Ecrivez facilement des textes qui font agir
Ressources gratuites pour Copywriters | Pourquoi ? | Un article au hasard
Quand on tient un blog, notre “matière première”, ce sont les articles que l’on écrit.
Un article, c’est du texte. Une suite de mots qui informe vos lecteurs sur un sujet relatif au thème de votre blog.
Pas besoin d’être copywriter pour faire ça. Il suffit de savoir écrire, et d’avoir des idées.
Certains diront que c’est déjà pas mal. C’est vrai.
Pour autant, une fois que votre article est terminé, c’est là que le véritable travail commence.
Parce que le texte “brut” d’un article, c’est juste la “matière première non transformée”. Au même titre que la farine est la matière première du pain croustillant que vous mangez au petit déjeuner.
Pour que le tout soit digeste – et bon, vous devez transformer cette matière première pour la rendre appétissante.
C’est exactement ce que vous faites (ou devez faire) quand vous écrivez un article.
Une fois qu’il est écrit, vous allez devoir le passer par tout un tas de transformations pour le rendre parfait à tous les points de vue :
C’est parmi toutes ces transformations, que vous allez pouvoir appliquer quelques principes de copywriter, afin de rendre votre article plus performant que les autres grâce au copywriting.
J’ai pu dénombrer 16 étapes en tout. Voici les 8 premières :
Bien entendu, vous effectuez déjà une bonne partie de ces étapes. L’objectif est de les faire TOUTES.
Il se peut que vous deviez installer des plugins pour ça, mais elles sont toutes indispensables.
Ainsi, une fois que votre article est rédigé, vous devez donc :
Je vous expliquerai en détail mardi prochain pourquoi c’est très important – et même capital – si vous voulez durer dans le blogging.
C’est ce qui permet de créer un chemin de lecture afin que votre article soit plus lisible. Notamment pour vos lecteurs qui aiment “scanner” un texte.
Il ne s’agit pas de mettre des portions entières de texte comme je peux le voir parfois sur certains blogs. Non, il s’agit de surligner quelques mots seulement.
J’explique la technique du chemin de lecture dans cet article.
Cela permet de structurer votre article afin de le rendre plus lisible.
Mais ça repose également votre lecteur, qui peut ainsi se raccrocher à une phrase plus grosse dans votre texte.
Sur le web, on n’aime pas les gros pavés de textes. Il est donc important quand on se relit, d’aérer un peu son texte en essayant de garder un maximum de 4 lignes par paragraphe.
N’hésitez donc pas à faire de fréquents renvois à la ligne. Ca donne une impression plus fluide et moins lourde à votre article, et aide à la lecture.
C’est évidemment l’une des étapes les plus importantes à réaliser.
Il est généralement mieux de créer son titre tout à la fin, et de le créer comme une accroche, afin de donner envie à vos futurs lecteurs de lire votre article.
Il faut savoir que ce titre pourra se retrouver à plein d’endroits : Dans un scoop de digg-like, en lien de Comment-Luv, sur un annuaire, dans Google, etc…
C’est donc le premier ambassadeur de votre article.
Il est donc indispensable d’éviter les titres clichés qui ne donnent pas envie de lire, ou encore les titres trop mystérieux qui n’informent pas assez vos lecteurs sur le contenu de l’article.
Bref, soignez bien votre titre. Tout le monde vous le dit, mais très peu font des titres d’articles qui donnent vraiment envie de lire.
Ca permet d’illustrer votre article, et c’est toujours mieux de renforcer votre texte avec une belle photo qui vient parachever le message que vous voulez faire passer.
Comme je vous le disais dans cet article, choisissez de préférence une photo qui représente une personne plutôt qu’un objet. Allez lire l’article en question pour comprendre pourquoi.
Complètement et totalement obligatoire dans une page de vente, la légende sous la photo dans un article de blog n’est obligatoire que si ce que représente cette photo n’est pas vraiment en rapport direct avec votre article.
En effet, parfois on peut être tenté d’employer des métaphores avec ses photos. Une petite phrase d’explication permet d’éviter que le lecteur interprète mal la photo.
Mais dans l’idéal, si la photo correspond à votre titre, alors c’est parfait !
Si vous n’y pensez pas, Wordpress indiquera la catégorie que vous avez définie par défaut.
Quand vous démarrez, les catégories ne sont pas importantes. Mais quand vous vous retrouvez avec une centaine d’articles, c’est là qu’elles prennent tout leur sens.
N’hésitez pas à en créer des nouvelles pour hiérarchiser encore plus votre contenu et rendre les recherches plus faciles et plus profitables.
Voilà.
A ce niveau, votre article est prêt à être publié (dans l’absolu).
Mais si vous voulez faire les choses comme il faut, alors il reste malgré tout 8 étapes importantes à accomplir avant de le montrer au monde.
Il s’agit, pour la plupart, d’étapes qui vont favoriser le référencement de votre article et donc sa faculté d’apparaître fréquemment lors de recherches sur les moteurs.
Si vous voulez “recruter” un maximum de lecteurs, alors ces dernières étapes sont indispensables.
Elles vont nécessiter l’ajout de 2 plugins, dont je vous expliquerai le fonctionnement demain dans la procédure vidéo du samedi.
Et lundi nous verrons ensemble les 8 dernières étapes qui feront de votre article un article parfait.
25 NOVEMBRE 2011
Tous les membres de Copywriting Pratique ont accès à 6 outils pratiques en ligne dont :
Ces outils sont accessibles gratuitement pour tous les membres.
Intéressé.e ? Remplissez simplement le formulaire ci-dessous, et recevez votre accès à tous les outils disponibles :
Je ne finirai jamais d’être étonné par ce qu’on peut trouver en fouinant un peu sur Internet.
Hier soir, je parcourais nonchalamment un forum, quand après quelques clics successifs, je me suis retrouvé en train de lire un livre surprenant sur l’optimisation de son site pour les moteurs de recherche.
Et ce qui ne gâche rien, c’est que cet ebook de 32 pages est offert généreusement par... Google himself.
En fait, si vous vous posiez des questions sur la meilleure manière de rendre votre site web ou votre blog attirant pour Google afin d’y faire venir des visiteurs naturellement, alors ce livre sera une véritable aubaine pour vous.
Il s’adresse essentiellement aux débutants et aux webmasters novices, mais même si vous êtes un peu plus expérimenté, vous y apprendrez encore pas mal de choses.
Voici le livre en question :
Le Guide de démarrage Google
Optimisation pour les moteurs de recherche
Voici comment Google définit le contenu de ce guide :
“Ce document était dans un premier temps destiné aux équipes au sein de Google même.
Après réflexion, nous avons toutefois estimé que cette ressource pouvait également être utile aux webmasters novices dans le domaine de l'optimisation pour les moteurs de recherche et souhaitant améliorer l'interaction de leurs sites à la fois avec les utilisateurs et les moteurs de recherche.
Ce guide ne vous dévoilera aucun secret qui vous permettra de classer automatiquement votre site parmi les premiers résultats de recherche dans Google (désolé de vous décevoir...).
Toutefois, en respectant les consignes décrites dans ce livre, vous facilitez l'exploration et l'indexation de votre contenu par les moteurs de recherche.”
Intéressant, n’est-ce pas ?
Je viens de “dévorer” le contenu de ce guide, et je dois bien me rendre à l’évidence : Il s’y trouve une bonne trentaine de conseils de copywriting à l’intérieur.
Du copywriting SEO, mais du copywriting quand même.
Ce livre moderne et très complet vous explique toutes les bases de l’optimisation d’un site web pour les moteurs de recherche, ainsi que pour l’internet mobile.
Voici d’ailleurs la table des matières :
Vous y trouverez également un glossaire très complet avec une trentaine de mots et d’expressions liées à l’optimisation pour les moteurs, expliqués en détail (Sitemap XML, redirection 301, crawling, snippet, etc...).
Ainsi qu’une multitude de liens vers des tutoriels, des outils ou des pages explicatives, qui vous serviront à mieux appréhender le référencement naturel.
Vous l’aurez compris, ce livre est un vrai petit bijou que je vous engage à télécharger et à étudier au plus vite en cliquant ici.
Vous en ressortirez bien mieux armé pour positionner votre site plus efficacement dans les moteurs de recherche.
Même si vous ne devriez pas faire QUE ça, il est bon néanmoins de poser des bases solides pour éviter justement d’y passer trop de temps.
Et ce guide et parfait pour ça !
24 NOVEMBRE 2011
Quand on travaille sur Internet, on a besoin d’un certain nombre d’outils qu’on utilise plus ou moins au quotidien.
J’ai eu l’idée, avec cet article, de vous mettre une liste exhaustive de logiciels 100% gratuits, dont vous aurez obligatoirement besoin un jour ou l’autre.
C’est également l’occasion de tout regrouper au même endroit, afin que vous puissiez venir vous servir quand vous le voulez.
Bien évidemment, cette page sera amenée à évoluer avec le temps, puisque j’imagine qu’il y aura pas mal de logiciels à rajouter, et de temps en temps certains logiciels à mettre à jour.
Notez que les logiciels présents ici sont :
Voici maintenant la liste des logiciels ainsi que leur lien de téléchargement :
La suite bureautique gratuite qui fait la même chose que celle de Microsoft. Cette suite possède tous les programmes dont vous avez besoin pour créer des documents, des tableaux et même des présentations interactives.
Site de l’éditeur : OpenOffice.org
Comme son nom l’indique, il s’agit d’un dictionnaire multilingue (très petit mais très fourni) qui permet de traduire n’importe quel mot dans plus de 40 langues, et qui permet aussi de vérifier l’orthographe d’un mot.
Site de l’éditeur : Fish
Téléchargez Dictionary .NET ici
On ne présente plus le lecteur de plus célèbre de fichiers PDF.
Site de l’éditeur : Adobe
Téléchargez Acrobat Reader ici
Un petit logiciel qui permet de transformer n’importe quel document en PDF.
Site de l’éditeur : MapplePDF
Une sorte d’imprimante virtuelle qui s’installe sur votre PC, et qui vous permet d’imprimer n’importe quel document dans le format PDF. Il est utilisable à partir d’OpenOffice notamment.
Site de l’éditeur : SourceForge
Une sorte de bloc notes très évolué qui permet d’ouvrir et d’éditer n’importe quel fichier (php, html, xml, txt, etc...).
Site de l’éditeur : Notepad++
Un logiciel d’archivage et de compression, qui permet de traiter les archives Zip, Rar, et toutes les autres (création, extraction, manipulation des fichiers zip).
Il permet également de créer des fichiers uniques téléchargeables qui peuvent comporter plusieurs documents, vidéos ou logiciels. Idéal pour la livraison de vos produits d’information.
Site de l’éditeur : 7Zip
Un logiciel de retouche et de traitement de la photo à la manière de PhotoShop, mais gratuit.
Outil permettant de réaliser entre autre toute la partie graphisme de votre site ou de votre blog.
Site de l’éditeur : PhotoFiltre.Free
La même chose que le logiciel précédent, mais avec une communauté 10 fois plus importante, donc beaucoup plus facile à comprendre et à trouver de l’aide.
Site de l’éditeur : The Gimp et en Français
Un petit programme qui se rajoute au menu contextuel de votre souris (clic droit), et qui permet de redimensionner à la volée n’importe quelle image.
Excellent pour gagner une place folle sur votre blog et aussi pour limiter le temps de chargement de vos pages.
Site de l’éditeur : Obvious Idea
Téléchargez Light Image Resizer ici
WordPress est un système de gestion de contenu (CMS) qui permet de créer et gérer facilement l'ensemble d’un blog. Gratuit et libre, WordPress est personnalisable grâce à de nombreux thèmes et plugins.
Site de l’éditeur en français : fr.wordpress.org
Téléchargez la dernière version de WordPress ici
Ce logiciel permet de transférer des fichiers à partir de votre ordinateur vers votre site Internet ou votre blog, et vice versa.
Site de l’éditeur : FileZilla
Un lecteur de flux RSS pratique et facile d’utilisation.
Site de l’éditeur : FeedReader
Logiciel de communication instantanée via Internet qui permet d’échanger avec vos clients, vos partenaires, vos amis ou vos proches, soit par clavier, soit en audio ou vidéo (sans payer)
Site de l’éditeur : Skype
Voici un logiciel génial qui permet de récupérer n’importe quelle vidéo présente sur des plateformes comme Youtube ou Dailymotion, afin de les enregistrer sur votre PC.
Site de l’éditeur : 4K VideoDownloader
Un petit logiciel qui vous permet de convertir n’importe quel format de vidéo vers n’importe quel autre format. Par exemple, si vous récupérez un fichier sur Youtube avec le logiciel TubeMaster, vous pourrez ensuite le transformer en AVI par exemple.
Site de l’éditeur : AnyVideoConverter
Téléchargez Any Video Converter ici
Le lecteur de vidéo le plus populaire. Facile à installer et à utiliser. Possède la fonction de vitesse variable, qui vous permet de visionner une vidéo de formation en 2 fois moins de temps sans perte de compréhension. Idéal pour gagner du temps.
Site de l’éditeur : VideoLAN
Logiciel vous permettant de retoucher vos fichiers sons, et de mixer plusieurs fichiers sons entre eux.
Idéal si vous voulez réaliser les versions audio de vos ebooks. Vous pouvez même rajouter de la musique en entrée et en sortie, et rajouter des effets divers à votre fichier son (fondu, transition, augmentation du son, etc...)
Site de l’éditeur : AudacityTeam
FreeMind
Logiciel de cartographie mentale, il vous permettra de créer une sorte d'arbre d'idées pour rendre votre réflexion plus visuelle.
Site de l'éditeur : FreeMind
Je rajouterai fréquemment des outils et logiciels sur cette page au fur et à mesure de mes découvertes et de mes tests.
Si vous connaissez des logiciels 100% gratuits qui devraient figurer ici, n’hésitez pas à m’en parler en commentaires.
Ne mettez pas de lien. Mettez juste le nom du logiciel et si possible son éditeur, ainsi qu’une courte explication, et pourquoi pas un petit mot sur ce que vous trouvez de si génial à propos du logiciel concerné.
18 NOVEMBRE 2011
Vous avez une page de vente, et elle fait un “bon” taux de transformation : 10%. Bravo !
Par contre, une question : Que font les autres ?
Vous savez, les 90% qui ne vous ont pas acheté votre produit. Ceux qui ont lu – ou pas – votre argumentaire, et qui sont reparti aussi sec.
Vous êtes-vous déjà demandé pourquoi ils n’achetaient pas ? Et surtout, vous êtes-vous déjà demandé ce que vous pourriez faire pour arriver à convaincre aussi ceux-là ?
Dans cet article, je vous propose d’essayer 9 actions concrètes, mais auparavant, je voudrais préciser quelque chose d’important par rapport à tout ça :
[protected]
Comme je le disais en commentaire de mon article d’hier, la première chose à laquelle on pourrait penser, c’est le sondage.
Or, le sondage est par nature incomplet et dans une certaine mesure inutile dans ce cas précis.
Voici ce que j’en disais dans le commentaire en question :
Comme on ne connait pas TOUS les besoins de nos clients – puisque justement, 90% de nos clients n’achètent pas - un sondage demandera alors de choisir parmi les X besoins que l’on aura identifié nous-même. Avec nos idées et nos aprioris.
Et cette étude ne va donc contenter que 5 à 10% de nos clients. Ce qui veut dire qu’on n’aura pas su identifier les besoins des 90 autres %.
OK, on pourrait le leur demander, et transformer alors le sondage en “questionnaire” dans lequel on leur demanderait de quoi ils ont besoin ?
Le souci, c’est que la grosse majorité de nos clients ne savent pas de quoi ils ont besoin. Par défaut quand on leur demande, ils répondent « J’ai besoin de rien »
Donc même si vous le leur demandez, ils ne vous répondront pas forcément.
Mais le plus ennuyeux avec un sondage, c’est que seule une partie des gens répondent. Un tiers constitue en général un maximum, parmi lesquels une bonne partie d’acheteurs.
Ce qui fait que les 66% qui restent n’ont toujours pas donné d’information sur leurs véritables besoins.
Il va donc falloir creuser bien plus profond qu’on le ferait avec un simple sondage ou questionnaire.
Une fois que les gens quittent votre page, vous avez de grandes chances de les avoir perdus. Pourquoi ne pas en profiter pour leur demander ce qui cloche ?
Il suffit d’installer un petit script qui se déclenche quand on quitte la page soit en faisant “Précédent” soit quand on clique sur la croix de fermeture de la page, avec une simple question du style :
“Pourquoi n’achetez-vous pas ?”
Soyez prévenu : Peu vous répondront.
Mais ceux qui le feront vous donneront des infos précieuses sur certains aspects de votre page ou de votre produit.
Vous pouvez même leur proposer de leur offrir une partie de votre produit ou un cadeau en échange de leurs infos. Quitte à les diriger vers une autre page avec un questionnaire plus poussé.
Quels sont les personnes les plus susceptibles de parler de votre produit ? Vos clients bien sûr.
On parle souvent de demander des témoignages à vos clients, mais qui pense à leur demander pourquoi ils ont acheté votre produit plutôt qu’un autre ?
Pas grand monde en vérité. Et pourtant, beaucoup sont prêts à vous aider au-delà de toutes vos espérances.
J’ai un ou deux utilisateurs fervents de mes logiciels qui me font un retour de leur utilisation quasi hebdomadaire, et qui me donnent des idées absolument incroyables sur les développements futurs, mais aussi sur des manières d’utiliser l’outil auxquelles je n’aurais jamais pensé.
On ne peut pas penser à tout. Donc utilisez vos clients pour en apprendre plus sur votre produit, sur la manière dont ils l’utilisent, et sur les besoins qu’ils assouvissent avec.
Réutilisez ensuite ces différents arguments soit pour faire évoluer votre produit, soit pour améliorer votre argumentaire de vente afin de toucher plus de personnes.
En droite ligne de l’action précédente, n’hésitez pas à donner votre produit à plusieurs personnes passionnées par votre activité.
Comme Bill Gates l’a fait avec toutes ses versions de Windows.
Proposez-leur une utilisation complète totalement gratuite en échange de retours pertinents et fréquents sur son utilisation, et sur ce qui manque.
Cela fera des miracles dans la quête d’informations que vous auriez mis des années à obtenir à l’aide d’un simple sondage auprès de personnes vaguement intéressées par la chose.
Ouvrez un blog ou un forum. Réservés aux seuls acheteurs et utilisateurs de votre produit.
Et engagez les utilisateurs à s’exprimer et à échanger.
Surveillez les conversations, et animez-en quelques unes. Mais pas toutes. L’important, c’est surtout que ce soit les utilisateurs qui animent tout ça. Si vous êtes trop présent, ils n’oseront pas s’exprimer par peur du “maître des lieux”.
Informez les gens des mises à jour, des évolutions possibles. Posez des questions, provoquez des évènements, faites des concours...
La somme d’infos que vous récupèrerez avec ce système sera énorme.
Le meilleur moyen de parler d’un produit, c’est de l’utiliser. Beaucoup. Et fréquemment.
Et qui mieux que le concepteur d’un produit peut en parler aux autres ?
Le problème, c’est qu’à un certain moment, vous saturez. Vous avez trop “la tête dans le guidon” comme on dit. Et vous ne voyez plus d’autres solutions d’utilisation.
Voici le conseil : Faites comme lorsque vous faisiez un puzzle étant petit : Débranchez la “boîte à cerveau” pendant quelques semaines, et revenez sur votre produit plus tard, avec des idées neuves et du recul.
Utilisez-le en été, en hiver, au printemps. Pendant les vacances, quand vous êtes au bureau, ou en déplacement.
Le changement d’environnement extérieur vous donnera plein d’idées nouvelles et vous fera découvrir des aspects de votre produit que vous ne soupçonniez même pas.
Trouvez 4 ou 5 personnes intéressées par le thème de votre produit, er organisez une réunion d’utilisation.
Vous préviendrez les participants du but de la manœuvre, et pourrez ainsi filmer ou enregistrer la réunion, pour décortiquer ensuite les questions et les réactions des différents protagonistes.
Quand je travaillais dans le jouet, au moment des collections de fin d’année (quand on devait choisir quels jouets allaient figurer dans les rayons des hypers pendant la période de Noël), on organisait des réunions de ce style avec les nouveaux jeux de société qui arrivaient.
On jouait pendant quelques heures à 5 ou 6 , ce qui nous permettait d’apprendre à en parler et à en trouver l’intérêt.
Je n’ai jamais vu d’action plus efficace que celle-là si tous les protagonistes sont effectivement intéressés au produit.
Une certaine partie de vos visiteurs devraient arriver de Google sur votre page de vente.
Il est donc facile de voir quels mots-clefs ont été tapés dans le moteur pour déboucher chez vous.
Il vous suffira donc de recenser et d’étudier attentivement ces différents mots clefs pour découvrir parfois des besoins et des attentes cachées auxquels vous n’auriez jamais pensé.
Ca fonctionne aussi si vous avez un blog ou un site web qui parle de votre thématique, sans forcément vendre.
Et le plus sympa, c’est que certains blogs affichent ces recherches au vu et au su de tout le monde.
Donc si vous tombez sur un blog qui traite de la même thématique que vous et qui affiche ses requêtes, servez-vous en pour identifier de nouveaux besoins.
Vous êtes normalement parti sur un certain style de profil pour vos futurs clients, suite à une étude de marché.
La coutume veut qu’on se concentre sur le groupe le plus important et qu’on développe son argumentaire et son produit pour un certain type de gens.
En théorie, c’est super, mais dans la pratique, le profil choisi ne vend qu’à 5 ou 10%.
Vous allez donc devoir être un peu plus spécifique dans votre profilage.
Par exemple, si vous vendez un livre pour dresser un chien, prévoyez un argumentaire ou une version du produit orienté plus spécifiquement sur certaines races de chiens (labrador, teckel, caniche, etc...)
Si vous vendez des prestations de sites Internet, pourquoi ne pas vous adresser aux infirmières, aux coiffeurs ou aux agences immobilières ?
Votre argumentaire sera plus spécifique et vous pourrez ainsi toucher plus efficacement votre auditoire.
Vous pouvez en effet faire un petit brainstorming, tout seul ou avec une personne, qui recenserait tous les types de besoins liés à votre produit, d’un point de vue psychologique.
Vous avez à votre disposition certaines listes qui peuvent vous y aider :
Si vous raccrochez l’utilisation de votre produit à chacun de ces besoins et que vous cristallisez tout ça en une phrase, cela vous donnera des perspectives illimitées pour pouvoir à terme tout traiter et ainsi toucher un maximum de personnes.
Comme vous l’avez sûrement remarqué, j’ai survolé ces 9 actions concrètes. L’objectif ici était de les recenser. Il y a en a sûrement d’autres.
Je ferai des articles complets (ou un livre) sur chacune de ces actions pour aller plus loin.
Vous aurez également compris que ces 9 actions devraient TOUTES être effectuées, sans aucune exception.
C’est un travail de longue haleine. Je sais.
Pour autant, je vois souvent des gens qui vendent un produit, qui ont un résultat, et qui s’en contentent.
Et plutôt que de tenter d’améliorer ce résultat, ils préfèrent créer un autre produit à traiter tout aussi superficiellement que le premier, et ainsi de suite.
Au final, ce sont des sommes colossales qui sont laissées sur la table.
Vous pouvez même recruter une personne pour améliorer ces résultats. Utilisez la liste ci-dessus, et faites vous un planning sur l’année.
Ca prendra du temps, ça vous prendra de l’énergie – peut-être quelques euros si vous recrutez - mais au final, votre produit sera parfaitement bien vendu.
Et non seulement vous aurez de quoi en vivre pendant des années, mais en plus, ca vous donnera d’excellentes idées pour créer d’autres produits en rapport avec le produit de base, et ainsi pouvoir vendre encore et toujours plus aux clients que vous avez déjà.
Bref c’est que du bénéfice pour vous.
Pensez-y !
Parfois on virevolte parmi 5 ou 6 produits (parfois plus) alors qu’on pourrait faire largement autant de CA – et même bien plus - avec un seul produit bien traité.
Alors, vous commencez quand ?
17 NOVEMBRE 2011
Ce qu'il y a de bien avec ChatGPT, c'est que lorsqu'on l'utilise régulièrement et qu'on prend l'habitude de le voir comme un super assistant, on découvre chaque jour de nouvelles utilisations.
Vous pouvez en effet lui poser la question de savoir ce qui empêche vos clients d'atteindre leurs objectifs concrets. Il vous donnera une jolie liste d'obstacles et de problèmes que vous pourrez utiliser pour :
... et une tonne d'autres applications pour lesquelles trouver un problème à résoudre ou un obstacle à lever sera d'une grande aide.
Après tout, quoi que vous proposiez, que ce soit un produit ou une prestation, quand vous connaissez vraiment les principaux problèmes de vos client.e.s, vous savez quoi leur proposer pour les résoudre.
Et cette manière de procéder peut vous permettre de créer un produit complet, en suivant une procédure tout ce qu'il y a de plus simple et logique.
J'explique tout avec un exemple concret dans un guide (PDF), que je réserve aux membres de Copywriting Pratique :
Pour télécharger ce guide (et les autres disponibles), remplissez simplement le formulaire ci-dessous, et recevez votre accès à tous les outils disponibles :
Comme je vous le dis souvent, le copywriting est une science qui permet de vendre un peu n’importe quoi à n’importe qui, pour autant que l’on sache repérer avec soin les besoins de ses clients.
Vous connaissez la fameuse expression “Lui, il vendrait un frigo à des esquimaux !” ?
Elle désigne un très très bon vendeur, car en toute logique, aucun esquimau ne voudrait acheter un frigo. Donc le commercial ou le copywriter qui arrive à vendre un frigo à un esquimau est sans le moindre doute très bon.
Et bien vous savez qu’il existe une personne qui a réellement vendu des frigos à des esquimaux ?
Incroyable ?
Et pourtant, ça ne lui a pas pris longtemps pour les convaincre.
Alors... Comment a-t-il fait ?
Réfléchissez une minute.
Si vous, vous aviez à vendre un frigo à un esquimau, comment vous y prendriez-vous ?
Allez. Reculez-vous un peu sur votre fauteuil, arrêtez de lire, et réfléchissez-y sérieusement pendant 2 minutes. Et voyons si vous auriez trouvé la solution.
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Vous réfléchissez vraiment ou vous scannez ?
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Alors ? Comment on vend un frigo à un esquimau ? Vous avez trouvé ?
En lui disant simplement que… cet appareil protègera leurs aliments du froid.
Hé oui ! Les esquimaux vivent dans un coin du globe qui affiche régulièrement des températures avoisinant les -30°.
Dois-je vous rappeler à combien descend votre congélateur ? -18°
Donc, sans frigo, impossible pour qui que ce soit dans ces pays froids de conserver un aliment et de le manger ou de le cuisiner normalement.
Alors comment s’y prendre ?
En expliquant simplement aux clients que le frigo représente la solution la plus facile pour eux, s’ils veulent conserver leurs aliments à une température égale et constante.
Qu’il fasse très chaud ou très froid dans un pays, le frigo a une température linéaire que l’on peut fixer soi-même.
Donc le frigo est un produit universel qu’on peut utiliser (et donc vendre) partout sur la planète.
Il y a de fortes chances pour que vous ne vendiez pas de frigos.
Quoi qu’il en soit, cette histoire vous montre que rien n’est perdu quand on vend un produit, et qu’on peut toujours chercher une manière de vendre PLUS à des clients, en essayant de cerner leurs besoins, même s’ils ne sont pas absolument évidents.
Vous ne vous sentez pas concerné ?
Vous avez l’impression que vous avez réussi à cerner TOUS les besoins de vos clients en rapport avec votre produit ?
Peut-être même que vous avez créé votre produit spécifiquement grâce au principal besoin de vos clients ?
Mais alors pourquoi est-ce que vos pages de vente ne vendent qu’à 5 ou10% ?
Et le besoin des 90 ou 95% des AUTRES visiteurs, qui eux n’ont pas acheté, vous en faites quoi ?
Oui ! Quand vous vendez votre produit à 1 visiteur sur 10, cela démontre que vous avez réussi à passer à côté du besoin des 9 autres.
Donc, plutôt que de vous réjouir de vos 10% de ventes (qui restent malgré tout un excellent taux), pourquoi ne passeriez-vous pas quelques jours, voire quelques semaines, à chercher d’autres besoins qui sont assouvis par votre produit ?
En choisissant cette option, vous courrez le risque de DOUBLER vos ventes et de contenter 2 à 3 fois plus de clients AVEC LE MÊME PRODUIT !
D’autant que si vous vendez sur Internet et que vous avez bien appris votre leçon, alors votre visiteur est membre chez vous, ou au moins, il est abonné à votre liste de prospects qualifiés.
Donc, il est intéressé par ce que vous proposez.
Vous n’avez juste pas assez creusé pour savoir quels sont TOUS ses besoins, et en quoi votre produit peut lui venir en aide pour ça.
Vous l’aurez compris, tous les vendeurs se focalisent sur leur réussite, en occultant toute la partie qui apprend le plus quand on vend : Leurs échecs.
Et pourtant, c’est en se concentrant principalement sur ce qui n’a pas marché qu’on arrive à progresser et à prendre des parts de marché.
Donc je vous propose un petit exercice si vous avez déjà un produit à vendre et une page de vente qui ne vend pas à plus de 50% :
Quelles sont les actions que l’on pourrait mener pour arriver à cerner les véritables besoins des 95 visiteurs sur les 100 qui visitent votre page de vente et qui n’achètent pas votre produit ?
L’objectif est dans un premier temps de DOUBLER votre taux de vente. Il faut donc trouver quoi faire, et quoi dire à une AUTRE partie de vos visiteurs.
Laissez vos idées en commentaire.
Demain, je vous donnerai 5 actions concrètes (peut-être plus, qui sait, ça dépend de vous) à effectuer autour de votre produit et du besoin de vos clients.
D’ici là, à vous de parler ;)
16 NOVEMBRE 2011
Il vient de m’arriver une petite histoire assez insolite qui illustre assez bien ce que je disais en commentaire à mon article d’hier : Beaucoup d’entreprises et de vendeurs ont TROP peur de leurs clients.
Et ça leur fait perdre du chiffre d’affaires à un point qu’elles n’imaginent même pas.
Si c’est votre cas, si vous pensez que vos clients ne sont pas honnêtes et qu’ils cherchent toujours à profiter de vous ou à vous voler, alors lisez ce qui est “arrivé” à la Fnac jeudi dernier.
Je viens de passer 3 jours à Lyon à l’occasion du week-end prolongé du 11 novembre.
Détente, bonne bouffe, repos… C’était le but.
Comme j’aime bien organiser mes soirées à l’avance, j’ai donc tout naturellement cherché sur Internet les derniers spectacles ou concerts en cours à Lyon pour les 3 jours concernés.
Allez... Au-revoir !
Et je pense alors d’instinct à la Fnac.
Bon point pour elle, car c’est là, généralement, que j’achète mes places de concert quand je suis en ville.
Je me branche donc sur le site de la Fnac (fnac.com), et fais une recherche par date. Je trouve ce que je veux au bout de 5 minutes, et je suis prêt à acheter.
Je remplis donc les infos de ma CB, je vais pour valider, et là, je lis cette phrase incroyable juste au-dessus du bouton de validation :
“Cette réservation implique un paiement par Carte Bancaire et vos billets devront être retirés dans l'un de nos points de vente. Il vous sera demandé de présenter la carte ayant servi au paiement ainsi qu'une pièce d'identité. Les cartes virtuelles (e-carte) ne peuvent être utilisées en cas de retrait en magasin. IMPORTANT : les billets ne pourront pas être retirés sur le lieu de la manifestation”
Donc récapitulons :
C’est moi qui rêve ou j’ai l’impression d’acheter un appart ?
D’autant que bon…
On est jeudi 10 novembre, il est 20:00. Vendredi est férié. Le spectacle est pour le 11 novembre au soir, et pour couronner le tout, j’habite à 48 km de la Fnac la plus proche.
Mais surtout, si je paye en ligne, c’est pour me faciliter la vie.
Et certainement pas pour me taper un parcours du combattant afin d’aller retirer un billet à 50 km de chez moi pour un spectacle à… 15 €.
Bref… J’ai annulé mon paiement sur le champ, fermé la page web de la FNAC – pour toujours - et je me suis mis à la recherche d’un service un peu moins gestapo.
Après tout, je veux juste aller voir 2 filles comiques sur scène et une pièce de théâtre. C’est pas comme si je voulais assassiner le président.
Bref... je n’ai pas eu à beaucoup chercher.
Je suis allé sur Google, j’ai tapé “achat billet spectacle”, et j’ai cliqué sur le premier lien sponsorisé qui est apparu : BilletReduc.com
Et là, tout a été beaucoup plus facile.
J’ai trouvé mes places, j’ai indiqué mon numéro de CB, j’ai validé, et à l’issue du règlement, un lien m’est proposé. Je clique, et là, surprise : Un billet en PDF à imprimer et à présenter à l’entrée du théâtre le jour du spectacle.
Rapide, facile, efficace. Pile poil ce que je cherchais !
Et cerise sur le gâteau : Alors que le billet à la Fnac était à 15 euros, sur ce site, je l’ai eu à… 11 €. Comme j’avais 4 places à acheter, j’ai gagné du temps et 16 €.
Bref, que du bénéfice pour moi.
Pour la FNAC, par contre, pas de chance. Car la prochaine fois que j’aurai un billet de spectacle à acheter, devinez où je vais aller en premier…
Elle a donc perdu un client à vie.
Bon…
Je vous rassure, cet article n’est pas un billet sponsorisé pour BilletReduc.
Ce site s’est retrouvé là par hasard, et le service qu’il m’a proposé au moment précis où j’en avais besoin en a fait MON nouveau site de référence en matière de billets.
Mais la leçon à en tirer pour nos affaires à tous est exemplaire !
En procédant de la sorte, la Fnac a certainement l’impression d’échapper à la fraude.
J’imagine qu’on a pensé en haut lieu que certains malhonnêtes pourraient voler une CB et en profiter pour aller se faire un concert ou deux avec.
Ou pire, peut-être croit-on que les clients vont pouvoir imprimer de faux billets virtuels pour assister à des spectacles à l’œil…
Mais la Fnac a-t-elle pensé à toutes ces personnes honnêtes qui voudraient juste acheter un billet de théâtre ou de concert sans quitter leur salon ?
A quoi sert Internet si c’est pour se déplacer afin de retirer son billet dans une vraie Fnac ?
A ce compte-là, autant y aller avant, et acheter son billet sur place, non ?
Alors OK, c’est anecdotique pour eux.
C’est vrai, que représentent 60 € pour la Fnac ?
Mais si juste 10 clients par jour réagissent comme moi (et sur les milliers de clients qu’ils ont, 10 clients par jour c’est microscopique), au final, c’est 600 € de CA qui s’envolent en fumée chaque jour, soit un peu plus de 200.000 € par an.
Une broutille ;)
D’autant que lorsque je suis arrivé au théâtre en question, j’ai demandé au gars à l’entrée à combien se montait le pourcentage de réservation de billets sur Internet. Sa réponse m’a sidéré : 70 % !!!
Vous vous rendez compte ? Plus de 7 spectateurs sur 10 avaient réservé leur billet sur Internet !
Et puisque j’étais là, j’en ai profité pour lui demander comment il pouvait être sûr que j’avais bien payé mon billet. Il m’a dit : “Ho vous savez, le site Internet nous envoie une liste des personnes qui ont réservé et payé, avec le nom, le prénom et le numéro de résa. Donc pas de danger pour moi !”
Vous voyez, cette anecdote devrait vous faire réfléchir à deux fois avant de penser que la majorité de vos clients sont malhonnêtes et cherchent en permanence à vous voler.
Parce que c’est exactement l’inverse qui se produit.
Donc si vous avez dans l’idée de protéger vos vidéos, ou vos ebooks, ou vos logiciels contre les éventuels “pirates” qui vont essayer hypothétiquement de vous voler, et que ces protections vont ennuyer 98% des clients honnêtes qui voudraient bien, eux, avoir accès en payant à vos produits, alors revoyez la question, et vite.
Parce que vous ennuyez vos clients et surtout, vous perdez des ventes. Beaucoup de ventes.
Et si vous voulez essayer le petit truc dont je vous ai parlé hier à propos de l’essai gratuit, alors faites-le sans avoir peur.
Vos clients ne vous voleront pas. Ils sont honnêtes, droits et loyaux. En tout cas la grosse majorité.
Et si votre produit est bon, alors vous pouvez sans aucune crainte le leur faire tester.
Ils seront honorés de pouvoir le faire, et se feront un plaisir de vous payer ensuite, sans le moindre regret. Surtout si votre produit leur a rendu service.
Bref, ne faites pas comme la Fnac. A trop vouloir protéger leur système, ils perdent peu à peu des clients. Qui s’en vont vers Amazon ou vers d’autres plateformes plus souple et moins suspicieuses.
Ce serait dommage qu’il vous arrive la même chose pour une simple histoire de peur.
Il est temps de croire en vos clients et en vos produits.
15 NOVEMBRE 2011
Quand on vend des produits sur Internet, le facteur “confiance” que peut avoir un client dans vos produits et dans vous-même est très important pour vos affaires.
Car un visiteur qui s’apprête à devenir client a peur :
Une des bonnes solutions pour pallier à ce genre de peur, c’est de proposer au client de tester réellement en direct le produit avant de le payer.
C’est d’ailleurs ce qu’explique Cédric Vimeux dans cet article, concernant l’astuce bien connue pour vendre aux clients qui hésitent encore : Leur proposer un mois d’essai gratuit, et ne les faire payer qu’après cette période (c’est d’ailleurs son article qui m’a donné l’idée d’écrire celui-ci).
Il suffit alors d’utiliser Paypal pour ça, ou votre banque si elle propose la fonction dans votre contrat VAD.
Bien…
Maintenant qu’on a vu la peur du client, parlons à présent de la peur du vendeur – de vous, donc.
Quand on fait essayer un produit avant que le client ne l’ait payé, la majorité des vendeurs ont tout simplement peur de ne pas voir la couleur de leur argent.
Ce qui, même si c’est totalement absurde, n’est malgré tout pas dénué de fondement.
En effet à partir du moment où on a inventé le concept de propriété pour l’homme, celui-ci s’est immédiatement pointé avec son frère jumeau : La peur d’être dépouillé.
Depuis ce jour, l’une des plus grandes peurs de l’homme est donc de perdre ce qui lui appartient.
Il est donc psychologiquement normal qu’un vendeur, qui a l’impression d’avoir travaillé pendant des heures et des heures à son produit, ait peur de se faire voler le fruit de son labeur.
Je le répète : C’est ABSURDE.
Très peu de gens ne vous paieront pas. La plupart de vos clients sont honnêtes. Au moins autant que vous.
Si on prend mon cas personnel, pour le seul produit que j’ai proposé avec ce système d’essai gratuit, ceux qui ont annulé leur abonnement après la période d’essai se comptent sur les doigts d’une main.
Et je parle de plus de 250 clients, soit moins de 2% d’annulation
Donc si vous avez peur qu’ils ne payent pas, c’est tout simplement que vous n’avez pas assez confiance en votre produit. Ce qui peut être justifié si le produit en question est relativement de mauvaise qualité, mais c’est une autre histoire.
Voici néanmoins 3 astuces de copywriter pour “forcer” les gens à vous payer après l’essai gratuit d’un mois.
Vous pouvez fractionner plein de choses.
Si vous vendez un livre, dispatchez-le en 5 ou 6 tomes, et livrez-en un par semaine.
Si vous vendez une formation, fractionnez vos vidéos principales en plusieurs vidéos de 10/15 minutes. Et livrez des morceaux de votre formation semaine après semaine.
Il vaut mieux livrer 3 vidéos de 10 minutes chacune qu’une seule vidéo de 30 minutes.
Déjà parce que cela permet à votre client d’avoir plus de temps pour appliquer et pour comprendre ce que vous enseignez, mais également parce que cela donne un peu plus de valeur à votre produit qui devient donc plus étoffé.
Et aussi parce que de cette manière, vous pourrez étaler les livraisons des différents modules dans le temps.
N’hésitez pas à rajouter des cadeaux à votre offre. Cadeaux dont vous livrerez une partie seulement lorsque la période d’essai sera terminée.
Vous pouvez par exemple créer la version audio d’un livre, et ne livrer que la moitié pendant la période d’essai. Ou alors donner accès aux podcast en ligne pendant la période d’essai, et proposer les fichiers en téléchargement lorsque le produit est payé.
Cherchez toujours à rajouter des éléments à votre offre, et à en parler à vos clients. Pour leur dire que “bientôt, ils vont recevoir leur cadeau n°X” ou “l’élément Y”.
Si vous vous occupez d’eux, ils se sentiront mieux épaulés, et donc bien plus enclin à vous payer. D’autant qu’ils n’auront rien à faire, Paypal s’occupera de tout.
Ca c’est le véritable secret des essais gratuits qui sont payés dans 100% des cas : Quand le produit est assorti d’un service récurrent et gratuit.
Comme par exemple une mise à jour journalière, hebdomadaire ou mensuelle si vous vendez un logiciel (téléchargement de données par exemple).
Ou alors l’envoi d’un email hebdomadaire de qualité à votre client qui prolonge les effets de votre produit pour lui.
Si vous étalez l’envoi de ces mails sur toute la durée du règlement de votre produit principal, et que vous indiquez à la fin de chaque mail ce que le client trouvera dans le suivant, sans qu’il s’en rende compte, il restera avec vous jusqu’au bout, et ne demandera donc jamais l’annulation du règlement.
L’essai gratuit, c’est comme lorsque vous proposez un règlement en plusieurs fois. L’acheteur peut décider d’annuler à tout moment.
Ce sera rare. Surtout si vous montrez à votre client que vous êtes derrière lui, et que vous ne l’abandonnez pas une fois qu’il a acheté.
Et dites-vous bien que procéder de la sorte peut multiplier vos ventes largement par 2 ou 3, et parfois bien plus, surtout si vous vendez un produit cher (plus de 100 €).
Je sais que cela vous demandera quelques efforts d’acceptation. Un peu comme je vous l’expliquais dans cet article.
Mais si vous passez le cap, vous verrez vos ventes augmenter, augmenter… Et les quelques personnes qui annuleront leur paiement ne représenteront alors plus que des miettes dont vous n’aurez que faire.
14 NOVEMBRE 2011
Un bon slogan peut augmenter considérablement le nombre de personnes qui vous suivent. Il est surtout le véhicule de votre image à travers le monde.
Et comme un bon slogan n'est pas forcément facile à trouver, j'ai créé pour vous GUS : le Générateur Universel de Slogans.
C'est un outil en ligne, réservé aux membres de Copywriting Pratique, qui va révolutionner votre manière de créer des slogans accrocheurs.
Comment ça fonctionne ?
GUS a dans sa base 1005 structures de slogans, créées à partir des meilleurs slogans du monde, tous pays confondus.
Vous indiquez un terme (votre marque, votre nom, ou même une thématique), vous indiquez si c'est féminin ou masculin, et vous cliquez sur un bouton.
GUS vous donnera 10 slogans engageants et originaux. Vous pouvez n'en garder qu'un seul ou plus, ou pas du tout.
Vous pouvez relancer la machine autant de fois que vous le souhaitez jusqu'à tomber sur LE slogan qui sera l'ambassadeur de votre marque.
Plus besoin de vous creuser la tête, il vous suffit de libérer votre créativité en explorant des combinaisons de mots et de phrases que vous n'auriez jamais imaginées.
Pour accéder à cet outil révolutionnaire, il vous suffit de laisser votre prénom et votre adresse email dans le formulaire ci-dessous. Vous recevez l'accès à cet outil et aux autres en quelques secondes.
Si vous avez une activité en ligne, alors le livre que je vais vous présenter aujourd’hui vous rendra de grands services.
Il s’agit en effet d’un ebook qui regroupe 365 conseils pour booster vos affaires sur Internet.
Le truc sympa, c’est qu’il est 100% gratuit :
Ce livre électronique vous est offert par la société Wizishop, spécialiste de la boutique en ligne, et il aborde la majorité des disciplines que l’on se doit de maitriser quand on bosse sur Internet :
Comme vous le voyez, c’est assez complet !
Pour télécharger ce livre, cliquez ici.
Vous pouvez également suivre tous ces conseils au jour le jour sur le blog de wizishop, et participer aux discussions aussi, pourquoi pas.
Et ce qui n’est pas pour me déplaire, j’ai fait le compte, il comporte pas moins de 25 conseils de copywriting.
Bref. Même si c’était “pour 2017”, 100% de ces conseils seront également pertinents pour 2023 !
Alors profitez-en !
11 NOVEMBRE 2011
L’idée de cet article vient de m’arriver il y a tout juste 3 minutes. J’étais en train de préparer la pâte pour la pizza que j’ai prévu de me faire à midi.
Cette préparation m’a fait repenser à un article de Seth Godin que j’ai lu il y a 7 mois de ça, dans lequel il me demandait (à moi et aux 50.000 autres lecteurs de son blog) si je mettais assez d’herbes dans mon marketing.
Ca m’avait interpelé, mais pas frappé.
Je l’ai donc gardé dans un coin de ma tête en me disant que je traiterai de ce sujet plus tard, et là… boum !
Cela vient de s’imposer à moi comme une évidence.
Je dois vous faire un aveu à mon sujet : A un certain moment de ma vie, j’ai été pizzaïolo.
Oui ! C’est insolite mais pourtant vrai.
Bon ça n’a pas duré longtemps. Le temps d’une saison de sport d’hiver pour être exact. Mais quand même…
Ca m’a donné l’occasion de tester quelques petits trucs qui ont fait réaliser une saison assez remarquable pour mon boss de l’époque. En tout cas en termes de CA “pizza”.
Ce truc, je l’ai appelé le petit truc en plus.
Dans le resto où je bossais, ça donnait des sorties du genre : “On revient ici car votre pizza avait un truc spécial qu’on a trouvé excellent. C’était quoi ?”
Oui. Moi, dans ma pâte à pizza, je rajoute un ingrédient qu’on ne voit jamais sur aucune recette : Du thym moulu. Et dans ma sauce tomate, je rajoute… une cuillère à café de whisky et une cuillère à café d’ail haché à cru pour un litre de sauce .
C’est rien du tout. Juste deux-trois petits trucs en plus.
Mais au final, la pizza qui sort du four a un goût spécial qui a méchamment plu aux clients cette année-là.
Donc ils sont venus, ils ont goûté, ils ont aimé, ils en ont parlé autour d’eux, et ils sont revenus. Mission accomplie.
Vous le voyez, un simple truc en plus peut transformer une simple pizza en quelque chose de différent. De meilleur. Et d’attirant.
Il en est de même avec vos activités sur Internet. Que vous ayez un site web, un blog ou un produit à vendre.
Quel petit truc en plus pouvez-vous proposer à vos lecteurs ou à vos clients, pour qu’ils viennent et qu’ils reviennent ?
Ce petit truc que ne fera pas votre concurrent, et qui vous donnera un avantage colossal sur lui et sur tous les autres ?
Vous êtes-vous déjà posé la question ?
Si ce n’est pas le cas, faites-le. Et essayez de trouver ce petit truc qui manque à votre blog ou à votre produit pour en faire quelque chose de réellement original et unique.
OK, vous avez déjà lu ces mots des milliers de fois : Il faut être original et se démarquer.
Mais aujourd’hui, j’aimerais que vous fassiez plus que de les lire.
J’aimerais que vous vous interrogiez vraiment sur LE petit truc en plus qui fait (ou qui fera) qu’on a (ou qu’on aura) envie de venir chez vous plutôt qu’ailleurs.
Existe-t-il seulement ?
Si ce n’est pas le cas, alors posez-vous 5 minutes, et réfléchissez sérieusement à ce que vous pourriez rajouter d’insolite ou de différent sur vos supports.
Ci-dessous, je vous donne quelques exemples de ce que vous pourriez rajouter sur vos lettres de vente, vos blogs ou avec vos produits pour en faire quelque chose de spécial et d’unique.
Mais le principe c’est que ce soit VOUS qui trouviez LE petit truc que personne ne fait. soit par manque de temps. Soit par manque de compétences. Et que vous, vous arrivez à faire facilement.
Voici quelques idées…
Dans une lettre de vente, ça peut être :
Sur un blog, ça peut être :
Pour un produit d’information du genre ebook, ça peut être :
Pour un produit physique ou un service qui n’est pas de l’info-produit :
Comme je vous le disais plus haut, c’est seulement vous qui pouvez trouver LE petit truc en plus qui vous correspondra le mieux.
Vous pouvez bien sûr vous inspirer de la liste que je vous ai mise ci-dessus, ou bien encore des autres blogs que vous visitez.
Mais ce qui fera la différence, c’est ce que VOUS vous ferez d’unique.
Une bonne manière de le trouver, plutôt que de chercher ce que font les autres blogs, c’est plutôt de chercher ce qui manque.
Ce que vous aimeriez bien voir sur un blog que vous visitez. Un truc qui vous faciliterait la vie.
Si vous faites plusieurs blogs et que vous constatez que ce que vous cherchez ne s’y trouve pas, alors vous tenez une bonne piste.
Donc expérimentez-le chez vous. Si ça fonctionne, ça ne devrait pas trainer : Votre trafic va augmenter, et vous verrez bientôt la même chose à d’autres endroits.
Vous n’aurez plus qu’à chercher un autre petit truc en plus. :)
Habituez-vous donc à rajouter chaque mois un petit truc en plus sur votre blog.
Ca permet de surprendre votre communauté, et l’avantage d’être le premier, c’est que vous devenez alors une référence que l’on suit et de qui on s’inspire.
Et ça c’est LE petit truc en plus qui est incopiable !
10 NOVEMBRE 2011
Je viens de lire un article assez sympa sur le blog Marketing Bienveillant, qui parle de la garantie utilisée par un certain nombre de vendeurs sur Internet.
Cet article est plein de bon sens et de bonnes idées, pour autant, il faut bien distinguer deux choses très importantes en ce qui concerne la garantie.
Et ceci totalement indépendamment de l'éthique et de la prospérité.
La première chose à considérer est celle-ci :
Je l’ai déjà dit, mais lorsque vous vendez ou achetez quelque chose sur Internet, le délai légal de rétractation est de 7 jours francs à compter de la réception de la marchandise.
7 jours francs, ça veut dire que le samedi et le dimanche ne sont pas inclus.
MAIS… ce n’est pas tout.
Cette garantie de 7 jours DOIT impérativement être écrite en toutes lettres dans les conditions générales de vente, et ce MÊME si le délai est plus grand.
Si ce n’est pas le cas, alors elle passe de-facto à 3 mois.
Ce n’est pas moi qui le dit, c’est le code de la consommation. Avec l’article L121-19 (pour les CGV) et l’article L121-20 (pour la mention du délai).
Si vous annoncez un délai plus grand (par exemple 90 jours ou même 365 jours), ce n’est plus législatif. Ca devient contractuel.
Il y a une grande différence entre ces deux concepts.
Un contrat est signé par les deux parties. Le vendeur (vous) et l’acheteur (votre client).
Sur Internet, la “signature” peut être matérialisée par une case à cocher qui dit que le client a lu et qu’il accepte les Conditions Générales de Vente de votre produit.
La partie législative (rétractation, obligation d’informations sur le vendeur, etc…) n’a pas besoin de signature. Elle est implicite (nul n’est censé ignorer la loi).
Et elle n’est donc soumise à aucune condition.
Par conséquent, proposer une garantie de X jours ne vous dispense pas d’indiquer le délai légal sur vos CGV. C’est 100 % obligatoire.
Vérifiez tout de suite si ce délai de 7 jours est bien indiqué sur vos CGV.
Et rajoutez un article supplémentaire juste dessous qui dit que VOUS, vous décidez de porter ce délai de rétractation à X jours (30, 90, 365, etc…).
Et en tant qu’acheteur, si vous constatez que le vendeur annonce un délai de remboursement de 365 jours (par exemple) sur sa page de vente, mais que ce délai n’est pas mentionné sur ses CGV (dont vous devez accepter le contenu en cochant une case), alors dites-vous bien que ce délai n’existe en réalité pas.
Vous ne pourrez donc pas réclamer quelque remboursement que ce soit au bout de votre période d’essai.
Ceci étant dit, voyons tout de suite le deuxième côté de la garantie.
Vous savez, sur Internet, on en lit de belles à propos de ce délai de rétractation.
Notamment le fait que pour un produit qui se livre par téléchargement, le délai de rétractation ne fonctionne pas.
En fait, on peut dire ce qu’on veut.
Le plus important, c’est qu’il est du devoir de chaque vendeur de respecter ses engagements, en tout cas en ce qui concerne les remboursements.
Et ce n’est ni une question de juridisme, ni une question de contrat.
C’est une question de bon sens.
Dans les débuts de la vente sur Internet, c’était déjà très risqué pour un vendeur qui ne remboursait pas ses clients en cas de demande. Mais de nos jours, ce serait carrément suicidaire et à plus d’un titre.
On peut voir des jaloux raconter un peu n’importe quoi sur une formation qu’ils n’ont pas suivie. En se basant juste sur la lettre de vente.
Ce genre d’article engage celui qui écrit la critique, mais ceux que ça touche n’auraient de toute façon pas acheté le produit. Donc c’est très peu important pour le vendeur.
Un coup de gueule d’un CLIENT qui a voulu se faire rembourser et qui ne l’a pas été, c’est un tout autre registre.
Article ou commentaire de blog, post sur les forums, Twitter, Viadeo, Facebook, etc…
Il existe aujourd’hui des centaines de manières de communiquer, et la propagation d’un non remboursement avéré est le pire qui puisse arriver à un vendeur.
Et c’est pour cela qu’on voit très rarement des messages de ce genre. Parce que dans pratiquement 100% des cas, les vendeurs remboursent ceux qui le demandent.
C’est la base du commerce, et c’est SURTOUT la règle numéro 1 à laquelle il ne faut JAMAIS déroger sur Internet :
Un client n’est pas satisfait, on le rembourse sans discuter. A tous les coups.
Donc, rappelez-vous bien d’une chose :
Que vous mettiez un délai de 30 jours, 60 jours, 365 jours ou même plus, avec ou sans condition, si un jour un client vous demande de le rembourser, remboursez-le sans discuter.
Il n’existe aucune issue positive à une demande de remboursement qui n’est pas honorée.
Même si la demande est faite hors délai.
Cela arrive relativement peu souvent, mais quand ça arrive, acceptez-le. Même si ça fait mal.
Pas parce que c’est la loi. Ou parce que le client a signé un contrat.
Non.
Simplement parce qu’une réputation de vendeur qui ne respecte pas ses engagements, c’est la mort assurée de ses affaires en quelques semaines.
Donc vous pouvez mettre les garanties que vous voulez sur votre page de vente, pensez bien à les respecter. Et à dire que vous le faites.
C’est le gage d’une activité pérenne et saine.
9 NOVEMBRE 2011
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