Ecrivez facilement des textes qui font agir
Ressources gratuites pour Copywriters | Pourquoi ? | Un article au hasard
Faire de la rédaction web, c'est écrire sur son blog de telle sorte que son contenu plaise autant aux visiteurs qu'aux robots des moteurs de recherche, afin que vos articles soient trouvés sur Google, par exemple.
C'est un vrai métier, que l'on est obligé de pratiquer quand on a un blog. En tout cas, c'est une activité qui est fortement recommandée.
Aujourd'hui, nous vous avons trouvé 3 gros articles qui vous donnent plein d'astuces, de techniques et d'outils pour faire de la rédaction web avec brio.
Du blog Redacteur.com
Un rédacteur web efficace doit obéir à plusieurs règles d’or pour réaliser ses objectifs de référencement et de satisfaction du client. Voici dix règles d’or que tout web rédacteur devrait suivre.
On n’écrit pas pour le web comme on écrit pour un magazine papier. Pour être efficace et espérer avoir des lecteurs, un rédacteur web doit s’appuyer sur un certain nombre de règles de rédaction spécifiques au média web.
But de la manœuvre : informer, convaincre et améliorer son référencement naturel. Le point sur les règles d’or de la rédaction web.
Le rédacteur web rédige des articles pour le compte d’un client, souvent une entreprise. Si l’objectif premier de la rédaction web est de bien se positionner sur les moteurs de recherche, le rédacteur web doit aussi très bien connaître son client. Règle N°1 : il convient de définir les mots clés qui ont le plus d’importance pour lui en fonction de son activité et de son public cible.
De Morgane Kerninon du blog Webmarketing & Co'm
Les outils de la rédaction web, ce ne sont pas qu’un clavier et un écran connecté au WiFi. Votre mallette doit être un peu mieux fournie !
Pour l’écriture à proprement parler mieux vaut avoir un bon dico à portée de la main et un Bescherelle sous le coude. Mais un content marketing de qualité nécessite d’autres actions. En tant que rédactrice web, j’ai besoin de nombreux outils pour orienter mes choix, gagner en efficacité et en productivité.
Je vous livre ici 30 outils de la rédaction web indispensables au quotidien ou presque. Ils sont tous disponibles gratuitement, même si certains s’avèrent vite limités dans cette version.
Voici ma boîte à outils de la rédaction web.
De Alexandre du blog Digitad
Votre contenu est-il visible sur les moteurs de recherche ? Et s'il est visible, est-il suffisamment engageant pour convertir vos visiteurs en clients ? Si vous n'êtes pas en mesure de répondre par oui à ces deux questions, il est grand temps d'apprendre la rédaction web optimisée ! Bonne nouvelle, cet article est fait pour vous.
Notre guide de la rédaction web vous permettra de répondre aux questions suivantes :
Découvrez le guide complet ici…
Comme vous avez pu le voir, ces 3 articles sont très pros, et orientés rédaction web professionnelle.
Cela devrait vous donner de bonnes idées pour modifier un peu votre façon d'écrire afin d'être encore mieux trouvé sur Google.
L'objectif n'est pas forcément de tout appliquer mais de rajouter un élément à chaque fois que vous écrivez, semaine après semaine.
C'est comme tout, cela demande de l'entraînement, mais au final, le succès de ce genre d'activité se voit très vite sur vos résultats.
Attaquez demain :)
16 MAI 2020
Savez-vous quel est le "degré de sympathie" de votre site web, vos articles de blog, vos emails ou de vos pages de vente ?
Saviez-vous que la sympathie d’un texte, quel qu'il soit, est mesurable ?
Voici comment…
Si vous avez quelques notions de copywriting, ce qui doit forcément être le cas si vous lisez ces lignes, alors vous avez certainement appris que le mot le plus important qu’on emploie sur une lettre de vente c’est le mot "vous" et tout ce qui s’y rapporte (votre, vos, tu, tes, ton, etc…). C'est ce qu'on appelle les MOTS D'OR.
Il s’ensuit que le mot le moins important est donc son contraire, à savoir le bon vieux "Nous" et ses dérivés (nôtre, nos, moi, mien, etc.). C'est ce qu'on appelle les MOTS INTERDITS.
J'ai donc créé un outil en ligne qui calcule le rapport entre le nombre de mots d'or qu'il y a dans un texte, par rapport au nombre de mots interdits.
Le résultat obtenu est un ratio baptisé "Sympathomètre".
Et donc forcément, plus le sympathomètre de votre texte est haut, et meilleur c’est pour vous.
Comment ça fonctionne ?
Prenez un texte, n'importe lequel. Une page de vente, un article, un mail, une page complète d'un site ou d'un blog, même, si vous voulez.
Copiez et collez ce texte dans le Sympathomètre, et vous obtiendrez le nombre de mots de votre texte, le nombre de mots d'or, et le nombre de mots interdits. Il ne vous restera plus qu'à améliorer ou non votre texte.
Pour accéder à cet outil de calcul, il vous suffit de laisser votre prénom et votre adresse email dans le formulaire ci-dessous. Vous recevez l'accès à cet outil et aux autres en quelques secondes.
Je ne sais pas ce qui arrive aux blogueurs - et aux créateurs de sites - en ce moment, mais j'ai l'impression que la mode du gris sur blanc refait surface...
C'était déjà une hérésie il y a quelques années, mais aujourd'hui, à l'ère des smartphones, où 95% des consultations de sites & blogs sont faites via ce média, c'est encore pire.
Si je vous écris quoi que ce soit comme ça, et que vous êtes dans la rue en plein soleil avec votre téléphone, je me demande comment vous pouvez lire ça. Je pourrais vous traiter de sapajou à cornes, que vous ne le sauriez même pas.
Et pourtant, le nombre de sites ou de blogs qui se croient "design" et dans le vent en écrivant comme ça est colossal.
Donc, au risque de passer pour un vieux croulant qui radote, je me permets de rappeler que la bonne couleur pour un texte qui se veut impactant, c'est noir ou gris très foncé sur un fond blanc ou très clair. L'idéal étant évidemment du noir sur blanc.
La grille est facile.
Quand on s'y connait un peu en html, vous avez les couleurs web qui vont du #000000 (noir) au #FFFFFF (blanc).
Les deux premiers chiffres, c'est la quantité de Rouge, les 2 suivants c'est la quantité de Vert, les 2 derniers, la quantité de Bleu.
Pour obtenir du gris, il faut que les 3 groupes de chiffres soient identiques.
Ainsi, les nuances de gris partent de #010101 à #FEFEFE
Avec les infos ci-dessus, voici donc les 14 "codes couleur" de base d'un texte en gris :
Vous comprenez, avec ce nuancier, que si vous souhaitez que votre texte soit lisible, son code couleur ne doit pas commencer au dessus de 5 avec un fond blanc.
Tout ce qui est au-dessus est difficilement lisible, tout simplement.
Si votre public est jeune, vous pouvez vous permettre d'aller un peu au-dessus. Mais si votre lectorat a plus de 35 ans, sachez que c'est très très pénible pour eux de lire des polices qui démarrent à plus de 5. Donc ils s'arrêtent, tout simplement.
Et notez également que le mieux, c'est le noir sur blanc. Toujours.
Les journaux sont écrits comme ça, les livres aussi. Ce n'est pas pour rien...
Les adeptes du design sont sûrement déjà morts à la lecture de ce texte, mais on s'en fout parce qu'ils n'arriveront jamais à lire ça...
15 MAI 2020
Le 21 octobre 2006 a marqué pour moi la fin d'une période harassante.
3 mois de développement logiciel intense, fichier d'aide visuel énorme, et au final, un logiciel parfait pour mes clients.
J'avais fait un truc vraiment "d'enfer" comme on dit, et j'étais sûr de faire un carton. J'avais mis ce logiciel à 49 euros, je me suis dit : "Il va s'arracher comme des petits pains, moi qui ai plutôt l'habitude de vendre des logiciels à 147 €".
Je prépare donc une page de vente comme pleine de copywriting, j'envoie mon mail, et j'attends...
Une semaine plus tard, je fais le bilan : 73 ventes. Une vraie misère ! Mon plus gros fiasco en turf. Un chiffre d'affaires de même pas 4000 euros !
Dans ces moments-là, c'est la grosse déprime en ce qui me concerne. Mais surtout, beaucoup d'interrogations : Qu'a-t'il bien pu se passer pour que ça soit un fiasco pareil ??
J'ai trouvé le souci 3 mois plus tard.
Devant ce fiasco, j'ai eu une idée : rajouter une toute petite fonction sur le logiciel d'origine, histoire de modifier légèrement la page de vente, et j'ai renvoyé un mail sur la même liste que 3 mois en arrière.
Par contre, là, j'ai mis le logiciel à 98 €.
Résultat : 125 ventes ! Sur la même liste ! Avec un prix doublé. Incroyable.
Ce qui fait que ma première opération m'aurait fait gagner 5000 euros de plus si j'avais su évaluer mon produit d'une meilleure manière.
Depuis ce jour, je ne fixe plus un prix "à la louche".
J'en fixe 3, et je demande à mes clients de choisir lequel ils préfèrent.
Enfin quand je dis "je demande", ce n'est pas vraiment ça !
Je vous explique ça un peu plus bas, mais auparavant, je voudrais mettre les choses au point en ce qui concerne les prix de vente que vous fixez pour vos produits.
Quand vous en êtes arrivé à déterminer le prix de votre produit, on assiste alors généralement à ce que j'appellerais "une crise d'ego".
Normalement, un prix, ça se fixe en fonction de plein de paramètres. Les concurrents, le prix "marché", la valeur perçue du produit, le coût de revient, etc...
Toujours normalement, l'ego ne devrait pas rentrer en ligne de compte.
Je veux dire qu'on vous a appris, à l'école ou ailleurs, qu'il fallait mieux mettre 9,99 € que 10 €, qu'un CD ça ne vaut pas plus de 14 euros, et que pour un livre numérique, 97 € c'est beaucoup trop cher.
Le souci c'est que tout ça, c'est de l'ego en or massif. Ça ne prend pas du tout en compte le facteur le plus IMPORTANT dans le calcul du prix. A savoir :
Car en dépit de toute votre expérience, de tous vos a-priori sur le prix "marché", de toutes vos idées reçues basées sur la concurrence, à la fin, c'est toujours le client qui décide !
Si votre prix est trop cher pour lui, parce qu'il n'a pas le budget pour ce type de produit, ou parce que la valeur perçue de votre produit ne correspond pas au prix que vous avez fixé, hé bien le client ne vous achètera rien !
Conclusion : Ne fixez JAMAIS un prix en vous basant sur votre expérience. Basez-vous toujours plutôt sur des tests grandeur réelle !
Si vous ne testez pas en direct et en réel votre prix, alors vous laissez votre ego prendre le dessus, et vous avez donc encore le risque potentiel de fixer un prix non accepté par votre clientèle !
Vous l'aurez compris, l'idéal c'est de tester votre prix, en en proposant plusieurs à vos clients, et en choisissant au final celui qui vous permet de vendre plus.
Tout le reste n'est que de la littérature.
Attention : En France vous ne pouvez pas vendre un produit à 3 prix différents EN MÊME TEMPS.
Vous êtes obligé de faire vos tests par étapes.
Voici comment je procède :
Je prends 20% de ma liste, et je scinde ce nombre en 3 car je prends toujours 3 prix en test.
Vous n'êtes même pas obligé d'attendre une semaine. En 3 jours, vous pouvez avoir tout réglé.
Bien entendu, tout doit être identique, à part le prix.
Vous notez donc les résultats, et quand vous avez mis en évidence la proposition qui emporte le plus de ventes, vous pouvez donc généraliser votre envoi aux 80% restants.
C'est véritablement la seule manière de fixer un prix au plus juste, en vous basant sur ce que pense celui qui achète (qui est le seul qui fait foi dans la vente).
La lettre de vente ne pourra pas grand chose pour vous, pour aussi bon copywriter que vous soyez, si le prix auquel vous vendez votre produit n'est pas adapté AUX YEUX DE VOTRE CLIENT.
Pensez-y !
Dans ce cas précis, l'ego fait perdre des sommes colossales aux marketeurs un peu trop sûrs d'eux !
Et vous ? Avez-vous déjà essayé de tester vos prix ou les déterminez-vous vous-même ?
Après avoir lu cet article, comptez-vous essayer de les tester vous aussi ?
13 MAI 2020
Le choix... C'est ce qui fout le plus le bazar aujourd'hui. Et ce quel que soit le domaine.
Dans le domaine de la création de contenu (écrire un article, publier une vidéo, mettre un post sur Facebook), chercher un sujet peut vous prendre pas mal de temps.
Voilà pourquoi parfois, il peut être sympa de s'en remettre au hasard pour décider à votre place.
J'ai donc eu l'idée de créer un outil pratique pour vous si vous cherchez le sujet de votre prochain article ou de votre prochaine formation.
Le voici :
[xyz-ips snippet="GenererNbAleatoire"]
Indiquez l'intervalle de nombre voulu (j'ai mis entre 1 et 20 à la base, mais vous pouvez mettre les nombres que vous voulez), puis cliquez sur le bouton "Générer". Le nombre s'affiche dans le carré rouge.
Il y a plusieurs façons d'utiliser ce générateur de nombre aléatoire.
Si vous avez un blog et que vous avez bien fait votre travail, alors vous devriez avoir une liste de thèmes à traiter pour vos articles.
En ce qui me concerne, il y a des dizaines de thèmes de base liés au copywriting. En voici 15 :
Ensuite, j'ai une bonne centaine de structures et de thèmes d'articles à écrire. En voici 9 :
Admettons que je ne sache pas quoi écrire aujourd'hui...
Je commence par lancer le générateur en mettant entre 1 et 15 (admettons que j'obtienne 11).
Je vais donc traiter de stratégie de contenu.
Ensuite j'envoie à nouveau le générateur entre 1 et 9. J'obtiens 8.
Je vais donc écrire un article sur la stratégie de contenu en utilisant le thème du meilleur conseil. Ce qui donne :
Mon meilleur conseil pour écrire des articles captivants
Ça n'écrira pas votre article à votre place (encore que j'ai dans ma besace des outils qui le font à 90%), mais ça vous donne une bonne manière de démarrer l'écriture d'un article.
Bien souvent, ce qui nous bloque quand on cherche à écrire des articles, c'est de choisir sur quoi on va se lancer.
Et plus il y a de thèmes, pire c'est.
Vous connaissez ce fameux test des pots de confiture qui avait mis en évidence le fait que plus il y a de choix, moins les gens agissent ?
Dans un hypermarché, il y a avait une table à l'entrée avec un choix entre 25 pots de confiture.
Ils ont laissé cette table tel quelle pendant 4 heures, et ils ont mesuré le nombre de ventes de pots de confiture.
Ensuite, ils n'ont laissé le choix qu'entre 2 pots de confiture. Et au bout de 4 heures, ils ont comptabilisé le nombre de ventes.
Résultat : 5 fois plus de ventes quand il n'y avait que 2 pots.
Pourquoi ? Parce que lorsqu'il y a trop de choix, les gens préfèrent ne rien faire plutôt que de se planter.
Quand on veut écrire un article, c'est un peu pareil : on a tellement de sujet qu'on hésite beaucoup avant de choisir celui que l'on va traiter.
Se faire aider par le hasard est salutaire.
D'autant que c'est faisable à l'infini.
En effet, pour reprendre l'exemple de la stratégie de contenu ci-dessus, vous avez encore plusieurs thèmes à l'intérieur de ce thème de base :
Vous pourriez alors relancer le générateur une troisième fois pour choisir parmi ces 8 sous-thèmes.
Ça donnerait un truc du genre :
[xyz-ips snippet="Generer3NbAlea"]
3 nombres générés, vous n'avez plus qu'à traiter le thème choisi (case rouge) le sous-thème indiqué (case violette) avec la structure correspondante (case verte)
Voilà comment on court-circuite son mental en 3 secondes... :)
Il ne vous reste plus qu'à créer vos listes et à lancer la machine pour lutter contre la page blanche.
11 MAI 2020
A moins que vous n'ayez vécu dans une grotte depuis un an, vous ne pouvez pas être passé à côté de l'Agent Conversationnel "ChatGPT", baptisé pour l'occasion "Gepetto" sur ce blog.
Il a vu le jour en novembre 2022, mais a réeellement explosé à partir de février 2023, en récupérant 100 millions de membres en moins de 8 mois.
On n'avait pas vu de croissance pareille depuis bien longtemps.
Il est donc important d'apprendre à maîtriser cet outil (car, OUI, ce n'est qu'un outil) pour gagner un temps phénoménal dans des milliers d'actions.
En ce qui me concerne, je l'utilise tous les jours pendant 2-3 heures, et j'écris régulièrement des articles dessus pour vous apprendre à l'utiliser aussi, avec ou sans objectif d'améliorer votre copywriting.
Voici les plus populaires :
Et si vous voulez recevoir de temps en temps des "prompts" ou des "invites" en français, par mail, alors inscrivez-vous en tant que membre de ce blog, et une fois inscrit.e, demandez à recevoir l'article du jour par email.
J'envoie fréquemment un nouveau prompt intéressant en PS, en plus de l'article. De quoi vous faire souvent gagner un temps fou.
Pour devenir membre, indiquez juste votre prénom et l'adresse email juste là :
Allez, aujourd'hui, on va regarder une petite succession de spots sympa, dont un (anti-Trump) qui a connu un succès colossal, à cause d'une simple connerie du mec concerné (Trump, donc).
Je vous laisse découvrir tout ça dans cette vidéo (entre autres bijoux), et je vous retrouve après, pour la leçon à tirer de tout ça.
Vous l'avez vu, il a suffit d'un simple [Remplacez avec ce que vous avez vu dans la vidéo] pour que la vidéo passe de 11000 à 10 millions de vues en quelques heures...
Trump doit s'en mordre les doigts maintenant...
Ça rejoint l'astuce dont parle Jérémy dans le livre sur la manière d'avoir un blog sans rédiger dont je vous parlais hier, avec les stars qui débarquent sur votre blog à cause d'une simple erreur.
Et quand elle est volontaire, c'est encore plus jouissif.
Un jour, je travaillais dans une agence immobilière, et vers midi moins 5, on a reçu un fax qui disait un truc du genre : "Salut Sophie, n'oublie pas d'acheter du MachinTruc avant de rentrer, car ils seront en rupture à partir de lundi. J'en parle aussi à Michel."
Il n'y avait aucune Sophie ni aucun Michel dans cette agence, et j'ai pris le parti d'appeler le numéro qui se trouvait sur le fax. Je suis tombé dans une agence de marketing qui notait combien de gens appelaient suite à cette soit-disant erreur.
Ils en profitaient pour proposer leurs services de publicitaires.
Génial non ?
Bref... Ici encore, n'hésitez pas à sortir des sentiers battus pour attirer du monde chez vous.
Les erreurs ou les "fausses" polémiques orchestrées font se déplacer les foules.
C'est un moyen comme un autre de sortir du cadre, de mettre du fun dans son job, et de faire en sorte que l'on se souvienne de vous pendant longtemps.
Ça me fait penser à ces deux jeunes qui avaient fait une fausse vidéos d'un accident de bus, pour se faire remarquer en tant que publicitaires.
Ils avaient été engagés direct par une grosse agence.
Si je retrouve la vidéo, je vous la mettrai un de ces dimanches.
Pour aujourd'hui, voici la photo du jour : :D
Un excellent dimanche à vous.
10 MAI 2020
Il parait que c'est le souhait de plus de 3 personnes sur 4 : écrire un livre au moins une fois dans sa vie.
Pas forcément pour le publier.
On peut aussi le donner, s'en servir pour le vendre à la fin d'une conférence, ou tout simplement pour évacuer quelques casseroles qu'on se trimbale depuis des années.
Quoi que vous décidiez d'en faire, le challenge reste quand même de l'écrire, ce fameux livre. Roman, guide, recueil... tous les styles sont bons.
Aujourd'hui, nous avons trouvé 3 articles de qualité qui vous donnent des astuces des conseils et des secrets pour vous aider à écrire votre livre.
Attaquons tout de suite avec le premier :
De Virginie Vincent du blog Prom'auteur
Avant d’envisager l’édition ou l’autoédition, il va de soi qu’il faut d’abord avoir un livre à éditer. Or, l’écriture d’un ouvrage n’est pas toujours une chose à facile à aborder, surtout si c’est le premier.
C’est pour ça qu’aujourd’hui, j’aimerais vous donner 10 conseils pour écrire un livre. Ces conseils-là, d’autres me les ont donnés et je ne les ai pas toujours suivis, croyant être trop différente pour qu’ils fonctionnent pour moi. Et pourtant, bizarrement, dès que j’ai commencé à tous les appliquer, tout a beaucoup mieux fonctionné !
Alors je vous les partage pour que vous aussi vous puissiez écrire tous ces livres que vous avez envie d’écrire, qu’ils soient de fiction ou pas !
Ne vous jetez pas à corps perdu dans l’écriture dès que la moindre petite idée pointe le bout de son nez. Prenez le temps de l’évaluer, de voir jusqu’où vous pourrez aller avec elle, ce que vous pourrez en tirer.
Toutes les idées ne sont pas bonnes à écrire : certaines ont déjà été traitées des milliers de fois, d’autres n’ont juste rien à raconter.
Si, après réflexion, vous vous rendez compte que votre idée fait partie de celles qui ne sont pas bonnes à écrire alors vous pouvez :
Du blog Monbestseller
Écrire un livre est souvent une nécessité vitale d’expression. Il n’est pas nécessairement destiné à la publication. C’est une question importante qu’il faut se poser préalablement avant d’entreprendre ce lourd chantier. Car bien évidemment le degré d’exigence ne sera pas le même selon que vous écrivez pour vous, pour vos proches ou pour le grand public.
Quoique… C’est, dans le premier cas, un moyen d’expression libératoire qui permet de guérir ses angoisses, de formaliser ses propos à soi-même ou de se reforger des vérités. Ou bien, dans l’autre cas, un travail pour les lecteurs, le grand public. Les exigences formelles sont alors souvent supérieures et il faudra se plier aux règles et à la discipline de la littérature. Avant même d’écrire un livre, il est bien sûr nécessaire de s’interroger sur le genre littéraire qui vous sied.
Du blog Librinova
Je suis ravie de participer à la série « Conseils d’auteurs à auteurs » de Librinova. Je vais vous parler de l’organisation (mes proches ne trouveront pas ça bizarre du tout !). Vous avez envie d’écrire, mais vous doutez d’avoir le temps pour cela ? Découvrez mes conseils d’organisation pour écrire un roman . Rassurez-vous, cet obstacle est surmontable (même si vous n’y croyez pas encore).
Je suis en train d’écrire mon cinquième roman qui est la suite de mon premier roman historique, Le Vent des Lumières, d’abord auto-publié chez Librinova en 2015 et republié par City Editions en juillet 2017 après avoir intégré le Programme Agent littéraire de Librinova. En 2015, j’ai publié mon deuxième roman, Oraison pour une île, et en 2016, deux autres romans : Petite Mouette et Les Ombres de Brocéliande.
Quatre romans en deux ans, c’est beaucoup (et pourtant peu par rapport à certains auteurs qui en sortent cinq ou six par an !). Vous êtes peut-être en train de vous dire que je ne fais que ça, que je n’ai pas de métier à côté, ni d’enfants dont je dois m’occuper. Eh bien, vous avez tort… Je travaille à plein temps comme chargée de communication et de la vie culturelle, je suis mariée, j’ai deux filles et une maison à faire tourner. Je fais aussi des nuits normales et je déteste me lever tôt le matin… Quel est mon secret pour arriver à écrire malgré toutes ces occupations ? Il tient en un mot : l’organisation (ça tombe bien, c’est le sujet de mon article), mais je vais décliner ce mot en quatre secrets. Vous me suivez ?
Vous devriez considérer ces 3 articles comme des portes vers quelque chose de plus grand.
En effet, une fois sur les blogs respectifs des auteurs, vous pourrez trouver des centaines d'autres astuces pour vous aider à écrire votre livre.
Et une fois qu'il sera terminé, quand vous en serez à le vendre, venez me voir. J'ai beaucoup de ressources pour vous y aider. :)
9 MAI 2020
Il y a quelques jours, je vous parlais d'une pub que j'ai trouvé gonflée, où le gars criait à qui veut l'entendre qu'écrire des articles chaque jour était absurde et réservé aux loosers de l'Internet.
J'ai craqué, et j'ai cliqué...
Et là, je suis tombé sur une vidéo qui faisait l'apologie de la vente de coaching entre 4000 et 10000 € à l'exclusion de tout autre style d'offres.
Étaient mis dans le même panier les petits produits à 7 €, ceux à 27, 97, 147, 497, et même ceux à 2000...
Selon le vendeur, tous les articles à des prix inférieurs à 4000 euros sont le signe que ce sont des produits de médiocre qualité qui n'apportent aucune valeur aux clients.
Bien évidemment, je n'ai pas besoin de vous dire combien ces propos sont débiles...
Si vous bossez sur Internet depuis quelques années - ou même si vous débutez - alors vous savez qu'il est indispensable d'avoir tout une gamme de produits de différents prix et de différents types.
Et bien évidemment aussi, chaque produit doit être de la meilleure qualité possible, qu'il coûte 7 € ou 2000.
Est-ce qu'il viendrait à l'idée d'une personne sensée de proposer un produit médiocre, quel que soit son prix ?
Bien sûr que non !
Ou alors, elle ne ferait pas long feu sur Internet : quand un produit est nul, avec l'avènement des réseaux sociaux, ça se sait vite.
Depuis que je suis sur Internet (1996), j'ai écrit 158 livres, que j'ai donnés ou vendus. Dans différentes niches. Et à tous les prix.
J'en ai fait à 7, à 9, à 6.70 aussi. A 47, 147, et même à 997 dans des niches très pointues.
Je vous encourage également à avoir un petit produit qui tourne aux alentours de 27 euros. Même si vous avez des tarifs bien plus élevés.
Pourquoi ?
Parce que certaines personnes n'ont pas les moyens de mettre 97 € dans un livre, aussi bon soit-il.
Quant à une formation à 1500 euros, il faut bien se rendre compte que beaucoup ne pourront jamais se le permettre, ne serait-ce que parce qu'ils ont peur.
Manque de confiance (en eux, dans le vendeur, dans l'avenir, etc.), manque de motivation, etc.
Un article à 27 euros, qui apporte une grande valeur, il n'y a pas de grand risque. Au pire, la personne perd 27 euros... 2 pizzas.
Mais au mieux, vous avez tout un tas de gens qui n'auraient pas sorti leur CB pour des tarifs de 47 ou 97, mais qui se lancent pour un prix de 27 €.
J'ai eu à faire des lancements vidéo pour des produits à toutes sortes de tarifs.
147, 297, 497, 997 et parfois plus.
Quand vous avez mis le paquet sur votre lancement, à grands renforts de vidéos, de mails, de pubs et de posts Facebook, le produit "de la dernière chance" à 27 euros passe crème, comme vous ne pouvez l'imaginer.
Vous avez proposé une formation en 50 vidéos pour 2000 €, avez longuement argumenté dessus, tant et si bien que 95% des personnes sortent frustrées de tout ça : elles n'ont pas les moyens, mais ce que vous proposez leur fait bien envie.
Quand vous leur mettez sous le nez un produit à 27 euros, qui comporte ne serait-ce que 10% de ce que vous proposez à 2000 balles, beaucoup sautent là-dessus sans réfléchir.
A vous évidemment de faire en sorte que ce que vous proposez pour 27 € soit d'une qualité exceptionnelle. Si c'est le cas, vous aurez des témoignages à la pelle, et vous aurez comblé les frustrations de bon nombres de vos suiveurs.
Sans compter que vous aurez comblé une bonne partie de votre budget pub. Ou fait une provision pour la campagne d'après.
La dernière fois que j'ai fait ça, c'était pour un logiciel à 147 euros. J'en ai parlé pendant 11 jours avec 5 vidéos et 11 mails.
A l'issue de cette campagne, 210 logiciels vendus.
Le 12ème jour, j'ai envoyé la version "express" en ligne à mes 210 clients (en plus du logiciel), et j'ai proposé aux autres (ceux qui n'avaient pas acheté le logiciel) d'accéder à cette version en ligne pour 27 euros.
J'en ai vendu... 122. Soit 3294 € en plus, grâce à des gens qui n'auraient jamais acheté un truc à 147 euros.
Ça fait plus de 20 ans que j'achète des livres sur Internet. Et j'en ai vu de toutes les couleurs.
Le pire de tout ce que j'ai acheté était une méthode de turf (courses de chevaux) qui proposait de prendre une pièce de monnaie, de la lancer en l'air, et de choisir un numéro pair à jouer si on tombait sur pile et sur un numéro impair si c'était face. Le mec vendait ça... 297 €... C'est lui qui a le podium du pire foutage de gueule de l'histoire.
Le deuxième pire était un ebook vendu 27 euros qui, une fois les lignes vierges enlevées, faisait 14 pages, et l'auteur se proposait d'expliquer comment sortir d'un interdit bancaire, avec des infos qui ont été obsolètes au bout de 3 semaines. J'ai même fini par apprendre que ce n'était même pas lui qui avait écrit le livre...
Oui, on en voit des belles, parfois...
Je vous confirme qu'il n'y a pas besoin de prendre un coaching à 4000 balles ou plus pour trouver de l'ultra-qualité.
Certaines personnes fournissent cela dans des petits produits très accessibles en termes de tarif, avec une valeur exceptionnelle.
Et je vous engage fortement à en faire de même !
Cela ne vous empêche pas de proposer des produits haut-de-gamme.
Mais si vous n'avez pas de produit en-dessous de 50 euros, vous perdez 50.000 euros par an. Minimum.
8 MAI 2020
Tous les membres de Copywriting Pratique ont accès à 6 outils pratiques en ligne dont :
Ces outils sont accessibles gratuitement pour tous les membres.
Intéressé.e ? Remplissez simplement le formulaire ci-dessous, et recevez votre accès à tous les outils disponibles :
Il y a eu un bug dans l'envoi et l'écriture de mon article d'hier.
Je pensais avoir tout bien fait, mais je me suis trompé de date. Il est donc paru aujourd'hui.
Bon, j'ai corrigé et il apparaît donc à la date d'hier (l'un des gros avantages à avoir un blog).
Loupé par contre pour l'email envoyé aux membres. Donc, si vous lisez l'article d'aujourd'hui par mail, allez jeter un œil sur celui d'hier. Il parlait encore de stratégie de contenu quand on débute un blog.
Ce bug me donne l'occasion de préciser quelque chose d'important à propose de la publication de contenu sur Facebook.
Quand on débute sur ce média de communication, on pourrait croire qu'avoir un simple profil de base permet de communiquer efficacement avec son audience.
Si on le fait tous les jours, oui.
Mais sur un profil perso, on n'a aucune action possible sur la date de publication d'un post.
Il faut une "page Facebook" pour ça. Celle de ce blog, c'est celle-ci : https://www.facebook.com/CopyPratik (profitez-en pour vous abonner).
Quand vous avez une page Facebook, vous pouvez programmer vos publications à l'avance. Comme sur un blog.
Vous pouvez aussi décider de l'heure de publication.
Et vous avez aussi accès à des statistiques détaillées sur les visites de votre page.
En parlant de l'heure, voici les statistiques sur une semaine de l'une de mes pages Facebook :
L'heure qui correspond à notre fuseau horaire est en noir su l'image ci-dessus. On peut par exemple voir que le gros des visiteurs de cette page est là entre 19 et 21h.
On peut donc en déduire qu'il pourrait être judicieux de publier quelque chose dans ces horaires-là pour maximiser la portée de votre publication.
Chose que l'on ne peut absolument pas savoir avec des publications sur un simple profil perso.
D'autant que les infos ne s'arrêtent pas là.
Regardez :
Cette page a 95000 abonnés. Je peux voir aussi que 80% sont des femmes et que parmi elles, 42% ont entre 35 et 54 ans.
Avec tout ce que cela implique pour définir un éventuel avatar client.
Quand vous avez ce genre de données, vous pouvez gagner un temps fou pour savoir qui s'intéresse à quoi. D'autant qu'il y a le même style de statistiques pour chaque publication. Vous pouvez donc classer vos publications par intérêt et définir laquelle est la meilleure, afin de faire de la pub pour attirer encore plus de monde.
Comme je vous le disais précédemment, vous pouvez aussi prévoir une semaine de contenu à l'avance. Et les publier chaque jour à la même heure.
C'est en fait la version "réseau social" d'un blog. Pas besoin d'être devant son ordinateur - ou son téléphone - tous les jours à la même heure.
Vous vous mettez sur vos publications le lundi par exemple, et vous en prévoyez 7 pour la semaine (ou plus).
Sur une page Facebook, le nombre de mots n'est pas important. Ou plutôt si : plus il est court et plus vos mots sont impactants, et mieux c'est pour vous.
Ce qui compte, sur Facebook, c'est l'image que vous mettez.
Elle doit attirer l’œil, et le texte en rapport doit bien refléter ce que vous avez éveillé chez le visiteur.
Si vous arrivez à combiner ces deux actions (texte percutant + image émotionnelle qui arrête le visiteur), vous avez de grandes chances que votre publication soit partagé des centaines de fois.
Vous vous rappelez de cet article, où je vous parlais d'une image + citation qui avait généré plus de 28000 partages sur mon profil perso ?
Au-delà de l'exploit qui a servi à rien du tout, je n'ai aucun moyen de connaître quoi que ce soit de la population qui a partagé ou aimé cette image.
Avec une page, j'aurais tout. Et si mon but était de recommencer, je pourrais adapter mes futures publications à l'audience la plus réactive pour moi.
Bon, là c'est un mauvais exemple car c'était juste un truc pour rire, comme j'en publie fréquemment sur mon profil perso, mais avec un profil professionnel, l'étude des statistiques peut permettre d'être grandement efficace dans la portée de vos publications.
Voilà.
J'arrête là pour aujourd'hui.
Ce bug m'aura donné l'idée de cet article, et je vous donne rendez-vous demain pour l'article que j'avais prévu aujourd'hui, où je vous parle de la suite de mon article de mardi.
Je suis en effet allé voir la fameuse vidéo correspondant à la pub dont je vous parlais (qui a disparu aujourd'hui).
Rendez-vous demain pour... bref... A demain... :D
7 MAI 2020
Il semblerait qu'il y ait deux écoles concernant la création de contenu.
La première est pour une production réduite de contenu au début, au profit d'une promotion des articles existants tant qu'on n'a pas d'audience suffisante.
La seconde est pour une production massive de contenu dès le départ, audience ou pas audience.
Mon choix va évidemment à la deuxième école.
Pour au moins 4 raisons.
La première est qu'au début d'un blog, on n'est pas vraiment aguerri à l'écriture régulière. Il s'ensuit que les articles produits ne sont pas très bon. Il faut au moins 50 articles pour commencer à avoir un style fluide et une certaine facilité à écrire.
Deuxièmement, comme on n'a pas encore d'audience significative, il est techniquement impossible de savoir vraiment ce que les gens attendent. Et la seule manière de le savoir est d'écrire sur un maximum de thèmes, afin de voir les réactions.
Troisièmement, il y a la constante "Google", qui est évidemment l'un des plus importants fournisseurs de trafic gratuit. Et pour "grimper" dans les résultats de Google, il n'y a pas de secrets : il faut écrire, écrire et encore écrire, sur une multitude de thèmes. Afin d'avoir un maximum de chances d'être positionné sur un maximum de termes.
Et pour finir, il faut aussi penser aux premiers visiteurs.
Quel que soit votre sujet, si un visiteur arrive sur votre blog par le biais d'un article, et qu'il n'a pas la possibilité d'en lire au moins 10 autres, vous n'en ferez jamais un abonné. Plus il y a d'articles sur votre blog, et plus les gens sont susceptibles de devenir des suiveurs. Et à termes, des clients.
Cela n'empêche évidemment pas de promouvoir ce qu'on écrit.
Soit par de la pub payante dirigeant sur 2 ou 3 articles, soit en allant commenter d'autres articles ici ou là.
Mais tant qu'un blog n'a pas au moins 50 articles dessus, il a très peu de chances d'être vu et apprécié. Par Google et par les visiteurs.
Conclusion : écrivez encore plus quand vous démarrez.
6 MAI 2020
Je viens encore de tomber sur une pub Facebook d'un gars qui dit un truc du genre :
"Avoir un blog, publier un article par semaine dessus, pire, le faire tous les jours, est la chose la plus absurde que l'on puisse voir en 2020. Et tous ceux qui t'affirment le contraire sont des gros loosers qui n'ont rien compris au business Internet. Viens me voir plutôt, et je vais t'apprendre comment devenir un coach qui attire les clients à la pelle sans que tu aies besoin d'avoir le moindre contenu sur Internet, et même si tu débutes..."
Bon... Au vu des réactions des gens et de la somme de conneries que contient cette pub, j'imagine que c'est un test pour voir si l'argumentation négative fonctionne. Et j'imagine aussi que cette pub disparaîtra des écrans avant ce soir.
Mais bon... Ça soulève tout de même 2 problèmes de fond assez importants.
Le premier, c'est que l'argumentation négative, c'est quelque chose qui se pratique avec conscience et intelligence. Le but n'est pas de dire n'importe quoi histoire de faire réagir les gens.
Pour information, sur Facebook, si vous vous prenez des centaines d'appréciations négatives + des signalements de pub (trompeuses, pour le coup) + des commentaires négatifs, ce n'est pas juste votre pub qui en pâtit : c'est votre business tout entier.
Déjà parce que lors des prochaines pubs que vous mettrez, Facebook vous mettra un flag de surveillance pour voir si vous ne déconnez pas trop, et ensuite parce qu'avec cette surveillance, ils vous feront payer les clics bien plus chers.
Mais quand en plus vous vous payez le luxe de faire passer vos concurrents pour des ignorants, forcément, ça n'encouragera plus les éventuels partenariats.
Donc, déjà, quand on s'essaye à l'argumentation négative, autant être sûr de le faire bien, et de le faire viser par quelqu'un qui saura prévoir les éventuelles retombées négatives de tels ou tels mots (ou actions).
Cette notion d'argumentaire négatif s'appelait autrement dans la vraie vie de commercial d'avant : c'était ce qu'on appelait la technique de la "terre brûlée".
Un gars arrivait, il racontait n'importe quoi pour vendre à tout prix, il vendait, et quand le client s'apercevait ensuite qu'on l'avait un peu enfumé, il décidait alors d'aller voir une autre entreprise pour les commandes suivantes.
Avec les formations sur Internet, c'est pire, car la majorité des gens investissent des fortunes pour quelque chose sensé leur rapporter de l'argent "de manière illimitée en bossant 2 heures par jour",mais au but du compte, ils ne trouvent pas de clients.
Donc c'est un fiasco.
Et c'est là que les petites lignes des conditions générales de vente indiquent que les résultats ne sont pas garantis, qu'il fallait mieux lire, et bla bla bla...
Mais au-delà de l'argumentaire, il y a aussi l'idée derrière celui-ci :
Si vous lisez mes articles régulièrement, vous savez bien ce que je pense de ce genre d'affirmation.
Avec le nombre croissant de blogs, de formations en ligne, de coachs et aussi de gens qui cherchent à gagner de l'argent via Internet, quand vous publiez un article, aujourd'hui, vous êtes au milieu de centaines de milliers d'autres articles.
Qui sont là depuis des mois et des années, voire des décennies.
Donc la seule manière d'être visible, c'est d'écrire plus souvent que les autres, et d'écrire de manière plus rayonnante. j'en ai déjà parlé.
Si vous voulez accompagner des gens en tant que coach (par exemple), il n'y a pas 36 solutions pour que les gens vous trouvent. Soit vous écrivez quelque chose à un endroit où les gens vous voient, soit vous payez cher pour écrire une pub qui va se placer devant leurs yeux à chaque fois qu'ils seront sur un site ou sur Facebook - ou sur Google.
Si vous avez 1000 à 2000 euros d'avance, vous pouvez choisir la deuxième solution. Sans problème. Et espérer que vous avez des arguments assez solide pour trouver le client qui vous paiera votre prochaine pub avant d'avoir dépensé tout votre budget.
Et si vous choisissez cette deuxième solution, vous devrez payer encore et toujours, tout le temps si vous comptez trouver des nouveaux clients.
Mais en plus, en faisant comme ça, vous aurez néanmoins besoin d'avoir un site assez solidement argumenté, à défaut d'un blog où l'on puisse voir ce que vous écrivez, et donc ce que vous valez, parce que quoi qu'en dise l'idiot dont je parlais en début d'article, je vois difficilement quelqu'un vous lâcher 4000 euros comme ça d'un coup sans en savoir un minimum sur vous qui vous proposez de l'accompagner.
Je l'ai toujours dit : c'est très facile de voir ce que vous valez dans un domaine avec 80 articles sur la question. On peut tromper beaucoup de personnes avec une pub et de belles paroles, mais pas une seule ne sera dupe au vu de 80 articles : soit vous écrivez sur quelque chose que vous maîtrisez, soit vous survolez le concept et les gens s'aperçoivent vite que vous ne maîtrisez rien.
Donc, évidemment, si vous publiez des articles tous les jours sur votre blog, des posts sur les réseaux, et des vidéos en direct où vous voulez, sans payer le moindre cent, vous attirerez des gens qui viendront voir ce que vous faites.
Mais vous construirez aussi votre crédibilité et votre notoriété.
Et vous contribuerez aussi à apprendre des choses aux gens, qui vous feront suivre de manière de plus en plus régulière car vos écrits seront partagés.
Et pour finir...
Le pire de l'histoire, selon moi, c'est qu'imaginer qu'on va garder les prospects qu'on a attiré grâce à la pub sans leur écrire régulièrement est une hérésie totale.
Quand vous aurez dépensé 2000 euros pour faire venir 400 personnes vers vous (si votre pub est bien écrite, sinon, ça tournera autour des 200), et que 399 de ces personnes ne vous auront pas lâché le moindre cent, si vous souhaitez les "relancer" de temps en temps, il va falloir vous mettre à écrire.
Et à écrire beaucoup beaucoup. Et souvent.
Par mail, sur un blog, sur des réseaux. Pour que ces fameux prospects finissent au mieux par faire un coaching avec vous, ou qu'au moins vous puissiez leur vendre quelque chose de plus accessible.
Aujourd'hui, il ne viendrait pas à l'idée de qui que ce soit de sensé d'avoir une liste de prospects qui grandit grâce à de la pub très chère, et de ne pas leur écrire fréquemment pour que petit à petit ils se transforment en clients...
Bref, vous l'aurez compris : ceux qui réussissent publient du contenu tous les jours. Pas forcément avec des articles, mais avec des publications sur Facebook, des vidéos ou des emails.
Et toutes les pubs qui vous promettront qu'on peut réussir sans contenu devraient être signalées comme trompeuses.
Présentez-moi une seule personne dans l'accompagnement, le coaching ou la vente de produits numériques sur Internet, qui a réussi sans produire un contenu de masse.
Cherchez combien de mails elle a envoyé à ses prospects. Le nombre de posts de sa page Facebook. Le nombre de vidéos de sa chaîne Youtube. Le nombre d'articles sur son blog. Le nombre d'interviews sur des chaines de TV... Cherchez bien... Il y en a des milliers.
Le contenu est et sera toujours le roi. Et plus on avance vers l'avenir, plus il faudra en fournir. C'est la seule et unique denrée qui permet de réussir.
5 MAI 2020
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