour écrire.

Parce que bien souvent, les idées ne viennent pas. On a beau chercher, on n’est pas inspiré.

Si ça vous arrive souvent, alors vous serez certainement content d’apprendre qu’il existe un moyen infaillible pour avoir toujours des idées quand on a un blog : Il suffit de planifier au moins UN thème récurrent.

planifier

Par exemple, prévoir une vidéo sympa par semaine. Comme ce qui se passe ici sur ce blog le dimanche où je vais chercher des vidéos sur Youtube pour vous faire passer un bon moment.

Ou alors, prévoir de présenter un livre, ou un site web, un autre blog, un logiciel en vidéo.

En fonction de votre thématique, vous pouvez planifier une recette de cuisine, un horoscope, une blague, un truc rigolo, une histoire à raconter…

L’important, c’est de le planifier à l’avance.

Les bienfaits de la planification

Pourquoi ? Parce qu’en faisant comme ça, vous mettez votre inconscient en marche vers quelque chose de bien précis : LE thème que vous avez choisi.

Et au fur et à mesure que votre semaine passe, alors vous avez plein d’idées.

Lors de vos balades sur Internet, par exemple.

Vous allez tomber sur un site qui parle justement d’un thème en rapport avec le vôtre. Hop ! Vous notez l’idée et ça vous fait déjà un article de prévu.

Si vous ne planifiez qu’un seul thème pour commencer, alors toute votre énergie va se focaliser sur ce thème.

Pourquoi ? Parce que c’est comme avec une nouvelle voiture.

Avez-vous déjà remarqué que lorsque vous achetez une nouvelle voiture, vous en voyez plus qu’avant tout autour de vous ?

Alors que vous imaginiez être le seul dans votre patelin à avoir cette voiture, soudainement, vous en voyez une à tous les coins de rue. ET ô stupeur, elles sont de la même couleur que la vôtre !

Incroyable !

Rassurez-vous : Ce qui vous arrive n’est pas parce que tout le monde a décidé d’acheter la même voiture que vous.

Non, c’est votre inconscient qui s’est orienté spécifiquement VERS ce type de voiture. Il est donc normal que vous en voyiez partout puisque inconsciemment, vous les cherchez du regard.

C’est la même chose avec votre blog.

Si vous vous décidez à choisir un thème d’articles et à en faire un rendez-vous hebdomadaire, alors votre inconscient va tout mettre ne oeuvre pour que vous arriviez à assumer ça.

Et les idées vont venir toutes seules.

Essayez. je vous assure que ça fonctionne.

A vous de jouer !

Avez-vous déjà essayé de planifier un article sur un thème récurrent ?

Si vous avez du mal à le faire, voici une petite astuce qui va vous filer un bon coup de main (ou un bon coup de pied aux fesses, c’est au choix) : Annoncez-le à vos membres et à la terre entière sur votre blog.

Une fois que vous l’avez dit, et que les autres l’ont lu, alors mine de rien, vous avez pris un engagement moral vis à vis de vos lecteurs, et cela va vous permettre d’avoir une référence mentale en cas de perte de motivation.

Allez ! Cherchez un thème sympa, dans lequel vous êtes à l’aise. Ca vous fera des articles facilement écrits, et facilement planifiés.

Alors ? Sur quel thème allez-vous bloguer chaque semaine ?


6 DECEMBRE 2011

8 manières de suivre vos clients après la vente pour les rendre accro à votre entreprise pour la vie

Quel que soit le produit que vous vendez, quel que soit son prix, vous devez proposer, après la vente, une certaine sorte de suivi personnel de vos clients.

Et plus votre produit est cher, plus la nature et la personnalisation du suivi est importante.

Dans cet article, je vous propose donc de vous détailler les 8 manières que vous avez à votre disposition pour suivre vos clients une fois qu’ils vous ont acheté votre produit.

suivi-personnalise

Le tout classé de la manière la plus impersonnelle vers la plus personnelle.

Voici donc les 8 manières qui sont à votre disposition pour suivre avec attention vos clients :

1. Une Foire aux Questions

C’est bien entendu le minimum à prévoir.

Il s’agit donc, vous l’aurez compris, d’un espace sur votre site ou sur votre blog, où vous traiterez la majorité des questions posées, tout en laissant la possibilité aux autres clients de voir les réponses apportées.

L’avantage de cette version de suivi est que vous permettrez à tous ceux et toutes celles qui n’osent pas vous contacter d’obtenir néanmoins une réponse à leurs interrogations.

Cette section est donc impérative pour tous produits, et il est également impératif que vous la fassiez évoluer en permanence en rajoutant par exemple une nouvelle question/réponse par semaine.

Ce qui indique que vous vous occupez activement des soucis de vos clients.

2. Un blog privé avec des commentaires

Ca peut être une forme de version un peu plus élaborée de la FAQ que l’on a vu au-dessus.

Par exemple, vous pourriez créer un article par thème de questions, avec leurs réponses.

Et vos clients pourraient réagir en commentaires à vos réponses, ce qui vous permettrait de les affiner pour qu’elles conviennent au plus grand nombre, et pour être certain qu’elles soient bien comprises.

Vos clients pourraient également se servir des commentaires pour vous poser d’autres questions, auxquels certains autres clients pourraient répondre à votre place et ainsi vous donner des idées de réponses auxquelles vous n’auriez pas pensé.

Bref, que du bon !

3. Un forum privé

Version plus élaborée qu’un blog, où il n’y aura pas que des questions.

Les clients peuvent surtout y échanger entre eux, et créer ainsi une belle communauté qui s’entraide.

Le seul souci : Outre la difficulté de l’installer, vous aurez aussi une contrainte importante dans la gestion de votre forum : Car mettre des clients ensemble à discuter, c’est prendre le risque de voir un client mécontent “contaminer” les autres, pour arriver parfois à une rébellion générale.

Assez rare, mais profondément meurtrier question CA.

Vous n’avez donc pas le droit à l’erreur avec votre produit, car le moindre manquement sera relevé à tous les coups.

A manier donc avec précaution.

Notez également que statistiquement, seuls 50% de vos clients s’inscriront sur votre forum, et à peine plus de 10% de ces 50% participeront effectivement aux discussions.

Donc si vous avez 200 clients, une centaine seulement s’inscriront, et à peine plus d’une dizaine participeront vraiment.

Mais vous savez que ça existe et que certains clients adorent ce genre d’endroits pour exister et évoluer.

C’est également une boite à idées sans fond ;)

4. Un formulaire de contact et un email

C’est bien entendu indispensable de mettre les deux sur votre site ou votre blog.

L’objectif est de permettre à vos clients de vous contacter quand ils le souhaitent.

Et vous, vous vous engagez à répondre à leurs questions dans la journée. Si possible dans les 2 heures qui suivent le message.

C’est  important, surtout si vous vendez une formation ou un produit qui demande pas mal de techniques.

En effet, avec ce genre de produits, bloquer sur un souci technique peut bloquer totalement l’utilisation dudit produit. Il est donc impératif de répondre dans les plus brefs délais.

Plus vous répondrez vite et bien, et plus la valeur perçue de votre service augmentera.

5. Une séance de coaching virtuel commun

Le principe : Un logiciel de conférence virtuelle, où vous êtes le meneur, et où vos clients peuvent vous poser des questions en direct de vive voix.

Les gens s’inscrivent gratuitement sur le logiciel, et à une heure précise, tout le monde se connecte en même temps. Vos clients peuvent voir une capture de votre écran, et vous pouvez ainsi leur passer la parole.

Cela vous permet de répondre en direct aux questions de vos clients, et de commenter – en fonction de votre produit – leurs réalisations et leur avancée.

C’est très enrichissant et très sympa pour vos clients qui se sentent alors entourés et surtout, ils ne sont pas seuls. Ca entretient une belle petite communauté, bien plus efficacement que ne le ferait un forum.

Vous pouvez même mettre à contribution les autres clients qui peuvent alors répondre à la question à votre place ou “en plus de vous”.

Bref un beau petit partage des expériences, qui peut être bénéfique à tout le monde.

La formation en blogging que je suis actuellement propose ce genre de coaching commun chaque mois et je dois dire que c’est un vrai plus dans la formation.

Je vous recommande d’en faire autant pour vous.

En cas, je ferai une procédure vidéo pour vous montrer comment ça fonctionne.

Dernière chose : Vous pouvez filmer la séance et l’offrir ensuite en téléchargement gratuit à vos clients, ce qui augmente encore la valeur perçue de votre produit et du service que vous proposez derrière.

6. Votre numéro de téléphone

Là, on se rapproche de plus en plus vers la relation personnelle, où là, vous êtes en relation directe avec votre client.

Il est bien entendu impératif d’imposer des horaires où vous décrochez votre téléphone.

Le reste du temps, une boite vocale doit être disponible pour que vos clients puissent vous laisser des messages et leur coordonnées.

Ensuite, soit vous les rappelez, soit vous leur répondez par email. Mais le mieux est de les rappeler.

Vous pouvez également ne laisser qu’une boîte vocale, en indiquant que vous préférez rappeler les gens pour éviter qu’ils aient à payer le téléphone.

Il vous suffit donc de demander les coordonnées de vos clients et ce qu’ils veulent, afin de vous laisser le temps de préparer votre réponse.

Note importante : Le téléphone est une activité très chronophage si vous n’imposez pas des règles. Par contre, la relation qui nait avec ce genre de communication est d’excellente qualité, car vous êtes en rapport direct avec votre client, et vous pouvez donc lui demander ce que vous voulez.

Si c’est lui qui a pris l’initiative de vous appeler, alors il est tout à votre écoute :

Vous pouvez alors lui demander ce que vous voulez (conseils, idées, témoignage, etc…)

Sans parler des ventes additionnelles que vous pouvez obtenir grâce à ça !

7. Une messagerie instantanée de type Skype

Alors ça, c’est exactement comme le téléphone, à savoir que les gens peuvent vous contacter à n’importe quel moment de la journée ou de la nuit (surtout si vous avez des clients aux 4 coins de la planète).

Il est donc impératif de définir des horaires précis d’ouverture de ce tye de messagerie.

Par contre, ici vous avez deux façons de communiquer : Soit avec le clavier, soit avec le micro et la webcam.

Donc en quelques sortes, vous êtes “presque” en face de votre client.

C’est le statut supérieur : Le client vous voit, il vous entend, et il vous parle.

Ca c’est une séance de suivi personnel presque complète, ce qui constitue un service de très haute qualité qui vous permet d’augmenter votre capital confiance auprès de vos clients (et par la même occasion la valeur perçue de votre produit).

8. Le top du top : Une rencontre réelle avec vos clients.

Soit dans le cadre d’un séminaire, soit simplement autour d’un café, ou carrément dans une grande salle pour échanger.

Ca c’est vraiment l’idéal pour vos affaires. Un coup à multiplier votre chiffre d’affaires par 2 (minimum).

Difficile à mettre en place, mais absolument indispensable dans le cas d’une formation suivie et illimitée.

Cela vous permet de poser les bases A VIE d’une relation privilégiée avec vos clients.

Pour info, j’ai déjà eu l’occasion de réaliser ce genre de choses dans mon activité turf.

Sur les 91 personnes que j’ai rencontrées (par groupe de + ou - 8), environ la moitié sont devenus des fans (ils achètent tout ce que je fais et me suivent depuis plus de 5 ans indéfectiblement).

Rencontrer vos clients “pour de vrai”, cela vous permet de résoudre tout un paquet de problèmes 10 fois plus rapidement que par téléphone ou par mail interposés.

Mais ce n’est pas tout !

En effet, quand vous êtes en face à face avec vos clients :

En résumé, même si l’organisation de telles rencontres va vous demander du temps et un peu d’argent, le bénéfice engendré derrière comblera au centuple l’investissement de départ de la manière la plus garantie qui soit.

A vous de jouer

Voilà, vous avez un aperçu global de tout ce que vous pouvez mettre en place pour que vos clients se sentent accompagnés dans leur utilisation de votre produit.

Vous n’êtes bien entendu pas obligé de tout mettre en place, mais il me semble impératif d’en avoir au moins 5 sur 8.

Alors ? Qu’avez-vous mis en place pour que vos clients se sentent épaulés et suivis, et si vous ne l’avez pas encore fait, lesquelles parmi ces 8 manières allez vous utiliser ?


5 DECEMBRE 2011

Comment bien démarrer la 'lettre de motivation' de votre blog ou de votre site web pour que votre trafic explose

Vous avez un site ou un blog, et vous avez besoin de (faire) parler de lui un peu partout. Dans un maximum d’endroits.

Pourquoi ? Pour attirer du monde dessus tout simplement.

En effet, un peu comme lorsque vous voulez vous rendre à un entretien d’embauche :

AVANT de pouvoir passer votre entretien, vous devez d’abord écrire une lettre de motivation qui doit donner envie aux recruteurs de vous recevoir.

Pour un blog ou un site web, c’est exactement pareil.

Pour faire venir du monde dessus, vous devez avoir un texte de motivation qui va “motiver” les gens à cliquer sur votre lien (où qu’il soit) pour venir voir ce qui se passe chez vous.

Positive businesswoman doing a presentation

C’est ce qu’on appelle la présentation de votre blog que l’on doit trouver un peu partout sur la toile.

Et pour que ce texte soit lu, il faut bien le démarrer.

Découvrez ci-dessous une astuce de copywriter imparable pour FORCER les lecteurs à s’intéresser sérieusement au texte de présentation de votre site.

Comment bien démarrer votre présentation

Oui, il faut bien démarrer votre présentation par quelque chose. Une phrase, un mot, une image...

Et ces premiers mots sont d’autant plus importants que ce sont eux qui vont déterminer si le lecteur va lire votre présentation en entier ou pas et s’il va cliquer.

Il va donc falloir être attractif, et ce dès vos premiers mots.

Mais attention : Il y a une grande différence entre une page de vente ou une annonce et une présentation de blog ou de site web.

En effet, votre présentation ne doit pas être racoleuse, ni employer un langage trop promotionnel au risque de décourager les éventuels visiteurs.

Mais elle ne doit pas non plus être trop “commune” ni “cliché”, c’est à dire pleine de banalités dont tout le monde se moque.

Et pour éviter de tomber dans la banalité justement, il existe une petite astuce que j’emploie pour attirer l’attention sur mes présentations, en sortant un peu le lecteur de sa torpeur.

Les démarrages communs

Voici donc quelques démarrages “communs” possibles :

Vous serez d’accord avec moi, ces démarrages sont bien, mais ils manquent de peps et d’attraction.

On est toujours plus ou moins obligé de démarrer une présentation comme ça, mais vous conviendrez qu’il faut également rajouter quelque chose pour donner un peu plus envie.

Mais également pour vous démarquer des autres présentations, surtout si vous n’êtes pas seul sur la page.

L’astuce

L’astuce consiste à RAJOUTER un qualificatif à votre blog (ou à votre site web) afin que cela crée une image positive, insolite ou intrigante dans la tête de celui qui lit votre prose, et ce dès le début de la lecture.

Voici donc les mêmes démarrages que ci-dessus en employant l’astuce de la qualification :

Bien évidemment les qualificatifs ci-dessus sont interchangeables parmi les phrases , et vous vous doutez bien aussi qu’il en existe des centaines d’autres.

Le but est surtout d’attirer l’attention.

Et si vous arrivez à faire sourire le lecteur avec vos premiers mots, alors vous avez 9 chances sur 10 pour qu’il clique sur votre lien.

Attention : Le but est de faire sourire. Pas de passer pour un gros lourdingue vulgaire, je préfère le préciser.

Vous pouvez donc vous lâcher dans vos qualificatifs. En restant raisonnable et cohérent avec le sujet et l’ambiance de votre blog.

Il ne s’agit pas de mentir à vos futurs lecteurs sur ce qu’est réellement votre blog ou votre site web, car s’ils découvrent après coup que vous avez un peu fabulé, ils s’en iront aussi vite qu’ils sont arrivés.

Voici donc encore quelques exemples.

Le blog...

Vous l’aurez compris, en indiquant un qualificatif insolite, drôle, ou même simplement précis, vous sortez le lecteur de sa torpeur car vous le forcez à créer une image ou une interrogation dans sa tête (est-ce que c’est pour moi ?).

Et le format relativement court de votre présentation fait qu’en cas d’indécision, le lecteur va cliquer sur le lien “juste pour voir” si votre blog s’adresse bien à lui. Sans même forcément lire la suite.

Bref, cette petite astuce, si elle est bien employée, provoque généralement un taux de clic assez exceptionnel sur le lien de votre présentation, surtout qu’elle est relativement peu utilisée – en tout cas pour le moment.

A vous de jouer !

Vous savez donc ce qu’il vous reste à faire : Trouver LE qualificatif qui décrit le mieux votre blog et surtout son ambiance.

N’employez surtout pas de superlatifs du genre "génial”, “merveilleux”, “redoutable”, “prodigieux”, “le meilleur”, “fabuleux”, etc...

C’est du cliché, et ça fait bien trop commercial pour attirer les gens.

Pour Copywriting Pratique par exemple, j’emploie fréquemment le terme “Tout sympa” ou “à l’ambiance sympa”, par rapport aux discussions qu’on a avec les commentaires, et parce que j’essaye de faire des articles qui ne sont pas trop formels ou trop sérieux. Mais je peaufine et je teste.

Et pour votre blog ? Qu’en est-il ? Quel pourrait être le qualificatif idéal ?

Trouvez-le, et incorporez-le à votre première phrase de présentation. Vous verrez alors votre taux de clic augmenter, pour autant que la suite soit adaptée.

Mais à propos de cette suite, on verra ça plus tard dans 2 autres articles.

Dans le premier, je vous donnerai un plan en 4 points pour construire une présentation performante, et dans le deuxième, je vous expliquerai comment adapter votre présentation en fonction de l’endroit où elle se trouve.

D’ici là, si vous avez besoin d’aide pour qualifier votre blog, les commentaires sont là pour ça ;)


2 DECEMBRE 2011

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Allumez-vous le feu de la bonne ou de la mauvaise manière avec votre blog ?

L’hiver approche à grands pas.

Et quand on vit à 750 mètres d’altitude, et qu’on est entre novembre et avril, autant le dire tout de suite : On se les caille !

Voilà pourquoi j’ai décidé de rallumer la cheminée. Parce qu’il n’y a pas à dire, mais quand on se les caille, la vue des flammes crépitantes et la chaleur dégagée par ma cheminée, ça fait du bien par où ça passe.

Et justement, en rallumant la cheminée, je n’ai pu m’empêcher de faire une comparaison avec ce que je peux voir sur beaucoup de blogs en termes de stratégie.

Vous allez comprendre pourquoi dans un instant.

illuminated bulb

La bonne et la mauvaise manière d’allumer un feu

Quand on prépare un feu de cheminée, on doit le faire d’une manière bien précise, en respectant un ordre strict par rapport à ce qu’on va donner “à manger” au feu.

Voilà pourquoi on commence par mettre du journal. Ensuite des brindilles. Puis des morceaux de bois de plus en plus gros, pour arriver tout à la fin à la grosse bûche qui mettra une à deux heures à brûler.

Quand on allume un tas construit comme ça, c’est le succès garanti à tous les coups. Et c’est logique.

D’ailleurs, si vous avez du mal à y croire, vous pouvez toujours essayer de faire l’inverse.

Commencez par mettre la grosse bûche, puis ensuite les morceaux un peu moins gros, puis les brindilles, et finissez par recouvrir le tout de journal. Et allumez.

Forcément, le feu aura bien plus de mal à prendre dans ce cas-là.

A dire vrai, si j’avais dit que j’allumais mon feu comme ça, beaucoup se seraient demandés si je n’étais pas tombé sur la tête.

Et pourtant, c’est ce qui se passe sur beaucoup de blogs ou de pages de ventes que je rencontre : on essaye de faire du feu en commençant par le mauvais côté.

Le cas typique du blog

Par exemple, combien de fois voit-on un blogueur proposer quelque chose à vendre sur son blog alors que ce dernier n’a même pas encore un mois d’existence et que le nombre de visites dépasse douloureusement les 50 par jour ?

Vendre quelque chose sur un blog dans ces cas-là, c’est mettre une grosse bûche d’entrée dans la cheminée, tenter de l’allumer, et croire que ça va prendre.

Alors que la bonne manière de faire, c’est plutôt comme ça :

Quand on en est à ce niveau, le feu est parti et brûle bien.

Et si on rajoute une bûche maintenant (un produit à vendre, soit de son cru soit en affiliation), alors on aura beaucoup plus de chance que cela brûle facilement.

Et vous, vous faites comment ?

Si vous avez un blog, de quelle manière procédez-vous pour “faire prendre le feu” ?

De la bonne ou de la mauvaise manière ?

Je vois trop de blogs qui ont des articles qui proposent en permanence des choses à vendre ou qui proposent tout de suite, alors que ça ne fait qu’une seule minute qu’on est là, de vous inscrire dans une liste.

Alors qu’il faudrait laisser un peu de temps au visiteur pour que le feu puisse prendre.

Lui laisser le temps de découvrir tout ce que vous avez à lui donner avant de l’obliger à s’inscrire ou pire avant de lui proposer quelque chose à acheter.

A vouloir aller trop vite, on n’obtient rien du tout. Le visiteur arrive, il se sent agressé, il repart aussi sec.

Pensez-y...

Si votre blog ne décolle pas, supprimez les articles qui vendent quelque chose, arrêtez de forcer les gens à s’inscrire avec une foutue pop-up, et écrivez plutôt des articles qui racontent des histoires ou qui donnent de bons conseils.

C’est le meilleur moyen de faire prendre le feu :)


30 NOVEMBRE 2011

Voyons si vous passerez le cap du premier paragraphe de cet article...

Aujourd’hui, je vais prendre un risque considérable :

J’ai décider décrire mon premiers paragraphes a la manières d’un élève de CM1. S’est a dire avec des faute d’orthographes énorme, pour vous prouvez combien sa fais mal aux yeux de lire un texte pareille. Mais s’est pas vraiment l’habitude chez mois. Alors s’est difficile a faire.

Allez j’arrête.

J’ai mis près de 5 minutes à écrire ce texte, et ce fut un véritable calvaire.

displeased woman keeping a diet Vous n’aimez pas ça non plus ? Normal !

Parlons de vous, maintenant.

L’orthographe, un révélateur...

Notez la difficulté incroyable de lire et de comprendre ce premier paragraphe.

Vous devez vous y reprendre à deux fois, transformer le mot mal écrit pour le visualiser bien écrit et l’interpréter comme il faut. Puis passer au suivant.

Au final, lire un texte avec des fautes d’orthographe va vous prendre entre 3 et 5 fois plus de temps qu’un texte sans faute.

C’est comme ça.

J’ai volontairement grossi le trait, mais j’ai gardé néanmoins des fautes courantes que je peux lire très souvent sur beaucoup de blogs (et aucune de celles qui sont dans ce premier paragraphe ne sont signalées par mon correcteur orthographique).

Tout ça pour vous dire que lorsque vous écrivez un livre, des articles de blog, ou une page de vente, il est indispensable de vous relire ou de vous faire relire, pour corriger toutes les fautes de frappe, d’accord et d’orthographe.

C’est indispensable à plus d’un titre. 

Certains (beaucoup) s’en foutent.

Ils disent que l’important, c’est qu’il n’y en ait pas trop, et que quelques fautes par ci par là ne sont pas graves.

Je ne partage pas cet avis.

Je trouve au contraire que garder des fautes d’orthographe sur son blog est un manque de respect évident de ses lecteurs et fait passer le blogueur en question pour quelqu’un de pas vraiment sérieux.

Quand vous lisez un livre, vous n’y trouvez pas de fautes. C’est pour une bonne raison : un livre avec des fautes véhicule une image pitoyable de l’auteur et de l’éditeur.

Pour un blogueur, c’est pareil. C’est même pire.

Car sur un blog, où l’objectif est de cultiver une image d’expert, celui qui conserve des fautes d’orthographe dans ses articles en faisant fi des remarques de ses lecteurs, ne dure pas bien longtemps. 

En effet :

A l’ère du contenu roi sur le web, il est plus que facile de se faire une opinion d’une personne qui écrit en observant simplement son orthographe.

 
Oui, c’est une sélection un peu hâtive, certes, mais quand vous vous retrouvez face à des centaines – de milliers - de blogs qui produisent du contenu, alors il y a de fortes chances pour que vous fassiez par vous-même une sélection naturelle drastique.

Et cela même si vous n’êtes pas forcément à cheval sur l’orthographe.

Voilà pourquoi il est urgent de soigner votre orthographe si vous écrivez sur le web.

Je vous propose 5 méthodes pour ça :

Comment améliorer son orthographe

1. La lecture

Oui ! La lecture est réellement le seul vrai moyen de s’améliorer en orthographe.

Entendons-nous bien : je parle de VRAIE lecture. Pas de lecture–scannage à la scanneur du web.

Non !

Je parle de la vraie lecture. Une lecture ACTIVE. Celle où on lit tous les mots et où l’on regarde dans le dictionnaire les mots qu’on ne comprend pas.

Le minimum syndical, c’est au moins de lire “activement” 30 minutes par jour.

Choisissez un vrai livre papier qui vous intéresse.

Pourquoi un livre papier ? Pour au moins 3 raisons :

Et ne pas être distrait par tout ce qui se passe à côté, sur votre ordinateur. Plus de mails, plus de trucs qui clignotent. Bref, plus de distractions.

Hé oui ! Un livre en papier, par défaut, est passé entre les mains de dizaines de correcteurs et d’un éditeur. Donc il n’y a normalement plus aucune faute d’orthographe dedans.

Alors qu’un livre électronique ou un article de blog n’est pas passé dans d’autres mains que celui qui l’a écrit et ce, plus de 9 fois sur 10.

Donc si vous voulez vous améliorer en orthographe, la moindre des choses serait de lire au moins des livres qui n’ont pas de fautes.

Un livre papier est parfait pour ça.

En lisant un vrai livre, vous pouvez changer d’endroit pour lire. Vous mettre dehors, ou dans une autre pièce, dans votre lit...

Bref dans un endroit différent de celui où vous travaillez.

L’expérience montre qu’on retient mieux les choses quand on est dans de bonnes dispositions et quand on est dans un endroit qui nous détend.

Le livre permet tout ça.

Choisissez un livre qui vous plait. Roman, livre technique, peu importe.

Si vous passez réellement 30 minutes à lire activement un vrai livre chaque jour, vous allez améliorer votre orthographe de manière naturelle et sans forcer.

2. La formation

La seconde, c’est de se former à l’orthographe.

Voici d’ailleurs un livre gratuit (146 pages) édité par le site livre-gratuits.com, qui vous aide à vous améliorer. Téléchargez-le et consultez-le aussi souvent que nécessaire.

Voici également un site web de mon cru qui conjugue plus de 7000 verbes à tous les temps : http://www.verbes.org.

Le principe : vous écrivez un verbe à l’infinitif dans la case du haut, et vous avez sa conjugaison à tous les temps. Si vous avez un doute...

Ca prend du temps au début, mais petit à petit, vous progressez.

3. Un logiciel correcteur

Si vous avez des soucis d’orthographe, écrivez vos textes dans un logiciel de traitement de texte comme OpenOffice ou Microsoft Word, qui sont dotés de puissants dictionnaires et d’un correcteur orthographique et de conjugaison de qualité.

Vous pouvez aussi utiliser un correcteur à part entière comme Antidote, actuellement reconnu comme étant le meilleur des correcteurs orthographiques existant. Prix relativement modeste par rapport aux services rendus.

L’avantage de ce logiciel, c’est que les fautes d’accord sont corrigées ou signalées avec une très bonne réussite (bien meilleure que celle de l’outil de conjugaison de Word).

Ne resteront que les fautes d’inattention qui devraient partir à la première relecture. 

4. L’entraide

On peut relire ses textes 2 ou 3 fois et oublier des fautes. Ca arrive bien sûr. Personne n’est parfait du premier coup – ou alors c’est rare.

Qu’à cela ne tienne. Il existe un moyen facile de remédier à ce genre de problème : faites-vous aider par vos lecteurs !

Vous pouvez rajouter un petit formulaire à la fin de votre article (quitte à l’enlever au bout de quelques heures) qui permettra à vos premiers lecteurs de signaler les fautes que vous auriez oubliées.

Charge à vous de les corriger au plus vite, bien sûr.

Je viens de le faire sur ce blog (voyez tout en bas de l’article juste avant les commentaires).

En effet, même si moi je relis mes textes 2 fois et que je les fais relire une troisième fois par une personne extérieure, il m’arrive d’oublier des fautes.

Mais quand on me les signale, je les corrige toujours.

Donc, si vous voyez une faute, quelle qu’elle soit, dans mes articles, merci de me le signaler à l’aide du formulaire prévu à cet effet.

5. Déléguer l’orthographe à quelqu’un d’autre

Malgré les 4 astuces ci-dessus, il se peut que ce ne soit pas encore la bonne solution pour vous.

En voici une ultime : déléguez !

Faites simplement relire vos textes par un correcteur ou par une personne bonne en orthographe qui saura vous transformer un texte médiocre en quelque chose de sérieux et de professionnel (pile poil ce que vous voulez être !).

Les tarifs de relectures sont bien moins élevés que vous ne le pensez.

Voici par exemple le service proposé par Alexandra Lemonnier, membre de Copywriting-Pratique, qui commence à 5 euros :

http://www.correction-orthographe-grammaire.com

C’est franchement peu. Surtout si vous n’écrivez qu’un ou deux articles par semaine.

Carrément impératif par contre, si vous faites une lettre de vente.

A vous de jouer !

Voilà, vous n’avez plus aucune excuse pour laisser des fautes d’orthographe sur votre blog.

Dites-vous bien qu’aujourd’hui encore plus qu’hier, vous évoluez au milieu de centaines d’autres blogueurs qui traitent plus ou moins du même thème que vous.

Il s’effectue, de manière parfaitement logique, une sélection naturelle parmi tout ce beau monde, et l’orthographe a une place de choix pour ça.

Et vous DEVEZ y faire attention !

Pour plein de raisons.

Déjà parce qu’un texte correctement orthographié se lit bien plus facilement. Donc si vous écrivez sans faute, vous serez plus lu.

Ensuite parce que si vous demandez des échanges de liens à d’autres blogueurs, beaucoup ne voudront pas ternir leur image en associant leur blog avec un blog qui contient trop de fautes. Donc vous perdrez des occasions de partenariats.

Mais surtout parce qu’il vaut mieux qu’on se souvienne de vous et de votre blog comme de quelque chose qui tient la route, plutôt qu’on vous définisse comme un blogueur médiocre qui fait des fautes d’orthographe à longueur de texte et qui s’en fout.

Pensez-y :

On se moque totalement de l’orthographe d’un dentiste, d’un coiffeur ou d’un garagiste. On leur demande surtout de savoir guérir, coiffer ou réparer sa voiture.

Mais à celui qui écrit pour les autres, par contre, la seule chose obligatoire qu’on lui demande, c’est d’avoir un texte final irréprochable.

Peu importe si c’est son œuvre ou celle d’un correcteur.

Dois-je vraiment vous dire pourquoi ?

On ne va plus voir un dentiste qui ne se lave pas les mains et qui ne met pas de gants avant d’aller fouiller dans votre bouche.

On ne va plus voir un coiffeur qui vous taille les cheveux avec un coupe-coupe ou un ciseau mal affuté.

Et on ne va plus voir un garagiste qui vous laisse des sièges noirs de cambouis après vous avoir réparé une roue.

Dans le même ordre d’idées, on ne vient plus voir un blogueur qui écrit avec une orthographe douteuse.

Parce qu’on n’arrive plus à avoir confiance en ce qu’il dit.

C’est comme ça ! Quand on écrit pour les autres, il faut un minimum. Et ce minimum, c’est l’orthographe.

Sinon, on n’écrit pas. Tout simplement.


29 NOVEMBRE 2011

8 étapes pour propulser votre nouvel article aux 4 coins du web en quelques minutes

Vendredi dernier, nous avions attaqué dans cet article les 8 premières étapes de l’écriture d’un article performant.

Aujourd'hui, nous allons voir les 8 dernières étapes (+1) qui vont permettre à votre article d’être parfait, mais surtout exportable et visible un peu partout sur la toile seulement quelques minutes après que vous l’ayez publié.

Nous aborderons surtout quelques notions de base de référencement, sous la forme d’actions rapides et efficaces à réaliser juste avant sa publication.

propager

Les 8+1 dernières étapes :

Cette étape n’est nécessaire que si vous écrivez votre article via un logiciel annexe (bloc notes ou Word ou OpenOffice ou tout autre logiciel d’écriture de textes).

Il est enregistré en tant que brouillon.

Cette étape n’a rien de bien nouveau, mais elle est obligatoire. ;)

En effet, en fonction du logiciel que vous utilisez pour écrire votre article, par défaut toutes les lettres accentuées se transforment en un truc du style “à”.

Si c’est le cas, alors remettez-les normalement dans Wordpress afin qu’elle apparaissent comme tel dans le sujet du mail de notification ainsi qu’un peu partout.

Pour les mêmes raisons que ci-dessus, si votre titre contient des accents ou des apostrophes, Wordpress va supprimer tous les caractères accentués dans l’adresse, ce qui la rendra bizarre.

Vérifiez-là, et corrigez-là. Elle doit être lisible comme le titre de votre article.

J’en parle un peu plus longuement dans cet article.

J’en profite pour vous signaler quelque chose qui m’avait paru évident à réaliser au début de son blog, mais qui reste encore absent sur beaucoup de blogs : La nature de l’URL des articles.

Dans Wordpress, chaque article est répertorié par son numéro. Ce qui fait que vous pouvez avoir accès à cet article-ci par cette URL :

http://www.copywriting-pratique.com/?p=2226

Mais comme vous pouvez le constater sur ce blog, ce n’est pas ce qui s’affiche dans la barre d’adresse, et pour cause, ce n’est ni attirant ni utile pour votre référencement.

Il est donc impératif de définir l’option d’affichage de vos URL dans votre blog à la rubrique : “Réglages” + “Permaliens”, et de choisir cette option et cette manière d’afficher votre article dans la barre d’adresse :

permaliens

Ainsi, votre article sera accessible par une version texte de l’URL qui pourra non seulement favoriser votre référencement, mais qui pourra également favoriser le clic en tant que lien à part entière.

Cette étape est très importante, car c’est ce qui va permettre à votre article d’être positionné sur les mots que vous choisissez.

L’objectif est de reprendre les mots les plus représentatifs de votre article (4 mots maximum), en évitant bien évidemment les mots trop génériques ou trop fréquents (manger, écrire, parler, faire, article, blog, etc.).

Il vous faudra installer le plugin Simple Tags pour ça (à moins que vous ayez déjà autre chose de similaire d’installé).

Voyez pour cela la vidéo de samedi dernier.

Avec cette 13ème étape, on rentre dans la partie référencement de votre article pour les moteurs de recherche, et plus particulièrement pour Google, mais pas QUE ça.

Déjà, comme je vous le disais samedi dans la vidéo, vous pouvez installer un plugin de SEO qui vous permettra d’indiquer ce titre directement sous l’article.

Ensuite, ce titre ne doit pas dépasser 65 caractères. Sinon, il sera coupé dans les moteurs.

Notez bien malgré tout ce qui suit, c’est très important :

Un titre pour Google, ça reste un titre à optimiser aussi pour ceux qui vont être amenés à cliquer dessus.

Par conséquent, la tâche est ardue car non content de respecter un nombre de caractères maxi, votre titre doit également donner envie aux chercheurs d’aller lire votre page.

Vous devez donc particulièrement soigner cette opération.

En effet, même si vous avez des compétences hors normes en référencement et que vous arrivez à positionner votre article en première page à chaque coup, si votre titre (et votre description) ne donnent pas envie de cliquer et de venir voir votre page, alors toute cette belle compétence ne servira hélas à rien.

Passez donc le temps qu’il faut pour définir ce titre avec soin : C’est lui qui sera l’ambassadeur de votre article auprès du monde.

Ici aussi, la tâche est ardue et très importante (je viens d’expliquer pourquoi juste au-dessus).

La longueur communément admise était de 155 caractères, mais pour les articles de blog, il semblerait que Google inscrive la date de publication de l’article en tout premier (puisqu’il parait qu’ils privilégient dans une certaine mesure l’information la plus récente).

Ce qui fait passer la longueur maxi de cette description à 140 caractères.

Il vous suffit donc, avec le plugin dont je vous parle dans la vidéo de samedi, de laisser au minimum 15 caractères libres quand vous écrivez votre description.

Notez que cette description est un véritable “sous-titre” qui doit donner envie de cliquer sur votre lien dans Google.

Prenez donc la meilleure phrase de votre article et transformez-là en puce promesse qui donne envie de cliquer pour en savoir plus.

L’objectif est bien entendu de vérifier la bonne disposition des images et des légendes, ainsi que la mise en forme globale de l’article.

Ce qui peut paraître nickel dans la partie visuelle du tableau de bord de Wordpress peut être totalement différent en situation réelle.

De plus, cela vous permettra de relire une nouvelle fois votre article en entier afin de corriger les éventuelles fautes d’orthographe ou d’inattention que vous auriez pu laisser passer.

Si vous employez un plugin d’extraits de textes et de miniature d’images pour votre page d’accueil, comme celui dont je vous parlais dans cette vidéo, alors la mise en forme de votre texte de la page d’accueil peut déboucher sur de drôles de choses.

Phrases mal coupées, une balise “strong” ou “italique” qui met en gras – ou en italique -  l’intégralité de la page, une miniature d’image bizarre, etc...

Un petit coup d’œil rapide pour corriger le tout avant de prévenir la masse de vos abonnés est toujours une bonne idée.

Cette dernière étape est relativement peu pratiquée, et pourtant, c’est la combinaison gagnante à tous les coups pour votre référencement.

Elle permet en effet à Google de constater que votre article est déjà diffusé à plusieurs endroits dès sa mise en ligne, ce qui donne encore plus de poids à son indexation.

Ainsi, avec votre nouvel article, Google constate qu’il y a des nouvelles fraîches, et qu’en plus on en parle déjà à plusieurs endroits. Autant de raisons de favoriser une indexation rapide.

Vous pouvez donc mettre un lien vers votre article sur Twitter, Facebook ou tout autre réseau social que vous utilisez, mais également sur un site de Digg-like comme Scoopeo ou Fuzz.

Et bien entendu, pour finir, choisissez un blog chez qui vous commentez souvent (et qui a si possible CommentLuv installé), et allez mettre un bon commentaire qui tient la route, et si possible en rapport avec votre article du jour.

Succès garanti !

A vous de jouer !

Vous le voyez, une fois que votre article est écrit, la grosse partie qui vient derrière est largement aussi importante que l’article en lui-même.

Et la qualité de ce que vous écrivez n’est hélas pas suffisante à conférer à votre article tout le succès qu’il mérite si vous ne vous acquittez pas de toutes ces tâches annexes.

Constituez-vous une check-liste avec ces 17 étapes. Et à l’issue de l’écriture de votre article, cochez chaque case une par une pour être sûr de ne pas en oublier.

D'ailleurs, en voici une toute prête à télécharger et à imprimer :

Check-List des 17 étapes

Si vous vous astreignez à faire ça à chaque fois, alors vos articles et votre blog deviendront peu à peu une référence positive pour Google, et comme par magie, votre indexation sera très rapide, et vous monterez dans les résultats des moteurs à une vitesse grand V.

OK, tout ceci vous prendra certainement deux fois plus de temps que l’écriture de votre article brut.

Mais vous écrivez surtout pour être lu, non ?

Faites ces 16 opérations à chaque fois, et vous n’aurez pas besoin de passer plus de temps qu’il n’est nécessaire pour faire connaître votre blog aux quatre coins de la planète web.


28 NOVEMBRE 2011

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