Ecrivez facilement des textes qui font agir
Ressources gratuites pour Copywriters | Pourquoi ? | Un article au hasard
Le choix... C'est ce qui fout le plus le bazar aujourd'hui. Et ce quel que soit le domaine.
Dans le domaine de la création de contenu (écrire un article, publier une vidéo, mettre un post sur Facebook), chercher un sujet peut vous prendre pas mal de temps.
Voilà pourquoi parfois, il peut être sympa de s'en remettre au hasard pour décider à votre place.
J'ai donc eu l'idée de créer un outil pratique pour vous si vous cherchez le sujet de votre prochain article ou de votre prochaine formation.
Le voici :
[xyz-ips snippet="GenererNbAleatoire"]
Indiquez l'intervalle de nombre voulu (j'ai mis entre 1 et 20 à la base, mais vous pouvez mettre les nombres que vous voulez), puis cliquez sur le bouton "Générer". Le nombre s'affiche dans le carré rouge.
Il y a plusieurs façons d'utiliser ce générateur de nombre aléatoire.
Si vous avez un blog et que vous avez bien fait votre travail, alors vous devriez avoir une liste de thèmes à traiter pour vos articles.
En ce qui me concerne, il y a des dizaines de thèmes de base liés au copywriting. En voici 15 :
Ensuite, j'ai une bonne centaine de structures et de thèmes d'articles à écrire. En voici 9 :
Admettons que je ne sache pas quoi écrire aujourd'hui...
Je commence par lancer le générateur en mettant entre 1 et 15 (admettons que j'obtienne 11).
Je vais donc traiter de stratégie de contenu.
Ensuite j'envoie à nouveau le générateur entre 1 et 9. J'obtiens 8.
Je vais donc écrire un article sur la stratégie de contenu en utilisant le thème du meilleur conseil. Ce qui donne :
Mon meilleur conseil pour écrire des articles captivants
Ça n'écrira pas votre article à votre place (encore que j'ai dans ma besace des outils qui le font à 90%), mais ça vous donne une bonne manière de démarrer l'écriture d'un article.
Bien souvent, ce qui nous bloque quand on cherche à écrire des articles, c'est de choisir sur quoi on va se lancer.
Et plus il y a de thèmes, pire c'est.
Vous connaissez ce fameux test des pots de confiture qui avait mis en évidence le fait que plus il y a de choix, moins les gens agissent ?
Dans un hypermarché, il y a avait une table à l'entrée avec un choix entre 25 pots de confiture.
Ils ont laissé cette table tel quelle pendant 4 heures, et ils ont mesuré le nombre de ventes de pots de confiture.
Ensuite, ils n'ont laissé le choix qu'entre 2 pots de confiture. Et au bout de 4 heures, ils ont comptabilisé le nombre de ventes.
Résultat : 5 fois plus de ventes quand il n'y avait que 2 pots.
Pourquoi ? Parce que lorsqu'il y a trop de choix, les gens préfèrent ne rien faire plutôt que de se planter.
Quand on veut écrire un article, c'est un peu pareil : on a tellement de sujet qu'on hésite beaucoup avant de choisir celui que l'on va traiter.
Se faire aider par le hasard est salutaire.
D'autant que c'est faisable à l'infini.
En effet, pour reprendre l'exemple de la stratégie de contenu ci-dessus, vous avez encore plusieurs thèmes à l'intérieur de ce thème de base :
Vous pourriez alors relancer le générateur une troisième fois pour choisir parmi ces 8 sous-thèmes.
Ça donnerait un truc du genre :
[xyz-ips snippet="Generer3NbAlea"]
3 nombres générés, vous n'avez plus qu'à traiter le thème choisi (case rouge) le sous-thème indiqué (case violette) avec la structure correspondante (case verte)
Voilà comment on court-circuite son mental en 3 secondes... :)
Il ne vous reste plus qu'à créer vos listes et à lancer la machine pour lutter contre la page blanche.
11 MAI 2020
Savez-vous quel est le "degré de sympathie" de votre site web, vos articles de blog, vos emails ou de vos pages de vente ?
Saviez-vous que la sympathie d’un texte, quel qu'il soit, est mesurable ?
Voici comment…
Si vous avez quelques notions de copywriting, ce qui doit forcément être le cas si vous lisez ces lignes, alors vous avez certainement appris que le mot le plus important qu’on emploie sur une lettre de vente c’est le mot "vous" et tout ce qui s’y rapporte (votre, vos, tu, tes, ton, etc…). C'est ce qu'on appelle les MOTS D'OR.
Il s’ensuit que le mot le moins important est donc son contraire, à savoir le bon vieux "Nous" et ses dérivés (nôtre, nos, moi, mien, etc.). C'est ce qu'on appelle les MOTS INTERDITS.
J'ai donc créé un outil en ligne qui calcule le rapport entre le nombre de mots d'or qu'il y a dans un texte, par rapport au nombre de mots interdits.
Le résultat obtenu est un ratio baptisé "Sympathomètre".
Et donc forcément, plus le sympathomètre de votre texte est haut, et meilleur c’est pour vous.
Comment ça fonctionne ?
Prenez un texte, n'importe lequel. Une page de vente, un article, un mail, une page complète d'un site ou d'un blog, même, si vous voulez.
Copiez et collez ce texte dans le Sympathomètre, et vous obtiendrez le nombre de mots de votre texte, le nombre de mots d'or, et le nombre de mots interdits. Il ne vous restera plus qu'à améliorer ou non votre texte.
Pour accéder à cet outil de calcul, il vous suffit de laisser votre prénom et votre adresse email dans le formulaire ci-dessous. Vous recevez l'accès à cet outil et aux autres en quelques secondes.
Allez, aujourd'hui, on va regarder une petite succession de spots sympa, dont un (anti-Trump) qui a connu un succès colossal, à cause d'une simple connerie du mec concerné (Trump, donc).
Je vous laisse découvrir tout ça dans cette vidéo (entre autres bijoux), et je vous retrouve après, pour la leçon à tirer de tout ça.
Vous l'avez vu, il a suffit d'un simple [Remplacez avec ce que vous avez vu dans la vidéo] pour que la vidéo passe de 11000 à 10 millions de vues en quelques heures...
Trump doit s'en mordre les doigts maintenant...
Ça rejoint l'astuce dont parle Jérémy dans le livre sur la manière d'avoir un blog sans rédiger dont je vous parlais hier, avec les stars qui débarquent sur votre blog à cause d'une simple erreur.
Et quand elle est volontaire, c'est encore plus jouissif.
Un jour, je travaillais dans une agence immobilière, et vers midi moins 5, on a reçu un fax qui disait un truc du genre : "Salut Sophie, n'oublie pas d'acheter du MachinTruc avant de rentrer, car ils seront en rupture à partir de lundi. J'en parle aussi à Michel."
Il n'y avait aucune Sophie ni aucun Michel dans cette agence, et j'ai pris le parti d'appeler le numéro qui se trouvait sur le fax. Je suis tombé dans une agence de marketing qui notait combien de gens appelaient suite à cette soit-disant erreur.
Ils en profitaient pour proposer leurs services de publicitaires.
Génial non ?
Bref... Ici encore, n'hésitez pas à sortir des sentiers battus pour attirer du monde chez vous.
Les erreurs ou les "fausses" polémiques orchestrées font se déplacer les foules.
C'est un moyen comme un autre de sortir du cadre, de mettre du fun dans son job, et de faire en sorte que l'on se souvienne de vous pendant longtemps.
Ça me fait penser à ces deux jeunes qui avaient fait une fausse vidéos d'un accident de bus, pour se faire remarquer en tant que publicitaires.
Ils avaient été engagés direct par une grosse agence.
Si je retrouve la vidéo, je vous la mettrai un de ces dimanches.
Pour aujourd'hui, voici la photo du jour : :D
Un excellent dimanche à vous.
10 MAI 2020
Il parait que c'est le souhait de plus de 3 personnes sur 4 : écrire un livre au moins une fois dans sa vie.
Pas forcément pour le publier.
On peut aussi le donner, s'en servir pour le vendre à la fin d'une conférence, ou tout simplement pour évacuer quelques casseroles qu'on se trimbale depuis des années.
Quoi que vous décidiez d'en faire, le challenge reste quand même de l'écrire, ce fameux livre. Roman, guide, recueil... tous les styles sont bons.
Aujourd'hui, nous avons trouvé 3 articles de qualité qui vous donnent des astuces des conseils et des secrets pour vous aider à écrire votre livre.
Attaquons tout de suite avec le premier :
De Virginie Vincent du blog Prom'auteur
Avant d’envisager l’édition ou l’autoédition, il va de soi qu’il faut d’abord avoir un livre à éditer. Or, l’écriture d’un ouvrage n’est pas toujours une chose à facile à aborder, surtout si c’est le premier.
C’est pour ça qu’aujourd’hui, j’aimerais vous donner 10 conseils pour écrire un livre. Ces conseils-là, d’autres me les ont donnés et je ne les ai pas toujours suivis, croyant être trop différente pour qu’ils fonctionnent pour moi. Et pourtant, bizarrement, dès que j’ai commencé à tous les appliquer, tout a beaucoup mieux fonctionné !
Alors je vous les partage pour que vous aussi vous puissiez écrire tous ces livres que vous avez envie d’écrire, qu’ils soient de fiction ou pas !
Ne vous jetez pas à corps perdu dans l’écriture dès que la moindre petite idée pointe le bout de son nez. Prenez le temps de l’évaluer, de voir jusqu’où vous pourrez aller avec elle, ce que vous pourrez en tirer.
Toutes les idées ne sont pas bonnes à écrire : certaines ont déjà été traitées des milliers de fois, d’autres n’ont juste rien à raconter.
Si, après réflexion, vous vous rendez compte que votre idée fait partie de celles qui ne sont pas bonnes à écrire alors vous pouvez :
Du blog Monbestseller
Écrire un livre est souvent une nécessité vitale d’expression. Il n’est pas nécessairement destiné à la publication. C’est une question importante qu’il faut se poser préalablement avant d’entreprendre ce lourd chantier. Car bien évidemment le degré d’exigence ne sera pas le même selon que vous écrivez pour vous, pour vos proches ou pour le grand public.
Quoique… C’est, dans le premier cas, un moyen d’expression libératoire qui permet de guérir ses angoisses, de formaliser ses propos à soi-même ou de se reforger des vérités. Ou bien, dans l’autre cas, un travail pour les lecteurs, le grand public. Les exigences formelles sont alors souvent supérieures et il faudra se plier aux règles et à la discipline de la littérature. Avant même d’écrire un livre, il est bien sûr nécessaire de s’interroger sur le genre littéraire qui vous sied.
Du blog Librinova
Je suis ravie de participer à la série « Conseils d’auteurs à auteurs » de Librinova. Je vais vous parler de l’organisation (mes proches ne trouveront pas ça bizarre du tout !). Vous avez envie d’écrire, mais vous doutez d’avoir le temps pour cela ? Découvrez mes conseils d’organisation pour écrire un roman . Rassurez-vous, cet obstacle est surmontable (même si vous n’y croyez pas encore).
Je suis en train d’écrire mon cinquième roman qui est la suite de mon premier roman historique, Le Vent des Lumières, d’abord auto-publié chez Librinova en 2015 et republié par City Editions en juillet 2017 après avoir intégré le Programme Agent littéraire de Librinova. En 2015, j’ai publié mon deuxième roman, Oraison pour une île, et en 2016, deux autres romans : Petite Mouette et Les Ombres de Brocéliande.
Quatre romans en deux ans, c’est beaucoup (et pourtant peu par rapport à certains auteurs qui en sortent cinq ou six par an !). Vous êtes peut-être en train de vous dire que je ne fais que ça, que je n’ai pas de métier à côté, ni d’enfants dont je dois m’occuper. Eh bien, vous avez tort… Je travaille à plein temps comme chargée de communication et de la vie culturelle, je suis mariée, j’ai deux filles et une maison à faire tourner. Je fais aussi des nuits normales et je déteste me lever tôt le matin… Quel est mon secret pour arriver à écrire malgré toutes ces occupations ? Il tient en un mot : l’organisation (ça tombe bien, c’est le sujet de mon article), mais je vais décliner ce mot en quatre secrets. Vous me suivez ?
Vous devriez considérer ces 3 articles comme des portes vers quelque chose de plus grand.
En effet, une fois sur les blogs respectifs des auteurs, vous pourrez trouver des centaines d'autres astuces pour vous aider à écrire votre livre.
Et une fois qu'il sera terminé, quand vous en serez à le vendre, venez me voir. J'ai beaucoup de ressources pour vous y aider. :)
9 MAI 2020
Il y a quelques jours, je vous parlais d'une pub que j'ai trouvé gonflée, où le gars criait à qui veut l'entendre qu'écrire des articles chaque jour était absurde et réservé aux loosers de l'Internet.
J'ai craqué, et j'ai cliqué...
Et là, je suis tombé sur une vidéo qui faisait l'apologie de la vente de coaching entre 4000 et 10000 € à l'exclusion de tout autre style d'offres.
Étaient mis dans le même panier les petits produits à 7 €, ceux à 27, 97, 147, 497, et même ceux à 2000...
Selon le vendeur, tous les articles à des prix inférieurs à 4000 euros sont le signe que ce sont des produits de médiocre qualité qui n'apportent aucune valeur aux clients.
Bien évidemment, je n'ai pas besoin de vous dire combien ces propos sont débiles...
Si vous bossez sur Internet depuis quelques années - ou même si vous débutez - alors vous savez qu'il est indispensable d'avoir tout une gamme de produits de différents prix et de différents types.
Et bien évidemment aussi, chaque produit doit être de la meilleure qualité possible, qu'il coûte 7 € ou 2000.
Est-ce qu'il viendrait à l'idée d'une personne sensée de proposer un produit médiocre, quel que soit son prix ?
Bien sûr que non !
Ou alors, elle ne ferait pas long feu sur Internet : quand un produit est nul, avec l'avènement des réseaux sociaux, ça se sait vite.
Depuis que je suis sur Internet (1996), j'ai écrit 158 livres, que j'ai donnés ou vendus. Dans différentes niches. Et à tous les prix.
J'en ai fait à 7, à 9, à 6.70 aussi. A 47, 147, et même à 997 dans des niches très pointues.
Je vous encourage également à avoir un petit produit qui tourne aux alentours de 27 euros. Même si vous avez des tarifs bien plus élevés.
Pourquoi ?
Parce que certaines personnes n'ont pas les moyens de mettre 97 € dans un livre, aussi bon soit-il.
Quant à une formation à 1500 euros, il faut bien se rendre compte que beaucoup ne pourront jamais se le permettre, ne serait-ce que parce qu'ils ont peur.
Manque de confiance (en eux, dans le vendeur, dans l'avenir, etc.), manque de motivation, etc.
Un article à 27 euros, qui apporte une grande valeur, il n'y a pas de grand risque. Au pire, la personne perd 27 euros... 2 pizzas.
Mais au mieux, vous avez tout un tas de gens qui n'auraient pas sorti leur CB pour des tarifs de 47 ou 97, mais qui se lancent pour un prix de 27 €.
J'ai eu à faire des lancements vidéo pour des produits à toutes sortes de tarifs.
147, 297, 497, 997 et parfois plus.
Quand vous avez mis le paquet sur votre lancement, à grands renforts de vidéos, de mails, de pubs et de posts Facebook, le produit "de la dernière chance" à 27 euros passe crème, comme vous ne pouvez l'imaginer.
Vous avez proposé une formation en 50 vidéos pour 2000 €, avez longuement argumenté dessus, tant et si bien que 95% des personnes sortent frustrées de tout ça : elles n'ont pas les moyens, mais ce que vous proposez leur fait bien envie.
Quand vous leur mettez sous le nez un produit à 27 euros, qui comporte ne serait-ce que 10% de ce que vous proposez à 2000 balles, beaucoup sautent là-dessus sans réfléchir.
A vous évidemment de faire en sorte que ce que vous proposez pour 27 € soit d'une qualité exceptionnelle. Si c'est le cas, vous aurez des témoignages à la pelle, et vous aurez comblé les frustrations de bon nombres de vos suiveurs.
Sans compter que vous aurez comblé une bonne partie de votre budget pub. Ou fait une provision pour la campagne d'après.
La dernière fois que j'ai fait ça, c'était pour un logiciel à 147 euros. J'en ai parlé pendant 11 jours avec 5 vidéos et 11 mails.
A l'issue de cette campagne, 210 logiciels vendus.
Le 12ème jour, j'ai envoyé la version "express" en ligne à mes 210 clients (en plus du logiciel), et j'ai proposé aux autres (ceux qui n'avaient pas acheté le logiciel) d'accéder à cette version en ligne pour 27 euros.
J'en ai vendu... 122. Soit 3294 € en plus, grâce à des gens qui n'auraient jamais acheté un truc à 147 euros.
Ça fait plus de 20 ans que j'achète des livres sur Internet. Et j'en ai vu de toutes les couleurs.
Le pire de tout ce que j'ai acheté était une méthode de turf (courses de chevaux) qui proposait de prendre une pièce de monnaie, de la lancer en l'air, et de choisir un numéro pair à jouer si on tombait sur pile et sur un numéro impair si c'était face. Le mec vendait ça... 297 €... C'est lui qui a le podium du pire foutage de gueule de l'histoire.
Le deuxième pire était un ebook vendu 27 euros qui, une fois les lignes vierges enlevées, faisait 14 pages, et l'auteur se proposait d'expliquer comment sortir d'un interdit bancaire, avec des infos qui ont été obsolètes au bout de 3 semaines. J'ai même fini par apprendre que ce n'était même pas lui qui avait écrit le livre...
Oui, on en voit des belles, parfois...
Je vous confirme qu'il n'y a pas besoin de prendre un coaching à 4000 balles ou plus pour trouver de l'ultra-qualité.
Certaines personnes fournissent cela dans des petits produits très accessibles en termes de tarif, avec une valeur exceptionnelle.
Et je vous engage fortement à en faire de même !
Cela ne vous empêche pas de proposer des produits haut-de-gamme.
Mais si vous n'avez pas de produit en-dessous de 50 euros, vous perdez 50.000 euros par an. Minimum.
8 MAI 2020
Un bon slogan peut augmenter considérablement le nombre de personnes qui vous suivent. Il est surtout le véhicule de votre image à travers le monde.
Et comme un bon slogan n'est pas forcément facile à trouver, j'ai créé pour vous GUS : le Générateur Universel de Slogans.
C'est un outil en ligne, réservé aux membres de Copywriting Pratique, qui va révolutionner votre manière de créer des slogans accrocheurs.
Comment ça fonctionne ?
GUS a dans sa base 1005 structures de slogans, créées à partir des meilleurs slogans du monde, tous pays confondus.
Vous indiquez un terme (votre marque, votre nom, ou même une thématique), vous indiquez si c'est féminin ou masculin, et vous cliquez sur un bouton.
GUS vous donnera 10 slogans engageants et originaux. Vous pouvez n'en garder qu'un seul ou plus, ou pas du tout.
Vous pouvez relancer la machine autant de fois que vous le souhaitez jusqu'à tomber sur LE slogan qui sera l'ambassadeur de votre marque.
Plus besoin de vous creuser la tête, il vous suffit de libérer votre créativité en explorant des combinaisons de mots et de phrases que vous n'auriez jamais imaginées.
Pour accéder à cet outil révolutionnaire, il vous suffit de laisser votre prénom et votre adresse email dans le formulaire ci-dessous. Vous recevez l'accès à cet outil et aux autres en quelques secondes.
Il y a eu un bug dans l'envoi et l'écriture de mon article d'hier.
Je pensais avoir tout bien fait, mais je me suis trompé de date. Il est donc paru aujourd'hui.
Bon, j'ai corrigé et il apparaît donc à la date d'hier (l'un des gros avantages à avoir un blog).
Loupé par contre pour l'email envoyé aux membres. Donc, si vous lisez l'article d'aujourd'hui par mail, allez jeter un œil sur celui d'hier. Il parlait encore de stratégie de contenu quand on débute un blog.
Ce bug me donne l'occasion de préciser quelque chose d'important à propose de la publication de contenu sur Facebook.
Quand on débute sur ce média de communication, on pourrait croire qu'avoir un simple profil de base permet de communiquer efficacement avec son audience.
Si on le fait tous les jours, oui.
Mais sur un profil perso, on n'a aucune action possible sur la date de publication d'un post.
Il faut une "page Facebook" pour ça. Celle de ce blog, c'est celle-ci : https://www.facebook.com/CopyPratik (profitez-en pour vous abonner).
Quand vous avez une page Facebook, vous pouvez programmer vos publications à l'avance. Comme sur un blog.
Vous pouvez aussi décider de l'heure de publication.
Et vous avez aussi accès à des statistiques détaillées sur les visites de votre page.
En parlant de l'heure, voici les statistiques sur une semaine de l'une de mes pages Facebook :
L'heure qui correspond à notre fuseau horaire est en noir su l'image ci-dessus. On peut par exemple voir que le gros des visiteurs de cette page est là entre 19 et 21h.
On peut donc en déduire qu'il pourrait être judicieux de publier quelque chose dans ces horaires-là pour maximiser la portée de votre publication.
Chose que l'on ne peut absolument pas savoir avec des publications sur un simple profil perso.
D'autant que les infos ne s'arrêtent pas là.
Regardez :
Cette page a 95000 abonnés. Je peux voir aussi que 80% sont des femmes et que parmi elles, 42% ont entre 35 et 54 ans.
Avec tout ce que cela implique pour définir un éventuel avatar client.
Quand vous avez ce genre de données, vous pouvez gagner un temps fou pour savoir qui s'intéresse à quoi. D'autant qu'il y a le même style de statistiques pour chaque publication. Vous pouvez donc classer vos publications par intérêt et définir laquelle est la meilleure, afin de faire de la pub pour attirer encore plus de monde.
Comme je vous le disais précédemment, vous pouvez aussi prévoir une semaine de contenu à l'avance. Et les publier chaque jour à la même heure.
C'est en fait la version "réseau social" d'un blog. Pas besoin d'être devant son ordinateur - ou son téléphone - tous les jours à la même heure.
Vous vous mettez sur vos publications le lundi par exemple, et vous en prévoyez 7 pour la semaine (ou plus).
Sur une page Facebook, le nombre de mots n'est pas important. Ou plutôt si : plus il est court et plus vos mots sont impactants, et mieux c'est pour vous.
Ce qui compte, sur Facebook, c'est l'image que vous mettez.
Elle doit attirer l’œil, et le texte en rapport doit bien refléter ce que vous avez éveillé chez le visiteur.
Si vous arrivez à combiner ces deux actions (texte percutant + image émotionnelle qui arrête le visiteur), vous avez de grandes chances que votre publication soit partagé des centaines de fois.
Vous vous rappelez de cet article, où je vous parlais d'une image + citation qui avait généré plus de 28000 partages sur mon profil perso ?
Au-delà de l'exploit qui a servi à rien du tout, je n'ai aucun moyen de connaître quoi que ce soit de la population qui a partagé ou aimé cette image.
Avec une page, j'aurais tout. Et si mon but était de recommencer, je pourrais adapter mes futures publications à l'audience la plus réactive pour moi.
Bon, là c'est un mauvais exemple car c'était juste un truc pour rire, comme j'en publie fréquemment sur mon profil perso, mais avec un profil professionnel, l'étude des statistiques peut permettre d'être grandement efficace dans la portée de vos publications.
Voilà.
J'arrête là pour aujourd'hui.
Ce bug m'aura donné l'idée de cet article, et je vous donne rendez-vous demain pour l'article que j'avais prévu aujourd'hui, où je vous parle de la suite de mon article de mardi.
Je suis en effet allé voir la fameuse vidéo correspondant à la pub dont je vous parlais (qui a disparu aujourd'hui).
Rendez-vous demain pour... bref... A demain... :D
7 MAI 2020
Il semblerait qu'il y ait deux écoles concernant la création de contenu.
La première est pour une production réduite de contenu au début, au profit d'une promotion des articles existants tant qu'on n'a pas d'audience suffisante.
La seconde est pour une production massive de contenu dès le départ, audience ou pas audience.
Mon choix va évidemment à la deuxième école.
Pour au moins 4 raisons.
La première est qu'au début d'un blog, on n'est pas vraiment aguerri à l'écriture régulière. Il s'ensuit que les articles produits ne sont pas très bon. Il faut au moins 50 articles pour commencer à avoir un style fluide et une certaine facilité à écrire.
Deuxièmement, comme on n'a pas encore d'audience significative, il est techniquement impossible de savoir vraiment ce que les gens attendent. Et la seule manière de le savoir est d'écrire sur un maximum de thèmes, afin de voir les réactions.
Troisièmement, il y a la constante "Google", qui est évidemment l'un des plus importants fournisseurs de trafic gratuit. Et pour "grimper" dans les résultats de Google, il n'y a pas de secrets : il faut écrire, écrire et encore écrire, sur une multitude de thèmes. Afin d'avoir un maximum de chances d'être positionné sur un maximum de termes.
Et pour finir, il faut aussi penser aux premiers visiteurs.
Quel que soit votre sujet, si un visiteur arrive sur votre blog par le biais d'un article, et qu'il n'a pas la possibilité d'en lire au moins 10 autres, vous n'en ferez jamais un abonné. Plus il y a d'articles sur votre blog, et plus les gens sont susceptibles de devenir des suiveurs. Et à termes, des clients.
Cela n'empêche évidemment pas de promouvoir ce qu'on écrit.
Soit par de la pub payante dirigeant sur 2 ou 3 articles, soit en allant commenter d'autres articles ici ou là.
Mais tant qu'un blog n'a pas au moins 50 articles dessus, il a très peu de chances d'être vu et apprécié. Par Google et par les visiteurs.
Conclusion : écrivez encore plus quand vous démarrez.
6 MAI 2020
Je viens encore de tomber sur une pub Facebook d'un gars qui dit un truc du genre :
"Avoir un blog, publier un article par semaine dessus, pire, le faire tous les jours, est la chose la plus absurde que l'on puisse voir en 2020. Et tous ceux qui t'affirment le contraire sont des gros loosers qui n'ont rien compris au business Internet. Viens me voir plutôt, et je vais t'apprendre comment devenir un coach qui attire les clients à la pelle sans que tu aies besoin d'avoir le moindre contenu sur Internet, et même si tu débutes..."
Bon... Au vu des réactions des gens et de la somme de conneries que contient cette pub, j'imagine que c'est un test pour voir si l'argumentation négative fonctionne. Et j'imagine aussi que cette pub disparaîtra des écrans avant ce soir.
Mais bon... Ça soulève tout de même 2 problèmes de fond assez importants.
Le premier, c'est que l'argumentation négative, c'est quelque chose qui se pratique avec conscience et intelligence. Le but n'est pas de dire n'importe quoi histoire de faire réagir les gens.
Pour information, sur Facebook, si vous vous prenez des centaines d'appréciations négatives + des signalements de pub (trompeuses, pour le coup) + des commentaires négatifs, ce n'est pas juste votre pub qui en pâtit : c'est votre business tout entier.
Déjà parce que lors des prochaines pubs que vous mettrez, Facebook vous mettra un flag de surveillance pour voir si vous ne déconnez pas trop, et ensuite parce qu'avec cette surveillance, ils vous feront payer les clics bien plus chers.
Mais quand en plus vous vous payez le luxe de faire passer vos concurrents pour des ignorants, forcément, ça n'encouragera plus les éventuels partenariats.
Donc, déjà, quand on s'essaye à l'argumentation négative, autant être sûr de le faire bien, et de le faire viser par quelqu'un qui saura prévoir les éventuelles retombées négatives de tels ou tels mots (ou actions).
Cette notion d'argumentaire négatif s'appelait autrement dans la vraie vie de commercial d'avant : c'était ce qu'on appelait la technique de la "terre brûlée".
Un gars arrivait, il racontait n'importe quoi pour vendre à tout prix, il vendait, et quand le client s'apercevait ensuite qu'on l'avait un peu enfumé, il décidait alors d'aller voir une autre entreprise pour les commandes suivantes.
Avec les formations sur Internet, c'est pire, car la majorité des gens investissent des fortunes pour quelque chose sensé leur rapporter de l'argent "de manière illimitée en bossant 2 heures par jour",mais au but du compte, ils ne trouvent pas de clients.
Donc c'est un fiasco.
Et c'est là que les petites lignes des conditions générales de vente indiquent que les résultats ne sont pas garantis, qu'il fallait mieux lire, et bla bla bla...
Mais au-delà de l'argumentaire, il y a aussi l'idée derrière celui-ci :
Si vous lisez mes articles régulièrement, vous savez bien ce que je pense de ce genre d'affirmation.
Avec le nombre croissant de blogs, de formations en ligne, de coachs et aussi de gens qui cherchent à gagner de l'argent via Internet, quand vous publiez un article, aujourd'hui, vous êtes au milieu de centaines de milliers d'autres articles.
Qui sont là depuis des mois et des années, voire des décennies.
Donc la seule manière d'être visible, c'est d'écrire plus souvent que les autres, et d'écrire de manière plus rayonnante. j'en ai déjà parlé.
Si vous voulez accompagner des gens en tant que coach (par exemple), il n'y a pas 36 solutions pour que les gens vous trouvent. Soit vous écrivez quelque chose à un endroit où les gens vous voient, soit vous payez cher pour écrire une pub qui va se placer devant leurs yeux à chaque fois qu'ils seront sur un site ou sur Facebook - ou sur Google.
Si vous avez 1000 à 2000 euros d'avance, vous pouvez choisir la deuxième solution. Sans problème. Et espérer que vous avez des arguments assez solide pour trouver le client qui vous paiera votre prochaine pub avant d'avoir dépensé tout votre budget.
Et si vous choisissez cette deuxième solution, vous devrez payer encore et toujours, tout le temps si vous comptez trouver des nouveaux clients.
Mais en plus, en faisant comme ça, vous aurez néanmoins besoin d'avoir un site assez solidement argumenté, à défaut d'un blog où l'on puisse voir ce que vous écrivez, et donc ce que vous valez, parce que quoi qu'en dise l'idiot dont je parlais en début d'article, je vois difficilement quelqu'un vous lâcher 4000 euros comme ça d'un coup sans en savoir un minimum sur vous qui vous proposez de l'accompagner.
Je l'ai toujours dit : c'est très facile de voir ce que vous valez dans un domaine avec 80 articles sur la question. On peut tromper beaucoup de personnes avec une pub et de belles paroles, mais pas une seule ne sera dupe au vu de 80 articles : soit vous écrivez sur quelque chose que vous maîtrisez, soit vous survolez le concept et les gens s'aperçoivent vite que vous ne maîtrisez rien.
Donc, évidemment, si vous publiez des articles tous les jours sur votre blog, des posts sur les réseaux, et des vidéos en direct où vous voulez, sans payer le moindre cent, vous attirerez des gens qui viendront voir ce que vous faites.
Mais vous construirez aussi votre crédibilité et votre notoriété.
Et vous contribuerez aussi à apprendre des choses aux gens, qui vous feront suivre de manière de plus en plus régulière car vos écrits seront partagés.
Et pour finir...
Le pire de l'histoire, selon moi, c'est qu'imaginer qu'on va garder les prospects qu'on a attiré grâce à la pub sans leur écrire régulièrement est une hérésie totale.
Quand vous aurez dépensé 2000 euros pour faire venir 400 personnes vers vous (si votre pub est bien écrite, sinon, ça tournera autour des 200), et que 399 de ces personnes ne vous auront pas lâché le moindre cent, si vous souhaitez les "relancer" de temps en temps, il va falloir vous mettre à écrire.
Et à écrire beaucoup beaucoup. Et souvent.
Par mail, sur un blog, sur des réseaux. Pour que ces fameux prospects finissent au mieux par faire un coaching avec vous, ou qu'au moins vous puissiez leur vendre quelque chose de plus accessible.
Aujourd'hui, il ne viendrait pas à l'idée de qui que ce soit de sensé d'avoir une liste de prospects qui grandit grâce à de la pub très chère, et de ne pas leur écrire fréquemment pour que petit à petit ils se transforment en clients...
Bref, vous l'aurez compris : ceux qui réussissent publient du contenu tous les jours. Pas forcément avec des articles, mais avec des publications sur Facebook, des vidéos ou des emails.
Et toutes les pubs qui vous promettront qu'on peut réussir sans contenu devraient être signalées comme trompeuses.
Présentez-moi une seule personne dans l'accompagnement, le coaching ou la vente de produits numériques sur Internet, qui a réussi sans produire un contenu de masse.
Cherchez combien de mails elle a envoyé à ses prospects. Le nombre de posts de sa page Facebook. Le nombre de vidéos de sa chaîne Youtube. Le nombre d'articles sur son blog. Le nombre d'interviews sur des chaines de TV... Cherchez bien... Il y en a des milliers.
Le contenu est et sera toujours le roi. Et plus on avance vers l'avenir, plus il faudra en fournir. C'est la seule et unique denrée qui permet de réussir.
5 MAI 2020
Tous les membres de Copywriting Pratique ont accès à 6 outils pratiques en ligne dont :
Ces outils sont accessibles gratuitement pour tous les membres.
Intéressé.e ? Remplissez simplement le formulaire ci-dessous, et recevez votre accès à tous les outils disponibles :
Elle m'a scotché ! C'était tellement simple et clair ! Fallait y penser...
En septembre dernier, j'ai vu une interview de Greta Thumberg (la jeune fille qui sensibilise le monde sur le problème du climat).
Elle faisait une interview pour répondre aux critiques, mais à la fin, elle a dit un truc qui m'a fait l'effet d'une bombe atomique.
Elle a dit un truc du genre :
Des gens viennent me voir pour me dire qu'ils sont contents de voir que les jeunes œuvrent pour leur avenir, et que cela leur donne beaucoup d'espoir.
Je leur réponds qu'il faut qu'ils arrêtent d'espérer et qu'ils passent à l'action, plutôt.
Cette simple phrase est empreinte d'une sagesse incroyable.
On peut largement en faire un mantra à se répéter chaque jour :
Un conseil ne vaut que s'il est suivi d'une action concrète.
Je vous écris un article chaque jour, que vous recevez par mail si vous êtes membre. Tout ça pour vous donner des astuces et des techniques pour vous aider dans votre business.
Elles ne seront bénéfiques pour vous que si vous agissez.
Qu'avez-vous fait concrètement depuis que je vous écris ?
Je serais bien curieux de le savoir.
4 MAI 2020
Le copywriting, c'est le pouvoir des mots.
Mais parfois, certaines publicités, et certains concepts se passent de mots.
Ce n'est pas une mince affaire de transmettre le nom de sa marque sans prononcer un seul mot.
C'est pourtant ce qu'ont réussi à faire ces 4 pubs de génie, qui ne comportent pas un seul mot, mais qui vous tireront ce qu'il faut d'émotion pour que vous vous en souveniez toute votre vie...
Vous avez vu ?
Bon dimanche, et je vous laisse avec l'image du jour... Sans aucun mot, évidemment. Mais une pub quand même... Enfin, sûrement... :D
3 MAI 2020
C'est dans l'air du temps : on nous parle partout de trouver sa mission de vie. Pour ma part, la première fois que j'en ai entendu parler, c'était en novembre 2017, à l'initiative d'un mastermind de Martin Latulippe.
Il avait un invité des plus incroyables, qui nous a raconté des histoires qui nous ont scotché à nos sièges, et pour beaucoup de gens dans cette salle, la vie d'après n'a plus jamais vraiment été la même. Cet invité, c'était Rémy Tremblay.
Et il nous a fait comprendre en moins d'une heure pourquoi trouver sa mission de vie était la pierre angulaire de tout succès. Dans tous les domaines.
Aujourd'hui, nous avons flâné sur Internet pour vous trouver 4 articles qui parle de ça dans toutes les dimensions.
Quant à moi, je prépare quelque chose à ce sujet, dont je vous parlerai dans quelques semaines.
Mais pour l'heure, voyons les 4 articles en question :
Du blog Réussir ma vie
Si chaque être a une identité unique, chacun porterait aussi une vocation, une mission personnelle qu'il lui faut découvrir peu à peu. Comment ? Des psychologues proposent des outils qui permettent de laisser émerger sa voie dans l'océan de tous les possibles.
"La mission personnelle revêt divers déguisements : un idéal à poursuivre, une passion, un but important à atteindre, un désir profond et persistant, une inclination durable de l'âme, un enthousiasme débordant pour un genre d'activité"... Ainsi le psychologue et prêtre canadien Jean Monbourquette (1933-2011) décrivait-il cette mystérieuse "mission de vie".
Mystérieuse, mais bien réelle. A en croire de nombreux auteurs, chacun de nous porterait une orientation inscrite dans son être qui le destinerait à un certain type d'agir. Les Japonais l'appellent l'Ikigaï, littéralement "ce pour quoi la vie mérite d'être vécue".
Repérer cette mission personnelle, trouver son Ikigaï permettrait non seulement de s'épanouir, d'être heureux de se lever le matin, mais aussi de se mettre au service de la société et de trouver un sens à sa vie. Cela vous tente ?
Du blog Neo-Bienêtre
Vous ressentez le besoin de donner un sens à vos journées ? C’est la vocation de l’Ikigaï, une méthode tout droit venue d’Okinawa, au Japon, qui aiderait à trouver sa mission de vie. Littéralement, le terme se traduit par "raison d'être". Il suffit d’un carnet, d'un stylo et d'un peu de temps libre pour explorer cette méthode ! Explications…
A Okinawa, dans le sud du Japon, la population a une espérance de vie largement supérieure à la moyenne mondiale (environ 50 centenaires pour 100 000 personnes). Son secret ? Une alimentation saine, de l’exercice physique et… l’Ikigaï !
C’est quoi l’Ikigaï ?
L’ikigaï veut apporter la réponse à la fameuse question : "Pourquoi je me lève le matin et pourquoi ma vie vaut la peine d’être vécue ?". Ce concept japonais est l’un des six facteurs expliquant la longévité exceptionnelle des habitants de l’archipel d’Okinawa, situé au sud-ouest du Japon. Selon cette méthode, chaque personne a sa propre mission de vie, il suffit de la trouver. La vôtre se trouve là, à la croisée de quatre chemins :
Votre mission, si vous l'acceptez, va être de poser des actions concrètes pour avancer dans la bonne direction. Pour cela, le seul matériel dont vous avez besoin est un carnet neuf, qui vous sera utile lors de votre recherche et vos moments d'introspection.
Du blog Esprits Spiritualité Métaphysiques
Trouver sa mission de vie nous permet de donner un sens à notre existence. Mais comment faire pour la trouver et la définir ? Voici une méthode qui vous aidera à mettre en lumière votre propre mission :
Faites ressortir les points marquants pour chaque période. Par exemple, qu’est-ce qui a caractérisé votre enfance ?
Étiez-vous fervent de sports, de musique ?
Étiez-vous attiré par les arts, le plein air ?
Étiez-vous reconnu comme quelqu’un de populaire, de discret ?
Maintenant, passez à l’adolescence. Qu’est-ce que les autres disaient de vous ?
Est-ce que vous aviez des talents naturels évidents ? Qu’est-ce que vous aimiez faire dans vos temps libres ?
Étiez-vous considéré comme quelqu’un d’aventureux, de terre à terre ?
Du blog Penser-changer
Cette question incarne bien le dilemme qui sévit aujourd’hui dans nos sociétés. Beaucoup de personnes (moi y compris) ont fait face, ou feront face à cette question à un moment donné dans leur vie.
Dans cet article, je vais partager avec vous une manière de trouver la solution à cette énigme. Mais, avant que nous en discutions un peu plus en détail, évaluons d’abord la situation.
Imaginons le scénario A, où vous poursuivez votre passion mais qui n’est hélas pas très lucrative. Bien que vous aimez chaque minute passée à développer votre passion, que vous vous sentez tellement épanoui de la vivre, vous êtes limité. L’argent est devenu un frein qui vous ralenti sur cette voie.
Tout naturellement, vous avez besoin d’argent pour payer vos factures. De l’argent pour faire d’autres choses que vous aimez, et de l’argent pour vivre tout simplement.
Comme vous avez pu le voir, il y a du pain sur la planche.
Pour autant, je pense, avec le temps, que si on ne fait pas ce travail, on perd un temps fou, on est moins heureux de travailler, et on monte beaucoup moins haut.
J'espère que vous pourrez trouver la vôtre en vous aidant de ces quelques conseils.
2 MAI 2020
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