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2 tactiques pour élaborer un mot de passe introuvable mais dont vous vous souviendrez toujours

Aujourd’hui, l’article sera court et assez éloigné du copywriting, malgré qu’il concerne action et mots.

Il s’agit de vous donner 2 petites astuces pour trouver des mots de passe indéchiffrables par un logiciel qui testerait toutes les combinaisons possibles.

Cet article est le prolongement de celui que Sylvie Laflamme (du site Le tram du web) a fait paraître aujourd’hui sur le calendrier de Noël du marketing, puisqu’il y est question de sécurité.

rappel-password

Notions de longueur et de temps

Un mot de passe qui se respecte contient au minimum des lettres (majuscules et/ou minuscules) et/ou des chiffres, dans une proportion relativement disparate.

Et au moment de choisir votre mot de passe, retenez bien ceci :

Plus le titre sera long, et plus il y aura de chances pour qu’il ne soit jamais déchiffré.

D’une manière générale, si un mot de passe fait plus de 16 caractères, il est indéchiffrable. En tout cas par un logiciel informatique.

Non pas que ce soit impossible. Les logiciels n’auront juste pas assez de temps (ni d’envie) pour le déchiffrer. 16 caractères dans un mot de passe, même s’il n’y a que des minuscules et des chiffres, c’est 36^16 combinaisons possibles.

Soit 7.958.661.109.946.400.884.391.936 (près de 8 millions de milliards de milliards).

Même l’ordinateur le plus puissant du monde mettrait des jours entiers pour ne pas dire des années pour tester toutes les combinaisons possibles.

Et à moins que cela ne protège un coffre virtuel particulièrement lucratif en cas de vol, vous ne risquez rien avec un mot de passe ainsi constitué.

Et si vous rajoutez la notion de majuscules/minuscules, alors des mots de passe de plus de 16 caractères sont tout bonnement indéchiffrables car on passe à plus de 47 milliards de milliards de milliards de possibilités.

Donc, toute considération de compréhension gardée, mettez systématiquement des mot de passe de plus de 16 caractères, et vous êtes tranquille.

Alors, comment en trouver et s’en souvenir facilement ?

Tactique n°1 : Les chansons ou citations

Vous connaissez une chanson par cœur et vous l’aimez bien ? Utilisez une de ses strophes pour en faire un mot de passe.

Tout en minuscules, ou avec une majuscule à tous avec les mots.

Il vous suffit de choisir la première strophe de la chanson pour vous en souvenir à chaque coup.

Exemple :

On a tous quelque chose en nous de Tennessee” deviendrait :

onatousquelquechoseennousdetennessee

ou

OnATousQuelqueChoseEnNousDeTennessee

Choisissez votre chanson préférée, et lâchez vous : On ne le découvrira jamais.

Ca marche avec des chansons, mais ça peut aussi fonctionner avec n’importe quelle phrase ou citation dont vous vous rappelez, et qui vous plait.

L’important est de vous en rappeler instantanément, et qu’il y ait plus de 16 caractères.

Tactique n°2 : Les débuts de mot

C’est une méthode un peu plus compliquée que la précédente, mais tout aussi indéchiffrable.

Cela vous servira pour les codes qui demandent un nombre de lettres maxi de 8 caractères par exemple (assortis en général d’un nombre limite d’essais).

Il s’agit simplement de choisir une phrase, comme précédemment, mais de prendre cette fois-ci la première lettre de chaque mot.

Ce qui donnerait pour l’exemple ci-dessus (bloqué à 8 caractères) : OATQCEND.

Vous pouvez alterner les majuscules et les minuscules : OaTqCeNd

Si on vous demande au moins un chiffre, enlevez la dernière lettre, et mettez toujours le même chiffre pour être sûr de toujours vous en rappeler.

Pour conclure

La discipline qui consiste à choisir et à se souvenir de ses mots de passe est à peu près aussi importante qu’ennuyeuse.

Voilà pourquoi employer des moyens mnémotechniques comme les deux dont je viens de vous parler va vous faire gagner un temps précieux, tant dans la création que dans le souvenir desdits mots de passe.

Et cela vous empêchera surtout d’écrire le mot de passe en toutes lettres sur un post-it et de le coller sur son écran, comme je l’ai pu voir faire des dizaines de fois en entreprise.


20 DECEMBRE 2011

A télécharger : Stratégies pour remplir intelligemment sa page Facebook

Que vous ayez un blog, une page Facebook, un compte Instagram ou une chaîne Youtube, vous devriez faire attention à comment vous recrutez vos suiveurs et vos suiveuses (vos followers, quoi...).

Il vaut en effet mieux avoir 150 personnes à 100% engagées par ce que VOUS faites, par vos valeurs, plutôt que d'en avoir 1000 qui ne réagissent que lorsque vous les faites rire ou que vous leurs montrez votre ...

Bref, vous avez compris.

C'est pour cela qu'il faut éviter les erreurs de base qui sont encore commises de nos jours par les apprentis blogueurs, nouveaux entrepreneurs du web ou tout simplement par les personnes qui veulent ouvrir un groupe ou une page Facebook pro pour vendre leurs produits ou proposer leurs prestations.

Voici les 3 erreurs les plus fréquemment commises.

Attardez-vous particulièrement sur la 3ème erreur...

Si vous la faites, vous vous acheminez vers une hécatombe en 14 étapes qui réduira votre travail à néant, et vous poussera à tout recommencer dans quelques mois.

Autant démarrer sur de bonnes bases pour éviter ça, n'est-ce pas ?

Les 3 erreurs et les 14 étapes dont je parle ici sont dans un guide PDF réservé aux membres de Copywriting Pratique.

Remplir sa page Facebook intelligemment

Vous y trouverez également 4 manières intelligentes de remplir avec succès vos pages et groupes Facebook ou n'importe quel autre espace sur votre réseau social préféré avec des personnes qui seront enthousiasmées à l'idée d'acheter ce que vous leurs proposerez ensuite.

Remplissez le formulaire ci-dessous avec soin, et vous recevez ce guide par mail dans la minute, ainsi qu'un accès à toutes les autres ressources réservées aux membres :

Croyez-vous encore vraiment que plus votre liste est grosse plus vous gagnez d'argent ?

Quand on a une page de capture (appelée également squeeze page), on a là un outil très puissant qui permet de convertir un maximum de visiteurs en prospects.

Mais c’est loin d’être le seul but mais surtout la seule possibilité de cette page.

argent-liste

Fausse route et idées reçues – encore !

En fait, un formulaire de capture d’email est un véritable outil marketing qui n’est pas assez bien utilisé à mon avis.

En effet, trop de fois on voit juste deux champs, qui sont le prénom et l’email, alors qu’il est dommage de ne pas demander d’autres choses.

En fait, tout ça c’est à cause de la plus grosse idée reçue marketing de ce siècle. Comme souvent.

Vous la connaissez ? La voilà : “l’argent est dans la liste”.

Dans le fond, l’idée est juste. Mais comme toujours, ceux qui en ont fait leur leitmotiv pour leurs affaires ont encore interprété tout de travers.

En fait, la plupart a compris que plus la liste est grosse, et plus on gagne d’argent.

Ce qui est bien évidemment totalement faux.

En fait, ce qu’ils auraient dû comprendre, c’est “plus la liste est ciblée, et plus on gagne d’argent”.

Il y a une grosse différence entre une grosse liste pleine de nom qui ne servent à rien d’autre qu’à grossir le quota d’abonnés, et une petite liste qui ne comporte que quelques noms, mais dont on sait parfaitement ce qu’ils veulent.

En fait, quand on faisait de l’Adwords, on était obligés de cibler au maximum ses annonces pour éviter de payer pour voir débarquer sur nos pages des gens qui n’étaient pas intéressés pour acheter nos produits.

Ainsi devait-on absolument éliminer tous les internautes qui marquaient “Gratuit” dans les moteurs.

Mais depuis qu’Adwords est moins populaire, et qu’il ne faut donc plus payer pour faire s’inscrire les gens, alors tous les moyens sont bons pour inscrire, inscrire inscrire et encore inscrire.

Quitte à mettre des pop-up et pop-in dans tous les coins pour absolument inscrire les gens.

Le but ? Que la liste soit la plus grosse possible (souvenez-vous : l’argent est dans la liste, soi-disant).

Autant le dire tout de suite : Cette méthode est complètement idiote. Surtout aujourd’hui.

Plus votre liste est grosse, et moins vous avez de contrôle sur elle. Et plus vous vous rapprochez de la correctionnelle en matière de plainte pour spam.

Par contre, plus votre liste est ciblée, et plus il est facile de faire faire aux gens ce que vous voulez qu’ils fassent sans dépenser trop d’énergie.

Et surtout plus facile il est de vendre des choses aux éléments de cette liste.

Le pouvoir infini du ciblage

Imaginons que vous ayez une page de capture qui cherche à faire s’inscrire les gens avec un formulaire, et que votre objectif, c’est de vendre derrière une formation pour apprendre à écrire des lettres de vente.

Vous avez plusieurs options.

La première (la plus courue), c’est de demander le prénom et le nom. Et si la personne quitte votre page, alors quelques petits scripts peuvent lui demander de s’inscrire encore et encore.

Au cas où elle n’avait pas vu qu’elle pouvait s’inscrire.

La seconde, c’est de demander une information de plus à la personne. Par exemple on pourrait lui demander de choisir entre 3 options qui seraient par exemple :

Est-ce que vous voyez l’avantage de ce 3ème champ ?

Il est triple :

Primo, il fait le tri entre les personnes sérieuses et les personnes curieuses, qui sont là pour télécharger votre cadeau et repartir aussi sec.

Un curieux, quand il voit 3 champs, il repart. Un sérieux prend le temps de répondre.

Secundo, il vous donne des informations précieuses sur l’état du prospect.

Une personne qui a déjà un produit à vendre sera 10 fois plus intéressé par une formation aux lettres de vente qu’une personne qui n’a pas encore de produit à vendre.

Et tertio, il vous permet d’évaluer avec certitude la répartition de vos prospects, ce qui vous permettrait par exemple de vous focaliser sur l’option la plus fréquemment choisie pour développer en priorité le produit correspondant.

On récapitule ?

Un champ supplémentaire vous permet de :

Et au final, vous vous retrouvez :

Et plus vous mettrez d’infos sur votre page de capture, plus vous pourrez cibler vos prospects tant dans vos pages de vente que dans vos emails.

Pour conclure

Plus vous rajouterez d’informations sur vos pages de capture, et plus votre liste de prospects sera qualifiée et rentable.

On va me dire que lorsqu’on en a beaucoup, on peut taper plus large et vendre quand même.

A cela je répondrai que c’est un leurre. Parce que plus on tape large, et moins on vend.

C’est la bonne vieille théorie des deux lapins après lesquels on court. Pour pouvoir les attraper, il faut commencer avec un et finir avec l’autre.

Si vous courrez après les deux à la fois, vous courrez désordonné, et vous serez bien trop fatigué pour attraper quoi que ce soit.

C’est pareil avec une liste d’email.

Si vous avez 8000 personnes non ciblées, votre page de vente va comporter des trucs généraux pour essayer de toucher un maximum de monde.

Les résultats seront pitoyables parce que justement, vos trucs seront trop généraux.

Si vous avez une liste de 500 personnes qui elles sont parfaitement ciblées, alors vous allez pouvoir vous adresser à elles en particulier en employant des termes, des expressions et des idées qui vont les toucher personnellement.

Et vos résultats seront donc bien meilleurs.

Essayez pour voir... Vous pourriez être surpris :)


19 DECEMBRE 2011

Comme si j'allais te croire, mon gars, quand tu me dis que tu aimes ce que je fais...

J’en reçois des dizaines par semaine...

Vous savez, ce genre de petits messages qui font penser qu’on a soudain changé d’époque.

Le genre de message qui me parle comme si j’étais une chaise, ou un arbre… Ou un robinet...

Bref, ce genre de message qui part de suite à la poubelle.

Vous savez ? Ce genre-là :

"Bonjour Copywriting, j’aime bien votre site web, que pensez-vous du mien ?"

Comment peut-on encore oser envoyer des trucs pareils en 2011, franchement ?

colere-pop-up Le revoilà, lui...

Chronique d’un “pétage de plomb” annoncé

Vous aurez bien entendu reconnu les bons vieux messages privés de Twitter, que vous devez recevoir de temps en temps vous aussi.

Il semblerait que cela émane d’un logiciel ou d’un script, qui est prévu pour vous envoyer des messages privés à intervalle régulier, une sorte d’auto-répondeur pour Twitter qui fait tout à votre place.

Bon...

Je ne suis pas contre les auto-répondeurs, bien sûr.

Mais franchement... Un réseau social, quoi...

Un endroit où on est censé discuter avec des AMIS. Mettre un auto-répondeur là bas, c’est bizarre et carrément “border-line”, non ?

Je suis le seul à trouver ça bizarre ou quoi ?

Enfin, bref. Je trouve ca étrange et pas du tout “social” justement.

Mais c’est pas le pire dans l’histoire.

Moi, ce qui me fait sortir de mon futal à reculons, c’est qu’on m’appelle “Copywriting”. Non mais franchement !!!

Je ne sais pas quel logiciel utilisent ces personnes qui pensent me convaincre d’aller voir leur site en m’appelant “Copywriting”, mais ce que je sais, c’est que c’est le moyen le plus rapide et le plus sûr pour que je les “dé-suivent” dans la seconde.

Faut quand même pas déconner !

Qu’on utilise un logiciel, OK. Mais AU MOINS, on apprend à le paramétrer.

Quand on appelle une personne, un soi-disant “ami”, ou “client”, ou “suiveur” par le nom de son site web, il ne faut pas venir pleurer après de s’en prendre une grosse dans la tronche.

Quand on me dit : “Merci de me suivre Copywriting” alors que ça fait 15 secondes que je suis la personne en question, que voulez vous que je fasse d’autre que de me désinscrire sur le champ ?

Que penser des échanges futurs ?

Le gars qui a un site web qui s’appelle Abrutis En Ligne.com, on l’appelle comment lui ? “Merci de me suivre Abrutis” ??

Soyons sérieux !

Et si on faisait fausse route ?

Ca fait 13 ans que je suis sur Internet. Hé oui, ça commence à dater.

Donc j’en ai vu des trucs. Des sociétés qui se sont montées, qui ont fait fortune, et qui se sont ramassées en quelques mois sans pouvoir se relever.

J’ai vu des sites être dans tous les esprits pendant des mois se voir reléguer aux oubliettes en moins de 6 mois au profit de nouveaux systèmes plus modernes (Alta Vista par exemple au profit de Google)

Bref j’ai vu des empires se fonder en 3 mois et s’écrouler en une semaine.

On a droit à ce genre de truc dans tous les domaines un peu techniques.

En référencement, certains ont décidé de recopier le dico dans les balises meta Keywords. Google a désactivé cette fonction de leur algorithme.

En Adsense, certains ont décidé de créer des sites poubelles pour gagner de l’argent sans rien foutre. Google les a sanctionné en moins de temps qu’il n’a fallu pour l’écrire.

En marketing, certains ont abusés des emails et des prénoms dans le sujet et des cadeaux gratuits, et maintenant, on n’ouvre plus ce genre de mail.

Avant, on pouvait vendre sur ebay sans avoir de site. Certains ont abusé, Ebay a dit Allez voir ailleurs, merci !”.

Avant on pouvait mettre une squeeze page en ligne et faire une annonce Adwords pour aller dessus. Certains ont abusé Google a dit “Merci, mais non…”

Bref...

Quand on abuse d’un système, celui-ci se rebiffe. Et les choses changent. Evoluent. et les petits malins vont se faire voir ailleurs en pleurant.

Avec Twitter, j’assiste à la même chose.

On utilise un logiciel pour suivre les gens. 200, 400, 1000 par jour... Les suivis ne suivent pas en retour ? Le logiciel désabonne et en suit 1000 nouveaux.

N’importe quoi.

On utilise un logiciel pour envoyer des messages privés. On ne se casse même plus la nénette d’appeler la personne par son prénom.

N’importe quoi.

Soyons sérieux 5 minutes

A ceux qui seraient tentés d’utiliser un logiciel pour automatiser un endroit dont la source première est “l’échange social” réfléchissez à ça :

Quand les suiveurs en auront marre de se faire prendre pour des robinets, que feront-ils ?

Ils signaleront à Twitter qu’ils reçoivent des messages de spam.

Les têtes pensantes en auront marre un jour et ils désactiveront les liens dans les messages privés. Et si cela ne suffit pas, ils désactiveront simplement les MP.

En attendant d’autres réformes...

Bref, on ne peut pas se jouer d’un système infiniment. Les abus finissent toujours par saouler les dirigeants, qui prennent alors des sanctions, ou alors qui se débarrassent de tous les gêneurs.

Moralité : Arrêtez d’utiliser des logiciels pour me parler dans un endroit où je m’attends à discuter avec des vraies personnes.

Ca me fait l’effet de discuter à table avec ma femme par l’intermédiaire d’un portable et de SMS alors qu’on est à 50 cm l’un de l’autre : C’est RIDICULE !

Et si vraiment vous ne pouvez pas vous passer d’un logiciel, alors au moins, apprenez à le paramétrer pour qu’il arrête de m’appeler “Copywriting”.


16 DECEMBRE 2011

5 astuces pour que vos cartes de voeux ne se transforment pas en cauchemar pour vos clients ou vos membres

Allez-vous envoyer un mail de vœux à vos clients ou à vos membres pour cette fin d’année ?

bonne-annee

Si vous l’avez envisagé, c’est une très bonne idée.

En effet, cela renforce les liens que vous pouvez avoir avec vos membres ou avec vos clients, et cela vous permet d’annoncer tranquillement ce que vous avez prévu pour l’année qui vient.

Voici néanmoins quelques astuces pour que cette période ne se transforme pas en cauchemar pour vos membres.

1. Prévoyez votre coup

Il y a de fortes chances pour que vos membres soient inscrits sur pleins de listes comme la vôtre.

Donc le 1er janvier, plus ou moins une semaine, ce sont des dizaines de cartes de vœux qui sont envoyées et reçues.

Si vous êtes le premier, bravo. Mais si vous arrivez en 10ème position, alors ne croyez pas que vous serez lu. Surtout si votre correspondant en a déjà reçu 7 avant la vôtre la même journée.

Donc, envoyez vos cartes un peu plus tard dans le mois de janvier.

Vous aurez plus de chances de toucher vos correspondants. Ou alors, envoyez-la à minuit pile.

C’est possible de le faire avec un auto-répondeur.

A ce propos, attention : Si vous utilisez Aweber, il y a 6 heures de décalage avec l’heure d’envoi européenne.

Ce qui veut dire que si vous voulez programmer un envoi à minuit pile, alors réglez votre broadcast sur l’heure 06:00, ce qui correspondra à minuit pile chez vous (si vous êtes en Europe, bien sûr !!)

2. Soyez original dans votre sujet

Si vous pensez que vos clients vont ouvrir un mail où il y a écrit “bonne année” ou meilleurs vœux, vous rêvez hélas.

95% des entreprises vont faire comme vous. Votre mail sera perdu dans cette masse de pub déguisée en bons vœux, et il ne sera pas plus lu qu’elles.

Soyez plutôt inventif, et mettez un bon titre insolite.

Celui qui m’a donné le plus gros taux d’ouverture d’une carte de vœux, c’était celui-là :

“Voilà... C’est fini...”

Le premier paragraphe commençait par : “Hé oui, 2009 est finie ! Vive 2010 !”.

Mais laissez parler votre imagination. Vous trouverez bien un sujet de mail insolite !

3. Surtout pas de pub !

Combien de fois reçois-je des vœux avec des réductions ou des cadeaux à l’achat d’un produit avec mes vœux de fin d’année ?

Trop de fois !

Vous faites ça quand vous envoyez vos vœux à vos proches ? Vous leur proposez d’acheter un truc ? Pas moi.

Donc ne faites pas ça. Rien à vendre dans une carte de vœux à moins de vous attirer tout le contraire de l’effet escompté.

4. Un beau petit texte plutôt ?

On est sur Internet ! Une carte de vœux virtuelle devrait raconter une belle histoire qui fait sourire, ou pleurer… Bref, une histoire qui provoque de l’émotion.

Utilisez donc ce moment unique dans une année pour raconter quelque chose de sympa à vos clients.

Vous pouvez allez vous servir sur les sites qui racontent de belles histoires, en mentionnant la source, bien sûr. Essayez Evene.fr

Mais vos correspondants vous remercieront beaucoup si vous leur composez un joli truc personnel.

5. Un petit merci ?

Et si vous profitiez de ce moment pour remercier vos clients et vos membres de vous suivre ?

Ils passent du temps avec vous, tout au long de l’année. Vous pouvez largement faire l’effort de les remercier pour ça.

Surtout à cette période.

Faites-le, vous verrez comme vous vous sentirez bien après. Et surtout vous verrez comme certaines personnes vous répondront avec gratitude.

Il en faut parfois très peu pour délier les doigts :)

Allez ! Ce sera tout pour aujourd’hui. J’aurai à vous reparler de ces cartes de vœux d’ici quelques semaines.

Il y a beaucoup à en dire !


15 DECEMBRE 2011

A télécharger : 12 éléments de preuves sociales pour rassurer vos lecteurs

Si vous vous intéressez un peu au copywriting, alors vous savez que l'un des paragraphes capitaux d'une page de vente concerne la preuve sociale.

Oui, même si on vous a dit le contraire, une page de vente, c'est une succession de paragraphes qui devraient être placés dans un ordre précis.

Et parmi ces paragraphes se trouvent les preuves sociales. Vous savez… les témoignages clients, par exemple.

Hélas ! Beaucoup de gens s'arrêtent aux témoignages pour renforcer leur crédibilité, alors qu'il y a en bien plus à utiliser sur une page de vente.

Ça s'utilise partout !

Et en fait, quand vous voulez aller au restaurant, au ciné, dans un hôtel, un appartement ou même à un spectacle, les avis (leur nombre, surtout), les étoiles et les commentaires vous aident grandement à choisir.

C'est l'avantage de notre époque : Internet a rendu les avis clients accessibles à tout le monde, ce qui a permis d'éviter de nombreuses expériences désagréables à beaucoup de monde.

Si vous vendez des produits ou des prestations sur Internet, vous pouvez utiliser ce moyen pour gagner en crédibilité et ainsi augmenter vos ventes.

Je vous propose donc de découvrir 12 types de preuves sociales que vous allez pouvoir utiliser et rajouter sur votre page de vente :

Remplir sa page Facebook intelligemment

Il s'agit d'un guide en PDF que vous pouvez télécharger facilement en guise de cadeau de bienvenue dans la grande famille du Copywriting Pratique, et plus particulièrement dans celle de ce blog.

Indiquez juste votre prénom et l'adresse email à laquelle je peux vous envoyer votre accès à ce guide et à plein d'autres :

Comment avoir toujours des idées sur n'importe quel sujet et ne plus jamais louper d'opportunités

Aujourd'hui, je voulais vous parler d'opportunisme ! Un de mes sujets préférés.

Donc, voici ma vision de ce qu’est l’opportunisme et une manière infaillible de vous entraîner à profiter des centaines d’opportunités qui se présentent à vous chaque jour et que vous ne voyez jamais passer.

opportunite

Un impérieux besoin d’opportunisme

Oui ! Être opportuniste, de nos jours, c’est survivre dans ce monde de concurrence et de surpopulation numérique.

Surtout quand on travaille sur Internet.

Quand on a un blog, il faudrait être opportuniste à chaque fois que vous écrivez un article.

Une info à la radio, sur une affiche, ou dans un commentaire. Tout devrait être bon pour saisir l’opportunité de l’idée qui fera votre article du jour.

Hé oui ! Être opportuniste, ce n’est pas nécessairement pour gagner de l’argent, même si on a tendance à le voir comme ça.

Être opportuniste, c’est aussi – et surtout - saisir les opportunités pour agir. Ecrire, rencontrer les bonnes personnes, avoir les bonnes infos avant les autres, etc...

Si vous avez du mal à trouver des idées pour écrire vos articles, par exemple, ou même pour écrire de bons arguments sur vos pages de vente, c’est parce que vous n’avez pas assez cultivé cette qualité que l’on appelle l’écoute.

Parce qu’être opportuniste, c’est être à l’écoute de son environnement.

C’est ce que Jean-Claude VANDAMME appelle être “Aware”. Quand on est à l’écoute de son environnement, alors tout devient bien plus facile.

Mais c’est comme tout : Ca se travaille.

Plusieurs fois on m’a demandé comment je pouvais arriver à écrire un article par jour depuis 8 mois sans avoir de problème pour trouver des idées.

Je vais être honnête avec vous : J’ai été formé pour ça.

Il y a... pfiouu... Il y a 23 ans ! j’avais 20 ans !

Comment j’ai été formé à l’écoute

Et cette année là, j’ai eu à vivre une succession d’expériences qui m’ont à jamais appris à repérer les bonnes opportunités et à avoir toujours quelque chose à dire sur n’importe quoi.

Voici pourquoi :

Il y a 23 ans, j’étais en classe préparatoire à HEC. Durant cette année, on avait ce qu’on appelait 1 heure de colle tous les soirs. On était 3. A chaque coup.

Ce ne sont pas les heures de colles qu’on se choppaient parce qu’on avait mal parlé à un prof ou qu’on n’avait pas fait notre boulot. Non.

Il s’agit de la colle dans le sens “Tu me poses une colle”.

Le principe était simple : La prof nous faisait piocher un petit papier dans un grand chapeau, sur lequel était écrit un mot. Un seul. Ou une citation.

On avait 10 minutes de préparation, et on devait ensuite parler sur ce mot sans s’arrêter pendant 10 minutes.

Imaginez. Vous tirez le mot “abat-jour”.

Vous devez préparer un truc pendant 10 minutes là dessus (pas d’Internet, pas de livre, pas d’Iphone), et en parler ensuite pendant 10 minutes devant 3 personnes.

Vous êtes noté sur 20.

Alors, vous auriez dit quoi ?

C’est à ça que j’ai passé mes soirées 4 fois par semaine pendant une année scolaire, à raison d’une heure par jour.

Au début, c’est la galère.

Mais petit à petit, vous apprenez à réfléchir vite et bien, et surtout vous apprenez à vous organiser :

Mes premières notes furent pitoyables. Le premier mot que j’ai tiré c’était : la passion.

J’ai parlé de passion des timbres. La prof aurait préféré que je parle de Roméo et Juliette. J’ai eu 3.

Et encore, ce mot était facile. Essayez de parler pendant 10 minutes sur des phrases de ce style :

Bref...

Vous pouvez vous entraîner aussi !

Vous l’aurez compris, l’objectif de ce genre d’exercice était de nous former à ce qu’on appelle “la répartie”.

Et en plus de nous apprendre à parler, ça nous apprenait aussi à développer notre faculté d’adaptation. Parce qu’être opportuniste, c’est savoir s’adapter en un éclair à une situation nouvelle.

C’est prendre l’avantage sur le reste du monde en quelques instants.

Pendant les 4 ou 5 premières semaines de l’expérience contée plus haut, on en a tous bavé. Vraiment.

Et puis petit à petit, on a commencé à pouvoir parler d’à peu près tout. On était obligés d’aller se servir dans ce qu’on avait lu ou entendu, et on s’apercevait alors qu’on connaissait plein de choses.

Que notre cerveau avait déjà emmagasiné des centaines de milliers d’informations qu’un tout petit peu de gymnastique mentale permettait de faire ressortir.

Ce qui est sympa avec cette discipline, c’est que vous pouvez le faire n’importe où, et avec n’importe quel mot. Ca ne vous coûte rien. Vous pouvez même vous rassembler à 2 ou 3, et faire l’exercice ensemble.

C’est très formateur, et une dizaine de séances devraient arriver à vous mettre de plus en plus à l’aise pour trouver des idées sur à peu près n’importe quoi.

Vous pouvez le faire dans le bus, dans une file d’attente, ou posé sur un banc dans un parc. Vous pouvez le faire avec vos enfants, qui seront ravis de s’entraîner avec vous – et ça leur donnera un avantage énorme pour leur avenir.

Bref... Vous l’avez compris : Vous POUVEZ cultiver votre sens de la répartie.

Si vous avez un blog, vous ne serez plus jamais à cours d’idées pour vos articles.

Si vous avez une page de vente à écrire, vous aurez des dizaines de sujets à aborder, et plus obligé d’employer des clichés.

La procédure pas à pas

Je vous la rappelle :

Il est 1000 fois plus bénéfique d’être deux pour faire cet exercice. Vous pouvez ainsi le faire chacun votre tour. C’est très motivant !

Faites-le si possible 4 fois par semaine aussi longtemps que vous le pouvez.

Vous pouvez même organiser des soirées entre ami(e)s pour jouer à ce style de jeu.

Au bout d’un mois de pratique de cette discipline, vous vous surprendrez à avoir plus d’idées qu’avant, et écrire vous sera devenu bien moins compliqué qu’avant.

Tentez le coup.

Vous voulez quelques mots pour démarrer ? OK :

Pustule, foire, soucoupe, marché, pâle, piocher, girafe, planète, miam...

Tout un programme !


12 DECEMBRE 2011

Est-ce que le copywriting peut vous aider à augmenter vos revenus avec Adsense ?

La question que je pose dans le titre est un paradoxe à elle toute seule.

En effet, par définition, le copywriting est une discipline qui sert à faire agir les gens. Et dans ce cas précis, l’acte à faire accomplir à vos visiteurs est le clic sur une annonce Adsense qui se trouve sur votre site.

Problème : Google stipule expressément dans son règlement qu’il est INTERDIT de dire aux gens de cliquer sur les annonces, et encore moins de les forcer à le faire.

Alors... Comment procéder pour faire cliquer plus sur ses annonces malgré tout grâce au copywriting ?

C’est ce que je me propose de vous expliquer dans cet article.

Le principe d’Adsense

C’est une manière de gagner de l’argent sur Internet assez facile. J’emploie le mot “facile” à bon escient.

En effet, le principe est tellement simple à comprendre qu’un enfant de 10 ans saurait comment ça marche.

Ca tient en 4 étapes :

Notez bien l’étape 1 : avoir UN SITE WEB

Je n’ai pas parlé d’un blog dans le sens “outil de développement d’audience”.

C’est pour une bonne raison, et vous allez comprendre pourquoi.

Dans chaque activité de monétisation, on doit avoir un objectif bien précis. Et un seul.

Quand on vend un produit, l’objectif unique est la vente de ce produit.

Quand on fait de l’Adsense, le seul et unique objectif est le clic sur cette annonce.

Il s’ensuit que le site qui va autour DOIT être construit EXPRÈS pour ça.

Sur un blog, il y a plein d’objectifs.

Commenter, s’inscrire, télécharger, cliquer... Autant d’actions qui seront des détourneurs d’attention si vous cherchez à faire de l’Adsense avec succès.

Je vais donc vous expliquer maintenant comment procéder pour vous faire aider du copywriting.

Mon expérience avec Adsense

J’en parle rarement. Mais bon, comme c’est le sujet d’aujourd’hui, alors autant vous montrer quelques chiffres, histoire que vous sachiez que j’en parle en connaissance de causes.

Mon expérience d’Adsense a débuté en mars 2007. A l’époque, c’était l’eldorado, et il était facile de gagner de l’argent avec ce moyen sans faire grand chose.

Mais plus le temps a avancé, et plus c’est devenu difficile. Le règlement s’est durci, les gens ont commencé à moins cliquer qu’avant, et les annonceurs à payer aussi moins bien.

Voici donc un tableau qui reprend mes revenus depuis un peu plus de 4 ans et demi avec Adsense (cliquez sur l’image pour la voir en plus gros) :

TableauAdsense

Vous le voyez, entre 2008 et 2009, je me suis “gavé” comme on dit.

J’affichais des revenus qui tournaient aux alentours de 1000-1200 euros mensuel. Pas énorme énorme, mais toujours ça de gagné.

Puis avec le temps, comme je voulais que cette activité ne me coûte plus de temps, alors à partir d’août 2009, je ne m’en suis plus occupé.

Bien évidemment, les revenus ont commencé à chuter, et aujourd’hui, sans rien faire de plus que payer annuellement l’hébergement des 11 sites rentables que j’ai gardés comme support d’Adsense, mes revenus stagnent aux alentours de 350 € mensuel.

Ce qui reste honorable pour quelque chose dont je ne m’occupe plus du tout.

Quoi qu’il en soit, les sites qui me restent ont été optimisés au maximum afin qu’il y ait un maximum de clics sur les annonces, tout en respectant le règlement d’Adsense.

Voici comment...

Les 2-3 erreurs à ne pas commettre

On lit vraiment tout et n’importe quoi à ce sujet. Beaucoup de choses sont intéressantes, mais beaucoup ne servent à rien.

Et parfois, on lit des choses totalement absurdes qu’il ne faut surtout pas appliquer.

1. Du contenu médiocre

La première de ces choses, c’est de faire un site web avec du contenu médiocre (pour ne pas dire pourri). Du contenu sans vraie valeur ajoutée. Qui n’intéresse pas le lecteur, et qui rend votre site absolument insipide.

Les bases d’une telle réflexion venait de l’hypothétique fait qu’une personne qui arriverait sur un site médiocre aurait tout de suite envie de repartir, et qu’elle cliquerait alors sur les annonces pour quitter le site.

La réalité est que lorsqu’on quitte un site pourri, on le fait soit en cliquant sur “Précédent” soit en cliquant sur la croix pour fermer la fenêtre

Donc avoir un site pourri ne sert à rien d’autre qu’à empêcher les gens de faire venir les autres dessus, car ils n’en parlent jamais.

Quant à ceux qui me diraient que tant qu’il y a des mots clefs et que Google indexe ces mots clefs, c’est le principal, hé bien non ! Google débarrasse son index des sites poubelle à une vitesse grand V, et se sépare de ses éditeurs Adsense loosers en un temps record.

2. Du contenu qui n’en est pas

D’autant que comme dans toutes les activités, celle-ci a également eu droit à son lot de gros boulets qui ont pensé que des articles anglais traduits par Google sans retouche feraient un magnifique site à faire fuir les gens.

Quand ce ne sont pas des suites de mots incompréhensibles pour autant qu’il y ait les bons mots clefs.

Oui, oui... J’en ai vu des centaines des comme ça. Et j’ai même vu passer une méthode qui expliquait comment le faire correctement.

Par contre, bizarre, je n’ai jamais entendu parler de revenus conséquents (ou même minimes) avec ce genre de site.

3. Un design inexistant

L’une des deuxièmes plus grosses inepties que j’ai pu lire sur Adsense était qu’il ne fallait pas perdre de temps avec le design. Une bannière avec une photo pourrie (décidément) et un style de base en times suffira bien.

Il ne manquerait plus que les gens se plaisent sur votre site et qu’ils ne veuillent plus le quitter, vous vous rendez compte ?

Cela a donné des sites incroyablement moches qui feraient fuir le plus aveugle de tous les visiteurs.

Croire qu’on veuille cliquer sur des annonces pour s’en aller d’un site pareil, c’est comme croire que la première chose qui nous passe par la tête quand on croise un cafard dans un grenier c’est de l’attraper et de lui caresser les antennes.

Bref. Un site Adsense qui rapporte est comme tous les autres sites : Il donne envie au visiteur de le visiter.

Les bases d’un business Adsense qui fonctionne

Maintenant qu’on a vu ce qu’il ne fallait surtout jamais faire, voici comment vous devez envisager la création d’un site pour gagner votre vie avec Adsense.

Je vais synthétiser, parce qu’il faudrait 50.000 mots pour tout aborder.

Ces quelques astuces vous serviront déjà à créer de bonnes bases. Je pars du principe que vous avez suivi les conseils de Stéphanie, et donc que vous avez trouvé un thème, des mots clefs et un nom de domaine qui tient la route.

Une fois que vous avez ça, arrive le moment de construire le site.

Voilà :

1. Construisez un site sympa

Un site sympa, c’est un site qui donne de la vraie info sur de vrais sujets. Une fois que vous avez choisi votre thème, renseignez-vous comme il faut, et prévoyez du vrai contenu.

Vous pouvez créer un blog de base pour ça. Ca veut dire une base wordpress, un thème sympa, et une dizaine d’articles.

Attention : Ne prenez que la partie “PRATIQUE” d’un blog. C’est à dire la partie qui fait qu’on peut en construire un en 10 minutes, avec un thème sympa.

Ne perdez pas de temps à ouvrir les commentaires. Ne perdez pas non plus de temps à mettre en place des plugins orientés visiteurs et communauté.

Un site Adsense qui fonctionne est un site qui informe, qui offre des données, des logiciels, des infos, des photos, des vidéos, à des gens qui sont intéressés par un sujet, mais qui ne fait SURTOUT pas du social.

La personne qui arrive chez vous doit trouver votre site sympa, bien fourni, beau et pratique, mais elle ne doit SURTOUT pas y trouver une personne avec qui discuter.

Donc désactivez les commentaires, et laissez le minimum de menus affichés dans votre barre latérale.

Ce sera une base de blog, mais il s’agira en fait d’un site web classique.

2. Soignez votre SEO

Installez tous les plugins qu’il faut pour que votre site/blog soit optimisé.

Réglez comme il se doit les différents éléments de votre blog pour qu’il soit visible et attirant pour Google.

Et soignez votre référencement. La réussite d’un site Adsense passe d’abord par un bon référencement.

Un paramétrage optimisé fera 50% du boulot.

Vos articles feront le reste.

3. Ecrivez des articles courts et compréhensibles

Le contenu qui fait cliquer sur les annonces est tout sauf fourni.

Il est court, concis et précis, car il sera consulté très vite. Scanné, même. Il doit donner des infos très pertinentes, mais rapides.

300 mots suffisent largement.

C’est même un maximum à prévoir. Mettez 2 ou 3 titres, des paragraphes courts et des phrases courtes.

Prévoyez une zone qui fait 500 px de large maximum, et une police moyenne, en corps 12.

4. Publiez au moins 2 fois par mois

Vous devrez publier régulièrement, à raison de 25 articles par an minimum. Pas besoin de faire plus. Le but est de faire venir Google régulièrement et d’augmenter petit à petit votre base de contenu.

Plus vous publierez, plus vous serez vu. C’est aussi simple que ça.

N’hésitez pas à faire court. Mieux vaut publier 3 articles de 200 mots répartis sur une semaine ou 15 jours, plutôt qu’un article de 600 mots en une seule fois

5. Positionnez vos annonces intelligemment

Vous savez ce que c’est la zone chaude ? C’est la zone en haut à gauche d’une page. Celle qu’on voit le plus. Et celle où l’on voit le plus de blocs d’annonces.

Et pourtant, c’est une bêtise d’en mettre là. Ca fonctionnait avant, mais ça fait bien longtemps que ce n’est plus le cas.

Pourquoi ? Parce que le contenu s’est peu à peu imposé. Maintenant, quand on arrive sur un site web, la première chose que l’on cherche, c’est du contenu pertinent.

Donc ceux qui mettent une annonce en plein milieu à la place du contenu voient leur site déserté. Parce que les gens ne lisent pas. Ils s’en vont.

Mettez-vous à la place du visiteur : Quand il arrive sur un site, la première chose qui l’intéresse, c’est le contenu. Pas la pub.

La pub vient après. Si le contenu a été pertinent et a apporté quelque chose au lecteur, alors il va envisager de cliquer sur la pub.

Voilà pourquoi l’endroit le plus intelligent pour placer un bloc d’annonce, ce n’est ni au début ni au milieu du texte. C’est APRES.

Juste après la fin de l’article. Comme suite logique à la lecture.

Réfléchissez-y : C’est d’une logique implacable. Une logique de copywriter ;)

Pour aller plus loin

L’étape qui suit est de faire connaître votre site.

Pour cela, vous allez utiliser Google, bien sûr, mais que cela ne vous empêche pas de chercher à faire des campagnes d’échanges de lien avec d’autres sites en rapport avec votre thème.

Tous les sites Adsense qui ont fonctionné pour moi sont liés à plein d’autres sites, soit par le biais d’échanges de liens, soit par le biais de commentaires sur des blogs.

Ca fonctionne car le site est de qualité. C’est un vrai site, avec du vrai contenu, donc les gens ont envie de venir dessus.

Ils viendront en grosse majorité de Google, et c’est pour cela que lorsque vous écrirez des articles, vous devrez véritablement soigner votre titre et votre description afin qu’il corresponde bien au contenu en face. Sinon, c’est un visiteur de perdu et un clic en moins.

Il y aurait encore beaucoup à dire sur Adsense, mais à un moment, il faut s’arrêter.

Avec ce dont je vous ai parlé ici, vous avez déjà matière à démarrer un site Adsense dans de bonnes conditions.

Si vous avez des questions, n’hésitez pas.


8 DECEMBRE 2011

Pas facile, celui-là... Voyons si vous êtes fait pour sous-traiter...

J'ai du mal avec la sous-traitance ...

Sûrement parce que j’ai beaucoup de mal à sous-traiter.

Mon côté perfectionniste, à n’en point douter.

A chaque fois que j’ai essayé, soit le résultat ne m’a pas convenu, soit j’ai perdu plus de temps à expliquer que le temps que j’aurais pris si j’avais fait le boulot moi-même.

Donc, question conseils à ce niveau, je suis un peu mal placé. Et cet article ne va donc pas casser des briquettes. Désolé !

Malgré tout, je dirais ceci :

Il y a deux sortes de travaux à sous-traiter :

1. Les travaux que vous savez faire

Dans ces cas-là, vous souhaitez vous dégager du temps pour faire autre chose, alors vous cherchez à vous alléger en travail en en confiant certaines parties à quelqu’un d’extérieur.

Sympa, comme idée, mais soyez malgré tout prévenu de deux choses :

1. Si vous êtes du genre perfectionniste, si vous aimez le travail bien fait, ou que vous adorez vraiment le boulot que vous faites, alors évitez de sous-traiter. Vous gagnerez du temps, de l’argent et du stress.

Parce que le résultat ne vous satisfera pas.

Et parce que vous perdrez certainement beaucoup de temps à adapter le travail effectué pour le rendre à votre image.

2. Et si vous sous-traitez malgré tout, acceptez que cela soit différent de ce que vous auriez fait vous-même. Acceptez aussi que les gens s’en rendent compte et ne vous disent rien, et acceptez aussi que cela ternisse un peu votre image.

Parce que le principe de la sous-traitance, c’est de faire faire un travail, et d’en assumer ensuite derrière les conséquences comme si c’était vous qui aviez fait ce travail.

Donc vous avez intérêt à avoir une grande confiance en la personne que vous désignez pour le travail en question, et surtout, vous avez intérêt à vérifier minutieusement ce qu’on vous rend comme travail final.

Si vous acceptez tout ça, alors allez-y : sous-traitez sans trembler les tâches que vous savez faire.

2. Ce que vous ne savez pas faire

Pour ce genre de boulot, où vous n’avez pas les compétences, alors vous avez deux alternatives :

Personnellement, je préfère la première solution. Même si ca demande plus de temps, je préfère acquérir des compétences et du savoir plutôt que de dépendre de quelqu’un d’autre.

C’est entre autre pour ça que j’ai décidé de travailler sur Internet, de chez moi, et sans rendre de compte à personne.

Mais c’est un avis tout personnel :)

Bref, vous l’aurez compris, je ne suis pas vraiment pour la sous-traitance, parce que je connais mes limites et mes défauts.

Et vous, ça vous tente, la sous-traitance ? Et si c’est le cas, êtes vous prêt à en accepter les conséquences ?


7 DECEMBRE 2011

Accédez à des outils exclusifs pour copywriters

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L'astuce infaillible pour trouver des idées d'articles chaque semaine sans forcer

Quand on écrit sur un blog, la partie difficile, justement, c’est de trouver des idées pour écrire.

Parce que bien souvent, les idées ne viennent pas. On a beau chercher, on n’est pas inspiré.

Si ça vous arrive souvent, alors vous serez certainement content d’apprendre qu’il existe un moyen infaillible pour avoir toujours des idées quand on a un blog : Il suffit de planifier au moins UN thème récurrent.

planifier

Par exemple, prévoir une vidéo sympa par semaine. Comme ce qui se passe ici sur ce blog le dimanche où je vais chercher des vidéos sur Youtube pour vous faire passer un bon moment.

Ou alors, prévoir de présenter un livre, ou un site web, un autre blog, un logiciel en vidéo.

En fonction de votre thématique, vous pouvez planifier une recette de cuisine, un horoscope, une blague, un truc rigolo, une histoire à raconter…

L’important, c’est de le planifier à l’avance.

Les bienfaits de la planification

Pourquoi ? Parce qu’en faisant comme ça, vous mettez votre inconscient en marche vers quelque chose de bien précis : LE thème que vous avez choisi.

Et au fur et à mesure que votre semaine passe, alors vous avez plein d’idées.

Lors de vos balades sur Internet, par exemple.

Vous allez tomber sur un site qui parle justement d’un thème en rapport avec le vôtre. Hop ! Vous notez l’idée et ça vous fait déjà un article de prévu.

Si vous ne planifiez qu’un seul thème pour commencer, alors toute votre énergie va se focaliser sur ce thème.

Pourquoi ? Parce que c’est comme avec une nouvelle voiture.

Avez-vous déjà remarqué que lorsque vous achetez une nouvelle voiture, vous en voyez plus qu’avant tout autour de vous ?

Alors que vous imaginiez être le seul dans votre patelin à avoir cette voiture, soudainement, vous en voyez une à tous les coins de rue. ET ô stupeur, elles sont de la même couleur que la vôtre !

Incroyable !

Rassurez-vous : Ce qui vous arrive n’est pas parce que tout le monde a décidé d’acheter la même voiture que vous.

Non, c’est votre inconscient qui s’est orienté spécifiquement VERS ce type de voiture. Il est donc normal que vous en voyiez partout puisque inconsciemment, vous les cherchez du regard.

C’est la même chose avec votre blog.

Si vous vous décidez à choisir un thème d’articles et à en faire un rendez-vous hebdomadaire, alors votre inconscient va tout mettre ne oeuvre pour que vous arriviez à assumer ça.

Et les idées vont venir toutes seules.

Essayez. je vous assure que ça fonctionne.

A vous de jouer !

Avez-vous déjà essayé de planifier un article sur un thème récurrent ?

Si vous avez du mal à le faire, voici une petite astuce qui va vous filer un bon coup de main (ou un bon coup de pied aux fesses, c’est au choix) : Annoncez-le à vos membres et à la terre entière sur votre blog.

Une fois que vous l’avez dit, et que les autres l’ont lu, alors mine de rien, vous avez pris un engagement moral vis à vis de vos lecteurs, et cela va vous permettre d’avoir une référence mentale en cas de perte de motivation.

Allez ! Cherchez un thème sympa, dans lequel vous êtes à l’aise. Ca vous fera des articles facilement écrits, et facilement planifiés.

Alors ? Sur quel thème allez-vous bloguer chaque semaine ?


6 DECEMBRE 2011

8 manières de suivre vos clients après la vente pour les rendre accro à votre entreprise pour la vie

Quel que soit le produit que vous vendez, quel que soit son prix, vous devez proposer, après la vente, une certaine sorte de suivi personnel de vos clients.

Et plus votre produit est cher, plus la nature et la personnalisation du suivi est importante.

Dans cet article, je vous propose donc de vous détailler les 8 manières que vous avez à votre disposition pour suivre vos clients une fois qu’ils vous ont acheté votre produit.

suivi-personnalise

Le tout classé de la manière la plus impersonnelle vers la plus personnelle.

Voici donc les 8 manières qui sont à votre disposition pour suivre avec attention vos clients :

1. Une Foire aux Questions

C’est bien entendu le minimum à prévoir.

Il s’agit donc, vous l’aurez compris, d’un espace sur votre site ou sur votre blog, où vous traiterez la majorité des questions posées, tout en laissant la possibilité aux autres clients de voir les réponses apportées.

L’avantage de cette version de suivi est que vous permettrez à tous ceux et toutes celles qui n’osent pas vous contacter d’obtenir néanmoins une réponse à leurs interrogations.

Cette section est donc impérative pour tous produits, et il est également impératif que vous la fassiez évoluer en permanence en rajoutant par exemple une nouvelle question/réponse par semaine.

Ce qui indique que vous vous occupez activement des soucis de vos clients.

2. Un blog privé avec des commentaires

Ca peut être une forme de version un peu plus élaborée de la FAQ que l’on a vu au-dessus.

Par exemple, vous pourriez créer un article par thème de questions, avec leurs réponses.

Et vos clients pourraient réagir en commentaires à vos réponses, ce qui vous permettrait de les affiner pour qu’elles conviennent au plus grand nombre, et pour être certain qu’elles soient bien comprises.

Vos clients pourraient également se servir des commentaires pour vous poser d’autres questions, auxquels certains autres clients pourraient répondre à votre place et ainsi vous donner des idées de réponses auxquelles vous n’auriez pas pensé.

Bref, que du bon !

3. Un forum privé

Version plus élaborée qu’un blog, où il n’y aura pas que des questions.

Les clients peuvent surtout y échanger entre eux, et créer ainsi une belle communauté qui s’entraide.

Le seul souci : Outre la difficulté de l’installer, vous aurez aussi une contrainte importante dans la gestion de votre forum : Car mettre des clients ensemble à discuter, c’est prendre le risque de voir un client mécontent “contaminer” les autres, pour arriver parfois à une rébellion générale.

Assez rare, mais profondément meurtrier question CA.

Vous n’avez donc pas le droit à l’erreur avec votre produit, car le moindre manquement sera relevé à tous les coups.

A manier donc avec précaution.

Notez également que statistiquement, seuls 50% de vos clients s’inscriront sur votre forum, et à peine plus de 10% de ces 50% participeront effectivement aux discussions.

Donc si vous avez 200 clients, une centaine seulement s’inscriront, et à peine plus d’une dizaine participeront vraiment.

Mais vous savez que ça existe et que certains clients adorent ce genre d’endroits pour exister et évoluer.

C’est également une boite à idées sans fond ;)

4. Un formulaire de contact et un email

C’est bien entendu indispensable de mettre les deux sur votre site ou votre blog.

L’objectif est de permettre à vos clients de vous contacter quand ils le souhaitent.

Et vous, vous vous engagez à répondre à leurs questions dans la journée. Si possible dans les 2 heures qui suivent le message.

C’est  important, surtout si vous vendez une formation ou un produit qui demande pas mal de techniques.

En effet, avec ce genre de produits, bloquer sur un souci technique peut bloquer totalement l’utilisation dudit produit. Il est donc impératif de répondre dans les plus brefs délais.

Plus vous répondrez vite et bien, et plus la valeur perçue de votre service augmentera.

5. Une séance de coaching virtuel commun

Le principe : Un logiciel de conférence virtuelle, où vous êtes le meneur, et où vos clients peuvent vous poser des questions en direct de vive voix.

Les gens s’inscrivent gratuitement sur le logiciel, et à une heure précise, tout le monde se connecte en même temps. Vos clients peuvent voir une capture de votre écran, et vous pouvez ainsi leur passer la parole.

Cela vous permet de répondre en direct aux questions de vos clients, et de commenter – en fonction de votre produit – leurs réalisations et leur avancée.

C’est très enrichissant et très sympa pour vos clients qui se sentent alors entourés et surtout, ils ne sont pas seuls. Ca entretient une belle petite communauté, bien plus efficacement que ne le ferait un forum.

Vous pouvez même mettre à contribution les autres clients qui peuvent alors répondre à la question à votre place ou “en plus de vous”.

Bref un beau petit partage des expériences, qui peut être bénéfique à tout le monde.

La formation en blogging que je suis actuellement propose ce genre de coaching commun chaque mois et je dois dire que c’est un vrai plus dans la formation.

Je vous recommande d’en faire autant pour vous.

En cas, je ferai une procédure vidéo pour vous montrer comment ça fonctionne.

Dernière chose : Vous pouvez filmer la séance et l’offrir ensuite en téléchargement gratuit à vos clients, ce qui augmente encore la valeur perçue de votre produit et du service que vous proposez derrière.

6. Votre numéro de téléphone

Là, on se rapproche de plus en plus vers la relation personnelle, où là, vous êtes en relation directe avec votre client.

Il est bien entendu impératif d’imposer des horaires où vous décrochez votre téléphone.

Le reste du temps, une boite vocale doit être disponible pour que vos clients puissent vous laisser des messages et leur coordonnées.

Ensuite, soit vous les rappelez, soit vous leur répondez par email. Mais le mieux est de les rappeler.

Vous pouvez également ne laisser qu’une boîte vocale, en indiquant que vous préférez rappeler les gens pour éviter qu’ils aient à payer le téléphone.

Il vous suffit donc de demander les coordonnées de vos clients et ce qu’ils veulent, afin de vous laisser le temps de préparer votre réponse.

Note importante : Le téléphone est une activité très chronophage si vous n’imposez pas des règles. Par contre, la relation qui nait avec ce genre de communication est d’excellente qualité, car vous êtes en rapport direct avec votre client, et vous pouvez donc lui demander ce que vous voulez.

Si c’est lui qui a pris l’initiative de vous appeler, alors il est tout à votre écoute :

Vous pouvez alors lui demander ce que vous voulez (conseils, idées, témoignage, etc…)

Sans parler des ventes additionnelles que vous pouvez obtenir grâce à ça !

7. Une messagerie instantanée de type Skype

Alors ça, c’est exactement comme le téléphone, à savoir que les gens peuvent vous contacter à n’importe quel moment de la journée ou de la nuit (surtout si vous avez des clients aux 4 coins de la planète).

Il est donc impératif de définir des horaires précis d’ouverture de ce tye de messagerie.

Par contre, ici vous avez deux façons de communiquer : Soit avec le clavier, soit avec le micro et la webcam.

Donc en quelques sortes, vous êtes “presque” en face de votre client.

C’est le statut supérieur : Le client vous voit, il vous entend, et il vous parle.

Ca c’est une séance de suivi personnel presque complète, ce qui constitue un service de très haute qualité qui vous permet d’augmenter votre capital confiance auprès de vos clients (et par la même occasion la valeur perçue de votre produit).

8. Le top du top : Une rencontre réelle avec vos clients.

Soit dans le cadre d’un séminaire, soit simplement autour d’un café, ou carrément dans une grande salle pour échanger.

Ca c’est vraiment l’idéal pour vos affaires. Un coup à multiplier votre chiffre d’affaires par 2 (minimum).

Difficile à mettre en place, mais absolument indispensable dans le cas d’une formation suivie et illimitée.

Cela vous permet de poser les bases A VIE d’une relation privilégiée avec vos clients.

Pour info, j’ai déjà eu l’occasion de réaliser ce genre de choses dans mon activité turf.

Sur les 91 personnes que j’ai rencontrées (par groupe de + ou - 8), environ la moitié sont devenus des fans (ils achètent tout ce que je fais et me suivent depuis plus de 5 ans indéfectiblement).

Rencontrer vos clients “pour de vrai”, cela vous permet de résoudre tout un paquet de problèmes 10 fois plus rapidement que par téléphone ou par mail interposés.

Mais ce n’est pas tout !

En effet, quand vous êtes en face à face avec vos clients :

En résumé, même si l’organisation de telles rencontres va vous demander du temps et un peu d’argent, le bénéfice engendré derrière comblera au centuple l’investissement de départ de la manière la plus garantie qui soit.

A vous de jouer

Voilà, vous avez un aperçu global de tout ce que vous pouvez mettre en place pour que vos clients se sentent accompagnés dans leur utilisation de votre produit.

Vous n’êtes bien entendu pas obligé de tout mettre en place, mais il me semble impératif d’en avoir au moins 5 sur 8.

Alors ? Qu’avez-vous mis en place pour que vos clients se sentent épaulés et suivis, et si vous ne l’avez pas encore fait, lesquelles parmi ces 8 manières allez vous utiliser ?


5 DECEMBRE 2011

Comment bien démarrer la 'lettre de motivation' de votre blog ou de votre site web pour que votre trafic explose

Vous avez un site ou un blog, et vous avez besoin de (faire) parler de lui un peu partout. Dans un maximum d’endroits.

Pourquoi ? Pour attirer du monde dessus tout simplement.

En effet, un peu comme lorsque vous voulez vous rendre à un entretien d’embauche :

AVANT de pouvoir passer votre entretien, vous devez d’abord écrire une lettre de motivation qui doit donner envie aux recruteurs de vous recevoir.

Pour un blog ou un site web, c’est exactement pareil.

Pour faire venir du monde dessus, vous devez avoir un texte de motivation qui va “motiver” les gens à cliquer sur votre lien (où qu’il soit) pour venir voir ce qui se passe chez vous.

Positive businesswoman doing a presentation

C’est ce qu’on appelle la présentation de votre blog que l’on doit trouver un peu partout sur la toile.

Et pour que ce texte soit lu, il faut bien le démarrer.

Découvrez ci-dessous une astuce de copywriter imparable pour FORCER les lecteurs à s’intéresser sérieusement au texte de présentation de votre site.

Comment bien démarrer votre présentation

Oui, il faut bien démarrer votre présentation par quelque chose. Une phrase, un mot, une image...

Et ces premiers mots sont d’autant plus importants que ce sont eux qui vont déterminer si le lecteur va lire votre présentation en entier ou pas et s’il va cliquer.

Il va donc falloir être attractif, et ce dès vos premiers mots.

Mais attention : Il y a une grande différence entre une page de vente ou une annonce et une présentation de blog ou de site web.

En effet, votre présentation ne doit pas être racoleuse, ni employer un langage trop promotionnel au risque de décourager les éventuels visiteurs.

Mais elle ne doit pas non plus être trop “commune” ni “cliché”, c’est à dire pleine de banalités dont tout le monde se moque.

Et pour éviter de tomber dans la banalité justement, il existe une petite astuce que j’emploie pour attirer l’attention sur mes présentations, en sortant un peu le lecteur de sa torpeur.

Les démarrages communs

Voici donc quelques démarrages “communs” possibles :

Vous serez d’accord avec moi, ces démarrages sont bien, mais ils manquent de peps et d’attraction.

On est toujours plus ou moins obligé de démarrer une présentation comme ça, mais vous conviendrez qu’il faut également rajouter quelque chose pour donner un peu plus envie.

Mais également pour vous démarquer des autres présentations, surtout si vous n’êtes pas seul sur la page.

L’astuce

L’astuce consiste à RAJOUTER un qualificatif à votre blog (ou à votre site web) afin que cela crée une image positive, insolite ou intrigante dans la tête de celui qui lit votre prose, et ce dès le début de la lecture.

Voici donc les mêmes démarrages que ci-dessus en employant l’astuce de la qualification :

Bien évidemment les qualificatifs ci-dessus sont interchangeables parmi les phrases , et vous vous doutez bien aussi qu’il en existe des centaines d’autres.

Le but est surtout d’attirer l’attention.

Et si vous arrivez à faire sourire le lecteur avec vos premiers mots, alors vous avez 9 chances sur 10 pour qu’il clique sur votre lien.

Attention : Le but est de faire sourire. Pas de passer pour un gros lourdingue vulgaire, je préfère le préciser.

Vous pouvez donc vous lâcher dans vos qualificatifs. En restant raisonnable et cohérent avec le sujet et l’ambiance de votre blog.

Il ne s’agit pas de mentir à vos futurs lecteurs sur ce qu’est réellement votre blog ou votre site web, car s’ils découvrent après coup que vous avez un peu fabulé, ils s’en iront aussi vite qu’ils sont arrivés.

Voici donc encore quelques exemples.

Le blog...

Vous l’aurez compris, en indiquant un qualificatif insolite, drôle, ou même simplement précis, vous sortez le lecteur de sa torpeur car vous le forcez à créer une image ou une interrogation dans sa tête (est-ce que c’est pour moi ?).

Et le format relativement court de votre présentation fait qu’en cas d’indécision, le lecteur va cliquer sur le lien “juste pour voir” si votre blog s’adresse bien à lui. Sans même forcément lire la suite.

Bref, cette petite astuce, si elle est bien employée, provoque généralement un taux de clic assez exceptionnel sur le lien de votre présentation, surtout qu’elle est relativement peu utilisée – en tout cas pour le moment.

A vous de jouer !

Vous savez donc ce qu’il vous reste à faire : Trouver LE qualificatif qui décrit le mieux votre blog et surtout son ambiance.

N’employez surtout pas de superlatifs du genre "génial”, “merveilleux”, “redoutable”, “prodigieux”, “le meilleur”, “fabuleux”, etc...

C’est du cliché, et ça fait bien trop commercial pour attirer les gens.

Pour Copywriting Pratique par exemple, j’emploie fréquemment le terme “Tout sympa” ou “à l’ambiance sympa”, par rapport aux discussions qu’on a avec les commentaires, et parce que j’essaye de faire des articles qui ne sont pas trop formels ou trop sérieux. Mais je peaufine et je teste.

Et pour votre blog ? Qu’en est-il ? Quel pourrait être le qualificatif idéal ?

Trouvez-le, et incorporez-le à votre première phrase de présentation. Vous verrez alors votre taux de clic augmenter, pour autant que la suite soit adaptée.

Mais à propos de cette suite, on verra ça plus tard dans 2 autres articles.

Dans le premier, je vous donnerai un plan en 4 points pour construire une présentation performante, et dans le deuxième, je vous expliquerai comment adapter votre présentation en fonction de l’endroit où elle se trouve.

D’ici là, si vous avez besoin d’aide pour qualifier votre blog, les commentaires sont là pour ça ;)


2 DECEMBRE 2011

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