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Ressources gratuites pour Copywriters | Pourquoi ? | Un article au hasard
Aujourd’hui, je voudrais vous démontrer qu’il est parfois plus vendeur de proposer un choix plutôt que de faire une proposition unique.
Principe : Vous avez un produit à vendre. Vous proposez à votre client de choisir entre ce produit et un beaucoup plus cher.
Le prix du produit à vendre en devient donc dérisoire.
Si on analyse le principe, on comprend que c’est logique.
En admettant qu’on veuille absolument un produit, qu’on est prêt à l’acheter, et que la seule chose qui nous bloque soit le prix, alors quand on a un choix entre deux prix, un cher, et un moins cher, d’instinct, on est plus attiré par le moins cher.
Surtout si le produit cher est par trop inaccessible et compliqué à avoir.
Un petit exemple ?
J’ai appelé cette technique comme ça car j’ai eu l’occasion de rencontrer dans ma vie une personne qui était la reine de ce genre de truc : Ma nièce. 16 ans. A croire que certaines personnes ont ça dans le sang très tôt (voir à ce sujet les deux héroïnes de nos vidéos d’hier).
Voici comment ça se passe :
L'objectif est de faire faire un FAUX choix à votre client.
Qu'est-ce qu'un faux choix ? C'est proposer un choix qui n'en est pas un du tout.
Suivez bien la tactique :
Une ado veut absolument que sa mère lui achète ce dernier CD de Lady Gaga qu'elle convoite depuis quelques semaines.
Plutôt que de lui demander de lui acheter ça, elle va plutôt se battre pour quelque chose de bien plus inaccessible, et de bien plus cher.
Donc elle lui demande chaque jour si elle ne peut pas aller assister à ce concert "super génial" qui se passe à 500 km de chez elle, qui coûte pas loin de 100 € et qui ferait "trop fun" devant les copines.
Et là, la mère commence à avoir un peu des sueurs froides car elle pense à toutes ces dépenses, et toutes ces contraintes que lui imposerait le fait de satisfaire les désirs de sa fille. Mais la fille tient bon... Et la mère aussi...
C'est à dire confrontation, conflits, pleurs, cris... Bref, la situation pas spécialement agréable. Surtout pour la mère.
Et un jour, la fille lâche nonchalamment un truc du genre : "Quand je pense que toutes mes copines ont déjà son dernier CD, je les aurait trop fait bisquer si moi, j'étais allée à son concert...".
La porte de sortie est ouverte. Et l'occasion est trop belle pour la mère de compenser un refus qui, malgré tout, lui pèse un peu, en achetant "un pauvre CD à 14 €", qui parait maintenant une dépense bien dérisoire par rapport à ce concert infernal.
Et la fille a son CD. Mission accomplie.
Je vous sens un peu énervé(e) par cette histoire, je me trompe ?
Hé oui... On n'aime pas trop avoir été manipulé. Quoi qu'on en dise. Mais le fait est que ça marche.
Dans le même ordre d'idées, je ne peux résister à l'envie de vous mettre un lien vers cette lettre d'une fille à sa mère que vous pouvez lire sur le blog Ado Mode d'emploi de Marie-Do, et qui nous montre comment on peut utiliser cette technique pour faire passer une (grosse) pilule amère.
L'important, c'est que vous pouvez reprendre ce concept en faisant faire un faux choix à vos clients.
Par exemple, vous pouvez proposer votre produit à 27 €, mais faire également une offre plus haute. Bien plus haute.
Cette technique fonctionne surtout avec les produits "composés".
Dans la mesure où ce que vous proposez est déclinable en plusieurs options, alors vous devriez envisager de proposer une version de votre produit beaucoup plus élaborée.
Par exemple, vous décidez d'écrire un livre pour apprendre la couture à vos semblables (ca marche aussi avec le scrapbooking, la sculpture de citrouille, le marketing, le copywriting, la construction de terrasses en bois, etc...).
Vous avez décidé de vendre ce livre en version électronique à 17 €. C'est donc votre version de base.
L'objectif est maintenant de rendre la dépense de votre produit dérisoire, et pour cela, vous commencez par lire à haute voix votre guide pour en faire une version audio. Comme ça vos clientes peuvent suivre les instructions sans avoir à lire le livre.
Ensuite, vous pouvez décider de transformer ce livre en un véritable cours de couture sur Internet.
Vous allez donc filmer une dizaine de vos réalisations, en vous basant sur les différents chapitres de votre livre. Vous déciderez alors de livrer une vidéo par semaine pendant les 10 prochaines semaines.
Couplé à ça, vous déciderez de ne pas laisser tomber vos "élèves", et donc, chaque mois, vous pourrez organiser une séance de "coaching commun" d'une heure où vous pouvez répondre aux différentes questions de vos élèves.
Vous essayerez de dénicher des outils existants tels que des logiciels pour établir des patrons (ça doit bien exister) quitte à en faire fabriquer un. Vous pouvez aussi passer des partenariats avec des éditeurs existants.
Vous avez donc là un produit beaucoup plus complet qu'un "simple ebook", ce qui fait que vous pouvez maintenant proposer cette version de votre produit à 97 €.
Et si vous comptez aller encore plus loin, il vous suffit de passer les séances de coaching commun à toutes les semaines. Séances que vous filmez et que vous pouvez rajouter à votre produit d'origine, qui devient alors un véritable cours de perfectionnement, où chaque "élève" est suivi.
Vous passez alors votre cours à 87 euros par mois, devenant ainsi une véritable formation en ligne, avec un suivi personnalisé et des exercices à corriger.
Vous avez vu, on est passé de 17 € à 97 € puis à 261 € (87 euros par mois pendant au moins 3 mois).
Le prix de votre produit d'origine à 17 € devient clairement dérisoire par rapport au reste.
Vous avez compris le principe. D'autant que cela fonctionne avec n'importe quel produit qui peut être décliné en séances de cours filmé.
L'effet sympa sera que vous pourrez aussi proposer vos versions plus élevées en gamme, après l'achat du produit à 17 euros.
Et vous en vendrez également directement sur votre page de vente d'origine.
Bien entendu, vous devez présenter votre page de vente de manière à ce que ce soit le produit principal à 17 € qui soit la star du jour.
Les versions plus élaborées viennent après.
Vous pouvez même inclure la notion de prix dès le début de la lettre en faisant comme les magasins avec leur fameux "A partir de..."
Dans notre exemple, ça donnerait une accroche du style "Devenez une pro de la couture. A partir de 17 €."
L'objectif est de bien présenter le CONTENU de votre livre qui sera dans les faits le même contenu que celui des vidéos de la version à 97 €.
Pensez avantages, photos, succès dans la démarche, et surtout fierté d'avoir réussi.
Vous présentez des travaux facile à réaliser, puis le prix de l'ouvrage dans sa version de base.
Et ensuite, vous allez axer la deuxième partie de votre lettre de vente sur la relative facilité de suivre des cours en vidéo. Sans dénigrer bien sûr votre produit principal.
Il ne s'agit absolument pas de ça ! Ce serait même une grosse erreur de le faire.
Votre produit principal est excellent, facile à mettre en œuvre et pratique à plus d'un titre.
Les versions au-dessus sont faites pour les gens qui en veulent plus. Qui veulent aller plus vite. Qui veulent voir les choses réalisées pas à pas de leurs yeux, avec la voix de la personne qui le fait.
Mais la majorité de vos clients commenceront par la version écrite, ne serait-ce que pour voir s'ils y arrivent comme ça.
Il sera toujours temps ensuite de leur réécrire pour leur dire "Voulez vous tester la vidéo ?" et de les diriger alors sur une page de vente plus complète qui présente vraiment la vidéo comme quelque chose de pratique, avec en plus des bonus et des concepts qu'on n'abordait pas dans la version texte.
Dans votre page de vente qui propose 2 ou 3 versions de votre produit, vous devez respecter ce plan :
Bien évidemment, il vous faudra prévoir 2 pages de vente supplémentaires pour vos 2 versions supérieures, où là, vous pourrez (et devrez) axer sur le contenu desdites versions, quitte à en présenter des extraits.
Et vu que la majorité des gens qui verront ces lettres de vente seront déjà vos clients, alors vous pourrez leur parler de manière plus intimiste, ce qui donnera à l'ensemble quelque chose de plus convivial.
Surtout si vous entretenez une relation sympa par mail, avec par exemple l'envoi d'un mail d'info par semaine. Avec un lien vers vos versions plus élaborées après un ou deux mois de "contact" privilégié.
Vous le voyez, le "faux choix" est une technique qui peut être employée sans risque pour vos affaires, si tant est que vous avez la possibilité de fournir au moins deux versions de votre produit.
D'autant qu'au mieux, vous pourrez vendre la meilleure version !
Vous n'êtes bien sûr pas obligé de faire la version avec abonnement mensuelle au début. Une version plus interactive avec des vidéos et de l'audio (pour passer la barrière du simple texte) sera déjà une bonne idée.
Donc si vous avez un produit "livre" à vendre, prévoyez d'en faire des vidéos, si c'est possible.
Et si vous vendez déjà un cours en vidéo, pourquoi ne pas en faire une version ebook à moindre coût ?
Cela permettrait à certains de vos visiteurs, qui n'ont pas forcément envie de s'embarquer tout de suite dans un cours vidéo complet de débuter dans ce que vous proposez avec un livre à lire ?
Certains n'ont pas beaucoup de temps, et préfèrent de loin le livre à la vidéo. Pensez-y !
18 FEVRIER 2016
Que vous ayez un blog, une page Facebook, un compte Instagram ou une chaîne Youtube, vous devriez faire attention à comment vous recrutez vos suiveurs et vos suiveuses (vos followers, quoi...).
Il vaut en effet mieux avoir 150 personnes à 100% engagées par ce que VOUS faites, par vos valeurs, plutôt que d'en avoir 1000 qui ne réagissent que lorsque vous les faites rire ou que vous leurs montrez votre ...
Bref, vous avez compris.
C'est pour cela qu'il faut éviter les erreurs de base qui sont encore commises de nos jours par les apprentis blogueurs, nouveaux entrepreneurs du web ou tout simplement par les personnes qui veulent ouvrir un groupe ou une page Facebook pro pour vendre leurs produits ou proposer leurs prestations.
Voici les 3 erreurs les plus fréquemment commises.
Attardez-vous particulièrement sur la 3ème erreur...
Si vous la faites, vous vous acheminez vers une hécatombe en 14 étapes qui réduira votre travail à néant, et vous poussera à tout recommencer dans quelques mois.
Autant démarrer sur de bonnes bases pour éviter ça, n'est-ce pas ?
Les 3 erreurs et les 14 étapes dont je parle ici sont dans un guide PDF réservé aux membres de Copywriting Pratique.
Vous y trouverez également 4 manières intelligentes de remplir avec succès vos pages et groupes Facebook ou n'importe quel autre espace sur votre réseau social préféré avec des personnes qui seront enthousiasmées à l'idée d'acheter ce que vous leurs proposerez ensuite.
Remplissez le formulaire ci-dessous avec soin, et vous recevez ce guide par mail dans la minute, ainsi qu'un accès à toutes les autres ressources réservées aux membres :
L'ingrédient numéro 1 du copywriter, ce sont les mots. C'est avec eux qu'on construit une bonne (ou une mauvaise) lettre de vente à l'aide du copywriting.
Et une lettre de vente, c’est une sorte d’assemblages de mots qui ne servent ni plus ni moins qu’à créer des images mentales dans la tête de vos futurs clients.
Plus les mots que vous allez employer évoqueront des images, et plus votre lecteur se sentira impliqué dans ce qu’il lit au niveau émotionnel.
Couplez les images avec de l’action, et vos taux de commande vont crever le plafond.
Je vous propose donc dans cet article 23 verbes que vous pouvez employer pour votre propre produit si vous tombez en panne d'inspiration au moment d'en parler en terme actifs et imagés.
Que fait votre produit ?
Il...
En manque d'inspiration ? Utilisez un de ces verbes pour créer une phrase active et imagée qui parle de votre produit.
D'accord.
Prenons un guide qui vous explique comment créer un produit d'information pour gagner de l'argent en le vendant :
23 phrases que vous pouvez adapter comme bon vous semble.
Faites-le avec votre propre produit.
Vous pensez que vous n'y arriverez pas ?
Essayez quand même. Je ne pense pas qu'il existe un seul produit pour lequel ces 23 verbes ne fonctionnent pas.
11 FEVRIER 2016
J’ai une question insolite pour vous, en ce mardi matin :
Avez-vous déjà eu l’occasion d’étudier les différents poisons qui existent ?
Cette question peut surprendre sur un blog consacré au copywriting, mais vous allez comprendre pourquoi dans quelques instants.
Les poisons me fascinent. Tout comme la chimie, d’ailleurs.
La faute à quelques tantes lointaines qui ont relaté certaines expériences dans certains vieux manuscrits que j'ai eu l'occasion de trouver dans un grenier poussiéreux quand j'avais 10 ans, mais aussi à quelques ouvrages qui me sont passés dans les mains bien après.
C'est passionnant. Vraiment !
OK, ça fait un peu Harry Potter, mais l'étude des poisons et de la chimie nous donnent des enseignements irremplaçables sur l'importance du dosage des choses.
Et ça c'est un truc qui sert continuellement quand on pratique le copywriting.
C'est comme l'étude des poisons. J'y reviens en détail dans quelques instants, mais avant, je voudrais vous parler du cyanure.
Dans l'ouvrage "Poisons et empoisonneurs célèbres" de Roland Villeneuve (1968), l'auteur nous explique que l'empoisonnement au cyanure est celui qui est le plus connu et le plus craint par le "peuple", mais que les exemples d'empoisonnements par ce moyen sont très rares dans l'histoire, car très très difficiles à réaliser.
En effet, le cyanure, qui était à l'origine extrait de la fleur de pêcher, est un toxique foudroyant à partir d'une dose infime, qui est capable de produire une mort immédiate sous réserve qu'il soit pur et dosé de manière absolument parfaite, au microgramme près.
Il n'hésite même pas à dire que tous ceux qui ont réussi à empoisonner quelqu'un par ce moyen ont en fait eu "de la chance", et que les victimes n'auraient jamais dû mourir.
Ce fut notamment le cas de Raspoutine qui se fit administrer des doses de cyanure tellement énormes qu'il aurait dû y passer en quelques secondes.
Ca le rendit juste vert et malade. :hin:
L'inverse est aussi vrai : La plupart des médicaments qui vous soignent ne sont des médicaments QUE parce que leurs composés -essentiellement chimiques - sont dosés de parfaite manière.
Et les mêmes composés, dosés de la mauvaise façon, se transforment en poison des plus violents. C'est le cas de la digitaline ou de la morphine, par exemple.
Quel rapport avec le copywriting me direz-vous ?
Il est total, et voici pourquoi :
Si vous ne dosez pas de manière parfaite les différents arguments de votre lettre de vente, alors dans 99 cas sur 100, votre dosage va provoquer... la mort immédiate de votre vente.
En effet, la vente d'un produit résulte également de la chimie. Mais d'une chimie beaucoup moins expérimentable à l'aide de tubes à essai et de pipettes :
Il s'agit plutôt de chimie "émotionnelle" qui provoque ou non l'achat de votre produit.
Et dans ce domaine, force est de constater que les dosages des différents éléments de votre lettre ont tout à voir avec la réussite de votre opération.
Voyons le premier élément : L'accroche.
L'accroche est le premier élément de votre page de vente qui va être lu.
C'est également lui qui va provoquer la "chimie émotionnelle" nécessaire à la lecture du reste de votre texte.
Et si vous ne rendez pas la promesse que vous faites dans votre accroche crédible et "nuancée", alors les gens ne vous croiront pas, et il partiront.
Ce qui provoquera alors une mort immédiate de vos chances de vendre !
Par exemple :
Voici LA méthode qui m'a fait gagner 37.885 € en deux semaines grâce à un livre de 50 pages.
ou encore :
Devenez financièrement indépendant en ne bossant pas plus de 4 heures par semaine.
Dans ces deux accroches, les deux concepts "je gagne beaucoup d'argent" et "sans trop d'effort" mis ensemble produisent un composé "émotionnel" non crédible qui provoquera la mort immédiate de la vente.
Ca marche aussi avec : "Comment j'ai perdu 25 kilos en 30 jours sans faire de régime".
Tous ces composés sont inefficaces.
A l'ère de l'information en continu et en abondance que nous offre Internet, on ne peut pas convaincre une personne sensée qu'elle va pouvoir perdre 20 kilos en 1 mois. Même si c'est ce qui s'est produit chez vous ou chez une personne qui a suivi le truc.
Même si c'est prouvé à la télé, même si Sonia Dubois vient vous voir en personne pour vous dire que c'est ce qui lui est arrivé :
20 kilos en un mois, c'est trop !
Beaucoup trop pour être accepté par une personne, surtout si vous lui demandez de l'argent en échange de la méthode.
Idem pour les 37.885 €. Gagner ça en deux semaines, même si ça vous est déjà arrivé, c'est impossible à réaliser pour plus de 999 personnes sur 1000 qui débutent – ou pas.
Personne, je dis bien personne qui a un soupçon de bon sens ne pourrait croire un truc pareil s'il n'a jamais fait une seule affaire sur Internet.
Ca marchait peut-être il y a 3 ou 4 ans, et ça fonctionne encore peut-être pour 1 personne sur 1000, mais pour la majorité des gens, ce genre de "médicament" ne fonctionne plus : C'est devenu le poison des pages de ventes, ce qui fait que tout vendeur qui tente de prouver que c'est possible s'attire non seulement les foudres de ses congénères, mais se décrédibilise dans les grandes largeurs.
Donc plutôt que d'employer des termes trop forts et d'associer des concepts explosifs, essayez plutôt de produire un composé stable et crédible.
Par exemple, transformez les accroches ci-dessus par quelque chose de plus nuancé et de plus réalisable par vos prospects :
D'une manière générale, vous devez toujours évaluer votre promesse en fonction du public que vous visez.
Si votre accroche parle d'une chose qui n'est faisable que par une toute petite partie des individus, alors revoyez la question : Ca ne dira rien du tout à la majorité des lecteurs que vous voulez convaincre.
C'est pareil pour vos témoignages : Certains composés d'un témoignage sont non seulement instables, mais surtout explosifs.
En voici 3 :
Si vous étiez un SDF qui a vécu dans la rue pendant 10 ans, et qu'un jour vous avez décidé de retourner chez vos parents et de vendre jusqu'à la dernière chose qui vous a appartenu pour vous lancer sur Internet et gagner aujourd'hui 10.000 euros par mois, c'est une histoire magnifique, mais qui ne concerne que 0,01% de la population, et certainement 0% de vos clients, qui eux, ont accès à Internet et qui peuvent taper "devenir riche sur Internet". Ce qui est loin d'être le cas d'un SDF, sauf exception.
Seuls 0,000000001 % des SDF du monde entier auront l'idée – et la possibilité - de faire la même chose.
L'inverse est aussi vraie.
Si vous recevez le témoignage d'une personne qui possède un million d'adresses email sur lesquels il a décidé d'appliquer votre méthode, et qu'il soit arrivé à gagner ses 150.000 euros en 3 heures, croyez-vous franchement qu'il soit utile de produire ce témoignage ?
Combien de personnes ont une base de UN million d'adresse email ?
Combien peuvent gagner cette somme en 3 heures ?
Et surtout, qu'est-ce qu'une personne qui a 1 million d'email fait sur votre page de vente ?
Dans le même ordre d'idée, si vous avez une personne qui vous envoie un témoignage pour vous dire qu'elle a réussi à lire et à appliquer votre enseignement (lecture rapide, mémoire, langue vivante, méthode pour devenir riche, etc...) en un seul mois au lieu de 2 ans, vous avez manifestement affaire à une personne douée pour l'apprentissage ou qui a la faculté de bouger les foules.
Mais est-ce qu'il en sera de même pour tous vos clients ? Evidemment non !
Je pense que vous avez compris l'idée.
Elle tient en une seule phrase :
Ne promettez sur votre page de vente que ce qui peut être copiable par un maximum de personnes, même par celles qui ne possèdent pas une faculté, une chose ou une situation extraordinaire.
Accroche, témoignages, preuves... Tous ces éléments doivent être crédibles et accessibles au plus grand nombre.
Le plus important est l'accroche bien sûr !
Reprenez vos accroches, et passez-les au travers de ce filtre des 3 questions :
Si vous répondez OUI à ces 3 questions, alors votre accroche comporte les composés qu'il faut pour produire une chimie émotionnelle parfaite qui ne les fera pas fuir. C'est déjà ça.
Mais si l'une ou plusieurs de vos réponses est NON, alors revoyez vite la question, car le composé explosif que vous avez produit va provoquer incessamment sous peu la mort de près de 99% de vos ventes...
BAOUM !!
Si vous avez des doutes sur votre accroche, mettez-la en commentaire. On va la passer ensemble à travers ces 3 filtres.
4 FEVRIER 2016
Voici le dernier article de la série de ceux qui concernent la manière d’augmenter le nombre de ses ventes en affiliation grâce au copywriting.
Aujourd’hui, nous allons parler tarif.
Sur la page de vente qui présente le produit vendu, on va trouver forcément, à un moment ou à un autre, l’annonce du prix.
Et dans cette discipline ardue, il existe quelques astuces de copywriter pour le faire afin qu’il paraisse le plus dérisoire possible.
En voici une que vous ne verrez pas souvent employée et pourtant, c’est une véritable merveille d’efficacité.
Notez que si vous n’avez pas la possibilité d’intervenir sur la page de vente en question, vous pouvez tout à fait en faire une petite, vous-même, qui comporterait cet encart au moment d’annoncer le prix.
Libre à vous ensuite de diriger les gens directement vers le bon de commande, ce qui ne vous empêchera pas de rajouter un lien vers la page de vente d’origine si votre lecteur a envie d’en savoir plus.
Quoi qu’il en soit, réaliser une petite page de vente perso, c’est toujours plus bénéfique que d’envoyer les personnes qui VOUS connaissent ailleurs que chez vous.
De cette manière, vous pouvez déjà faire une grosse partie du travail en donnant votre ressenti et votre abord du produit en question.
L’annonce du prix d’un produit est un moment très important dans le processus de vente, car c’est généralement lui qui détermine la suite favorable ou non des opérations.
Et dans la majeure partie des cas, les gens abandonnent l’affaire parce que le prix proposé leur semble trop élevé par rapport à l’argumentaire qui précède.
Ceci est renforcé par le fait qu’on leur annonce généralement le prix de but en blanc, ce qui fait qu’ils passent de zéro (pas de prix) à 37 € (par exemple) d’un seul coup.
La technique dont je vous parle aujourd’hui permet d’inverser le processus en partant d’un prix très élevé (mettons 400 euros), pour arriver au final au prix de votre produit, beaucoup plus bas.
Il est en effet plus rassurant pour votre prospect de passer d’une dépense de 400 € à 37 € plutôt que de passer de rien du tout à une dépense de 37 €.
Pour pouvoir mettre en place ce style d’annonce, vous allez devoir vous concentrer sur le principal problème de votre prospect, et vous allez lui demander ce qu’il serait prêt à payer pour avoir la paix ou pour voir son problème résolu.
L’objectif est de créer une charge émotionnelle forte en appuyant très fort sur le problème, et en demandant ensuite s’il serait prêt à payer une somme dérisoire (généralement 1 euro) pour s’en débarrasser ponctuellement.
Ensuite, le jeu consiste à multiplier cette somme dérisoire par un nombre de fois bien plus grand pour pouvoir régler le problème sur une période plus longue, ce qui donne au final un prix très élevé qui fait paraitre le prix de votre produit dérisoire.
Voici un exemple pour un de mes produits sur le sommeil afin que vous compreniez bien le principe :
[jbox color="yellow" width="480"]
Imaginez une nuit typique de privation absolue de sommeil...
Vous êtes sur les nerfs... Vous avez les yeux rouges, et vous en pleureriez de rage, tout en contemplant le plafond et croyant devenir fou à chaque minute de la nuit.
Dans ces moments-là, s'il vous était possible de pouvoir payer ne serait-ce qu'un seul euro pour passer une nuit de merveilleux et reposant sommeil, combien de temps pensez-vous pouvoir tenir avant de craquer ?
Seulement 1 € pour la paix et le calme... bref, un euro pour une nuit de repos absolu...
Je parie que vous résisteriez pas plus d'une heure...
Et si vous poussiez le "luxe" jusqu'à le faire chaque nuit, il vous en coûterait la somme substantielle de 365 € pour une année complète.
La bonne nouvelle, c'est que le programme dont il est question sur cette page ne vous coûtera pas 365 €, mais 10 fois moins : Son prix est de 37 Euros.
[/jbox]
Normalement, plus le problème de votre prospect est handicapant, et plus il est facile d’employer cette technique.
Mais cela fonctionne aussi avec n’importe quel produit, pour autant qu’il ait été conçu spécifiquement pour régler les problèmes de vos clients.
Commencez donc par identifier le souci, et demandez ensuite à votre prospect combien il est prêt à payer pour profiter de sa solution chaque jour.
Partez de cette phrase :
“Combien seriez vous prêt à payer pour avoir _____ chaque jour ?”
Et complétez l’espace avec la solution la plus attirante et la plus récurrente que votre produit peut apporter.
Ca fonctionne avec tout si votre produit est conçu pour résoudre les problèmes des gens - ce qui devrait généralement être le propre de tous les produits à vendre.
Si vous avez des difficultés à trouver ça pour votre produit, indiquez-le en commentaires, et voyons ça ensemble...
Voilà. Cette série d’articles sur l'affiliation se termine.
Je vous en résume les grands points :
Si vous respectez ces étapes, l'affiliation ne sera plus pour vous une activité qui ne sert à rien.
Elle deviendra plutôt une activité rentable que vous pourrez dupliquer avec d'autres produits.
Tentez l'expérience... Vous ne serez pas déçu ;)
Vous le savez maintenant, si j’ai choisi de vous présenter cette série d’articles sur l’affiliation, c’est parce qu’en ce moment, mes amis Cédric et Ludovic rouvrent les portes de leur Club Affiliation Pro.
Je crois que c’est aujourd’hui le dernier jour pour vous décider.
Si vous ne savez pas ce que c’est, alors je vous le présente vite fait :
Il s’agit d’un Club qui propose de la “valeur ajoutée” à un produit qui est déjà en vente en affiliation.
En gros, ils choisissent un produit de bonne qualité qui se vend en affiliation, avec une commission généreuse pour les affiliés.
Et ils proposent également tout un tas de contenus (articles, vidéos, infos) en rapport avec le produit vendu, que leurs membres (vous dans quelques minutes) peuvent utiliser :
Ils font donc une très grosse part du travail de recherche, et vous, il ne vous reste plus qu’à vendre.
Et surtout, ils proposent toujours POUR CHAQUE PRODUIT, une série de vidéos en rapport avec le thème du produit en question. Ce qui permet d’attirer des gens intéressés avec des éléments d’excellente qualité et avec une valeur perçue très haute.
Et vous avez ainsi un énorme avantage sur ceux qui font de l’affiliation “normalement”, puisque vous avez vous plus de valeur ajoutée.
Voilà.
Actuellement, dans le cadre de la réouverture des portes de leur Club, Ludovic présente une série de vidéos qui vous expliquent comment faire pour créer un blog et tout ce qui va autour et pour le monétiser grâce à l’affiliation.
Vous pouvez accéder à ces vidéos en cliquant ici.
Vous l’aurez compris, si vous passez par le lien ci-dessus, alors je toucherai une commission (35 €) si vous devenez membre du Club Affiliation PRO. Je vous en reverserai plus de la moitié chaque mois
Mais bon, si l’idée que je puisse gagner 15 € (et vous 20 €) sur votre inscription vous est absolument insupportable, alors vous pouvez cliquer directement sur ce lien. Vous accèderez alors aux vidéos sans que je touche quoi que ce soit.
20 JANVIER 2014
Si vous vous intéressez un peu au copywriting, alors vous savez que l'un des paragraphes capitaux d'une page de vente concerne la preuve sociale.
Oui, même si on vous a dit le contraire, une page de vente, c'est une succession de paragraphes qui devraient être placés dans un ordre précis.
Et parmi ces paragraphes se trouvent les preuves sociales. Vous savez… les témoignages clients, par exemple.
Hélas ! Beaucoup de gens s'arrêtent aux témoignages pour renforcer leur crédibilité, alors qu'il y a en bien plus à utiliser sur une page de vente.
Et en fait, quand vous voulez aller au restaurant, au ciné, dans un hôtel, un appartement ou même à un spectacle, les avis (leur nombre, surtout), les étoiles et les commentaires vous aident grandement à choisir.
C'est l'avantage de notre époque : Internet a rendu les avis clients accessibles à tout le monde, ce qui a permis d'éviter de nombreuses expériences désagréables à beaucoup de monde.
Si vous vendez des produits ou des prestations sur Internet, vous pouvez utiliser ce moyen pour gagner en crédibilité et ainsi augmenter vos ventes.
Je vous propose donc de découvrir 12 types de preuves sociales que vous allez pouvoir utiliser et rajouter sur votre page de vente :
Il s'agit d'un guide en PDF que vous pouvez télécharger facilement en guise de cadeau de bienvenue dans la grande famille du Copywriting Pratique, et plus particulièrement dans celle de ce blog.
Indiquez juste votre prénom et l'adresse email à laquelle je peux vous envoyer votre accès à ce guide et à plein d'autres :
Cet article fait suite à ceux d'hier et d'avant-hier, dans lesquels je vous expliquais comment faire pour utiliser le copywriting pour vendre plus et mieux un produit en affiliation.
Aujourd'hui, nous allons voir comment vous pouvez créer de la valeur ajoutée autour d'un produit qui n'est pas à vous, pour vous démarquer de vos concurrents directs, à savoir les autres affiliés.
Je vous propose 5 types de cadeaux à associer avec le produit que vous vendez.
Ca, ça fonctionne bien entendu avec tous les produits techniques, comme les logiciels ou les scripts, ou même les meubles...
Faites une vidéo qui montre comment vous vous en servez en direct, et vous pouvez ainsi faire gagner des heures à vos futurs clients.
Si vous rajoutez en plus des trucs et des astuces que vous avez trouvées vous-même et que vous racontez en vidéo comment vos clients peuvent s'y prendre, alors le produit final aura encore plus de valeur aux yeux de vos futurs clients.
Deuxième application de la vidéo de démonstration : Le partenariat avec le vendeur du produit.
Si votre vidéo est de qualité et aide réellement les clients, alors vous pouvez contacter le vendeur pour lui dire que vous acceptez de mettre votre vidéo à la disposition de tous les clients du produit, contre par exemple un ou deux euros par vente, même si cela ne passe pas par votre lien.
Le montant de la rétribution est bien entendu à négocier en direct avec le vendeur.
Ca, c'est surtout pour les produits qui ne nécessitent pas de démonstration. Les fleurs, par exemple, ou même les voyages, les assurances, les vêtements, l'hébergement de site web, les produits immobiliers, etc...
L'objectif est de trouver soit des applications liées directement au produit, soit des applications liées à une activité annexe.
Par exemple, si vous êtes affilié à un marchand de fleurs, vous pouvez concocter quelques vidéos où vous montrez comment faire quelques compositions florales vite faites. Ou alors comment empaqueter un bouquet de fleur comme les pros.
Vous n'êtes même pas obligé de le faire vous même. Vous pouvez allez voir un fleuriste de votre ville et lui demander si vous pouvez filmer ses mains pendant qu'il travaille, en échange d'un lien sur Internet vers le site de son magasin.
Pas besoin de faire un montage compliqué. Ce n'est pas un concours de vidéo. L'important, c'est que ce soit clairement filmé.
Ce genre d'astuce est valable pour beaucoup de produits :
Ce n'est limité que par votre imagination.
Cà, c'est valable surtout pour tous les produits qui vendent de l'information. Ebook, vidéos, formations, coaching, DVD, CD-Rom, Logiciels, solutions audio...
L'objectif est de créer un autre livre ou un autre logiciel qui prolonge en quelque sorte l'action du produit principal.
Voici quelques exemples :
Di vous vendez un livre ou une formation qui explique comment monter un blog, vous pouvez tout à fait écrire un livre qui rassemble les différents moyens de se faire connaître avec son nouveau blog ainsi monté.
Si vous vendez un livre ou une solution audio pour mieux dormir, vous pouvez écrire un petit livre qui donne une trentaine d'astuces pour ne plus jamais être fatigué. Ou pour gérer le stress, qui engendre fatigue et insomnie...
Notez qu'ici aussi, ça peut être aussi une vidéo.
Voici un bon moyen, si vous avez créé un produit, de le monétiser sans perdre trop de temps, juste en l'associant avec un même produit à vendre en affiliation.
En effet, le montant que vous touchez (votre commission d'affiliation) peut représenter le prix de vente de ce produit.
Quand on y réfléchit, c'est très astucieux, car ça vous fait gagner un temps fou sur toute la partie marketing. En effet, comme il s'agit d'un produit complémentaire, il est livré uniquement lors de la vente d'un autre produit en affiliation.
Donc pas de page de vente, et pas de prix à fixer.
Avouez que c'est malin !
L'objectif est de montrer comment VOUS vous en êtes sorti avec les soucis d'utilisation que vous avez rencontrés lors de votre phase de test du produit.
Vous pouvez aussi montrer quelques raccourcis, rajouter un support ou un manuel supplémentaire.
Imaginez un carnet de bord, ou un mode d'emploi spécial, un peu comme la rubrique que l'on trouve parfois dans les manuels des appareils électro-ménagers "Que faire en cas de panne".
Ca, c'est un style de cadeau qui fonctionne avec pratiquement tous les produits.
J'en ai cherché pour lesquels ça ne fonctionnerait pas, et je n'en ai pas trouvé.
Si vous avez une idée de produit pour lequel ce genre de manuel complémentaire "d'urgence" ne fonctionne pas, n'hésitez pas à m'en parler.
Ca, c'est le plus facile, je dirais.
Il s'agit de répertorier tous les sites Internet ou toutes les adresses physiques en rapport avec le produit vendu. Dans une thématique approchante, bien entendu.
Si vous vendez des fleurs, cherchez à rassembler les sites Internet qui proposent des infos sur tout ce qui touche aux fleurs. Entretien des différentes sortes de fleur (roses, orchidées, pour les plus populaires), ou alors des sites de compositions florales, ou tout ce qui touche à l'horticulture...
Si vous vendez des logiciels, pensez ressources.
Des voyages ? Les sites informatifs sur le sujet sont légion. Pensez également aux blogs ou aux forums qui rassemblent d'autres voyageurs.
En gros, vous pouvez créer un guide qui rassemble des milliers d'astuces qui viendront compléter à merveille le produit que vous vendez déjà.
Un simple lien et une micro présentation de ce qu'on y trouve au bout suffit à créer un produit complémentaire de grande qualité.
Bon... Vous avez créé votre cadeau unique.
Par conséquent, lorsque un client va acheter le produit concerné en passant par votre lien, alors il recevra en plus le cadeau que vous avez préparé spécialement pour lui.
Le premier avantage, hormis le fait que vous proposez un pack unique, c'est que vous pouvez récupérer l'email et les coordonnées du client après qu'il ait acheté.
Cela vous permettra ainsi d'entretenir une relation avec lui après, pour par exemple lui proposer d'autres produits.
Mais le second avantage, non négligeable, c'est que vous pouvez AUSSI vous servir d'une partie de ce cadeau pour CIBLER votre clientèle.
En effet, vous pouvez tout à fait créer un blog ou une squeeze page qui vous permet d'offrir une partie de votre cadeau contre l'adresse email de votre prospect.
10 ou 15 minutes de vidéos gratuites pour l'adresse email, et la suite une fois qu'il aura acheté le produit.
Vous créez ainsi une liste de gens intéressés par le thème en question, que vous pourrez relancer par la suite. Vous connaissez déjà le principe.
Si j’ai choisi de vous présenter une petite série d’articles sur l’affiliation, c’est pour une bonne raison :
En ce moment, mes amis Cédric et Ludovic rouvrent les portes de leur Club Affiliation Pro.
Si vous ne savez pas ce que c’est, alors je vous le présente vite fait :
Il s’agit d’un Club qui propose de la “valeur ajoutée” à un produit qui est déjà en vente en affiliation.
En gros, ils choisissent un produit de bonne qualité qui se vend en affiliation, avec une commission généreuse pour les affiliés.
Et ils proposent également tout un tas de contenus (articles, vidéos, infos) en rapport avec le produit vendu, que leurs membres (vous dans quelques minutes) peuvent utiliser :
Ils font donc une très grosse part du travail de recherche, et vous, il ne vous reste plus qu’à vendre.
Et surtout, ils proposent toujours POUR CHAQUE PRODUIT, une série de vidéos en rapport avec le thème du produit en question. Ce qui permet d’attirer des gens intéressés avec des éléments d’excellente qualité et avec une valeur perçue très haute.
Et vous avez ainsi un énorme avantage sur ceux qui font de l’affiliation “normalement”, puisque vous avez vous plus de valeur ajoutée.
Voilà.
Actuellement, dans le cadre de la réouverture des portes de leur Club, Ludovic présente une série de vidéos qui vous expliquent comment faire pour créer un blog et tout ce qui va autour et pour le monétiser grâce à l’affiliation.
Vous pouvez accéder à ces vidéos en cliquant ici.
Vous l’aurez compris, si vous passez par le lien ci-dessus, alors je toucherai une commission (35 €) si vous devenez membre du Club Affiliation PRO.
Si cette idée vous est absolument insupportable, alors vous pouvez cliquer directement sur ce lien. Vous accèderez alors aux vidéos sans que je touche quoi que ce soit. Non mais !
Et quoi qu’il en soit, rendez-vous demain, où je vous parlerai du prix d’un produit en affiliation$
19 JANVIER 2014
Hier, je vous disais que le copywriting pouvait grandement vous aider à vendre plus si vous faites de l'affiliation.
J'en profitais pour vous expliquer que la toute première étape, lorsque l'on veut efficacement recommander un produit en affiliation, c'est de l'essayer personnellement afin de vous faire votre propre opinion dessus, et surtout afin de pouvoir la transmettre.
C'est maintenant que nous voyons ensemble comment faire pour transformer cette expérience personnelle du produit en mots qui vont faire acheter le produit en question grâce à vous.
Vous l'aurez compris, vous allez devoir faire une "micro" lettre de présentation, pour parler du produit que vous voulez proposer à vos clients, document qui doit comporter un certain nombre d'éléments que nous allons répertorier ci-dessous.
En fait, j'appelle ça une "lettre de vente", mais ce n'en est pas une. On dira que c'est plutôt une "lettre de recommandation", ou un "compte rendu d'expérience".
Car en effet, cette lettre est basée essentiellement sur votre utilisation personnelle de ce produit.
Il ne s'agit bien entendu pas de reprendre un à un tous ses avantages, ce qu'a déjà certainement fait le vendeur.
Ici au contraire, on attend de vous que vous racontiez votre expérience. Si vous avez bien suivi les conseils que je vous donnais à ce propos hier, alors ce qui reste à faire est juste de la retranscription.
Et pas besoin qu'elle soit trop longue.
Une information sincère sur les avantages et sur les inconvénients du produit, avec des exemples d'utilisation ou d'application personnelle devraient largement suffire.
Pour autant, il est important de bien faire figurer ces 11 éléments à l'intérieur de votre lettre (et vous pouvez même en faire une liste) :
L'idée est d'annoncer en quelques mots pourquoi vous contactez les gens.
Vous avez trouvé quelque chose de sympa, d'insolite ou de très utile. Un outil, un livre ou un produit qui permet de faire exactement ce que cherche votre client.
Et SURTOUT, vous devez indiquer qu'il s'agit d'un produit que vous venez de tester avec succès pendant un temps bien défini (mettez un nombre de jours ou de semaines) pour résoudre un certain type de problème.
Vous pouvez décrire le problème en quelques phrases. Vous pouvez vous servir sur la lettre de vente principale.
L'idéal est bien sûr de choisir LE problème principal
A moins qu'il ne s'agisse d'un produit que tout le monde connait, (du genre d'un téléphone, par exemple) vous devez bien entendu expliquer vite fait de quoi il s'agit, et ce que ce produit peut faire pour votre lecteur.
Rappelez simplement l'avantage principal, et son but.
Vous pouvez vous servir de la phrase la plus active de la page de vente du produit et vous pouvez aussi la modifier pour l'adapter à VOTRE vision des choses.
Vous pouvez aussi indiquer l'avantage principal qu'il a produit pour VOUS.
Voilà la partie la plus importante. Bien sûr.
Vous devez raconter :
L'objectif est d'annoncer des faits. De raconter ni plus ni moins comment vous vous êtes approprié ce produit pour votre utilisation personnelle.
Pensez bien évidemment à la vidéo pour montrer comment ça fonctionne. Surtout si c'est un logiciel ou un script.
Et si c'est un livre, alors vous pouvez aussi faire une mini présentation PowerPoint avec la table des matières, ou en sélectionnant un chapitre qui vous a particulièrement servi et en le commentant "utilement".
Parlez des arguments positifs bien sûr, mais parlez aussi des négatifs.
On n'a pas vraiment confiance en un produit qui n'affiche que des avantages.
Tous les produits ont des inconvénients, et une des meilleures preuves que vous pouvez apporter dans votre recommandation, c'est de reporter justement les différents éléments négatifs que vous avez constatés lors de son utilisation.
Et surtout la manière que vous avez eu de les contourner et de vous en sortir.
Avez-vous dû contacter le vendeur pour vous en sortir ? Vous a-t-il répondu dans les temps ? Est-ce que vous avez dû chercher dans le manuel d'utilisation ? Etait-ce facile à trouver ?
Toutes ces petites situations "pour de vrai" viennent renforcer la qualité de votre recommandation. Vous vous mettez en quelque sorte du côté du client. Vous devenez son allié "contre" le vendeur.
Un vendeur ne vous dira jamais ce qui ne va pas. Un utilisateur, par contre, c'est différent. Il utilise réellement le produit. Et donc il peut largement parler de trucs qu'on ne trouvera jamais (ou rarement) dans une page de vente.
C'est le plus grand secret des recommandations qui cartonnent.
Cette partie là n'est pratiquement jamais traitée. Les gens ont peur.
Comme tout ce qui va à contre-courant, ça fonctionne fort. Et c'est bien évidemment ce que je préfère personnellement, car j'aime bien donner de grands coups de pieds dans la fourmilière des habitudes et des idées reçues.
J'expliquerai plus en détail dessous pourquoi c'est une bonne idée, mais bien évidemment, vous êtes libre ou non de ne pas adhérer à ce concept (comme le font 99 vendeurs sur 100).
L'idée ici est de "vendre" la recommandation. D'expliquer pourquoi c'est une vente un peu spéciale.
Quand vous envoyez à une personne un mail qui vante les mérites d'un produit dont vous n'êtes pas le vendeur, quelles sont les chances, à votre avis, pour que cette personne croit que vous faites ça gratuitement ?
Elles sont nulles. Aucune personne ne peut décemment, en 2011, croire que vous recommandez un produit juste parce qu'il vous plait ou parce que ça vous fait plaisir. Surtout si vous écrivez à cette personne uniquement pour lui proposer ce genre de deal.
Donc, autant le lui dire clairement.
Dites-lui que vous recommandez ce produit parce que vous touchez une commission sur les ventes, et que par conséquent, vous avez décidé de le tester en profondeur pour pouvoir en parler avec franchise et détail.
Vous pouvez même dire que vous avez testé plusieurs produits, et que c'est finalement lui que vous avez retenu parce que... (suivent les avantages par rapports aux autres).
Et puisqu'on en est à la transparence dites aussi :
Pourquoi le cacher ? Si vous gagnez 50% de commission sur un produit, autant en parler.
De toute façon, votre client se pose la question. Autant lui répondre tout de suite et lever ainsi le doute qui l'habite.
D'autant que si vous êtes malin, vous pouvez vous servir de ça pour prendre un avantage énorme sur vos concurrents :
Vous venez d'expliquer que vous allez toucher X% de commissions sur les ventes du produit en question.
Pourquoi ne pas reverser une partie de cette commission à vos clients ?
Vous touchez moins au final, mais vos clients peuvent bénéficier alors d'une réduction qu'ils n'auraient pas eue ailleurs.
Comment pourraient-ils refuser une offre pareille ?
Comme procéder en pratique ? Indiquez simplement sur la lettre qu'une fois que la personne est bien passée par votre lien pour régler, qu'elle vous indique son nom et son adresse email.
Que vous pourrez recouper alors avec les commissions que vous allez toucher.
Voici la partie qui fait le plus mal aux idées reçues.
Vous venez d'expliquer à votre client que vous touchez une commission sur les ventes du produit. Donc forcément, les explications qui précèdent ont 100 fois moins de poids que celles que vous auriez données de manière totalement désintéressée.
En indiquant le lien direct sur la page de vente, vous balayez d'un revers de la main toutes les réticences qui pourraient subsister chez votre client.
Vous pouvez l'annoncer de la manière suivante :
Autant être honnête avec vous : Si vous achetez ce produit en cliquant sur ce lien (ça c'est votre lien d'affilié), je toucherai une commission de 25 € sur sa vente.
Et comme je trouve normal de vous remercier de me faire confiance, je vous propose donc de vous reverser 10 € sur votre compte Paypal, juste après votre achat. Ce qui fait que vous toucherez au final ce XXX à 30 euros au lieu de 40.
Comment procéder ? Voici :
Et si vraiment vous ne pouvez pas concevoir que je gagne le moindre argent en vendant ce produit, alors voici le lien (le lien direct) pour y accéder directement.
Par contre, bien évidemment, si vous passez par ce lien-ci, je ne toucherai rien et je ne pourrai donc pas vous reverser vos 10 €.
Cette réduction vient généralement à bout de toutes les dernières réticences
Le fait de mettre un lien direct, même s'il n'y a pas de réduction liée à la commission, permet en général de rattraper pas mal de ventes qui n'auraient pas été comptabilisées pour vous si le lien direct ne s'y trouvait pas.
Parce que certaines personnes ont vraiment du mal à supporter qu'on leur recommande un produit sans signaler qu'ils vont toucher une commission sur la vente de ce même produit.
C'est une question d'éthique.
De plus, les liens d'affiliation étant ce qu'ils sont, ils sont modifiables très facilement.
Sans parler du fait que de nos jours, on a à notre disposition 3 navigateurs quasiment identiques : Chrome, Firefox et Internet Explorer.
Donc une personne qui voudra absolument passer par le lien en direct cliquera simplement sur votre lien d'affilié avec un navigateur (Chrome par exemple), comme ça elle arrivera sur le site et n'aura plus qu'à relever le lien direct.
Elle fermera Chrome et ouvrira Firefox, puis elle collera le lien direct dans la barre d'adresse. Il n'y aura alors AUCUN MOYEN pour vous de toucher la moindre commission.
Ceci rendant absolument inutile tous les raccourcisseurs d'url ou logiciels qui protègent soit-disant les liens d'affiliation.
Donc, mettez le lien direct SUR votre page de recommandation directement.
Ce geste rend votre démarche plus transparente, et désamorce donc un sacré paquet de fraudes au lien.
Un peu comme il est évident que si on interdit à un enfant de toucher à un bibelot, la première chose qu'il fera sera d'y toucher dès que vous aurez le dos tourné.
Mais je peux concevoir que la plupart d'entre vous ait peur de le faire.
Moi, je le fais pratiquement tout le temps quand je vends un produit en affiliation. J'ai testé les deux cas, et je vends toujours plus avec que sans.
Mais ça peut être différent dans certaines niches que d'autres.
Je vous en parlais hier. Si j’ai choisi de vous présenter une petite série d’articles sur l’affiliation, c’est pour vous parler du Club Affiliation Pro qui rouvre ses portes pour quelques jours.
A ce titre, Ludovic présente une série de vidéos qui vous expliquent comment faire pour créer un blog et tout ce qui va autour et pour le monétiser grâce à l’affiliation.
Vous pouvez accéder à ces vidéos en cliquant ici.
Vous l’aurez compris, si vous passez par le lien ci-dessus, alors je toucherai une commission (35 €) si vous devenez membre du Club Affiliation PRO. Et pour être bien sûr que vous lisez bien ce texte, je décide de rajouter ce dont j’ai parlé aujourd’hui dans mon article, soit :
Comme je trouve normal de vous remercier si vous passez par ce lien, je vous propose donc de vous reverser 20 € sur votre compte Paypal sur les 35 que je toucherai chaque mois si vous vous inscrivez.
Pour en profiter, c’est très simple : Dès que vous vous serez inscrit, transférez-moi simplement le mail de la transaction Paypal. Je vérifierai que vous êtes bien passé par mon lien et vous reverserai vos 20 €. Et vous ferez de même chaque mois.
Et bien entendu, si cette idée vous est absolument insupportable, alors vous pouvez cliquer directement sur ce lien. Vous accèderez alors aux vidéos sans que je touche quoi que ce soit.
Et quoi qu’il en soit, rendez-vous demain pour la suite de mes astuces de copywriter pour améliorer vos scores en affiliation (ce qui vous donnera un avantage supplémentaires sur ceux qui ne les utiliseront pas !)
18 JANVIER 2014
Si vous avez un blog, ou un club ou même un petit groupe de clients que vous faites payer tous les mois pour un produit ou un service, votre objectif est normalement qu’ils restent avec vous le plus longtemps possible.
Oui mais voilà : Comment les garder ?
Comment faire pour qu’ils n’aient pas envie de vous quitter après le premier mois ?
Fort heureusement, il existe des techniques efficaces à utiliser pour garder les membres de votre club ou de votre blog le plus longtemps possible.
En voici 9...
Dans une communauté, vous avez plusieurs sortes de membres.
Il n’y a rien à faire pour les fans : Il sont acquis à votre cause.
Il n’y a rien à faire pour les éphémères. Vous pourriez leur donner des trucs fabuleux, un contenu unique et fantastique, ils ne sont définitivement pas faits pour rester plus d’un ou deux mois au même endroit.
Par contre, pour les indécis, qui représentent sans le moindre doute possible près de 75% de vos membres, vous avez tout intérêt à prévoir une stratégie de fidélisation sur le long terme si vous voulez les garder.
Voici donc 9 astuces de copywriter pour rendre votre espace membre attirant et captivant, pour que la majorité de vos membres n’aient plus envie d’aller voir ailleurs.
Avant d’ouvrir votre espace membre payant, préparez votre contenu pour au moins 3 mois d’avance.
Mais créez quand même du contenu au mois le mois pour toujours garder ces 3 mois d’avance.
Ca vous permettra de réagir en cas de coup dur, et surtout d’annoncer le contenu du mois d’après.
Avec un agenda à 2 ou 3 mois, vous pouvez donner envie à vos membres actuels de rester plus longtemps, car ils sauront à l’avance ce qui les attend.
Prévoyez toujours un nouveau cours, une nouvelle formation ou un nouveau produit à paraître dans 4 ou 6 mois. Et parlez de ce qui se passera au bout d’un an d’abonnement.
L’objectif est de faire prendre conscience à vos membres de tout ce dont ils vont bénéficier sur le long terme s’ils restent chez vous.
Il faut toujours qu’il y ait quelque chose de nouveau qui démarre chaque mois.
Une série, c’est un produit qui se décline en plusieurs volets. Et qui se livre bien entendu sur plusieurs mois.
Ca peut être une histoire, un cours, une formation, une série de livres dans une thématique, des cadeaux à recevoir, des bons de réduction, etc…
Ne dites pas exactement de quoi il s’agit.
Faites plutôt des puces promesses. Pour donner envie à vos membres de rester un mois de plus.
Faites le impérativement à chaque fois. Formez-vous aux puces promesses. C’est trop important pour vous en passer.
Engagez un copywriter pour les faire au besoin si vous n’avez pas envie de vous casser la tête.
C’est impératif pour pouvoir garder un service irréprochable. Faites des questions ouvertes, pour que ce soit vos membres qui vous donnent des idées.
Valorisez les membres qui vous ont donné une idée que vous avez concrétisé par la suite.
Annoncez-le en grandes pompes, comme ils le font avec le chèque énorme du gagnant au Loto.
Ca donnera envie aux autres membres de participer la prochaine fois. Fierté, quand tu nous tiens !
N’hésitez pas à raccourcir la taille de vos produits quitte à les livrer sur plusieurs mois. Il vaut mieux que vos membres aient fait le tour de votre contenu en 15 jours, plutôt qu’il n’ait pas le temps de tout consulter.
Si votre membre pense qu’il en a déjà beaucoup et qu’il devrait s’arrêter un peu pour faire le point, ce n’est pas une bonne idée.
Mieux vaut créer la pénurie et donner envie d’attendre frénétiquement le mois d’après.
N’avez-vous jamais remarqué que certains magazines proposent des jeux ou des énigmes passionnants, avec une solution dans le numéro d’après ?
Pourquoi à votre avis ? Pour vous forcer à acheter le numéro d’après tout simplement.
Faites pareil avec votre espace membres : Faites un concours, ou un jeu et dévoilez la solution le mois d’après.
Pour les mêmes raisons que les magazines.
Au moment où le prélèvement se fait, votre membre devrait recevoir quelque chose juste en suivant. Afin qu’il n’ait pas l’impression qu’il paye pour “rien”.
Si dès qu’il reçoit sa notification de prélèvement, une livraison arrive juste derrière, alors tout va beaucoup mieux pour lui, et tout redevient logique : Je paye, j’ai quelque chose.
Comme le fait France Loisirs :
Si vous donnez la possibilité à vos membres d’appartenir à un statut, ils resteront au moins jusqu’aux différents paliers.
Et cela renforce leur sentiment d’appartenance, qui leur donne envie de rester un peu plus pour appartenir à la communauté.
Ne prévoyez pas forcément un an pour les périodes. Prévoyez plutôt 3 mois, 6 mois, 1 an et 2 ans...
Rendez le concept encore plus bénéfique en envoyant une VRAIE carte au membre. Chez lui.
Ca ne coûte pas bien cher de faire faire des cartes, et si vous arrivez à obtenir des réductions (même minimes) dans un ou plusieurs endroits connus sur présentation de cette carte, c’est le succès assuré.
Vous avez ici de quoi donner envie à vos membres de rester plus longtemps avec vous.
L’important est que vous vous souveniez que d’une manière générale, si vous recevez des paiements récurrents, alors chaque mois, c’est comme si vous vendiez un nouveau produit.
Il est donc impératif de le voir comme tel.
En d’autres termes, si chaque nouvelle mensualité d’un abonnement payant se vendait avec autant d’enthousiasme que lors de la vente d’un nouveau produit, alors vos membres resteraient avec vous bien plus longtemps.
C’est logique, non ?
3 DECEMBRE 2013
A moins que vous n'ayez vécu dans une grotte depuis un an, vous ne pouvez pas être passé à côté de l'Agent Conversationnel "ChatGPT", baptisé pour l'occasion "Gepetto" sur ce blog.
Il a vu le jour en novembre 2022, mais a réeellement explosé à partir de février 2023, en récupérant 100 millions de membres en moins de 8 mois.
On n'avait pas vu de croissance pareille depuis bien longtemps.
Il est donc important d'apprendre à maîtriser cet outil (car, OUI, ce n'est qu'un outil) pour gagner un temps phénoménal dans des milliers d'actions.
En ce qui me concerne, je l'utilise tous les jours pendant 2-3 heures, et j'écris régulièrement des articles dessus pour vous apprendre à l'utiliser aussi, avec ou sans objectif d'améliorer votre copywriting.
Voici les plus populaires :
Et si vous voulez recevoir de temps en temps des "prompts" ou des "invites" en français, par mail, alors inscrivez-vous en tant que membre de ce blog, et une fois inscrit.e, demandez à recevoir l'article du jour par email.
J'envoie fréquemment un nouveau prompt intéressant en PS, en plus de l'article. De quoi vous faire souvent gagner un temps fou.
Pour devenir membre, indiquez juste votre prénom et l'adresse email juste là :
Cet article est la suite du thème des emails commencés mardi d’il y a deux semaines.
On a donc vu l’importance de soigner son champ “expéditeur” quand on envoie un mail, dans le but de se faire identifier instantanément, comme je l’expliquais ici et là.
Aujourd’hui, nous allons voir la 3ème chose la plus importante à soigner dans un mail qu’on envoie : Son premier paragraphe.
Votre mail finira-t-il à la poubelle ?
Quand on reçoit un mail, on suit un processus logique immuable :
La première chose qu’on regarde, c’est qui l’envoie (l’expéditeur).
Si on connait la personne, alors on regarde le sujet du mail. Et si celui-ci donne envie d’en savoir plus, alors on ouvre le mail.
On pourrait se dire alors que le plus gros est fait. Et pourtant, c’est loin d’être le cas.
Car une fois que votre destinataire a ouvert votre mail, l’objectif est qu’il le lise, et accessoirement qu’il clique sur un lien que vous aurez disposé là.
Et donc, lorsque le mail est ouvert, ce qui détermine la poursuite de la lecture, c’est le premier paragraphe.
En effet, les 2 ou 3 premières phrases qui composent votre message sont d’une importance capitale, car elles permettent au lecteur de décider en quelques secondes si ce dont vous allez parler dans ce fameux mail est digne d’intérêt pour lui.
En quelque sorte, si le sujet du mail est la personne qui vous donne vos billets d’avion au guichet d’embarquement, le premier paragraphe est le poste de contrôle de vos bagages : Être passé par le guichet ne vous dispense pas de faire attention à ce que vous avez sur vous.
C’est pareil avec l’email : Ce n’est pas parce que votre mail a été ouvert qu’il va forcément être lu et que la personne va cliquer sur votre lien.
On sous-estime vraiment l’importance du premier paragraphe d’un mail et également sa difficulté à le réaliser.
Voici donc quelques astuces de copywriter pour rendre votre premier paragraphe de mail attirant et intéressant.
Avant toute chose, une précision : Il faut séparer deux types de mails.
Celui qui annonce de manière récurrente un nouvel article de votre blog, et celui que vous envoyez pour faire faire quelque chose à votre prospect ou membre.
Le premier n’a rien à véritablement prouver dans le corps du mail.
Si la personne qui reçoit vos articles de manière récurrente en a marre de vous ou de vos articles, alors elle se désabonne, et ne reçoit donc plus vos mails.
Dans ce style de message, seul le sujet du mail est véritablement important. Si le sujet donne envie, alors la personne ouvrira le mail.
Ce dont je vous parle ici, c’est du mail qui cherche à faire faire quelque chose à votre destinataire. Cliquer sur un lien, la plupart du temps.
Avec ce genre de mail, le premier paragraphe est crucial.
L’objectif ici est de faire une introduction qui annonce le contenu de ce que vous allez dire. C’est une sorte d’accroche “légère” qui présente votre prose et qui prolonge le sujet du mail.
Quelques exemples de démarrages possibles :
En résumé, tout ce qui introduit ce que vous allez dire, mais en plaçant l’action du côté de celui qui lit.
Avec ce style de démarrage, vous DEVEZ impliquer votre lecteur dans votre premier paragraphe en lui disant clairement ce que votre mail va lui apporter.
Cela veut dire que vous démarrez votre mail en disant un truc du genre : “Dans ce mail, vous allez découvrir :”
Suivra alors plusieurs titres sur lesquels le lecteur pourra cliquer pour arriver directement au paragraphe correspondant dans le mail.
Cette entrée en matière est très puissante car elle permet de cumuler plusieurs bénéfices :
Ce n’est bien sûr pas possible à faire avec tous les mails, car cela suppose une hiérarchie de ce que vous y dites.
Idéal, donc, pour ce qu’on appelle des “publi-rédactions” où on informe le destinataire avec quelques bonnes astuces ou infos, avec un lien vers une page en ligne à la fin du paragraphe en question.
Cette manière de procéder ne peut fonctionner qu’avec un email envoyé en html.
Pour que ce soit puissant et efficace, vous devez :
Le plus important : Soignez vos titres !
Une grande majorité de gens aime les histoires. Voilà pourquoi c’est toujours une bonne idée de démarrer un email avec une histoire forte.
Par contre souvenez-vous bien que les histoires les plus courtes sont les meilleures.
Ainsi, votre histoire ne doit-elle pas trainer en longueur, et pour le premier paragraphe (les 2 ou 3 premières lignes), vos phrases doivent être courtes, précises et dynamiques.
Voyez la différence entre :
En fin de journée, Anna s’avançait tranquillement dans la brume d’une rue calme et étroite, quand soudain, un inconnu jaillit devant elle.
et :
20:12. Anna marche dans la rue. Il fait sombre. Une brume épaisse rend l’endroit inquiétant. Soudain, un inconnu jaillit devant elle.
Plus votre histoire sera dynamique, et plus cela donnera envie à vos lecteurs d’aller plus loin.
En outre, rappelez-vous également que chaque histoire racontée doit être un préambule à ce que vous allez dire. Et chaque histoire doit avoir une morale. Ou alors être une métaphore pour présenter les arguments qui suivent.
En résumé, si l’histoire est bien amenée et bien trouvée, elle aide fortement pour l’entrée en matière, mais elle permet également au lecteur de mieux comprendre la suite du texte.
Vous le voyez, vous avez à votre disposition 3 manières de débuter le corps de votre email, afin que vos lecteurs ne ferme pas le mail au bout de quelques secondes.
Reprenez donc un à un tous vos mails, et voyez si leur premier paragraphe donne réellement envie de lire la suite.
Ha ! Et notez également ceci : Sur les messageries Gmail, on voit une cinquantaine de caractères du corps du message à l’écran, avant même de l’avoir ouvert.
D’où l’intérêt de soigner également votre toute première phrase !
19 NOVEMBRE 2013
Vous avez certainement déjà lu pas mal de fois que lorsque vous écrivez un email, vous deviez soigner en particulier votre sujet.
C’est vrai. Ecrire des sujets attractifs est l’une des choses les plus importantes à faire quand on écrit un mail. Mais c’est loin d’être la seule.
En fait, il y a 2 autres éléments que vous devez absolument soigner quand vous envoyez un mail.
Le tout premier, auquel on ne pense jamais, c’est le nom de l’expéditeur.
Peut-être que vous avez décidé, un jour, de créer votre nom d’expéditeur à la va-vite, pensant que ce n’était pas très important.
C’est une erreur. Cette partie se teste et se peaufine au même titre qu’un sujet de mail. Et même parfois plus.
Passons donc en revue pour commencer, les 4 erreurs les plus communes :
A moins que vous vous appeliez Frodon, Roumpestilchen, ou Bernard-Marie-Clarence et que par conséquent vous ayez le seul prénom de ce style de l’Internet francophone qui envoie des mails à une liste, alors mettre votre seul prénom est risqué.
Pour plusieurs raisons :
Déjà parce qu’il y a de fortes chances pour que plusieurs expéditeurs de plusieurs listes portent le même prénom que vous.
Ne croyez pas que vous êtes tout seul. Les gens reçoivent des dizaines (voire des centaines) de mails par jour, et un prénom unique donne rarement une info claire sur la nature de l’expéditeur.
Pour prendre un exemple, je suis abonné à 5 listes dont l’expéditeur s’appelle “Christian”. Pas facile d’identifier avec certitude qui m’écrit si je ne lis que ce prénom.
Les spammeurs connaissent – et utilisent - les prénoms les plus courants.
C’est à dire ceux qui font ouvrir les mails parce qu’on connait tous au moins une personne qui le porte (Marie, Laura, Patricia, Christian, Stéphane, Olivier, Thomas…).
Un prénom connu donne envie d’ouvrir. Les spammeurs le savent. Ce qui fait que vos contacts reçoivent de plus en plus de mails provenant d’expéditeurs qui “semblent” être des amis. Dans le doute, ils ouvrent la première fois. Mais avec le temps, ce genre de mail part directement à la poubelle.
Pour finir, à moins d’avoir martelé votre prénom partout sur votre site, et d’avoir axé votre communication spécifiquement dessus, dites-vous bien que ce dont les gens se rappellent en premier, c’est surtout le nom de votre site.
Par conséquent, un prénom unique peut très bien ne rien dire du tout à vos prospects, et ce même s’ils se sont inscrits chez vous en toute bonne foi.
Ils ne pensent pas à vous en permanence. Tout comme ils n’ont pas forcément retenu comment vous vous appeliez quand ils se sont inscrits.
Bref, la moindre des choses serait au moins de rajouter le nom de votre site ou de votre blog pour donner un peu plus d’infos à votre contact.
Peut-être que vous ne le savez pas encore, depuis le temps, mais tout ce qui éloigne un mail d’un humain est de plus en plus rédhibitoire quand on fait des affaires.
C’est le côté pervers de l’auto-répondeur : A force d’envoyer des mails et encore des mails à ne plus savoir qu’en faire, vos prospects ne sont plus dupes : Ils savent très bien que ce n’est plus un humain qui leur écrit mais un robot.
Ce qui veut dire, pour votre contact, qu’on ne lui écrit pas à LUI en particulier mais à des dizaines de milliers d’autres personnes. Ce qui n’est pas bien rassurant, car les gens n’ont jamais vraiment aimé être considérés comme des numéros.
Par conséquent tout ce qui permettra d’humaniser au maximum un email sera toujours ça de plus qui vous éloignera du robot.
Et ça commence donc par mettre votre prénom. Pas seulement lui (on vient de le voir), mais il faut qu’il y soit.
C’est encore VOUS qui envoyez vos mails. Ce n’est pas votre auto-répondeur. L’auto-répondeur est un outil à VOTRE service, qui fait l’intermédiaire technique entre vos prospects et vos clients et VOUS.
Donc la règle numéro 1 d’envoi de mail, c’est de mettre au minimum son prénom.
Sinon, non seulement votre taux d’ouverture va aller en s’amenuisant au fur et à mesure que vous allez envoyer des mails, mais en plus, les gens vont se désinscrire à vitesse grand V.
C’est encore pire que l’erreur précédente.
Certains marketeurs croient qu’en mettant un truc du genre “Conseils en séduction” (ce qui est une accroche très nulle, en plus), ils vont “casser la baraque” des ouvertures.
C’est bien entendu le truc le plus idiot à faire, car on cumule les effets des deux premières erreurs :
Bref, c’est le truc le plus idiot à faire quand on envoie un mail.
Le champ expéditeur d’un mail est l’un des rares endroits sur un mail où vous DEVEZ parler de vous de la manière la plus explicite possible, afin que la personne qui reçoit le mail puisse vous identifier dans la seconde où elle le découvre.
Et une phrase du style '”Astuces de marketing”, ou “Trucs pour Aweber” ou “leçons de storytelling", ou quoi que ce soit d’autre du même style n’a absolument rien à faire TOUT SEUL dans un champ “expéditeur”.
C’est notamment le cas des acronymes, que la moitié des gens ne comprennent pas.
Ou encore des mots compliqués, que personne ne connait.
Ou pire encore, les initiales de votre site ou même de votre nom-prénom !
Imaginez si j’envoyais un mail avec comme nom d’expéditeur “YC de CP”. Risible, non ?
Parce que croire que mon expéditeur n’a que ça à faire que de passer une ou deux minutes à essayer de déchiffrer l’expéditeur d’un mail, c’est se regarder un peu trop le nombril.
Donc, bannissez une bonne fois pour toutes les acronymes et les initiales de tous vos documents.
Et plus particulièrement quand il s’agit d’un champ “expéditeur”.
Voilà.
Aujourd’hui, nous avons vu les erreurs les plus courantes.
Mardi prochain, je vous expliquerai comment vous devriez concevoir votre champ expéditeur à la manière d’un copywriter, afin qu’il booste le taux d’ouverture et le taux de lecture de vos mails.
Je vous donnerai également quelques astuces peu connues pour renforcer son impact auprès de vos destinataires et pour que votre mail sorte du lot.
D’ici là, si vous faites une ou plusieurs des erreurs énumérées dans cet article, vous pouvez corriger votre champ dès maintenant.
5 NOVEMBRE 2013
Je ne vous apprends rien : Twitter est l'endroit le plus approprié pour partager des infos, mais aussi pour parler de vos articles de blog, et par conséquent, contribuer à faire connaître votre prose autour du monde.
Quand vous écrivez un tweet pour que vos suiveurs viennent lire votre article de blog (ou celui d'un autre), vous faites ce qu'on appelle un tweet de contenu.
C'est à dire que celui-ci se compose d'un texte (en général le titre de l'article) et d'un lien court vers votre blog (le contenu).
Dans cette discipline, il y a une difficulté majeure. Vous allez comprendre.
En effet, lorsqu'on écrit une info sur Twitter, c'est juste une info. L'objectif est qu'elle soit lue, et, à la rigueur, retweetée.
Mais lorsqu'on écrit un tweet de contenu, il y a une action supplémentaire à prévoir... Le clic sur le lien.
Brian Clark, du blog Copyblogger, a constaté que la règle des 80/20 s'applique également à ça : 80% de gens lisent les tweets de contenu, mais seulement 20% cliquent sur le lien.
Dans l'absolu, il est impossible de savoir combien de personnes lisent vos tweets.
On pourrait partir sur le nombre de suiveurs que vous avez, mais si on prend mon exemple, je ne suis jamais sur twitter, et donc je ne suis pas vraiment ce qu'on pourrait appeler un vrai suiveur.
Donc forcément, les chiffres qui suivent seront forcément pessimistes, puisqu'on ne peut savoir combien lisent vos tweets. D'un autre côté, sont inclus dans les clics les différents retweets obtenus, donc ça compense.
Quoi qu'il en soit, vous pouvez déjà faire une moyenne de vos clics "bruts" mensuels pour vous donner une idée.
Pour ce faire, suivez ce plan en 4 étapes :
Voici par exemple mes chiffres pour le mois d'août 2011 :
Et pour le mois de septembre :
A vous de calculer le vôtre.
Votre objectif du jour va donc être de travailler un peu plus vos titres d'articles pour qu'ils soient adaptables sur Twitter, et que vos tweets arrivent à mener de plus en plus de gens chez vous.
Pour cela, voici quelques règles de copywriting :
Selon Julian Lewis Watkins et son étude sur les 100 meilleures publicités jamais écrites (livre en anglais), 95% des meilleures accroches ont un maximum de 8 mots.
Ca ne veut bien entendu pas dire que vos tweets doivent impérativement respecter cette règle, mais dans la mesure du possible, plus votre titre sera court et puissant, et plus vous devriez avoir de clics.
En plus, dans Twitter, il y a une limite imposée en nombre de caractères (140 maxi). Mais ne calculez pas trop vite.
Un tweet de contenu comporte un lien, qui prend environ 20 caractères, ce qui vous en laisse 120 pour le titre, mais il faut aussi prévoir que certains de vos suiveurs vont retweeter votre message.
Donc laissez l'équivalent du nombre de caractères de votre pseudo Twitter + 5 libres pour permettre le Retweet.
Par exemple, pour YvonCAVELIER, ça fera 12 + 5 = 17 caractères à laisser, car le retweet donnera ça : RT @YvonCAVELIER ou via @YvonCAVELIER
Je dispose donc de 140 – 20 – 17 = 103 caractères pour écrire mon titre, ce qui donne, pour des mots de 7 lettres en moyenne, un maximum de 14 mots.
A adapter bien sûr avec votre cas personnel, mais on peut partir sur un maximum de 105 caractères en moyenne pour votre titre.
Utile, ça veut dire que votre titre doit apporter quelque chose de concret et d'avantageux à votre lecteur.
Ici aussi, on parle d'avantages, et pas de caractéristiques.
Préférez donc toujours des titres qui promettent de grands moments une fois qu'on aura cliqué sur votre lien.
C'est ce que je m'efforce de faire avec mes titres d'articles. En rajoutant notamment le mot "Pour..." aussi souvent que je le peux.
Comme ça je réponds à la question implicite qui arrive à vos lecteurs quand ils voient votre titre : "Pourquoi j'irais lire ça ?". Pour...
Exemples :
Quand on pose une question, on s'attend à une réponse. C'est naturel.
Le lien qui suit devient donc LA réponse à cette fameuse question, et cela favorise les clics.
Bien entendu, variez les plaisirs. Ne mettez pas QUE des questions.
Je vous rappelle quelques mots qui débutent les questions qui font cliquer ?
En voici quelques uns :
Vous avez le choix.
Faites des tests.
Une flèche, ça focalise l'attention.
Je visitais le blog de Maurane (la chanteuse), hier, elle utilise plein de caractères spéciaux dans ses tweets. Ca surprend, mais ça attire l'attention.
N'en abusez pas bien sûr, mais de temps en temps, pour vraiment attirer l'attention sur un article particulièrement important pour vous, utilisez-les.
Pour le faire, vous pouvez aller dans Word, ou dans OpenOffice, et faire "Insertion" + "Caractères spéciaux". Vous choisissez la flèche que vous voulez, et ça la colle dans votre document, vous n'avez plus ensuite qu'à copier et coller dans Twitter.
Vous pouvez aussi la copier à partir de cette page dans la liste ci-dessus.
Je tiens à vous préciser une petite chose à mon sujet sur Twitter et consorts avant de conclure :
Twitter est un endroit où on discute, et où on échange de bonnes infos. Enfin, je crois que c'est surtout sa fonction première.
C'est une sorte de mini réseau social et à ce titre, je pense que le considérer UNIQUEMENT comme un endroit pour faire son auto-promotion est une erreur à terme.
Pour tout vous dire, je ne suis pas vraiment très au fait de ce qu'il faut faire ou ne pas faire dans ce contexte, d'un point de vue "diplomatique" en tout cas.
Et pour être parfaitement honnête avec vous, je me sers très rarement de cet outil pour communiquer avec mes "suiveurs" sur autre chose que sur les articles de mon blog. En cela, je reconnais que ça doit être une mauvaise stratégie puisque ça contredit ce que je disais plus haut.
Je le confesse, j'ai énormément de mal avec les réseaux sociaux. Totalement hermétique à Facebook, utilisateur plus que rare de Twitter, et même quand on m'ajoute à Google+, je ne sais pas vraiment quoi faire en retour pour être "correct".
J'en suis désolé. N'y voyez pas là un quelconque snobisme de ma part. Juste un manque de temps et d'intérêt.
Tout ça pour dire que cet article n'a pas pour vocation de vous encourager à ne faire QUE des tweets de contenu pour auto-promotionner votre blog. Pas du tout.
Il vous explique juste COMMENT vous devriez faire pour améliorer votre taux de clics sur vos liens QUAND vous faites un tweet de contenu.
J'imagine que plus vous aurez de tweets de qualité, plus votre communauté aura tendance à vous suivre plus facilement.
Et donc, au milieu de toutes les supers infos et discussions que vous pouvez avoir avec vos suiveurs, si vous trouvez des sites ou des infos sympas à leur transmettre, vous ferez alors un tweet de contenu.
Dans ce cas, et dans ce cas uniquement, alors utiliser les quelques conseils de cet article devrait vous permettre d'être plus efficace et d'améliorer à terme le taux de clic sur vos liens via Twitter.
15 OCTOBRE 2013
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