Il vous présente 13 passoires à travers lesquelles vous devriez passer vos titres d'articles et vos sujets d'email.
Si cela bloque à un endroit, changez tout simplement votre titre :
1. Mon titre va arrêter les gens dans ce qu'ils font
Ils sont occupés, ils courent partout, et ils sont super-sollicités par des milliers d'informations par heure. Votre titre doit les arrêter net.
2. Ce n'est pas un titre bateau, c'est un titre mystérieux et impactant
Une belle manière d'arrêter les gens. De leur offrir un peu de fun, d'insolite et surtout d'aventure. Lâchez-vous : un titre c'est pas long, donc vous pouvez dire ce que vous voulez. Sortez des clichés.
3. Mon titre peut être compris par un enfant de 8 ans
Laissez le jargon aux gens compliqués. Utilisez des mots simples et faciles à comprendre.
4. Si je parle d'une douleur dans mon titre, ça ne fait pas trop mal
Le but n'est pas d'être trash ou volontairement violent. On veut arrêter les gens. Pas leur foutre leur journée en l'air.
Même si on vous a dit que le sensationnel fait vendre (ou ouvrir ou cliquer), vous n'êtes pas obligé de tomber dans le piège.
5. Mon titre est crédible et plausible (et pas une promesse trop grosse)
Rien n'est plus frustrant d'ouvrir un mail ou de commencer un article qui vous a attiré et de découvrir que cela n'a rien à voir avec ce qu'on vous a promis.
Bref, ne frustrez pas vos lecteurs pour rien. Ils vont s'en aller. Et vous l'aurez mérité.
6. Mon titre est le plus spécifique possible
Certains titres très courts comme "Terminé !", ou "Test", ou "STOOOP !", ou autre mots quasi uniques font ouvrir les mails. Du moins au début.
Avec le temps, les gens comprennent la combine, et ils n'ouvrent plus.
Donc revenir vers le spécifique (le titre qui parle précisément de ce qu'il y a dans le mail) est souvent salutaire.
Ça vous empêche pas d'employer le mystère. Un mystère spécifique.
7. Je pose une question ou je parle d'un truc qui sort du commun
On rejoint un peu le n°2 : les gens aiment qu'on les bouscule un peu. Leur poser une question fait débuter un processus d'éveil d'intérêt.
Donc pensez à la question le plus souvent possible. Surtout si c'est une question que s'est déjà posé votre lecteur.
8. Si j'utilise un nombre il n'est pas rond
Il vaut mieux utiliser 7, 9, 14 ou 28 par exemple plutôt que 10, 20 ou 30 ou autre chiffre avec un zéro. Parce que c'est plus fun. Et ça fait moins cliché.
"Je reviens dans 10 mn" est bien moins impactant que "Je m'absente 3 minutes 37". Même si on sait que ce ne sera pas "juste" 3mn37, c'est plus recherché que 10mn, qui se transforment souvent en une heure.
9. Tous les nombres qui apparaissent dans mon titre sont écrits en chiffres
Parce qu'un nombre écrit en chiffre attire l'attention. Un nombre écrit en lettres se fond dans la masse des autres mots. Et on perd le gros pouvoir des nombres.
Et c'est dommage.
10. S'il y a des mots clés dans mon titre, ils sont là naturellement (et pas comme s'ils arrivaient de nulle part)
Combien de fois voit-on des titres qui ne veulent rien dire parce que l'auteur a rajouté un mot-clé sur lequel il veut se positionner. Et ce mot n'a pas de rapport avec les autres, ou alors il arrive comme un cheveu sur la soupe.
Ou alors il est cliché. Ou bateau. Ou juste inintéressant.
Exemple : "Comment passer un titre parmi ces filtres pour écrire un titre efficace"
11. Le titre contient moins de 10 mots
Il y a quelques jours, je vous parlais de 3 mots. C'est l'idéal, en effet. Si vous voulez en mettre plus, ne dépassez pas 10 mots. Sinon, c'est trop long.
12. Les mots intéressants sont entrecoupés de mots "normaux"
Pour qu'on s'intéresse à un mot, il faut qu'il soit isolé. Si vous dites "J'ai vu un pangolin au milieu de mon salon", c'est insolite et intéressant.
Si vous écrivez : "J'ai senti la présence suintante et brinquebalante d'un pangolin rempli de fourmis suantes de miellat dans la savane mongolienne." on ne sait pas sur quoi s'arrêter.
Bref, orientez les gens sur une seule idée insolite. Vous pourrez garder les autres pour le corps de ce mail-ci ou pour un autre.
13. J'emploie la juste ponctuation
Le but n'est pas de toujours mettre un point d'exclamation ou 3 petits points "...".
L'idéal est de mettre la ponctuation qui traduit la juste émotion que vous voulez transmettre. Mettre un point d'exclamation devrait normalement être réservé à un "cri" dans le texte. Comme ça : "Ouvrez, bon sang, vous allez le rater !"
Ailleurs, même si ce que vous dites semble intéressant, le point est de rigueur. Ou rien du tout. Surtout dans un titre.
A vous de jouer !
Tous vos titres d'articles et vos sujets de mails devraient passez ce test des 13 passoires. En tout cas ils devraient en passer au moins 10 sur 13.
Surtout si vous voulez que vos visiteurs deviennent des lecteurs.
Essayez et comparez ;)
13 AVRIL 2020
Quelques articles populaires sur l'Intelligence Artificielle
A moins que vous n'ayez vécu dans une grotte depuis un an, vous ne pouvez pas être passé à côté de l'Agent Conversationnel "ChatGPT", baptisé pour l'occasion "Gepetto" sur ce blog.
Il a vu le jour en novembre 2022, mais a réeellement explosé à partir de février 2023, en récupérant 100 millions de membres en moins de 8 mois.
On n'avait pas vu de croissance pareille depuis bien longtemps.
Il est donc important d'apprendre à maîtriser cet outil (car, OUI, ce n'est qu'un outil) pour gagner un temps phénoménal dans des milliers d'actions.
En ce qui me concerne, je l'utilise tous les jours pendant 2-3 heures, et j'écris régulièrement des articles dessus pour vous apprendre à l'utiliser aussi, avec ou sans objectif d'améliorer votre copywriting.
Et si vous voulez recevoir de temps en temps des "prompts" ou des "invites" en français, par mail, alors inscrivez-vous en tant que membre de ce blog, et une fois inscrit.e, demandez à recevoir l'article du jour par email.
J'envoie fréquemment un nouveau prompt intéressant en PS, en plus de l'article. De quoi vous faire souvent gagner un temps fou.
Pour devenir membre, indiquez juste votre prénom et l'adresse email juste là :
Aujourd'hui, je vous propose une quinzaine de pubs absolument géniales.
Insolites, intelligentes, trash parfois. Il y en a pour tous les goûts.
C'est tout autour du monde, et on s'aperçoit qu'il y a un point commun avec toutes ces pubs : on ne sait jamais où ils veulent en venir avant la fin (essayez de découvrir simplement le produit de la première pub avant la fin, pour voir...)
C'est la pincée d'insolite qui suffit à attirer notre attention.
C'est plein d'inspiration pour le copywriter que je suis. Et j'espère qu'au delà des bons moments de rire et des solides moments d'émotions (vous verrez avec la dernière pub) vous y trouverez de quoi vous inspirer pour votre prochaine campagne de pub.
Si vous avez un blog, alors vous avez des articles à écrire. Beaucoup d'articles.
Il y a tout un tas de plans à suivre quand on écrit pour un blog, mais il est une composante qu'il est essentiel d'entretenir : sa mémoire.
Pourquoi ? Parce que lors de l'écriture, vous allez faire tout un tas de liaison avec ce que vous connaissez déjà.
Ce que vous avez vécu, lu ou déjà écrit. Cela peut être sur un forum, sur des réseaux sociaux, dans un livre.
Citations, anecdotes, techniques, auteurs, chiffres... Il existe tout un tas de données que vous avez emmagasinées au fil du temps, et qui peuvent enrichir vos articles de la meilleure manière qui soit.
Oui mais voilà. Est-ce que vous entretenez votre mémoire pour justement vous rappeler de tous les détails ?
Je vous propose aujourd'hui 3 articles détaillés à ce sujet pour vous y aider :
Article #1 : Comment fonctionne la mémoire ? Mieux la comprendre pour mieux mémoriser !
Cela nous est tous déjà arrivé de voir une personne qui nous dit bonjour sans que l’on arrive à se souvenir de son prénom. Ou encore de devoir faire une présentation orale en public et d’être confronté à un trou de mémoire. Lorsque la mémoire nous manque, elle peut nous mettre dans des situations embarrassantes voire catastrophiques. Alors comment mieux mémoriser et se souvenir plus facilement des informations que l’on souhaite retenir ? Voyageons un peu au pays des sciences pour comprendre comment fonctionne la mémoire afin de savoir comment la booster.
Comment fonctionne la mémoire ou plutôt les mémoires ?
Nous parlons souvent de la mémoire au singulier. En réalité, il existe plusieurs types de mémoire :
la mémoire procédurale : c’est la première mémoire qui se développe chez l’être humain et qui nous permet d’apprendre à faire des mouvements ou des actions comme marcher ou faire du vélo. C’est également la mémoire qui disparaît en dernier dans la maladie d’Alzheimer.
la mémoire perceptive : c’est cette mémoire qui nous permet de reconnaître visage et objets. Elle se développe dans un deuxième temps via nos cinq sens.
la mémoire flash ou encore de court-terme : c’est cette fameuse mémoire qui dure quelques secondes et qui nous permet de retenir une série de chiffres par exemple. Cependant au bout de quelques minutes, nous finissons par oublier ce que nous avions mémorisé et l’information disparaît peu à peu
la mémoire sémantique : c’est elle qui nous permet de stocker tout ce qui relève des connaissances ou des informations, par exemple un cours d’histoire à l’école.
la mémoire autobiographique ou épisodique : c’est la mémoire qui stocke nos épisodes de vie, elle se remplit au fur et à mesure que nous vieillissons.
la mémoire prospective : c’est une mémoire qui nous permet, non pas de nous souvenir du passé, mais d’actions à accomplir dans le futur (par exemple une réunion demain).
On pense souvent, comme Édith Piaf, que « dormir, c’est du temps perdu », des heures d’inactivité complète, d’arrêt sur image, qui ne servent qu’à reposer le corps et l’esprit, sans qu’aucun progrès ne soit accompli. Pourtant, alors que nous roupillons tranquillement dans les bras de Morphée, notre cerveau, lui, fait des heures supplémentaires. Dans quel but se donne-t-il toute cette peine ? Nous allons voir cela…
Tout d’abord, intéressons-nous au sommeil et à ses multiples facettes. En effet, le sommeil ne se résume pas à une simple mise en veille de l’organisme, mais plutôt à un enchaînement de différents types de sommeil, les stades, ayant chacun un rôle bien précis. Ces stades se succèdent de manière cyclique après l’endormissement, que l’on pourrait résumer à un blocage de l’éveil par un système d’interrupteur, même s’il s’agit en réalité d’un mécanisme très complexe.
Les beaux rêves d’un cerveau éveillé
Les deux premiers stades de sommeil correspondent respectivement au sommeil lent très léger et au sommeil lent léger, durant lesquels nous percevons encore partiellement notre environnement sans pouvoir agir. Ensuite viennent...
Vie professionnelle, examens, volonté de garder toute sa tête au fil des années, la mémoire est une fonction essentielle du cerveau. Pour savoir comment l’entretenir, suivez les conseils de nos experts.
Il n'y a bien sûr pas de recette miracle pour garder en mémoire le plus d'informations possible. Un fait certain : une bonne hygiène de vie est déjà un bon préambule.
Les exercices de mémoire doivent rester ludiques
Le conseil de Nicolas Conti, psychosociologue :
"Ce que l’on appelle problème de mémoire relève plus souvent d’un problème d’attention. L’attention est un acte volontaire qui demande avant tout un effort d’écoute. Aujourd’hui, nous avons moins besoin de connaître des choses par cœur grâce aux outils technologiques du quotidien.
Outre avoir une vie saine, garante d’un meilleur fonctionnement cérébral, les exercices de mémoire doivent rester ludiques : additionner les courses par exemple, pour vérifier en caisse que notre décompte est correct.
S’exercer à apprendre une poésie : pour cela, se la répéter mentalement pendant 15 secondes pour la retenir, la réciter, et l’écrire pour faire travailler les mémoires visuelle et auditive (on retient mieux ce que l'on enregistre deux fois).
Si vous êtes artisan, commerçant, ou même coach ou thérapeute, alors vous savez que le bouche à oreilles est la meilleure de toutes les méthodes de promotion qui existe.
Surtout si vous avez quelques notions de base en copywriting.
Dans cet article, je vais vous donner 5 techniques pour l'encourager et en faire votre première manne à clients.
Une efficacité qui n'est plus à démontrer
Le bouche à oreille est en effet une méthode de promotion qui a 3 énormes avantages :
Elle est 100% gratuite,
Bien faite, elle englobe la preuvesociale, la confiance, et la promesse en une seule action,
Elle est exponentielle et illimitée,
Ne vous y trompez pas : quand vous voyez une pub McDo, Coca ou même Loréal à la TV, ou lorsque vous voyez une bande annonce de film au ciné ou sur Youtube, vous croyez que c'est de la pub, mais en réalité, c'est une manière d'encourager le bouche à oreilles.
"Tu as goûté le nouveau burger veggie chez MCDo ?"
"Tu veux un Coca ?"
"T'as vu le dernier film de Marion Cotillard ? Trop bon, tu devrais y aller..."
"T'as essayé une méditation avec Isabelle ? C'est tellement relaxant, tu devrais essayer..."
Tout ça, c'est du bouche à oreille. Et c'est une méthode qui fonctionne depuis la nuit des temps car elle émane de gens qui ne sont pas directement intéressés par le fait qu'on achète le produit.
C'est juste de la bienveillance à 100%. On rend un service en recommandant quelqu'un, parce qu'on a été satisfait, et dans un élan de bienveillance, on propose à des amis d'en profiter aussi. Ça ne va pas plus loin que ça.
Ça s'appelle de la "recommandation". Et ça existe depuis la nuit des temps, bien avant Internet, et bien avant le marketing.
C'est le même principe que l'affiliation, mais comme c'est désintéressé (aucune commission n'est versée lors d'une recommandation), ça marche 150 fois mieux.
Bref... Si vous aviez encore des doutes, soyez rassuré, le bouche à oreilles est vraiment la méthode la plus sympa, la plus facile, la plus efficace et la plus pérenne qui soit pour trouver de bons clients rapidement.
A condition que vous l'incluiez dans votre stratégie de développement, comme tous le reste.
Car bien entendu, ça ne va pas se faire tout seul. Mieux encore, ça va vous demander quelques petits ajustements dans votre emploi du temps.
Mais bien fait, c'est prodigieux d'efficacité.
Voici 5 techniques éprouvées que vous devriez absolument appliquer pour que ce soit un succès pour vous :
1. Clarifiez votre fonction et ce que vous pouvez apporter aux gens
Ça commence évidemment par là.
Qu'est-ce que vous faites, clairement ? Quels sont vos points forts ? Comment aidez-vous les gens ? Et surtout, comment l'exprimez-vous ?
Votre "pitch" de présentation, votre slogan, votre accroche, appelez ça comme vous le souhaitez, doit être clair, concis, ciblé et orienté à 100% vers les clients.
Prenons un exemple. Admettons que vous soyez une thérapeute spécialisée dans la famille.
Vous devez dire clairement ce que vous apportez aux gens.
Par exemple, pour vous présenter, vous pourriez dire un truc du genre :
"Je suis coach familial reconnu, avec 25 ans d'expérience et plus de 900 familles coachées avec succès"
Me dites pas que vous n'avez jamais vu ça sur Internet, 90% des coachs vous l'affichent comme ça.
Ce genre de pitch, c'est de la bouse en cornet.
C'est 100% centré sur MOI , MOI, MOI et re-MOI... Et hélas, ça ne sert à rien.
On se fout que vous soyez reconnu. Si vous avez besoin de l'écrire, c'est que ce n'est pas le cas. Est-ce qu'une seule fois vous avez vu ce mot accolé à un acteur ? "Brad Pitt, acteur reconnu" ! Evidemment non. Est-ce que Tony Robbins va écrire ça sur son site ? Bien sûr que non.
Si vous êtes "reconnu", alors on le sait.
25 ans d'expérience ? On s'en tamponne. J'ai vu des spécialistes avec 40 ans d'expérience aigris et en colère, sans la moindre velléité de faire correctement le job pour lequel on les paye.
Vous avez coaché 900 familles "avec succès" ? Qu'est-ce que ça veut dire ? Et surtout, qui dit ça ? Vous ? Les familles ? Vous avez des preuves ? Et ça veut dire quoi, exactement, "coaché" ?
Bref, vous l'aurez compris, tout ce qui est abstrait (l'inverse de concret) et qui comporte des références à VOUS-MÊME, ça ne sert à rien du tout.
Ce que les gens veulent, c'est savoir ce que vous pouvez faire pour eux.
Si vous dites :
"Depuis 1990, j'aide les parents débordés à communiquer avec leurs enfants pour que ce soit plus zen à la maison. Vous n'arrivez plus à faire faire quoi que ce soit à vos enfants sans leur promettre une récompense ou les menacer ? Appelez-moi au XXXXX. Vite..."
Ça peut se décliner à l'infini, en fonction - évidemment - de votre spécialité. Vous pouvez y inclure de l'humour, de l'émotion, de la peur, de la tristesse, un exemple rapide...
Ce genre de pitch, c'est bien plus concret et bien plus "terrain" que "Je suis coach familial reconnu".
Le but est d'être le plus PRÉCIS possible sur ce que vous faites. Afin que cela provoque tout de suite une lumière dans la tête des gens qui vous connaissent avec un nom et un téléphone qui clignote, dès qu'ils croisent un potentiel client pour vous.
Dans mes connaissances, j'ai une thérapeute de grand talent qui est LA spécialiste de la dépendance affective et plus précisément des victimes de pervers narcissiques.
Elle est pro et efficace dans ce qu'elle fait, et croyez bien qu'à chaque fois que je rencontre une personne qui a un problème avec un ou une PNM, je pense instantanément à elle. Et je transmets immédiatement son numéro de téléphone. Parce que je SAIS qu'elle pourra l'aider.
Ce n'est pas plus compliqué que ça, le bouche à oreilles :
si vous avez une spécialité,
que vous êtes bon dans ce que vous faites,
que vous avez une clientèle ciblée,
et que vous savez exprimer clairement ce que vous faites...
...alors soyez assuré que vous aurez des dizaines de personnes qui vous enverront des gens.
Parce qu'ils sauront que vous serez la personne de la situation.
[La suite de cet article est réservé aux membres de ce blog]
Ils l'ont reçu au complet ce matin par mail. Inscrivez-vous pour le recevoir aussi :
10 AVRIL 2020
A télécharger : Stratégies pour remplir intelligemment sa page Facebook
Que vous ayez un blog, une page Facebook, un compte Instagram ou une chaîne Youtube, vous devriez faire attention à comment vous recrutez vos suiveurs et vos suiveuses (vos followers, quoi...).
Il vaut en effet mieux avoir 150 personnes à 100% engagées par ce que VOUS faites, par vos valeurs, plutôt que d'en avoir 1000 qui ne réagissent que lorsque vous les faites rire ou que vous leurs montrez votre ...
Bref, vous avez compris.
C'est pour cela qu'il faut éviter les erreurs de base qui sont encore commises de nos jours par les apprentis blogueurs, nouveaux entrepreneurs du web ou tout simplement par les personnes qui veulent ouvrir un groupe ou une page Facebook pro pour vendre leurs produits ou proposer leurs prestations.
Voici les 3 erreurs les plus fréquemment commises.
Attardez-vous particulièrement sur la 3ème erreur...
Si vous la faites, vous vous acheminez vers une hécatombe en 14 étapes qui réduira votre travail à néant, et vous poussera à tout recommencer dans quelques mois.
Autant démarrer sur de bonnes bases pour éviter ça, n'est-ce pas ?
Les 3 erreurs et les 14 étapes dont je parle ici sont dans un guide PDF réservé aux membres de Copywriting Pratique.
Vous y trouverez également 4 manières intelligentes de remplir avec succès vos pages et groupes Facebook ou n'importe quel autre espace sur votre réseau social préféré avec des personnes qui seront enthousiasmées à l'idée d'acheter ce que vous leurs proposerez ensuite.
Remplissez le formulaire ci-dessous avec soin, et vous recevez ce guide par mail dans la minute, ainsi qu'un accès à toutes les autres ressources réservées aux membres :
J'avais prévu de publier un énorme article sur le bouche à oreilles, ce matin, et... rien ne s'est passé comme prévu.
Debout depuis 6h00, j'avais tout planifié et... il n'y a pas arrêté d'y avoir des trucs qui sont venus bouleverser tout ce petit plan bien huilé.
A partir de là, plusieurs solutions :
Soit je bâcle mon article, je le finis prestement, et je le poste à l'arrache,
Soit je ne poste rien du tout,
Soit je prends un jour de plus pour le faire comme j'avais prévu au départ.
Je choisis la 3ème solution.
Donc vous y aurez droit demain matin.
Cette expérience m'apprend 3 choses :
1. On n'a jamais le contrôle sur tout
Oui, on croit qu'on contrôle un maximum notre business, mais dans la réalité, à partir du moment où vous travaillez sur des plateformes qui ne sont pas les vôtres, vous êtes dépendants.
D'une box Internet, d'un hébergement, de Facebook, Google, et de votre ordinateur aussi.
Si l'un de ces 5 trucs vient à merder, vous ne pouvez rien y faire... Juste espérer que ça va passer vite.
Et quant aux personnes qui sont autour de vous, alors ça... vous contrôlez encore moins. Des enfants qui tombent malades, un partenaire qui a besoin de vous, un ami ou la famille dans la détresse, un casse-couilles qui frappe à la porte...
Bref... Le contrôle est une illusion...
Quand vous avez compris ça, vous pouvez passer à la deuxième leçon :
2. Prévoir un peu d'avance, c'est une bonne idée
Quand on publie des articles de blog, avoir une bonne semaine d'avance, avec des articles programmés et prêts à être publiés automatiquement, c'est la meilleure idée que vous pouvez avoir.
A condition que l'hébergeur chez lequel se trouve votre blog assure aussi en termes de fourniture de services. Ou à défaut que leur service après vente soit efficace et réactif.
En 2020, on pourrait imaginer que c'est le cas, or... tombez en panne de serveur avec 1&1 ou amen et vous allez comprendre que vous êtes en territoire hostile...
Pour tous les autres imprévus, prévoir entre 7 et 10 articles d'avance, c'est super comme truc.
Ça peut vous laisser 3-4 jours de répit. Surtout si vous avez besoin de dormir et de vous soigner.
Et pour finir, la dernière leçon c'est :
3. Être réactif, c'est utile
Dans ce métier, l'une des qualités les plus utilisables pratiquement, c'est la réactivité.
Si vous voyez que tout part en cacahuète, et qu'il va vous falloir un temps trop long pour venir à bout du - des - problème(s) en cours, hé bien racontez-le.
Pas besoin de faire long, de mettre une image et de mettre votre article en forme comme s'il allait se retrouver dans un livre.
Racontez, enseignez si vous le pouvez, et publiez. Et c'est tout.
Ça révolutionnera pas le trafic de votre blog, mais bon... Ça fait des trucs à raconter.
Et je suis sûr que vous avez déjà vécu ça.
Le mot de la fin
Et alors que je termine cet article, me vient une idée supplémentaire, qui corroborerait le fait que plus on écrit, plus on a envie d'écrire.
Quand il vous arrive des trucs insolites dans la vie, un truc qui vous fait rire, réfléchir, pleurer, ou qui vous surprend, que vous trouvez insolite, prenez l'habitude de raconter cette histoire à votre téléphone.
Et faites un lien avec un enseignement à tirer.
Si vous prenez l'habitude de faire ça, vous allez vous retrouver petit à petit avec une base de "petits" articles qui pourront facilement boucher les trous de vos publications.
Réfléchissez : tout au long de votre vie, vous rencontrez des gens, vivez des situations à première vue banales, mais quand vous réfléchissez un peu, vous comprenez que peu de gens vivent ça.
Racontez-le.
Plus vous le ferez, plus vous repérerez des pépites. Ça vous servira un jour, soyez-en certain.
Allez... J'arrête là cet article écrit en 10 mn.
A demain pour le bouche à oreilles...
Si vous y pensez, abonnez-vous au blog car l'article complet ne sera envoyé que par mail. C'est sous la barre rouge, là, juste en dessous.
Je viens encore de voir un lien vers une page de vente en rouge sur noir ! :o
Le truc le plus incroyable c'est que c'est pour vanter les mérites d'une équipe de marketeur / copywriter !
Ça fait peur !!
Dans notre mémoire cellulaire d'humain, quand c'est rouge, c'est qu'il faut faire attention :
Le sang est rouge : si on en voit, il y a un souci
Le panneau STOP est rouge : quand on le voit, on s'arrête. Comme le feu rouge.
Tous les panneaux d'interdiction sont en rouge.
Le feu est rouge (et ça brûle). La lave aussi. Comme la braise.
Vous avez compris : la force de l'habitude est imparable, ce qui fait que la plus mauvaise couleur que l'on puisse choisir pour un lien - ou un bouton action, c'est le rouge.
De quelle couleur sont la majorité des liens sur Internet, depuis que ça existe ?
Hé oui : bleu !
Et ils sont soulignés aussi.
Parce que le bleu, c'est la couleur des panneaux qui nous disent : OK
C'est aussi la couleur du ciel.
Mais c'est surtout la couleur des liens sur Internet depuis plus de 25 ans.
Bref... Mettez vos liens textes en bleu.
Au niveau du design, ça fait moche ? Pas sûr.
Déjà tout le monde est habitué et tout le monde clique sur ça depuis 3 décennies.
Vu que votre but c'est de faire cliquer, autant colorier le bazar pour que les gens n'aient pas à réfléchir.
"C'est un lien ça ?".
Mettez-le en bleu, et hop : ils comprennent en moins d'une seconde que c'est là qu'ils doivent cliquer.
Attention à ce qui n'est pas un lien
Et l'inverse est vrai aussi : s'il vous prenait l'idée de mettre un mot en bleu et de le souligner, ALORS que ce n'est pas un lien : mauvaise idée.
Faisons une expérience : quand vous avez vu le mot "bleu" juste au dessus, vous avez cherché à cliquer pas vrai ? Et vous avez ressenti quoi ?
Vous avez compris : à quoi ça sert de frustrer nos visiteurs pour rien.
Suffit juste de se rappeler de ça :
Un lien : en bleu et souligné
Un truc qui n'est pas un lien : dans une autre couleur
Dans une séquence d'emails de sensibilisation, il arrive en position 5...
Vous savez ce que c'est une séquence d'emails de sensibilisation ?
Ce sont les mails que les gens reçoivent quand ils s'abonnent à votre liste générale.
Tous les mails que vous envoyez, c'est une séquence.
Hé bien lorsqu'ils ont reçu les 4 premiers mails, arrive en 5ème position celui qui va transformer le plus dans tout ce que vous enverrez.
Mes tests me donnent des chiffres incroyables avec ce 5ème mail : 15% de ventes.
Voici son sujet : "Qu'est-ce que je vends".
J'ai déjà parlé un peu à mes abonnés, et comme souvent, on me demande si je vends des trucs.
Donc au bout du 5ème mail, je leur propose un produit incroyable pour pas cher du tout.
Ça cartonne.
Et ça segmente aussi. Ça transforme les simples curieux en clients qui ont sorti leur CB.
Bref, faites ce 5ème mail.
En plus de ce que vous faites déjà.
Vous allez être surpris des résultats obtenus.
Et dites-moi si ça marche. :)
A demain.
7 AVRIL 2020
A télécharger : 12 éléments de preuves sociales pour rassurer vos lecteurs
Si vous vous intéressez un peu au copywriting, alors vous savez que l'un des paragraphes capitaux d'une page de vente concerne la preuve sociale.
Oui, même si on vous a dit le contraire, une page de vente, c'est une succession de paragraphes qui devraient être placés dans un ordre précis.
Et parmi ces paragraphes se trouvent les preuves sociales. Vous savez… les témoignages clients, par exemple.
Hélas ! Beaucoup de gens s'arrêtent aux témoignages pour renforcer leur crédibilité, alors qu'il y a en bien plus à utiliser sur une page de vente.
Ça s'utilise partout !
Et en fait, quand vous voulez aller au restaurant, au ciné, dans un hôtel, un appartement ou même à un spectacle, les avis (leur nombre, surtout), les étoiles et les commentaires vous aident grandement à choisir.
C'est l'avantage de notre époque : Internet a rendu les avis clients accessibles à tout le monde, ce qui a permis d'éviter de nombreuses expériences désagréables à beaucoup de monde.
Si vous vendez des produits ou des prestations sur Internet, vous pouvez utiliser ce moyen pour gagner en crédibilité et ainsi augmenter vos ventes.
Je vous propose donc de découvrir 12 types de preuves sociales que vous allez pouvoir utiliser et rajouter sur votre page de vente :
Il s'agit d'un guide en PDF que vous pouvez télécharger facilement en guise de cadeau de bienvenue dans la grande famille du Copywriting Pratique, et plus particulièrement dans celle de ce blog.
Indiquez juste votre prénom et l'adresse email à laquelle je peux vous envoyer votre accès à ce guide et à plein d'autres :
Ca fait 4 jours pleins que j’écris non-stop pour un site Internet. De huit heures à 2h du matin, comme à la grande époque où j’étais jeune.
C’est beaucoup de programmation et ça m’éclate donc je ne vois pas le temps passer.
Mais ce matin... grosse fatigue ! J’ai pas DU TOUT envie.
Alors je vais y aller mollo et je vais lâcher prise aujourd’hui.
Je reprendrai demain.
Ne rien faire...
Quand on bosse sur Internet ou ailleurs, mais surtout quand on bosse pour soi, on a la chance de pouvoir faire ce genre de truc : ne rien faire.
Il ne faut pas culpabiliser, bien au contraire.
Vous êtes en train de faire une page de vente ? un site Internet ? un livre ? Ou quoi que ce soit ou quoi que ce soit d’autre de créatif ?
Laisser le temps à votre cerveau de se reposer et de combler les trous.
Vous reprendrez demain.
De toute façon quand on bosse en se forçant on fait toujours de la bouse.
Dans un bureau, on s'en fout... ça ne se voit pas vraiment...
Mais quand on crée quelque chose qui sera lisible ou audible par des millions de personnes pendant des siècles et des siècles, faire de la bouse, c'est éternel...
Alors aujourd’hui c’est relâche.
Faites autre chose...
Allez-vous tremper dans l’eau, allez courir, faire du sport, mangez un truc à vous couper le souffle, sortez, allez voir des potes, allez danser, appelez vos parents, vos enfants, discutez, papotez, allez parler aux girafes ou aux éléphants.
Bon, OK... la période particulière que l'on vit actuellement, en mars-avril 2020 empêche de faire tout ça... mais j'ai l'espoir que vous lisez ces lignes alors que tout ça n'est qu'un mauvais souvenir...
Lors de moments compliqués, il émerge toujours des choses belles et bienveillantes. C'est l'un des rares avantages de ce genre de situations.
Les 7 vidéos présentées aujourd'hui sont une forme d'art absolument 100% technologique, qui ont été créées spécifiquement suite au confinement qui frappe une bonne partie de la planète.
Je vous laisse découvrir tout ça...
1. La Tendresse
2. Show Must Go On
3. Le boléro de Ravel
par l'Orchestre National de France :
4. L'Hymne à la joie
5. Va piensero (Nabucco de Verdi) :
6. True Colors :
Et en 7, un peu hors concours, le maître incontesté de ce genre de sport, Erik Withacre avec son fameux "Lux Aurumque" :
Bon dimanche, et comme toujours, prenez soin de vous !
Vous bossez via Internet ? Vous avez un magasin ? Un resto ? Vous êtes consultant ou coach ou prestataire de services ?
Quoi que vous fassiez, vous avez été ou serez un jour confronté à un client insatisfait.
En fonction de la qualité de ce que vous proposez, ce sera plus ou moins fréquent mais il est impératif que vous ayez une panoplie de solutions pour vous venir en aide lorsque ça arrivera.
Dans cet article, je vous donne accès à quelques solutions efficaces pour gérer vos clients mécontents avec bienveillance et efficacité.
Le premier article vous donne des règles à suivre en général et peut donc être appliqué par n'importe qui. Idem pour le 3ème article.
Le deuxième a été créé pour les restaurants, mais il peut être adapté à touscommerces.
C'est parti :
Article n°1 : Comment gérer des clients mécontents (en général) en 12 étapes
De l'équipe de wikiHow
Gérer des clients mécontents peut être l'aspect le plus difficile d'un emploi. Il est probable que vous soyez confronté à de la frustration, de l'agressivité et peu de patience, que ces clients vous affrontent face à face ou qu'ils vous parlent au téléphone.
Le secret pour gérer avec succès un client mécontent est de garder votre calme, et de suivre les 12 étapes que nous vous présentons ci-dessous :
Article n°2 : Comment réagir face à un client mécontent (dans un restaurant) ?
Du site LaFourchette
Satisfaire vos clients est l’un de vos principaux objectifs en tant que restaurateur. Et pour cause, ce sont eux qui font vivre votre restaurant. Il suffit parfois d’un oubli, d’un moment de stress ou d’une trop longue attente pour que vos clients soient insatisfaits.
Afin de gérer correctement un client mécontent, il est important que vous fassiez preuve de patience et de professionnalisme. Dans le cas contraire, vous risquez de perdre un client fidèle et de vous construire une mauvaise réputation s’il en parle à son entourage... Alors ? Comment gérer un client mécontent dans votre restaurant ?
Voici 5 solutions pour vous aider à gérer ces situations délicates...
Article n°3 : 5 répliques glorieuses pour gérer un client difficile en 30 secondes
Du blog Maximise Experience.
Quelle que soit la manière dont vous faites votre gestion de la relation client, il y aura toujours besoin de savoir comment gérer un client difficile… ou insatisfait… ou en colère… ou insaisissable… ou tout autres difficulté qui vous causent des soucis.
Qu’importe qu’il soit fâché de vos produits et services – à tort ou raison – ou que vous ayez tort ou raison… les enjeux de votre relation client dans cette situation difficile de conflit doivent être anticipées et gérées, car on ne sait jamais comment cela peut tourner.
Voici le premier fait à considérer et que vous devez marquer dans un coin de votre tête :
En moyenne, 1 client satisfait parlera de son expérience réussie avec votre entreprise à 3 personnes autour de lui… tandis qu’1 client mécontent en parlera… à 11 ! Le bouche-à-oreille c’est à double tranchant… et attention : c’est 4 fois plus rapide quand le client est désappointé.