Ecrivez facilement des textes qui font agir
Ressources gratuites pour Copywriters | Pourquoi ? | Un article au hasard
Il y a quelques années, vers 2-3 heures du matin, j'étais en train de papoter copywriting sur Skype avec Christian Godefroy, quand on en est arrivé à faire un petit challenge tous les deux...
Nous nous occupions du lancement d'un de ses produits, et on avait prévu d'envoyer un mail de relance à toute sa liste business (50.000 inscrits).
Et là il me dit : "Et si on faisait chacun le sien ? Celui qui fait venir le moins de gens sur la page de vente invite l'autre au Relais de l'Entrecôte (à Genève)."
Autant vous dire que j'ai dit oui tout de suite.
On a donc préparé chacun notre mail.
J'ai fait un mail dans les règles de l'art avec un plan précis, une bonne histoire, 3 liens, un sujet qui donnait envie d'ouvrir, bref tout ce qu'il fallait.
Xtian a fait un mail de... 3 lignes.
Bonjour Josette...
On vous en a déjà dit beaucoup sur la manière de faire venir du monde sur votre site web. Je parie que vous ne connaissez pas celle là : lien vers la page.
Xtian
Court et simple, vous avez vu ?
L'entrecôte était... super bonne ! Les frites aussi. Quant à la sauce... aaah la sauce... Si vous ne connaissez pas le Relais de l'Entrecôte, comme restaurant, allez-y ! A l'époque, il était Rue du Rhône, mais il a déménagé maintenant, il est là... Ca vaut le détour !
Ce jour-là, c'est moi qui ai payé le repas à tout le monde (on y est allé à 3).
Il m'a battu à plate couture avec son mail écrit en 1 minute. Et quand on y réfléchit, c'est normal.
Depuis cette histoire, je me suis efforcé de respecter 3 règles absolument CAPITALE quand j'envoie un email.
Les voici :
Un email, ce n'est pas une lettre de vente. C'est un MOYEN d'envoyer les gens vers où vous voulez.
Les gens sont pressés, et ils veulent savoir vite de quoi il est question.
Donc 3 lignes maxi, un lien, et c'est parti. Pas forcément tout le temps, mais une fois sur 2, ce sera salutaire, vous verrez.
Faites des tests...
Si vous avez malgré tout décidé d'écrire un roman dans votre email, mettez un lien après les 2 premières lignes de votre message. Et soignez particulièrement votre premier paragraphe.
Si vous n'arrivez pas à faire cliquer une personne sur un lien après une ou deux phrases, dites-vous bien que ce sera encore plus dur avec un texte de 50 lignes. D'autant que vous aurez perdu les 3/4 des lecteurs.
J'ai étudié des centaines (des milliers même) de sujets de mails, et parmi les 100 meilleurs taux d'ouverture que j'ai pu obtenir, 80 sujets avaient 6 mots maximum.
Donc, gardez ce chiffre en tête : 6
C'est le nombre de mots maxi que devrait avoir un sujet de mail. Je fais souvent des sujets avec un mot ou deux. Je suis rarement déçu.
Voilà !
Respectez ces 3 règles, et vous verrez vos résultats augmenter. C'est garanti ! ;)
11 FEVRIER 2019
Un bon slogan peut augmenter considérablement le nombre de personnes qui vous suivent. Il est surtout le véhicule de votre image à travers le monde.
Et comme un bon slogan n'est pas forcément facile à trouver, j'ai créé pour vous GUS : le Générateur Universel de Slogans.
C'est un outil en ligne, réservé aux membres de Copywriting Pratique, qui va révolutionner votre manière de créer des slogans accrocheurs.
Comment ça fonctionne ?
GUS a dans sa base 1005 structures de slogans, créées à partir des meilleurs slogans du monde, tous pays confondus.
Vous indiquez un terme (votre marque, votre nom, ou même une thématique), vous indiquez si c'est féminin ou masculin, et vous cliquez sur un bouton.
GUS vous donnera 10 slogans engageants et originaux. Vous pouvez n'en garder qu'un seul ou plus, ou pas du tout.
Vous pouvez relancer la machine autant de fois que vous le souhaitez jusqu'à tomber sur LE slogan qui sera l'ambassadeur de votre marque.
Plus besoin de vous creuser la tête, il vous suffit de libérer votre créativité en explorant des combinaisons de mots et de phrases que vous n'auriez jamais imaginées.
Pour accéder à cet outil révolutionnaire, il vous suffit de laisser votre prénom et votre adresse email dans le formulaire ci-dessous. Vous recevez l'accès à cet outil et aux autres en quelques secondes.
On pourrait se dire qu'en ces temps modernes, les gens qui font des pages de vente ont compris que l'important, ce n'est pas le design, mais encore et toujours les mots.
Et pourtant...
J'ai eu l'occasion dernièrement d'essayer d'expliquer ça à une équipe "commerciale". Essayer de leur faire comprendre qu'une page de vente, ce n'est pas un magazine. Et que le "design" ne détermine en rien la réussite d'une campagne de vente.
Ce fut peine perdue. La page incriminée était belle. Moderne. Avec des couleurs partout, des images, des flèches, du parallaxe, de la transparence... Bref, un sapin de Noël moderne.
Mais il manquait tout ce qui faisait qu'une page de vente vend :
Un véritable fiasco qui a fait perdre près de 35000 euros à l'entrepreneur qui avait besoin de ce document pour vendre des places pour un événement qui lui avait coûté la peau des oreilles.
Je lis depuis quelques temps que le copywriting ne sert plus à grand chose, ou qu'il n'est plus nécessaire. Qu'aujourd'hui, un peu de bon sens, de valeurs et de foi en son produit suffit à bien le vendre.
Alors ça marche peut-être pour quelques personnes.
Hélas, il existe des milliers d'entrepreneurs et de coachs qui veulent se mettre sur Internet et qui constatent jour après jour qu'ils ne vendent pas grand chose.
Ils sont certainement pétris de superbes intentions, mais une page de vente, c'est fait pour vendre en utilisant des arguments précis et en expliquant aux gens ce qu'ils vont retirer du produit dont il est question.
Les images partout, la technologie, la police de caractère, tout ça, c'est bien joli, mais ça ne vend rien du tout. Ce n'est que l'emballage. Alors OK ça a sa place dans la stratégie, mais les pages qui vendent le mieux et le plus, ce sont les pages avec juste du texte et une ou deux images (du produit).
Et pour ceux qui en doutent, je rappelle une nouvelle fois qu'avec toute la technologie qui existe et qui s'améliore de semaine en semaine, l'une des entreprises les plus florissantes et les plus efficaces de la planète a une page Internet avec une seule image (leur logo), un champ à remplir et un bouton.
Et quand vous cliquez sur le bouton, vous avez une simple liste de sites, sur une seule colonne, avec un petit texte de description.
Vous aurez reconnu Google. ;)
C'est exactement comme cela que devraient être construites les pages de vente : une seule colonne, un texte qui respecte un plan précis, quelques images qui servent le propos (pas pour faire joli) et un lien vers une seule destination : le bon de commande.
Tant que ceci ne sera pas compris, tant que l'on continuera à créer une page de vente comme on crée un magazine, alors ce sera compliqué pour vendre.
Ca peut vous sembler ringard, has been et peu important, et pourtant, sans parler du résultat - qui est la seule chose importante, ici - il y a des explications cognitives tout ce qu'il y a de plus concrètes.
Par exemple, prenons l'image...
Une image, dans une page de vente, il faut bien comprendre que ça sert à ARRÊTER le visiteur dans sa lecture. Car ça attire l’œil.
Comprenez bien comment ça fonctionne : la gravité fait qu'on lit un texte de haut en bas, soit en le faisant défiler, soit en faisant glisser son regard de haut en bas.
Si vous avez un texte en une seule colonne, une image qui arrive stoppe net la lecture. Il s'ensuit que de manière tout à fait logique, si l'image n'est pas en rapport avec le texte juste avant, alors le lecteur ne comprend pas. Il voit une image, là, et ça le coupe dans son élan de lecture.
Ce qui fait que tous les mots que vous disiez avant se perdent dans son cerveau.
Voilà pourquoi depuis la nuit des temps on recommande de mettre une légende sous chaque image posée sur une lettre de vente. Afin que le principe important que l'on doit comprendre avec cette image soit non seulement visuel mais aussi mental.
Allons plus loin : quand vous mettez une image sur deux colonnes (l'image puis le texte à côté), la gravité fait qu'on détourne automatiquement les yeux du texte pour voir l'image, et qu'on continue.... dessous.
Donc, mettre une image et du texte sur la même ligne fait... qu'on ne lit pas le texte. Ou alors que la fin (toujours la gravité).
Tout ceci relève du simple bon sens. Et je vous laisse imaginer ce qui se passe lorsque vous avez autant de texte que d'images, parfois 5 sur la même ligne...
Je vais m'arrêter là. Le truc important à retenir ici, c'est qu'il est plus important de porter attention à ce qu'on dit plutôt qu'à l'emballage.
En tout cas pour une lettre de vente.
Ca n'empêche pas d'utiliser des polices de caractères modernes et adaptées à votre cible, afin de créer un environnement confortable de lecture, mais laissez tomber les designs en tableau. Laissez tomber les images à gogo. Et laissez tomber la technologie.
Les étapes à suivre quand on vend un produit ou un événement, ce sont les suivantes :
Partez déjà sur ça. Et voyez combien vous vendez. Ensuite, si vous souhaitez faire du design, copiez votre page de vente, et embellissez-la comme vous le souhaitez. Et mesurez si ça vend mieux.
Le copywriting, ça sert surtout à ça... ;)
28 JANVIER 2019
Un dimanche comme un autre, à Paris, sur un marché de quartier.
Un stand boucher / charcutier / traiteur, séparé en 4 morceaux (d'environ 2 mètres) bien égaux, avec un gars devant chaque morceau : Un stand boucherie, un stand charcuterie, un stand volaille, et un autre stand... je ne sais même pas de quoi.
Je m'approche d'un stand vide : je veux des rillettes d'oie. Et il n'y a plus personne derrière.
Je vois le gars du stand de gauche (charcuterie), je lui dis : je veux des rillettes d'oie SPV. Il me répond ce truc incroyable : "Moi je m'occupe du porc. Pour les gallinacées, voyez mon collègue (celui de droite)". Et il retourne discuter avec son pote du stand boucherie (vides tous les deux).
Bon... Je me tourne vers le gars spécialiste des trucs à plumes, il est occupé, sur son stand à lui (à droite) il a 5 personnes qui attendent.
Je lui demande mes rillettes, et il me répond : "Il y a 5 personnes devant vous, vous devez faire la queue de l'autre côté".
Voilà...
Comprenez bien la scène.
Vous avez un stand de 8 mètres de large, 3 vendeurs, un vendeur qui s'occupe d'un petit bout du stand avec 5 personnes à servir, 2 vendeurs qui n'en glandent pas une car ils n'ont pas une seule personne, un client qui demande un truc et qu'on envoie au stand où le gars est déjà overbooké.
Mal barré leur commerce...
Vous aurez sûrement reconnu quelques scènes de bureau où certains sont débordés, d'autres n'en branlent pas une, et d'autres créent ce qu'il faut pour que ça arrive.
Bien...
Je ne connais pas le boss de ce stand bizarre. Mais nul doute que leur processus de vente est à revoir rapidement sous peine de perdre des clients, du CA en pagaille, et aussi pas mal de crédibilité... Nul besoin d'être devin pour savoir ce qui risque de lui arriver bientôt...
Ce stand et ses serveurs pathétiques me font penser à quelque chose en rapport avec le marketing en ligne.
Il s'agit du mode de règlement.
Dans toutes les formations, on vous dit de choisir un serveur de paiement en CB... Puis Paypal aussi parfois... Mais on voit rarement d'autres choix sur les sites de vente des infopreneurs.
Car lorsqu'un client souhaite régler par chèque ou par virement, comment fait-il ?
C'est là qu'il faut un peu d'intelligence commerciale. Qu'il faut prévoir ce genre de demandes, et qu'il faut faire en sorte d'y répondre rapidement.
Et ne pas rester dans une sorte de vide de principe du genre "ouh là, non, les chèques et les virements, c'est bien trop compliqué, et il n'y en a pas assez pour que ça justifie que je perde 15 mn à les implémenter dans mon système de vente"
Depuis que je vends sur Internet, j'ai calculé... Le montant de tout le CA que j'ai reçu en chèques, virements, mandats, mandats internationaux Western Union et Moneygram se monte à plus de 75000 euros depuis 13 ans.
Ca commence à faire pas mal je trouve :)
Alors et vous ? Vous proposez les chèques aussi ?
21 JANVIER 2019
L'un des principes les plus connus du copywriting, c'est de parler plus de votre client que de vous-même.
On le dit depuis des années. C'est LA chose qu'il faut absolument vérifier dans votre lettre de vente, car c'est celle qui peut facilement faire augmenter vos résultats.
Il y a quelques années, John Green, un spécialiste de la parole en public a fait une expérience intéressante avec son public.
Il a demandé à l'assistance de préparer un petit pitch de vente sur le produit de son choix, et de venir le lire devant tout le monde.
Et pendant que chaque orateur déclamait son texte, il a demandé alors au public de se lever, et leur a donné comme instructions de faire un pas en arrière s'ils entendaient les mots "je", "mon", "mes", "mien", "nous", "nôtre", "nos", et de faire un pas en avant à chaque fois qu'ils entendaient les mots "tu", "ton", "tes", "tien", "vous", "vos", "vôtre".
Résultats : certains orateurs terminaient avec une salle vide à la fin de leur discours, et d'autres étaient totalement étouffés par leur public... Certains avaient un public qui n'avait pas bougé d'un pouce.
John Green, sans le savoir, faisait déjà du copywriting.
En effet, un texte qui vend est un texte intéressant et vivant. On pourrait en faire un slogan.
Intéressant, car il doit donner envie d'être lu par votre lecteur, car plus il lira, plus il aura des chances d'agir. Et pour cela, il faut lui parler de lui, lui, lui et encore lui. Et éviter autant que possible de parler de moi, moi, moi et encore moi.
A l'inverse, il faut aussi un peu parler de vous. C'est un texte de vente. Pas un article de journal totalement dépersonnalisé.
Dans l'expérience ci-dessus, il est autant négatif de se retrouver étouffé que tout seul. Et le fait de ne pas avoir bougé du tout montre également l'inintérêt de votre texte.
Le succès réside donc dans un subtil mélange de "vous" et de "je". Avec au moins 3 fois plus de "vous". C'est facile à compter, et facile à calculer.
Christian Godefroy, le maître du copywriting francophone, avait créé ce qu'on appelle l'Egomètre, qui mesurait le nombre de "mots d'or" (vous, vos, votre, etc.) par rapport au nombre de "mots interdits" (nous, nos, notre, etc.) dans une lettre de vente.
Sur ce blog, d'ailleurs, un outil a été créé pour que vous puissiez mesurer vous aussi l'impact de vos textes. Je l'ai appelé le "Sympathomètre" parce qu'il mesure également le degré de sympathie d'un article de blog (pas forcément d'une page de vente).
Pour l'utiliser, rien de plus simple : Vous collez votre texte dans une case, vous cliquez sur un bouton, et hop : il vous donne le niveau de sympathie de votre texte.
Toutes vos lettres de vente, vos pubs, vos articles de blog, et par extension tout ce que vous écrivez pour faire agir les gens devraient contenir 3 fois plus de mots tels que "Vous" plutôt que des mots tels que "Je".
Si vous vous appliquez à mesurer ça à chaque fois, je vous garantis que vos résultats vont augmenter de manière exponentielle. C'est facile à faire et très facile à mesurer.
14 JANVIER 2019
Que vous ayez un blog, une page Facebook, un compte Instagram ou une chaîne Youtube, vous devriez faire attention à comment vous recrutez vos suiveurs et vos suiveuses (vos followers, quoi...).
Il vaut en effet mieux avoir 150 personnes à 100% engagées par ce que VOUS faites, par vos valeurs, plutôt que d'en avoir 1000 qui ne réagissent que lorsque vous les faites rire ou que vous leurs montrez votre ...
Bref, vous avez compris.
C'est pour cela qu'il faut éviter les erreurs de base qui sont encore commises de nos jours par les apprentis blogueurs, nouveaux entrepreneurs du web ou tout simplement par les personnes qui veulent ouvrir un groupe ou une page Facebook pro pour vendre leurs produits ou proposer leurs prestations.
Voici les 3 erreurs les plus fréquemment commises.
Attardez-vous particulièrement sur la 3ème erreur...
Si vous la faites, vous vous acheminez vers une hécatombe en 14 étapes qui réduira votre travail à néant, et vous poussera à tout recommencer dans quelques mois.
Autant démarrer sur de bonnes bases pour éviter ça, n'est-ce pas ?
Les 3 erreurs et les 14 étapes dont je parle ici sont dans un guide PDF réservé aux membres de Copywriting Pratique.
Vous y trouverez également 4 manières intelligentes de remplir avec succès vos pages et groupes Facebook ou n'importe quel autre espace sur votre réseau social préféré avec des personnes qui seront enthousiasmées à l'idée d'acheter ce que vous leurs proposerez ensuite.
Remplissez le formulaire ci-dessous avec soin, et vous recevez ce guide par mail dans la minute, ainsi qu'un accès à toutes les autres ressources réservées aux membres :
J'en parlais dans l'article précédent : la meilleure manière de se faire connaître sur Internet, c'est de produire du contenu "ailleurs que chez soi".
C'est à dire en commentant des blogs ou des forums ou des posts Facebook, ou n'importe où ailleurs où vous pouvez commenter une publication en rapport avec votre thème.
En ce qui me concerne, quand j'ai commencé à m'intéresser aux blogs (en 2011), ma première source de trafic a été le commentaire d'articles sur les autres blogs de ma thématique principale. Cela m'a permis de récupérer environ 1500 inscrits en à peine 2 mois, en partant de zéro.
Aujourd'hui, croyez bien que le commentaire d'article de blog est la voie la plus facile et la plus royale pour se faire connaître. Rien n'a changé, à ceci près que tout le monde se concentre sur les réseaux sociaux, ce qui fait que les blogs sont désertés...
C'est évidemment dommage à plein de niveaux.
Déjà, avec un blog, vous pouvez mettre un lien direct vers votre site sous votre prénom. Ce qui permettra à ceux qui verront le commentaire de cliquer dessus (surtout si le commentaire est pertinent).
Ensuite, avec un commentaire de blog, vous êtes dans Google. Car même si le commentaire en lui-même n'est pas forcément indexé, l'article l'est, lui. Et il est trouvable à vie. Sur Facebook, au bout de 15 jours de passés, plus personne n'entendra parler du post concerné. Et votre commentaire avec.
Et pour finir, le commentaire peut être l'occasion de faire une véritable différence dans votre business, car il peut permettre de rajouter beaucoup de valeur à l'article que vous commentez, et attirer ainsi l'attention de l'auteur qui pourrait alors avoir envie de vous contacter personnellement pour tout plein de desseins (partenariats, articles invités, échanges, etc.)
Il y a quelques temps, j'avais écrit un article à ce sujet, histoire de lister les bonnes pratiques MINIMALES à suivre pour commenter efficacement.
L'article en question vous en donne 4, et le suivant, 5...
Si l'envie vous prend de commenter cet article ou un autre, respectez au moins ces 9 principes. C'est un minimum...
J'ai reçu il y a peu quelques commentaires risibles tellement leur auteur était porteur de sabots gros comme la tour Eiffel.
Un peu d'intelligence ici aussi, ça fait toujours du bien ;)
7 JANVIER 2019
Avoir un blog, un site, un produit, un service à proposer, c'est un bon début pour faire des affaires sur Internet.
Pour autant, l'ultime question à se poser est celle du titre de cet article. Car pour aussi sympa que soit ce que vous proposez, votre succès dépendra du nombre de personnes qui en auront connaissance.
Vous l'aurez compris, dans cet article, on parlera trafic, et aussi de contenu.
Il y a quelques années, j'avais créé un document assez court qui rassemblait 58 manières de faire venir du monde sur son site Internet. Aujourd'hui, il y en a un peu plus, mais globalement, vous avez le choix parmi une bonne soixantaine de façons de générer du trafic.
1 ou 2 payantes, toutes les autres gratuites.
Le point commun à toutes ces manières, c'est le contenu. Pour faire venir du monde chez vous, il va vous falloir "produire" au moins UN contenu par jour. Que ce soit une vidéo, un audio, un article de blog ou un post sur un réseau social, chaque nouveau jour doit être l'occasion pour vous de parler de ce que vous faites, pourquoi vous le faites et ce que ça va apporter aux gens.
Vous pouvez également le faire en commentaire d'un article ou d'un post. Le tout est que chaque jour vous soyez présent sur Internet avec un contenu nouveau.
Ca peut sembler fastidieux au premier abord. Mais la réussite ne pourra pas être au rendez-vous si vous ne vous imposez pas au moins ça.
Et ça va plus loin que ça : vous devez également produire au moins UN contenu ailleurs que chez vous.
Vous comprenez pourquoi ? Parce que pour aller chercher de nouvelles personnes à intéresser à ce que vous faites, vous devez bien évidemment être AILLEURS que sur votre blog, votre fil d'actualité ou sur votre site web.
Ce sont donc les commentaires sur les autres blogs, les forums, les groupes Facebook, ou les sites qui traitent de votre sujet qui vous feront connaître.
Je suis toujours abasourdi par des réflexions du genre "mais je n'ai pas assez d'argent pour me faire connaître", et voir que les personnes qui disent ça ne peuvent pas passer ne serait-ce que minutes par jour à commenter intelligemment les articles des autres, qui traitent du même sujet que celui dont ils parlent.
Si vous passez une heure par jour à commenter les posts pertinents des groupes ou des pages Facebook, ou ceux des blogs, alors vous vous faites connaître.
Il existe encore des forums où on exprime de vraies questions qui attendent de vraies réponses. Il est effarant de constater combien ce genre de cadeau est ignoré. Et pourtant, cela représente une opportunité en or de déposer un petit morceau de connaissance ici et là sur Internet. Et d'intéresser une personne ou même 100 à terme. Idem pour les blogs.
Réussir sur Internet est un travail de longue haleine. Cela suppose une discipline de création de valeur que peu de personnes ont en vérité. Je vois des gens qui traînent dans les événements ou qui cherchent la solution miracle ou le buzz pour se faire connaître, alors que la véritable solution saine et efficace consiste à écrire - ou à tourner des vidéos - chaque jour afin de montrer au monde de quoi ils sont capables.
Vous pouvez chercher : si vous voulez trouver des clients, il faut d'abord leur montrer ce que vous savez faire. Sans cela, ils ne sortiront jamais la CB pour vous.
La réussite est à ce prix !
31 DECEMBRE 2018
3ème question à se poser au moment où l'on décide de proposer quelque chose sur Internet.
En effet, une fois que vous avez choisi votre thème et ce que vous voulez vraiment, arrive le moment où vous allez devoir employer un certain nombre de mots pour en parler.
Et cette discipline est quelque chose qu'il faut traiter très longtemps à l'avance, car c'est ce qui va déterminer l'axe que va prendre votre communication.
Il y a donc un certain nombre d'étapes à suivre pour défricher un peu le chemin.
C'est LE truc dont on va se rappeler en premier. Ca peut être le nom de votre marque, ou de votre produit, ou du concept que vous avez créé.
C'est ce qui apparaîtra aux alentours de votre logo (si ce n'est pas écrit sur le logo lui-même). Pour ce blog, vous l'aurez deviné, c'est "Copywriting Pratique".
La grande idée qui se cache derrière ce nom est très simple : parler du copywriting de manière pratique avec des applications dans plein de domaines de la vie réelle ou numérique.
Bien souvent, la grande idée se concrétise avec le nom de domaine qui va avec.
C'est une sorte de résumé d'à quoi sert la grande idée : on résume en une seule phrase percutante le meilleur bénéfice de votre produit, expertise ou autres.
Ici, c'est "Comment écrire des textes qui font agir". C'est court, c'est clair et ça se comprend tout de suite.
Si c'est VOUS que vous vendez (si vous êtes coach, par exemple), vous devez forcément transformer ce slogan pour le mettre à la première personne.
Par exemple ici : "Je vous coache pour que vous écriviez des textes qui font agir".
Ici, c'est une présentation en moins de 30 minutes. Vous développez un peu plus votre expertise, votre produit ou votre spécialité.
L'objectif est de marquer l'esprit des gens avec un discours percutant, rapide et direct.
Ici, par exemple c'est :
Ce blog s'appelle "Copywriting Pratique" car il met l’accent sur la PRATIQUE du copywriting, plus que sur la théorie.
Voici les 5 raisons à ce choix :
En résumé, avec ce blog je cherche à éveiller l’âme du copywriter qui sommeille en vous, même si vous ne la voyez pas encore, et même si vous croyez que vous n’êtes pas fait pour ça.
Vous trouverez ici des centaines d’exemples que vous pourrez reprendre et adapter à votre business, à votre entreprise, ou même dans votre vie personnelle.
Il y a beaucoup de structures de pitch de présentation, et je vous en parlerai de quelques unes dans un prochain article.
Mais là, vous avez compris qu'il s'agit de présenter ce que vous faites en disant primo pourquoi vous le faites et secundo ce que ça va apporter à celui qui va faire affaire avec vous.
Voilà.
Une fois que vous avez bien défini comment vous voulez parler de ce que vous faites, si c'est bien clair dans votre esprit, alors arrive le temps de trouver des gens à qui parler.
Ce sera l'objet de la dernière question à se poser qu'on verra dans l'article qui suit.
24 DECEMBRE 2018
Savez-vous quel est le "degré de sympathie" de votre site web, vos articles de blog, vos emails ou de vos pages de vente ?
Saviez-vous que la sympathie d’un texte, quel qu'il soit, est mesurable ?
Voici comment…
Si vous avez quelques notions de copywriting, ce qui doit forcément être le cas si vous lisez ces lignes, alors vous avez certainement appris que le mot le plus important qu’on emploie sur une lettre de vente c’est le mot "vous" et tout ce qui s’y rapporte (votre, vos, tu, tes, ton, etc…). C'est ce qu'on appelle les MOTS D'OR.
Il s’ensuit que le mot le moins important est donc son contraire, à savoir le bon vieux "Nous" et ses dérivés (nôtre, nos, moi, mien, etc.). C'est ce qu'on appelle les MOTS INTERDITS.
J'ai donc créé un outil en ligne qui calcule le rapport entre le nombre de mots d'or qu'il y a dans un texte, par rapport au nombre de mots interdits.
Le résultat obtenu est un ratio baptisé "Sympathomètre".
Et donc forcément, plus le sympathomètre de votre texte est haut, et meilleur c’est pour vous.
Comment ça fonctionne ?
Prenez un texte, n'importe lequel. Une page de vente, un article, un mail, une page complète d'un site ou d'un blog, même, si vous voulez.
Copiez et collez ce texte dans le Sympathomètre, et vous obtiendrez le nombre de mots de votre texte, le nombre de mots d'or, et le nombre de mots interdits. Il ne vous restera plus qu'à améliorer ou non votre texte.
Pour accéder à cet outil de calcul, il vous suffit de laisser votre prénom et votre adresse email dans le formulaire ci-dessous. Vous recevez l'accès à cet outil et aux autres en quelques secondes.
Deuxième question à se poser quand vous souhaitez vendre votre expertise sur Internet.
La réponse facile pourrait être "tout, ça n'a pas d'importance", mais ce n'est pas le cas. En effet, il y a des implications qui sont totalement différentes en fonction de ce que vous choisissez comme support de transmission.
On ne parle pas ici du THÈME de votre produit. On parle bien de son SUPPORT.
Déjà faisons un point non forcément exhaustif sur ce que vous avez à disposition pour transmettre votre savoir :
On a déjà 15 supports, et vous conviendrez que ce n'est pas du tout la même chose, et que la manière de vous y prendre pour transmettre votre savoir va grandement varier en fonction de ce que vous allez choisir.
Cela va déjà dépendre de qui vous êtes, de ce que vous savez faire, mais aussi et surtout de ce que vous avez ENVIE de faire.
Et on en revient encore à la question précédente : que voulez-vous vraiment.
Choisir un contenu à délivrer périodiquement suppose... du contenu sans cesse renouvelé.
Choisir de la vidéo suppose que vous ayez le matériel pour et que vous soyez capable de parler en vidéo pour transmettre.
Choisir un livre (papier ou électronique) ou un magazine suppose que vous sachiez bien écrire et que vous sachiez organiser votre pensée pour que ce soit attractif pour ceux qui vont lire ce que vous écrivez.
Choisir la conférence ou les formations en présentiel suppose que vous sachiez parler devant un public.
Chaque choix que vous allez faire va demander des implications de votre côté. Et vous en verrez vite la limite.
Il est donc important que vous vous posiez 5 minutes pour déterminer avec soin quel est le support qui pourra être le plus facilement et le plus rapidement opérationnel pour vous.
Cela ne vous empêchera pas de vous former plus tard à d'autres supports, voire de payer quelqu'un pour les réaliser à votre place, mais pour l'heure, il faut que vous choisissiez.
Surtout que l'étape suivante, c'est comment vous souhaitez communiquer sur tout ça.
17 DECEMBRE 2018
Quand on veut changer, vendre, proposer, impacter ou simplement réussir ce qu'on entreprend, la première des questions à se poser, c'est celle-ci.
Car c'est ce que vous voulez vraiment qui va définir comment vous allez agir pour atteindre ou obtenir ce que vous désirez.
Pourquoi c'est important ? Parce qu'en fonction de ce que vous souhaitez, votre processus ne sera pas le même.
Si vous voulez prendre 6 mois de vacances par an, il va falloir faire en sorte de trouver un système qui travaille tout seul. Et une équipe solide qui vient pallier les problèmes courants et le travail à fournir.
Si le sujet que vous avez choisi vous passionne et que vous souhaitez et pouvez en parler pendant des heures et des heures en y éprouvant beaucoup de plaisir, alors il va falloir trouver un moyen de gagner de l'argent avec.
Si vous souhaitez travailler de n'importe où dans le monde, il faut que vous trouviez le moyen de créer un système portable sur lequel vous pouvez intervenir de partout. Et qu'il soit assez rentable pour vous le permettre.
Si vous souhaitez être populaire et faire des conférences ou des événements devant des gens, il va falloir apprendre à maîtriser la communication sur les réseaux sociaux, assister à un maximum d'événements et organiser autant de conférences qu'il en sera possible pour vous implanter dans la tête des gens.
Si votre but c'est de devenir extrêmement riche avec votre activité, alors il va vite falloir que vous trouviez de futurs partenaires influents, et pour cela vous allez devoir soigner votre relationnel, créer des produits en rapport avec lesdits partenaires et débuter assez vite les échanges de bons procédés.
Si votre but est de rester caché et faire votre petit business dans votre coin, alors il vaudra mieux privilégier la qualité de votre contenu pour inspirer et informer les gens sans avoir à vous montrer en vidéo.
Comme vous le voyez, en fonction de ce que vous allez choisir, le job ne sera pas le même. Votre implication sociale, votre expertise, vos connaissances, vos aptitudes et votre manière de communiquer seront différentes à chaque fois.
Il est donc primordial de bien définir à l'avance ce que vous souhaitez être, faire ou devenir dans un monde idéal, et choisir ensuite l'activité qui convient le mieux à ce que vous avez choisi. Une activité que vous devriez pouvoir faire pendant au moins 10 ans.
Ça ne se choisit pas à la légère, non ?
10 DECEMBRE 2018
Peut-être que vous suivez une formation pour vendre des trucs sur Internet. Ou pour mettre à disposition votre expertise.
Ou peut-être que vous avez juste envie de le faire par vous-même, sans suivre quelque formation que ce soit.
Quoi que vous ayez choisi pour être, vendre ou prospecter sur Internet, la réussite et le programme de ce que vous avez à faire se résume aux 4 questions que voici :
Tout le reste n'est que littérature. Je veux dire que si vous ne répondez pas sincèrement et avec soin à ces 4 questions, tout ce que vous ferez n'aura pas vraiment de sens, et vous finirez par arriver dans le mur 99 fois sur 100.
Je vous détaillerai ces 4 questions et pourquoi c'est important dans les 4 prochains articles.
En attendant, si vous commenciez à y réfléchir et à y répondre ?
3 DECEMBRE 2018
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