Copywriting Pratique

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Allumez-vous le feu de la bonne ou de la mauvaise manière avec votre blog ?

L’hiver approche à grands pas.

Et quand on vit à 750 mètres d’altitude, et qu’on est entre novembre et avril, autant le dire tout de suite : On se les caille !

Voilà pourquoi j’ai décidé de rallumer la cheminée. Parce qu’il n’y a pas à dire, mais quand on se les caille, la vue des flammes crépitantes et la chaleur dégagée par ma cheminée, ça fait du bien par où ça passe.

Et justement, en rallumant la cheminée, je n’ai pu m’empêcher de faire une comparaison avec ce que je peux voir sur beaucoup de blogs en termes de stratégie.

Vous allez comprendre pourquoi dans un instant.

illuminated bulb

La bonne et la mauvaise manière d’allumer un feu

Quand on prépare un feu de cheminée, on doit le faire d’une manière bien précise, en respectant un ordre strict par rapport à ce qu’on va donner “à manger” au feu.

Voilà pourquoi on commence par mettre du journal. Ensuite des brindilles. Puis des morceaux de bois de plus en plus gros, pour arriver tout à la fin à la grosse bûche qui mettra une à deux heures à brûler.

Quand on allume un tas construit comme ça, c’est le succès garanti à tous les coups. Et c’est logique.

D’ailleurs, si vous avez du mal à y croire, vous pouvez toujours essayer de faire l’inverse.

Commencez par mettre la grosse bûche, puis ensuite les morceaux un peu moins gros, puis les brindilles, et finissez par recouvrir le tout de journal. Et allumez.

Forcément, le feu aura bien plus de mal à prendre dans ce cas-là.

A dire vrai, si j’avais dit que j’allumais mon feu comme ça, beaucoup se seraient demandés si je n’étais pas tombé sur la tête.

Et pourtant, c’est ce qui se passe sur beaucoup de blogs ou de pages de ventes que je rencontre : on essaye de faire du feu en commençant par le mauvais côté.

Le cas typique du blog

Par exemple, combien de fois voit-on un blogueur proposer quelque chose à vendre sur son blog alors que ce dernier n’a même pas encore un mois d’existence et que le nombre de visites dépasse douloureusement les 50 par jour ?

Vendre quelque chose sur un blog dans ces cas-là, c’est mettre une grosse bûche d’entrée dans la cheminée, tenter de l’allumer, et croire que ça va prendre.

Alors que la bonne manière de faire, c’est plutôt comme ça :

Quand on en est à ce niveau, le feu est parti et brûle bien.

Et si on rajoute une bûche maintenant (un produit à vendre, soit de son cru soit en affiliation), alors on aura beaucoup plus de chance que cela brûle facilement.

Et vous, vous faites comment ?

Si vous avez un blog, de quelle manière procédez-vous pour “faire prendre le feu” ?

De la bonne ou de la mauvaise manière ?

Je vois trop de blogs qui ont des articles qui proposent en permanence des choses à vendre ou qui proposent tout de suite, alors que ça ne fait qu’une seule minute qu’on est là, de vous inscrire dans une liste.

Alors qu’il faudrait laisser un peu de temps au visiteur pour que le feu puisse prendre.

Lui laisser le temps de découvrir tout ce que vous avez à lui donner avant de l’obliger à s’inscrire ou pire avant de lui proposer quelque chose à acheter.

A vouloir aller trop vite, on n’obtient rien du tout. Le visiteur arrive, il se sent agressé, il repart aussi sec.

Pensez-y...

Si votre blog ne décolle pas, supprimez les articles qui vendent quelque chose, arrêtez de forcer les gens à s’inscrire avec une foutue pop-up, et écrivez plutôt des articles qui racontent des histoires ou qui donnent de bons conseils.

C’est le meilleur moyen de faire prendre le feu :)


30 NOVEMBRE 2011

Calculez le "Sympathomètre" d'une page de vente ou d'un article

Savez-vous quel est le "degré de sympathie" de votre site web, vos articles de blog, vos emails ou de vos pages de vente ?

Saviez-vous que la sympathie d’un texte, quel qu'il soit, est mesurable ?

Voici comment…

Si vous avez quelques notions de copywriting, ce qui doit forcément être le cas si vous lisez ces lignes, alors vous avez certainement appris que le mot le plus important qu’on emploie sur une lettre de vente c’est le mot "vous" et tout ce qui s’y rapporte (votre, vos, tu, tes, ton, etc…). C'est ce qu'on appelle les MOTS D'OR.

Il s’ensuit que le mot le moins important est donc son contraire, à savoir le bon vieux "Nous" et ses dérivés (nôtre, nos, moi, mien, etc.). C'est ce qu'on appelle les MOTS INTERDITS.

J'ai donc créé un outil en ligne qui calcule le rapport entre le nombre de mots d'or qu'il y a dans un texte, par rapport au nombre de mots interdits.

Le résultat obtenu est un ratio baptisé "Sympathomètre".

Et donc forcément, plus le sympathomètre de votre texte est haut, et meilleur c’est pour vous.

Comment ça fonctionne ?

Prenez un texte, n'importe lequel. Une page de vente, un article, un mail, une page complète d'un site ou d'un blog, même, si vous voulez.

Copiez et collez ce texte dans le Sympathomètre, et vous obtiendrez le nombre de mots de votre texte, le nombre de mots d'or, et le nombre de mots interdits. Il ne vous restera plus qu'à améliorer ou non votre texte.

Pour accéder à cet outil de calcul, il vous suffit de laisser votre prénom et votre adresse email dans le formulaire ci-dessous. Vous recevez l'accès à cet outil et aux autres en quelques secondes.

Voyons si vous passerez le cap du premier paragraphe de cet article...

Aujourd’hui, je vais prendre un risque considérable :

J’ai décider décrire mon premiers paragraphes a la manières d’un élève de CM1. S’est a dire avec des faute d’orthographes énorme, pour vous prouvez combien sa fais mal aux yeux de lire un texte pareille. Mais s’est pas vraiment l’habitude chez mois. Alors s’est difficile a faire.

Allez j’arrête.

J’ai mis près de 5 minutes à écrire ce texte, et ce fut un véritable calvaire.

displeased woman keeping a diet Vous n’aimez pas ça non plus ? Normal !

Parlons de vous, maintenant.

L’orthographe, un révélateur...

Notez la difficulté incroyable de lire et de comprendre ce premier paragraphe.

Vous devez vous y reprendre à deux fois, transformer le mot mal écrit pour le visualiser bien écrit et l’interpréter comme il faut. Puis passer au suivant.

Au final, lire un texte avec des fautes d’orthographe va vous prendre entre 3 et 5 fois plus de temps qu’un texte sans faute.

C’est comme ça.

J’ai volontairement grossi le trait, mais j’ai gardé néanmoins des fautes courantes que je peux lire très souvent sur beaucoup de blogs (et aucune de celles qui sont dans ce premier paragraphe ne sont signalées par mon correcteur orthographique).

Tout ça pour vous dire que lorsque vous écrivez un livre, des articles de blog, ou une page de vente, il est indispensable de vous relire ou de vous faire relire, pour corriger toutes les fautes de frappe, d’accord et d’orthographe.

C’est indispensable à plus d’un titre. 

Certains (beaucoup) s’en foutent.

Ils disent que l’important, c’est qu’il n’y en ait pas trop, et que quelques fautes par ci par là ne sont pas graves.

Je ne partage pas cet avis.

Je trouve au contraire que garder des fautes d’orthographe sur son blog est un manque de respect évident de ses lecteurs et fait passer le blogueur en question pour quelqu’un de pas vraiment sérieux.

Quand vous lisez un livre, vous n’y trouvez pas de fautes. C’est pour une bonne raison : un livre avec des fautes véhicule une image pitoyable de l’auteur et de l’éditeur.

Pour un blogueur, c’est pareil. C’est même pire.

Car sur un blog, où l’objectif est de cultiver une image d’expert, celui qui conserve des fautes d’orthographe dans ses articles en faisant fi des remarques de ses lecteurs, ne dure pas bien longtemps. 

En effet :

A l’ère du contenu roi sur le web, il est plus que facile de se faire une opinion d’une personne qui écrit en observant simplement son orthographe.

 
Oui, c’est une sélection un peu hâtive, certes, mais quand vous vous retrouvez face à des centaines – de milliers - de blogs qui produisent du contenu, alors il y a de fortes chances pour que vous fassiez par vous-même une sélection naturelle drastique.

Et cela même si vous n’êtes pas forcément à cheval sur l’orthographe.

Voilà pourquoi il est urgent de soigner votre orthographe si vous écrivez sur le web.

Je vous propose 5 méthodes pour ça :

Comment améliorer son orthographe

1. La lecture

Oui ! La lecture est réellement le seul vrai moyen de s’améliorer en orthographe.

Entendons-nous bien : je parle de VRAIE lecture. Pas de lecture–scannage à la scanneur du web.

Non !

Je parle de la vraie lecture. Une lecture ACTIVE. Celle où on lit tous les mots et où l’on regarde dans le dictionnaire les mots qu’on ne comprend pas.

Le minimum syndical, c’est au moins de lire “activement” 30 minutes par jour.

Choisissez un vrai livre papier qui vous intéresse.

Pourquoi un livre papier ? Pour au moins 3 raisons :

Et ne pas être distrait par tout ce qui se passe à côté, sur votre ordinateur. Plus de mails, plus de trucs qui clignotent. Bref, plus de distractions.

Hé oui ! Un livre en papier, par défaut, est passé entre les mains de dizaines de correcteurs et d’un éditeur. Donc il n’y a normalement plus aucune faute d’orthographe dedans.

Alors qu’un livre électronique ou un article de blog n’est pas passé dans d’autres mains que celui qui l’a écrit et ce, plus de 9 fois sur 10.

Donc si vous voulez vous améliorer en orthographe, la moindre des choses serait de lire au moins des livres qui n’ont pas de fautes.

Un livre papier est parfait pour ça.

En lisant un vrai livre, vous pouvez changer d’endroit pour lire. Vous mettre dehors, ou dans une autre pièce, dans votre lit...

Bref dans un endroit différent de celui où vous travaillez.

L’expérience montre qu’on retient mieux les choses quand on est dans de bonnes dispositions et quand on est dans un endroit qui nous détend.

Le livre permet tout ça.

Choisissez un livre qui vous plait. Roman, livre technique, peu importe.

Si vous passez réellement 30 minutes à lire activement un vrai livre chaque jour, vous allez améliorer votre orthographe de manière naturelle et sans forcer.

2. La formation

La seconde, c’est de se former à l’orthographe.

Voici d’ailleurs un livre gratuit (146 pages) édité par le site livre-gratuits.com, qui vous aide à vous améliorer. Téléchargez-le et consultez-le aussi souvent que nécessaire.

Voici également un site web de mon cru qui conjugue plus de 7000 verbes à tous les temps : http://www.verbes.org.

Le principe : vous écrivez un verbe à l’infinitif dans la case du haut, et vous avez sa conjugaison à tous les temps. Si vous avez un doute...

Ca prend du temps au début, mais petit à petit, vous progressez.

3. Un logiciel correcteur

Si vous avez des soucis d’orthographe, écrivez vos textes dans un logiciel de traitement de texte comme OpenOffice ou Microsoft Word, qui sont dotés de puissants dictionnaires et d’un correcteur orthographique et de conjugaison de qualité.

Vous pouvez aussi utiliser un correcteur à part entière comme Antidote, actuellement reconnu comme étant le meilleur des correcteurs orthographiques existant. Prix relativement modeste par rapport aux services rendus.

L’avantage de ce logiciel, c’est que les fautes d’accord sont corrigées ou signalées avec une très bonne réussite (bien meilleure que celle de l’outil de conjugaison de Word).

Ne resteront que les fautes d’inattention qui devraient partir à la première relecture. 

4. L’entraide

On peut relire ses textes 2 ou 3 fois et oublier des fautes. Ca arrive bien sûr. Personne n’est parfait du premier coup – ou alors c’est rare.

Qu’à cela ne tienne. Il existe un moyen facile de remédier à ce genre de problème : faites-vous aider par vos lecteurs !

Vous pouvez rajouter un petit formulaire à la fin de votre article (quitte à l’enlever au bout de quelques heures) qui permettra à vos premiers lecteurs de signaler les fautes que vous auriez oubliées.

Charge à vous de les corriger au plus vite, bien sûr.

Je viens de le faire sur ce blog (voyez tout en bas de l’article juste avant les commentaires).

En effet, même si moi je relis mes textes 2 fois et que je les fais relire une troisième fois par une personne extérieure, il m’arrive d’oublier des fautes.

Mais quand on me les signale, je les corrige toujours.

Donc, si vous voyez une faute, quelle qu’elle soit, dans mes articles, merci de me le signaler à l’aide du formulaire prévu à cet effet.

5. Déléguer l’orthographe à quelqu’un d’autre

Malgré les 4 astuces ci-dessus, il se peut que ce ne soit pas encore la bonne solution pour vous.

En voici une ultime : déléguez !

Faites simplement relire vos textes par un correcteur ou par une personne bonne en orthographe qui saura vous transformer un texte médiocre en quelque chose de sérieux et de professionnel (pile poil ce que vous voulez être !).

Les tarifs de relectures sont bien moins élevés que vous ne le pensez.

Voici par exemple le service proposé par Alexandra Lemonnier, membre de Copywriting-Pratique, qui commence à 5 euros :

http://www.correction-orthographe-grammaire.com

C’est franchement peu. Surtout si vous n’écrivez qu’un ou deux articles par semaine.

Carrément impératif par contre, si vous faites une lettre de vente.

A vous de jouer !

Voilà, vous n’avez plus aucune excuse pour laisser des fautes d’orthographe sur votre blog.

Dites-vous bien qu’aujourd’hui encore plus qu’hier, vous évoluez au milieu de centaines d’autres blogueurs qui traitent plus ou moins du même thème que vous.

Il s’effectue, de manière parfaitement logique, une sélection naturelle parmi tout ce beau monde, et l’orthographe a une place de choix pour ça.

Et vous DEVEZ y faire attention !

Pour plein de raisons.

Déjà parce qu’un texte correctement orthographié se lit bien plus facilement. Donc si vous écrivez sans faute, vous serez plus lu.

Ensuite parce que si vous demandez des échanges de liens à d’autres blogueurs, beaucoup ne voudront pas ternir leur image en associant leur blog avec un blog qui contient trop de fautes. Donc vous perdrez des occasions de partenariats.

Mais surtout parce qu’il vaut mieux qu’on se souvienne de vous et de votre blog comme de quelque chose qui tient la route, plutôt qu’on vous définisse comme un blogueur médiocre qui fait des fautes d’orthographe à longueur de texte et qui s’en fout.

Pensez-y :

On se moque totalement de l’orthographe d’un dentiste, d’un coiffeur ou d’un garagiste. On leur demande surtout de savoir guérir, coiffer ou réparer sa voiture.

Mais à celui qui écrit pour les autres, par contre, la seule chose obligatoire qu’on lui demande, c’est d’avoir un texte final irréprochable.

Peu importe si c’est son œuvre ou celle d’un correcteur.

Dois-je vraiment vous dire pourquoi ?

On ne va plus voir un dentiste qui ne se lave pas les mains et qui ne met pas de gants avant d’aller fouiller dans votre bouche.

On ne va plus voir un coiffeur qui vous taille les cheveux avec un coupe-coupe ou un ciseau mal affuté.

Et on ne va plus voir un garagiste qui vous laisse des sièges noirs de cambouis après vous avoir réparé une roue.

Dans le même ordre d’idées, on ne vient plus voir un blogueur qui écrit avec une orthographe douteuse.

Parce qu’on n’arrive plus à avoir confiance en ce qu’il dit.

C’est comme ça ! Quand on écrit pour les autres, il faut un minimum. Et ce minimum, c’est l’orthographe.

Sinon, on n’écrit pas. Tout simplement.


29 NOVEMBRE 2011

8 étapes pour propulser votre nouvel article aux 4 coins du web en quelques minutes

Vendredi dernier, nous avions attaqué dans cet article les 8 premières étapes de l’écriture d’un article performant.

Aujourd'hui, nous allons voir les 8 dernières étapes (+1) qui vont permettre à votre article d’être parfait, mais surtout exportable et visible un peu partout sur la toile seulement quelques minutes après que vous l’ayez publié.

Nous aborderons surtout quelques notions de base de référencement, sous la forme d’actions rapides et efficaces à réaliser juste avant sa publication.

propager

Les 8+1 dernières étapes :

Cette étape n’est nécessaire que si vous écrivez votre article via un logiciel annexe (bloc notes ou Word ou OpenOffice ou tout autre logiciel d’écriture de textes).

Il est enregistré en tant que brouillon.

Cette étape n’a rien de bien nouveau, mais elle est obligatoire. ;)

En effet, en fonction du logiciel que vous utilisez pour écrire votre article, par défaut toutes les lettres accentuées se transforment en un truc du style “à”.

Si c’est le cas, alors remettez-les normalement dans Wordpress afin qu’elle apparaissent comme tel dans le sujet du mail de notification ainsi qu’un peu partout.

Pour les mêmes raisons que ci-dessus, si votre titre contient des accents ou des apostrophes, Wordpress va supprimer tous les caractères accentués dans l’adresse, ce qui la rendra bizarre.

Vérifiez-là, et corrigez-là. Elle doit être lisible comme le titre de votre article.

J’en parle un peu plus longuement dans cet article.

J’en profite pour vous signaler quelque chose qui m’avait paru évident à réaliser au début de son blog, mais qui reste encore absent sur beaucoup de blogs : La nature de l’URL des articles.

Dans Wordpress, chaque article est répertorié par son numéro. Ce qui fait que vous pouvez avoir accès à cet article-ci par cette URL :

http://www.copywriting-pratique.com/?p=2226

Mais comme vous pouvez le constater sur ce blog, ce n’est pas ce qui s’affiche dans la barre d’adresse, et pour cause, ce n’est ni attirant ni utile pour votre référencement.

Il est donc impératif de définir l’option d’affichage de vos URL dans votre blog à la rubrique : “Réglages” + “Permaliens”, et de choisir cette option et cette manière d’afficher votre article dans la barre d’adresse :

permaliens

Ainsi, votre article sera accessible par une version texte de l’URL qui pourra non seulement favoriser votre référencement, mais qui pourra également favoriser le clic en tant que lien à part entière.

Cette étape est très importante, car c’est ce qui va permettre à votre article d’être positionné sur les mots que vous choisissez.

L’objectif est de reprendre les mots les plus représentatifs de votre article (4 mots maximum), en évitant bien évidemment les mots trop génériques ou trop fréquents (manger, écrire, parler, faire, article, blog, etc.).

Il vous faudra installer le plugin Simple Tags pour ça (à moins que vous ayez déjà autre chose de similaire d’installé).

Voyez pour cela la vidéo de samedi dernier.

Avec cette 13ème étape, on rentre dans la partie référencement de votre article pour les moteurs de recherche, et plus particulièrement pour Google, mais pas QUE ça.

Déjà, comme je vous le disais samedi dans la vidéo, vous pouvez installer un plugin de SEO qui vous permettra d’indiquer ce titre directement sous l’article.

Ensuite, ce titre ne doit pas dépasser 65 caractères. Sinon, il sera coupé dans les moteurs.

Notez bien malgré tout ce qui suit, c’est très important :

Un titre pour Google, ça reste un titre à optimiser aussi pour ceux qui vont être amenés à cliquer dessus.

Par conséquent, la tâche est ardue car non content de respecter un nombre de caractères maxi, votre titre doit également donner envie aux chercheurs d’aller lire votre page.

Vous devez donc particulièrement soigner cette opération.

En effet, même si vous avez des compétences hors normes en référencement et que vous arrivez à positionner votre article en première page à chaque coup, si votre titre (et votre description) ne donnent pas envie de cliquer et de venir voir votre page, alors toute cette belle compétence ne servira hélas à rien.

Passez donc le temps qu’il faut pour définir ce titre avec soin : C’est lui qui sera l’ambassadeur de votre article auprès du monde.

Ici aussi, la tâche est ardue et très importante (je viens d’expliquer pourquoi juste au-dessus).

La longueur communément admise était de 155 caractères, mais pour les articles de blog, il semblerait que Google inscrive la date de publication de l’article en tout premier (puisqu’il parait qu’ils privilégient dans une certaine mesure l’information la plus récente).

Ce qui fait passer la longueur maxi de cette description à 140 caractères.

Il vous suffit donc, avec le plugin dont je vous parle dans la vidéo de samedi, de laisser au minimum 15 caractères libres quand vous écrivez votre description.

Notez que cette description est un véritable “sous-titre” qui doit donner envie de cliquer sur votre lien dans Google.

Prenez donc la meilleure phrase de votre article et transformez-là en puce promesse qui donne envie de cliquer pour en savoir plus.

L’objectif est bien entendu de vérifier la bonne disposition des images et des légendes, ainsi que la mise en forme globale de l’article.

Ce qui peut paraître nickel dans la partie visuelle du tableau de bord de Wordpress peut être totalement différent en situation réelle.

De plus, cela vous permettra de relire une nouvelle fois votre article en entier afin de corriger les éventuelles fautes d’orthographe ou d’inattention que vous auriez pu laisser passer.

Si vous employez un plugin d’extraits de textes et de miniature d’images pour votre page d’accueil, comme celui dont je vous parlais dans cette vidéo, alors la mise en forme de votre texte de la page d’accueil peut déboucher sur de drôles de choses.

Phrases mal coupées, une balise “strong” ou “italique” qui met en gras – ou en italique -  l’intégralité de la page, une miniature d’image bizarre, etc...

Un petit coup d’œil rapide pour corriger le tout avant de prévenir la masse de vos abonnés est toujours une bonne idée.

Cette dernière étape est relativement peu pratiquée, et pourtant, c’est la combinaison gagnante à tous les coups pour votre référencement.

Elle permet en effet à Google de constater que votre article est déjà diffusé à plusieurs endroits dès sa mise en ligne, ce qui donne encore plus de poids à son indexation.

Ainsi, avec votre nouvel article, Google constate qu’il y a des nouvelles fraîches, et qu’en plus on en parle déjà à plusieurs endroits. Autant de raisons de favoriser une indexation rapide.

Vous pouvez donc mettre un lien vers votre article sur Twitter, Facebook ou tout autre réseau social que vous utilisez, mais également sur un site de Digg-like comme Scoopeo ou Fuzz.

Et bien entendu, pour finir, choisissez un blog chez qui vous commentez souvent (et qui a si possible CommentLuv installé), et allez mettre un bon commentaire qui tient la route, et si possible en rapport avec votre article du jour.

Succès garanti !

A vous de jouer !

Vous le voyez, une fois que votre article est écrit, la grosse partie qui vient derrière est largement aussi importante que l’article en lui-même.

Et la qualité de ce que vous écrivez n’est hélas pas suffisante à conférer à votre article tout le succès qu’il mérite si vous ne vous acquittez pas de toutes ces tâches annexes.

Constituez-vous une check-liste avec ces 17 étapes. Et à l’issue de l’écriture de votre article, cochez chaque case une par une pour être sûr de ne pas en oublier.

D'ailleurs, en voici une toute prête à télécharger et à imprimer :

Check-List des 17 étapes

Si vous vous astreignez à faire ça à chaque fois, alors vos articles et votre blog deviendront peu à peu une référence positive pour Google, et comme par magie, votre indexation sera très rapide, et vous monterez dans les résultats des moteurs à une vitesse grand V.

OK, tout ceci vous prendra certainement deux fois plus de temps que l’écriture de votre article brut.

Mais vous écrivez surtout pour être lu, non ?

Faites ces 16 opérations à chaque fois, et vous n’aurez pas besoin de passer plus de temps qu’il n’est nécessaire pour faire connaître votre blog aux quatre coins de la planète web.


28 NOVEMBRE 2011

Les 8 premières étapes indispensables de rédaction d'un article de blog performant

Quand on tient un blog, notre “matière première”, ce sont les articles que l’on écrit.

Un article, c’est du texte. Une suite de mots qui informe vos lecteurs sur un sujet relatif au thème de votre blog.

Pas besoin d’être copywriter pour faire ça. Il suffit de savoir écrire, et d’avoir des idées.

Certains diront que c’est déjà pas mal. C’est vrai.

Pour autant, une fois que votre article est terminé, c’est là que le véritable travail commence.

Parce que le texte “brut” d’un article, c’est juste la “matière première non transformée”. Au même titre que la farine est la matière première du pain croustillant que vous mangez au petit déjeuner.

Pour que le tout soit digeste – et bon, vous devez transformer cette matière première pour la rendre appétissante.

C’est exactement ce que vous faites (ou devez faire) quand vous écrivez un article.

articles

Une fois qu’il est écrit, vous allez devoir le passer par tout un tas de transformations pour le rendre parfait à tous les points de vue :

C’est parmi toutes ces transformations, que vous allez pouvoir appliquer quelques principes de copywriter, afin de rendre votre article plus performant que les autres grâce au copywriting.

J’ai pu dénombrer 16 étapes en tout. Voici les 8 premières :

Les 8 premières étapes de la rédaction d’un article

Bien entendu, vous effectuez déjà une bonne partie de ces étapes. L’objectif est de les faire TOUTES.

Il se peut que vous deviez installer des plugins pour ça, mais elles sont toutes indispensables.

Ainsi, une fois que votre article est rédigé, vous devez donc :

Je vous expliquerai en détail mardi prochain pourquoi c’est très important – et même capital – si vous voulez durer dans le blogging.

C’est ce qui permet de créer un chemin de lecture afin que votre article soit plus lisible. Notamment pour vos lecteurs qui aiment “scanner” un texte.

Il ne s’agit pas de mettre des portions entières de texte comme je peux le voir parfois sur certains blogs. Non, il s’agit de surligner quelques mots seulement.

J’explique la technique du chemin de lecture dans cet article.

Cela permet de structurer votre article afin de le rendre plus lisible.

Mais ça repose également votre lecteur, qui peut ainsi se raccrocher à une phrase plus grosse dans votre texte.

Sur le web, on n’aime pas les gros pavés de textes. Il est donc important quand on se relit, d’aérer un peu son texte en essayant de garder un maximum de 4 lignes par paragraphe.

N’hésitez donc pas à faire de fréquents renvois à la ligne. Ca donne une impression plus fluide et moins lourde à votre article, et aide à la lecture.

C’est évidemment l’une des étapes les plus importantes à réaliser.

Il est généralement mieux de créer son titre tout à la fin, et de le créer comme une accroche, afin de donner envie à vos futurs lecteurs de lire votre article.

Il faut savoir que ce titre pourra se retrouver à plein d’endroits : Dans un scoop de digg-like, en lien de Comment-Luv, sur un annuaire, dans Google, etc…

C’est donc le premier ambassadeur de votre article.

Il est donc indispensable d’éviter les titres clichés qui ne donnent pas envie de lire, ou encore les titres trop mystérieux qui n’informent pas assez vos lecteurs sur le contenu de l’article.

Bref, soignez bien votre titre. Tout le monde vous le dit, mais très peu font des titres d’articles qui donnent vraiment envie de lire.

Ca permet d’illustrer votre article, et c’est toujours mieux de renforcer votre texte avec une belle photo qui vient parachever le message que vous voulez faire passer.

Comme je vous le disais dans cet article, choisissez de préférence une photo qui représente une personne plutôt qu’un objet. Allez lire l’article en question pour comprendre pourquoi.

Complètement et totalement obligatoire dans une page de vente, la légende sous la photo dans un article de blog n’est obligatoire que si ce que représente cette photo n’est pas vraiment en rapport direct avec votre article.

En effet, parfois on peut être tenté d’employer des métaphores avec ses photos. Une petite phrase d’explication permet d’éviter que le lecteur interprète mal la photo.

Mais dans l’idéal, si la photo correspond à votre titre, alors c’est parfait !

Si vous n’y pensez pas, Wordpress indiquera la catégorie que vous avez définie par défaut.

Quand vous démarrez, les catégories ne sont pas importantes. Mais quand vous vous retrouvez avec une centaine d’articles, c’est là qu’elles prennent tout leur sens.

N’hésitez pas à en créer des nouvelles pour hiérarchiser encore plus votre contenu et rendre les recherches plus faciles et plus profitables.

Voilà.

A ce niveau, votre article est prêt à être publié (dans l’absolu).

Mais si vous voulez faire les choses comme il faut, alors il reste malgré tout 8 étapes importantes à accomplir avant de le montrer au monde.

Il s’agit, pour la plupart, d’étapes qui vont favoriser le référencement de votre article et donc sa faculté d’apparaître fréquemment lors de recherches sur les moteurs.

Si vous voulez “recruter” un maximum de lecteurs, alors ces dernières étapes sont indispensables.

Elles vont nécessiter l’ajout de 2 plugins, dont je vous expliquerai le fonctionnement demain dans la procédure vidéo du samedi.

Et lundi nous verrons ensemble les 8 dernières étapes qui feront de votre article un article parfait.


25 NOVEMBRE 2011

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Quand Google se met à donner des conseils en copywriting

Je ne finirai jamais d’être étonné par ce qu’on peut trouver en fouinant un peu sur Internet.

Hier soir, je parcourais nonchalamment un forum, quand après quelques clics successifs, je me suis retrouvé en train de lire un livre surprenant sur l’optimisation de son site pour les moteurs de recherche.

Et ce qui ne gâche rien, c’est que cet ebook de 32 pages est offert généreusement par... Google himself.

En fait, si vous vous posiez des questions sur la meilleure manière de rendre votre site web ou votre blog attirant pour Google afin d’y faire venir des visiteurs naturellement, alors ce livre sera une véritable aubaine pour vous.

Il s’adresse essentiellement aux débutants et aux webmasters novices, mais même si vous êtes un peu plus expérimenté, vous y apprendrez encore pas mal de choses.

Voici le livre en question :

LivreGoogle 
Le Guide de démarrage Google
Optimisation pour les moteurs de recherche
 

Voici comment Google définit le contenu de ce guide :

“Ce document était dans un premier temps destiné aux équipes au sein de Google même.

Après réflexion, nous avons toutefois estimé que cette ressource pouvait également être utile aux webmasters novices dans le domaine de l'optimisation pour les moteurs de recherche et souhaitant améliorer l'interaction de leurs sites à la fois avec les utilisateurs et les moteurs de recherche.

Ce guide ne vous dévoilera aucun secret qui vous permettra de classer automatiquement votre site parmi les premiers résultats de recherche dans Google (désolé de vous décevoir...).

Toutefois, en respectant les consignes décrites dans ce livre, vous facilitez l'exploration et l'indexation de votre contenu par les moteurs de recherche.”

Intéressant, n’est-ce pas ?

Je viens de “dévorer” le contenu de ce guide, et je dois bien me rendre à l’évidence : Il s’y trouve une bonne trentaine de conseils de copywriting à l’intérieur.

Du copywriting SEO, mais du copywriting quand même.

Ce que vous allez y trouver

Ce livre moderne et très complet vous explique toutes les bases de l’optimisation d’un site web pour les moteurs de recherche, ainsi que pour l’internet mobile.

Voici d’ailleurs la table des matières :

Les bases de l’optimisation

Améliorer la structure d’un site

Optimiser le contenu

Travailler avec les robots

Optimiser pour les mobiles

Promouvoir un site et analyser les données

Vous y trouverez également un glossaire très complet avec une trentaine de mots et d’expressions liées à l’optimisation pour les moteurs, expliqués en détail (Sitemap XML, redirection 301, crawling, snippet, etc...).

Ainsi qu’une multitude de liens vers des tutoriels, des outils ou des pages explicatives, qui vous serviront à mieux appréhender le référencement naturel.

A vous de jouer !

Vous l’aurez compris, ce livre est un vrai petit bijou que je vous engage à télécharger et à étudier au plus vite en cliquant ici.

Vous en ressortirez bien mieux armé pour positionner votre site plus efficacement dans les moteurs de recherche.

Même si vous ne devriez pas faire QUE ça, il est bon néanmoins de poser des bases solides pour éviter justement d’y passer trop de temps.

Et ce guide et parfait pour ça !


24 NOVEMBRE 2011

19 logiciels gratuits indispensables quand on travaille sur Internet

Quand on travaille sur Internet, on a besoin d’un certain nombre d’outils qu’on utilise plus ou moins au quotidien.

J’ai eu l’idée, avec cet article, de vous mettre une liste exhaustive de logiciels 100% gratuits, dont vous aurez obligatoirement besoin un jour ou l’autre.

C’est également l’occasion de tout regrouper au même endroit, afin que vous puissiez venir vous servir quand vous le voulez.

Bien évidemment, cette page sera amenée à évoluer avec le temps, puisque j’imagine qu’il y aura pas mal de logiciels à rajouter, et de temps en temps certains logiciels à mettre à jour.

Notez que les logiciels présents ici sont :

Voici maintenant la liste des logiciels ainsi que leur lien de téléchargement :

Création de documents ou d’animations

OpenOffice

La suite bureautique gratuite qui fait la même chose que celle de Microsoft. Cette suite possède tous les programmes dont vous avez besoin pour créer des documents, des tableaux et même des présentations interactives.

Site de l’éditeur : OpenOffice.org

Téléchargez OpenOffice ici

Dictionary .NET

Comme son nom l’indique, il s’agit d’un dictionnaire multilingue (très petit mais très fourni) qui permet de traduire n’importe quel mot dans plus de 40 langues, et qui permet aussi de vérifier l’orthographe d’un mot.

Site de l’éditeur : Fish

Téléchargez Dictionary .NET ici

Acrobat Reader

On ne présente plus le lecteur de plus célèbre de fichiers PDF.

Site de l’éditeur : Adobe

Téléchargez Acrobat Reader ici

Mapple PDF

Un petit logiciel qui permet de transformer n’importe quel document en PDF.

Site de l’éditeur : MapplePDF

Téléchargez MapplePDF ici

PDF Creator

Une sorte d’imprimante virtuelle qui s’installe sur votre PC, et qui vous permet d’imprimer n’importe quel document dans le format PDF. Il est utilisable à partir d’OpenOffice notamment.

Site de l’éditeur : SourceForge

Téléchargez PDF Creator ici

Notepad++

Une sorte de bloc notes très évolué qui permet d’ouvrir et d’éditer n’importe quel fichier (php, html, xml, txt, etc...).

Site de l’éditeur : Notepad++

Téléchargez Notepad++ ici

7Zip

Un logiciel d’archivage et de compression, qui permet de traiter les archives Zip, Rar, et toutes les autres (création, extraction, manipulation des fichiers zip).

Il permet également de créer des fichiers uniques téléchargeables qui peuvent comporter plusieurs documents, vidéos ou logiciels. Idéal pour la livraison de vos produits d’information.

Site de l’éditeur : 7Zip

Téléchargez 7Zip ici

Graphisme

Photofiltre

Un logiciel de retouche et de traitement de la photo à la manière de PhotoShop, mais gratuit.

Outil permettant de réaliser entre autre toute la partie graphisme de votre site ou de votre blog.

Site de l’éditeur : PhotoFiltre.Free

Téléchargez Photofiltre ici

The Gimp

La même chose que le logiciel précédent, mais avec une communauté 10 fois plus importante, donc beaucoup plus facile à comprendre et à trouver de l’aide.

Site de l’éditeur : The Gimp et en Français

Téléchargez The Gimp ici

Light Image Resizer

Un petit programme qui se rajoute au menu contextuel de votre souris (clic droit), et qui permet de redimensionner à la volée n’importe quelle image.

Excellent pour gagner une place folle sur votre blog et aussi pour limiter le temps de chargement de vos pages.

Site de l’éditeur : Obvious Idea

Téléchargez Light Image Resizer ici

Création sites ou blog

WordPress

WordPress est un système de gestion de contenu (CMS) qui permet de créer et gérer facilement l'ensemble d’un blog. Gratuit et libre, WordPress est personnalisable grâce à de nombreux thèmes et plugins.

Site de l’éditeur en français : fr.wordpress.org

Téléchargez la dernière version de WordPress ici

FileZilla

Ce logiciel permet de transférer des fichiers à partir de votre ordinateur vers votre site Internet ou votre blog, et vice versa.

Site de l’éditeur : FileZilla

Téléchargez FileZilla ici

Internet

Feed Reader

Un lecteur de flux RSS pratique et facile d’utilisation.

Site de l’éditeur : FeedReader

Téléchargez Feed Reader ici

Skype

Logiciel de communication instantanée via Internet qui permet d’échanger avec vos clients, vos partenaires, vos amis ou vos proches, soit par clavier, soit en audio ou vidéo (sans payer)

Site de l’éditeur : Skype

Téléchargez Skype ici

Gestion de la Vidéo

4K Video Downloader

Voici un logiciel génial qui permet de récupérer n’importe quelle vidéo présente sur des plateformes comme Youtube ou Dailymotion, afin de les enregistrer sur votre PC.

Site de l’éditeur : 4K VideoDownloader

Téléchargez 4k Downloader ici

Any Video Converter

Un petit logiciel qui vous permet de convertir n’importe quel format de vidéo vers n’importe quel autre format. Par exemple, si vous récupérez un fichier sur Youtube avec le logiciel TubeMaster, vous pourrez ensuite le transformer en AVI par exemple.

Site de l’éditeur : AnyVideoConverter

Téléchargez Any Video Converter ici

VLC

Le lecteur de vidéo le plus populaire. Facile à installer et à utiliser. Possède la fonction de vitesse variable, qui vous permet de visionner une vidéo de formation en 2 fois moins de temps sans perte de compréhension. Idéal pour gagner du temps.

Site de l’éditeur : VideoLAN

Téléchargez VLC ici

Gestion de l’audio

Audacity

Logiciel vous permettant de retoucher vos fichiers sons, et de mixer plusieurs fichiers sons entre eux.

Idéal si vous voulez réaliser les versions audio de vos ebooks. Vous pouvez même rajouter de la musique en entrée et en sortie, et rajouter des effets divers à votre fichier son (fondu, transition, augmentation du son, etc...)

Site de l’éditeur : AudacityTeam

Téléchargez Audacity ici

Créativité

FreeMind

Logiciel de cartographie mentale, il vous permettra de créer une sorte d'arbre d'idées pour rendre votre réflexion plus visuelle.

Site de l'éditeur : FreeMind

Téléchargez FreeMind ici

Une page évolutive

Je rajouterai fréquemment des outils et logiciels sur cette page au fur et à mesure de mes découvertes et de mes tests.

Si vous connaissez des logiciels 100% gratuits qui devraient figurer ici, n’hésitez pas à m’en parler en commentaires.

Ne mettez pas de lien. Mettez juste le nom du logiciel et si possible son éditeur, ainsi qu’une courte explication, et pourquoi pas un petit mot sur ce que vous trouvez de si génial à propos du logiciel concerné.


18 NOVEMBRE 2011

9 actions concrètes pour vendre à ceux qui n'ont pas encore acheté votre produit

Vous avez une page de vente, et elle fait un “bon” taux de transformation : 10%. Bravo !

Par contre, une question : Que font les autres ?

Vous savez, les 90% qui ne vous ont pas acheté votre produit. Ceux qui ont lu – ou pas – votre argumentaire, et qui sont reparti aussi sec.

Vous êtes-vous déjà demandé pourquoi ils n’achetaient pas ? Et surtout, vous êtes-vous déjà demandé ce que vous pourriez faire pour arriver à convaincre aussi ceux-là ?

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Dans cet article, je vous propose d’essayer 9 actions concrètes, mais auparavant, je voudrais préciser quelque chose d’important par rapport à tout ça :

La fausse bonne idée du sondage

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Comme je le disais en commentaire de mon article d’hier, la première chose à laquelle on pourrait penser, c’est le sondage.

Or, le sondage est par nature incomplet et dans une certaine mesure inutile dans ce cas précis.

Voici ce que j’en disais dans le commentaire en question :

Comme on ne connait pas TOUS les besoins de nos clients – puisque justement, 90% de nos clients n’achètent pas - un sondage demandera alors de choisir parmi les X besoins que l’on aura identifié nous-même. Avec nos idées et nos aprioris.

Et cette étude ne va donc contenter que 5 à 10% de nos clients. Ce qui veut dire qu’on n’aura pas su identifier les besoins des 90 autres %.

OK, on pourrait le leur demander, et transformer alors le sondage en “questionnaire” dans lequel on leur demanderait de quoi ils ont besoin ?

Le souci, c’est que la grosse majorité de nos clients ne savent pas de quoi ils ont besoin. Par défaut quand on leur demande, ils répondent « J’ai besoin de rien »

Donc même si vous le leur demandez, ils ne vous répondront pas forcément.

Mais le plus ennuyeux avec un sondage, c’est que seule une partie des gens répondent. Un tiers constitue en général un maximum, parmi lesquels une bonne partie d’acheteurs.

Ce qui fait que les 66% qui restent n’ont toujours pas donné d’information sur leurs véritables besoins.

Il va donc falloir creuser bien plus profond qu’on le ferait avec un simple sondage ou questionnaire.

9 actions concrètes à effectuer au plus vite

1. Demandez pourquoi ils n’achètent pas

Une fois que les gens quittent votre page, vous avez de grandes chances de les avoir perdus. Pourquoi ne pas en profiter pour leur demander ce qui cloche ?

Il suffit d’installer un petit script qui se déclenche quand on quitte la page soit en faisant “Précédent” soit quand on clique sur la croix de fermeture de la page, avec une simple question du style :

“Pourquoi n’achetez-vous pas ?”

Soyez prévenu : Peu vous répondront.

Mais ceux qui le feront vous donneront des infos précieuses sur certains aspects de votre page ou de votre produit.

Vous pouvez même leur proposer de leur offrir une partie de votre produit ou un cadeau en échange de leurs infos. Quitte à les diriger vers une autre page avec un questionnaire plus poussé.

2. Interrogez vos clients existants

Quels sont les personnes les plus susceptibles de parler de votre produit ? Vos clients bien sûr.

On parle souvent de demander des témoignages à vos clients, mais qui pense à leur demander pourquoi ils ont acheté votre produit plutôt qu’un autre ?

Pas grand monde en vérité. Et pourtant, beaucoup sont prêts à vous aider au-delà de toutes vos espérances.

J’ai un ou deux utilisateurs fervents de mes logiciels qui me font un retour de leur utilisation quasi hebdomadaire, et qui me donnent des idées absolument incroyables sur les développements futurs, mais aussi sur des manières d’utiliser l’outil auxquelles je n’aurais jamais pensé.

On ne peut pas penser à tout. Donc utilisez vos clients pour en apprendre plus sur votre produit, sur la manière dont ils l’utilisent, et sur les besoins qu’ils assouvissent avec.

Réutilisez ensuite ces différents arguments soit pour faire évoluer votre produit, soit pour améliorer votre argumentaire de vente afin de toucher plus de personnes.

3. Pensez aux versions Beta

En droite ligne de l’action précédente, n’hésitez pas à donner votre produit à plusieurs personnes passionnées par votre activité.

Comme Bill Gates l’a fait avec toutes ses versions de Windows.

Proposez-leur une utilisation complète totalement gratuite en échange de retours pertinents et fréquents sur son utilisation, et sur ce qui manque.

Cela fera des miracles dans la quête d’informations que vous auriez mis des années à obtenir à l’aide d’un simple sondage auprès de personnes vaguement intéressées par la chose.

4. Développez une communauté autour de votre produit

Ouvrez un blog ou un forum. Réservés aux seuls acheteurs et utilisateurs de votre produit.

Et engagez les utilisateurs à s’exprimer et à échanger.

Surveillez les conversations, et animez-en quelques unes. Mais pas toutes. L’important, c’est surtout que ce soit les utilisateurs qui animent tout ça. Si vous êtes trop présent, ils n’oseront pas s’exprimer par peur du “maître des lieux”.

Informez les gens des mises à jour, des évolutions possibles. Posez des questions, provoquez des évènements, faites des concours...

La somme d’infos que vous récupèrerez avec ce système sera énorme.

5. Utilisez régulièrement votre produit

Le meilleur moyen de parler d’un produit, c’est de l’utiliser. Beaucoup. Et fréquemment.

Et qui mieux que le concepteur d’un produit peut en parler aux autres ?

Le problème, c’est qu’à un certain moment, vous saturez. Vous avez trop “la tête dans le guidon” comme on dit. Et vous ne voyez plus d’autres solutions d’utilisation.

Voici le conseil : Faites comme lorsque vous faisiez un puzzle étant petit : Débranchez la “boîte à cerveau” pendant quelques semaines, et revenez sur votre produit plus tard, avec des idées neuves et du recul.

Utilisez-le en été, en hiver, au printemps. Pendant les vacances, quand vous êtes au bureau, ou en déplacement.

Le changement d’environnement extérieur vous donnera plein d’idées nouvelles et vous fera découvrir des aspects de votre produit que vous ne soupçonniez même pas.

6. Faites des réunions d’utilisation

Trouvez 4 ou 5 personnes intéressées par le thème de votre produit, er organisez une réunion d’utilisation.

Vous préviendrez les participants du but de la manœuvre, et pourrez ainsi filmer ou enregistrer la réunion, pour décortiquer ensuite les questions et les réactions des différents protagonistes.

Quand je travaillais dans le jouet, au moment des collections de fin d’année (quand on devait choisir quels jouets allaient figurer dans les rayons des hypers pendant la période de Noël), on organisait des réunions de ce style avec les nouveaux jeux de société qui arrivaient.

On jouait pendant quelques heures à 5 ou 6 , ce qui nous permettait d’apprendre à en parler et à en trouver l’intérêt.

Je n’ai jamais vu d’action plus efficace que celle-là si tous les protagonistes sont effectivement intéressés au produit.

7. Aidez-vous de Google

Une certaine partie de vos visiteurs devraient arriver de Google sur votre page de vente.

Il est donc facile de voir quels mots-clefs ont été tapés dans le moteur pour déboucher chez vous.

Il vous suffira donc de recenser et d’étudier attentivement ces différents mots clefs pour découvrir parfois des besoins et des attentes cachées auxquels vous n’auriez jamais pensé.

Ca fonctionne aussi si vous avez un blog ou un site web qui parle de votre thématique, sans forcément vendre.

Et le plus sympa, c’est que certains blogs affichent ces recherches au vu et au su de tout le monde.

Donc si vous tombez sur un blog qui traite de la même thématique que vous et qui affiche ses requêtes, servez-vous en pour identifier de nouveaux besoins.

8. Soyez plus spécifiques dans votre profilage

Vous êtes normalement parti sur un certain style de profil pour vos futurs clients, suite à une étude de marché.

La coutume veut qu’on se concentre sur le groupe le plus important et qu’on développe son argumentaire et son produit pour un certain type de gens.

En théorie, c’est super, mais dans la pratique, le profil choisi ne vend qu’à 5 ou 10%.

Vous allez donc devoir être un peu plus spécifique dans votre profilage.

Par exemple, si vous vendez un livre pour dresser un chien, prévoyez un argumentaire ou une version du produit orienté plus spécifiquement sur certaines races de chiens (labrador, teckel, caniche, etc...)

Si vous vendez des prestations de sites Internet, pourquoi ne pas vous adresser aux infirmières, aux coiffeurs ou aux agences immobilières ?

Votre argumentaire sera plus spécifique et vous pourrez ainsi toucher plus efficacement votre auditoire.

9. Passez en revue un maximum de types de besoins

Vous pouvez en effet faire un petit brainstorming, tout seul ou avec une personne, qui recenserait tous les types de besoins liés à votre produit, d’un point de vue psychologique.

Vous avez à votre disposition certaines listes qui peuvent vous y aider :

Si vous raccrochez l’utilisation de votre produit à chacun de ces besoins et que vous cristallisez tout ça en une phrase, cela vous donnera des perspectives illimitées pour pouvoir à terme tout traiter et ainsi toucher un maximum de personnes.

A vous de jouer !

Comme vous l’avez sûrement remarqué, j’ai survolé ces 9 actions concrètes. L’objectif ici était de les recenser. Il y a en a sûrement d’autres.

Je ferai des articles complets (ou un livre) sur chacune de ces actions pour aller plus loin.

Vous aurez également compris que ces 9 actions devraient TOUTES être effectuées, sans aucune exception.

C’est un travail de longue haleine. Je sais.

Pour autant, je vois souvent des gens qui vendent un produit, qui ont un résultat, et qui s’en contentent.

Et plutôt que de tenter d’améliorer ce résultat, ils préfèrent créer un autre produit à traiter tout aussi superficiellement que le premier, et ainsi de suite.

Au final, ce sont des sommes colossales qui sont laissées sur la table.

Vous pouvez même recruter une personne pour améliorer ces résultats. Utilisez la liste ci-dessus, et faites vous un planning sur l’année.

Ca prendra du temps, ça vous prendra de l’énergie – peut-être quelques euros si vous recrutez - mais au final, votre produit sera parfaitement bien vendu.

Et non seulement vous aurez de quoi en vivre pendant des années, mais en plus, ca vous donnera d’excellentes idées pour créer d’autres produits en rapport avec le produit de base, et ainsi pouvoir vendre encore et toujours plus aux clients que vous avez déjà.

Bref c’est que du bénéfice pour vous.

Pensez-y !

Parfois on virevolte parmi 5 ou 6 produits (parfois plus) alors qu’on pourrait faire largement autant de CA – et même bien plus - avec un seul produit bien traité.

Alors, vous commencez quand ?


17 NOVEMBRE 2011

Guide à télécharger : Créez une formation complète avec ChatGPT

Ce qu'il y a de bien avec ChatGPT, c'est que lorsqu'on l'utilise régulièrement et qu'on prend l'habitude de le voir comme un super assistant, on découvre chaque jour de nouvelles utilisations.

Vous pouvez en effet lui poser la question de savoir ce qui empêche vos clients d'atteindre leurs objectifs concrets. Il vous donnera une jolie liste d'obstacles et de problèmes que vous pourrez utiliser pour :

... et une tonne d'autres applications pour lesquelles trouver un problème à résoudre ou un obstacle à lever sera d'une grande aide.

Après tout, quoi que vous proposiez, que ce soit un produit ou une prestation, quand vous connaissez vraiment les principaux problèmes de vos client.e.s, vous savez quoi leur proposer pour les résoudre.

Et cette manière de procéder peut vous permettre de créer un produit complet, en suivant une procédure tout ce qu'il y a de plus simple et logique.

J'explique tout avec un exemple concret dans un guide (PDF), que je réserve aux membres de Copywriting Pratique :

Créer une formation complète avec l'aide de ChatGPT

Pour télécharger ce guide (et les autres disponibles), remplissez simplement le formulaire ci-dessous, et recevez votre accès à tous les outils disponibles :

Voyons si vous auriez trouvé la solution à cet épineux problème

Comme je vous le dis souvent, le copywriting est une science qui permet de vendre un peu n’importe quoi à n’importe qui, pour autant que l’on sache repérer avec soin les besoins de ses clients.

Vous connaissez la fameuse expression “Lui, il vendrait un frigo à des esquimaux !” ?

Elle désigne un très très bon vendeur, car en toute logique, aucun esquimau ne voudrait acheter un frigo. Donc le commercial ou le copywriter qui arrive à vendre un frigo à un esquimau est sans le moindre doute très bon.

froid

Et bien vous savez qu’il existe une personne qui a réellement vendu des frigos à des esquimaux ?

Incroyable ?

Et pourtant, ça ne lui a pas pris longtemps pour les convaincre.

Défi...

Alors... Comment a-t-il fait ?

Réfléchissez une minute.

Si vous, vous aviez à vendre un frigo à un esquimau, comment vous y prendriez-vous ?

Allez. Reculez-vous un peu sur votre fauteuil, arrêtez de lire, et réfléchissez-y sérieusement pendant 2 minutes. Et voyons si vous auriez trouvé la solution.

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Vous réfléchissez vraiment ou vous scannez ?

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Alors ? Comment on vend un frigo à un esquimau ? Vous avez trouvé ?

La solution

En lui disant simplement que… cet appareil protègera leurs aliments du froid.

Hé oui ! Les esquimaux vivent dans un coin du globe qui affiche régulièrement des températures avoisinant les -30°.

Dois-je vous rappeler à combien descend votre congélateur ? -18°

Donc, sans frigo, impossible pour qui que ce soit dans ces pays froids de conserver un aliment et de le manger ou de le cuisiner normalement.

Alors comment s’y prendre ?

En expliquant simplement aux clients que le frigo représente la solution la plus facile pour eux, s’ils veulent conserver leurs aliments à une température égale et constante.

Qu’il fasse très chaud ou très froid dans un pays, le frigo a une température linéaire que l’on peut fixer soi-même.

Donc le frigo est un produit universel qu’on peut utiliser (et donc vendre) partout sur la planète.

Que vous enseigne cette histoire ?

Il y a de fortes chances pour que vous ne vendiez pas de frigos.

Quoi qu’il en soit, cette histoire vous montre que rien n’est perdu quand on vend un produit, et qu’on peut toujours chercher une manière de vendre PLUS à des clients, en essayant de cerner leurs besoins, même s’ils ne sont pas absolument évidents.

Vous ne vous sentez pas concerné ?

Vous avez l’impression que vous avez réussi à cerner TOUS les besoins de vos clients en rapport avec votre produit ?

Peut-être même que vous avez créé votre produit spécifiquement grâce au principal besoin de vos clients ?

Mais alors pourquoi est-ce que vos pages de vente ne vendent qu’à 5 ou10% ?

Et le besoin des 90 ou 95% des AUTRES visiteurs, qui eux n’ont pas acheté, vous en faites quoi ?

Oui ! Quand vous vendez votre produit à 1 visiteur sur 10, cela démontre que vous avez réussi à passer à côté du besoin des 9 autres.

Donc, plutôt que de vous réjouir de vos 10% de ventes (qui restent malgré tout un excellent taux), pourquoi ne passeriez-vous pas quelques jours, voire quelques semaines, à chercher d’autres besoins qui sont assouvis par votre produit ?

En choisissant cette option, vous courrez le risque de DOUBLER vos ventes et de contenter 2 à 3 fois plus de clients AVEC LE MÊME PRODUIT !

D’autant que si vous vendez sur Internet et que vous avez bien appris votre leçon, alors votre visiteur est membre chez vous, ou au moins, il est abonné à votre liste de prospects qualifiés.

Donc, il est intéressé par ce que vous proposez.

Vous n’avez juste pas assez creusé pour savoir quels sont TOUS ses besoins, et en quoi votre produit peut lui venir en aide pour ça.

A vous de jouer !

Vous l’aurez compris, tous les vendeurs se focalisent sur leur réussite, en occultant toute la partie qui apprend le plus quand on vend : Leurs échecs.

Et pourtant, c’est en se concentrant principalement sur ce qui n’a pas marché qu’on arrive à progresser et à prendre des parts de marché.

Donc je vous propose un petit exercice si vous avez déjà un produit à vendre et une page de vente qui ne vend pas à plus de 50% :

Quelles sont les actions que l’on pourrait mener pour arriver à cerner les véritables besoins des 95 visiteurs sur les 100 qui visitent votre page de vente et qui n’achètent pas votre produit ?

L’objectif est dans un premier temps de DOUBLER votre taux de vente. Il faut donc trouver quoi faire, et quoi dire à une AUTRE partie de vos visiteurs.

Laissez vos idées en commentaire.

Demain, je vous donnerai 5 actions concrètes (peut-être plus, qui sait, ça dépend de vous) à effectuer autour de votre produit et du besoin de vos clients.

D’ici là, à vous de parler ;)


16 NOVEMBRE 2011

Comment perdre 60 euros et un client à vie en à peu près 3 minutes

Il vient de m’arriver une petite histoire assez insolite qui illustre assez bien ce que je disais en commentaire à mon article d’hier : Beaucoup d’entreprises et de vendeurs ont TROP peur de leurs clients.

Et ça leur fait perdre du chiffre d’affaires à un point qu’elles n’imaginent même pas.

Si c’est votre cas, si vous pensez que vos clients ne sont pas honnêtes et qu’ils cherchent toujours à profiter de vous ou à vous voler, alors lisez ce qui est “arrivé” à la Fnac jeudi dernier.

“Je n’ai PAS confiance en vous !”

Je viens de passer 3 jours à Lyon à l’occasion du week-end prolongé du 11 novembre.

Détente, bonne bouffe, repos… C’était le but.

Comme j’aime bien organiser mes soirées à l’avance, j’ai donc tout naturellement cherché sur Internet les derniers spectacles ou concerts en cours à Lyon pour les 3 jours concernés.

businessman with notebook - hand up            Allez... Au-revoir !

Et je pense alors d’instinct à la Fnac.

Bon point pour elle, car c’est là, généralement, que j’achète mes places de concert quand je suis en ville.

Je me branche donc sur le site de la Fnac (fnac.com), et fais une recherche par date. Je trouve ce que je veux au bout de 5 minutes, et je suis prêt à acheter.

Je remplis donc les infos de ma CB, je vais pour valider, et là, je lis cette phrase incroyable juste au-dessus du bouton de validation :

“Cette réservation implique un paiement par Carte Bancaire et vos billets devront être retirés dans l'un de nos points de vente. Il vous sera demandé de présenter la carte ayant servi au paiement ainsi qu'une pièce d'identité. Les cartes virtuelles (e-carte) ne peuvent être utilisées en cas de retrait en magasin. IMPORTANT : les billets ne pourront pas être retirés sur le lieu de la manifestation

Donc récapitulons :

C’est moi qui rêve ou j’ai l’impression d’acheter un appart ?

D’autant que bon…

On est jeudi 10 novembre, il est 20:00. Vendredi est férié. Le spectacle est pour le 11 novembre au soir, et pour couronner le tout, j’habite à 48 km de la Fnac la plus proche.

Mais surtout, si je paye en ligne, c’est pour me faciliter la vie.

Et certainement pas pour me taper un parcours du combattant afin d’aller retirer un billet à 50 km de chez moi pour un spectacle à… 15 €.

Bref… J’ai annulé mon paiement sur le champ, fermé la page web de la FNAC – pour toujours - et je me suis mis à la recherche d’un service un peu moins gestapo.

Après tout, je veux juste aller voir 2 filles comiques sur scène et une pièce de théâtre. C’est pas comme si je voulais assassiner le président.

Bref... je n’ai pas eu à beaucoup chercher.

Je suis allé sur Google, j’ai tapé “achat billet spectacle”, et j’ai cliqué sur le premier lien sponsorisé qui est apparu : BilletReduc.com

Et là, tout a été beaucoup plus facile.

J’ai trouvé mes places, j’ai indiqué mon numéro de CB, j’ai validé, et à l’issue du règlement, un lien m’est proposé. Je clique, et là, surprise : Un billet en PDF à imprimer et à présenter à l’entrée du théâtre le jour du spectacle.

Rapide, facile, efficace. Pile poil ce que je cherchais !

Et cerise sur le gâteau : Alors que le billet à la Fnac était à 15 euros, sur ce site, je l’ai eu à… 11 €. Comme j’avais 4 places à acheter, j’ai gagné du temps et 16 €.

Bref, que du bénéfice pour moi.

Pour la FNAC, par contre, pas de chance. Car la prochaine fois que j’aurai un billet de spectacle à acheter, devinez où je vais aller en premier…

Elle a donc perdu un client à vie.

Bon…

Je vous rassure, cet article n’est pas un billet sponsorisé pour BilletReduc.

Ce site s’est retrouvé là par hasard, et le service qu’il m’a proposé au moment précis où j’en avais besoin en a fait MON nouveau site de référence en matière de billets.

Mais la leçon à en tirer pour nos affaires à tous est exemplaire !

Quelle leçon en tirer ?

En procédant de la sorte, la Fnac a certainement l’impression d’échapper à la fraude.

J’imagine qu’on a pensé en haut lieu que certains malhonnêtes pourraient voler une CB et en profiter pour aller se faire un concert ou deux avec.

Ou pire, peut-être croit-on que les clients vont pouvoir imprimer de faux billets virtuels pour assister à des spectacles à l’œil…

Mais la Fnac a-t-elle pensé à toutes ces personnes honnêtes qui voudraient juste acheter un billet de théâtre ou de concert sans quitter leur salon ?

A quoi sert Internet si c’est pour se déplacer afin de retirer son billet dans une vraie Fnac ?

A ce compte-là, autant y aller avant, et acheter son billet sur place, non ?

Alors OK, c’est anecdotique pour eux.

C’est vrai, que représentent 60 € pour la Fnac ?

Mais si juste 10 clients par jour réagissent comme moi (et sur les milliers de clients qu’ils ont, 10 clients par jour c’est microscopique), au final, c’est 600 € de CA qui s’envolent en fumée chaque jour, soit un peu plus de 200.000 € par an.

Une broutille ;)

D’autant que lorsque je suis arrivé au théâtre en question, j’ai demandé au gars à l’entrée à combien se montait le pourcentage de réservation de billets sur Internet. Sa réponse m’a sidéré : 70 % !!!

Vous vous rendez compte ? Plus de 7 spectateurs sur 10 avaient réservé leur billet sur Internet !

Et puisque j’étais là, j’en ai profité pour lui demander comment il pouvait être sûr que j’avais bien payé mon billet. Il m’a dit : “Ho vous savez, le site Internet nous envoie une liste des personnes qui ont réservé et payé, avec le nom, le prénom et le numéro de résa. Donc pas de danger pour moi !

Pensez-y !

Vous voyez, cette anecdote devrait vous faire réfléchir à deux fois avant de penser que la majorité de vos clients sont malhonnêtes et cherchent en permanence à vous voler.

Parce que c’est exactement l’inverse qui se produit.

Donc si vous avez dans l’idée de protéger vos vidéos, ou vos ebooks, ou vos logiciels contre les éventuels “pirates” qui vont essayer hypothétiquement de vous voler, et que ces protections vont ennuyer 98% des clients honnêtes qui voudraient bien, eux, avoir accès en payant à vos produits, alors revoyez la question, et vite.

Parce que vous ennuyez vos clients et surtout, vous perdez des ventes. Beaucoup de ventes.

Et si vous voulez essayer le petit truc dont je vous ai parlé hier à propos de l’essai gratuit, alors faites-le sans avoir peur.

Vos clients ne vous voleront pas. Ils sont honnêtes, droits et loyaux. En tout cas la grosse majorité.

Et si votre produit est bon, alors vous pouvez sans aucune crainte le leur faire tester.

Ils seront honorés de pouvoir le faire, et se feront un plaisir de vous payer ensuite, sans le moindre regret. Surtout si votre produit leur a rendu service.

Bref, ne faites pas comme la Fnac. A trop vouloir protéger leur système, ils perdent peu à peu des clients. Qui s’en vont vers Amazon ou vers d’autres plateformes plus souple et moins suspicieuses.

Ce serait dommage qu’il vous arrive la même chose pour une simple histoire de peur.

Il est temps de croire en vos clients et en vos produits.


15 NOVEMBRE 2011

Comment vendre 2 à 3 fois plus grâce à l'essai gratuit, et comment se faire payer à pratiquement tous les coups

Quand on vend des produits sur Internet, le facteur “confiance” que peut avoir un client dans vos produits et dans vous-même est très important pour vos affaires.

Car un visiteur qui s’apprête à devenir client a peur :

Une des bonnes solutions pour pallier à ce genre de peur, c’est de proposer au client de tester réellement en direct le produit avant de le payer.

essai-gratuit

C’est d’ailleurs ce qu’explique Cédric Vimeux dans cet article, concernant l’astuce bien connue pour vendre aux clients qui hésitent encore : Leur proposer un mois d’essai gratuit, et ne les faire payer qu’après cette période (c’est d’ailleurs son article qui m’a donné l’idée d’écrire celui-ci).

Il suffit alors d’utiliser Paypal pour ça, ou votre banque si elle propose la fonction dans votre contrat VAD.

Bien…

Maintenant qu’on a vu la peur du client, parlons à présent de la peur du vendeur – de vous, donc.

La plus grande peur du vendeur

Quand on fait essayer un produit avant que le client ne l’ait payé, la majorité des vendeurs ont tout simplement peur de ne pas voir la couleur de leur argent.

Ce qui, même si c’est totalement absurde, n’est malgré tout pas dénué de fondement.

En effet à partir du moment où on a inventé le concept de propriété pour l’homme, celui-ci s’est immédiatement pointé avec son frère jumeau : La peur d’être dépouillé.

Depuis ce jour, l’une des plus grandes peurs de l’homme est donc de perdre ce qui lui appartient.

Il est donc psychologiquement normal qu’un vendeur, qui a l’impression d’avoir travaillé pendant des heures et des heures à son produit, ait peur de se faire voler le fruit de son labeur.

Je le répète : C’est ABSURDE.

Très peu de gens ne vous paieront pas. La plupart de vos clients sont honnêtes. Au moins autant que vous.

Si on prend mon cas personnel, pour le seul produit que j’ai proposé avec ce système d’essai gratuit, ceux qui ont annulé leur abonnement après la période d’essai se comptent sur les doigts d’une main.

Et je parle de plus de 250 clients, soit moins de 2% d’annulation

Donc si vous avez peur qu’ils ne payent pas, c’est tout simplement que vous n’avez pas assez confiance en votre produit. Ce qui peut être justifié si le produit en question est relativement de mauvaise qualité, mais c’est une autre histoire.

Voici néanmoins 3 astuces de copywriter pour “forcer” les gens à vous payer après l’essai gratuit d’un mois.

3 astuces pour être sûr d’être payé

1. Fractionnez votre produit

Vous pouvez fractionner plein de choses.

Si vous vendez un livre, dispatchez-le en 5 ou 6 tomes, et livrez-en un par semaine.

Si vous vendez une formation, fractionnez vos vidéos principales en plusieurs vidéos de 10/15 minutes. Et livrez des morceaux de votre formation semaine après semaine.

Il vaut mieux livrer 3 vidéos de 10 minutes chacune qu’une seule vidéo de 30 minutes.

Déjà parce que cela permet à votre client d’avoir plus de temps pour appliquer et pour comprendre ce que vous enseignez, mais également parce que cela donne un peu plus de valeur à votre produit qui devient donc plus étoffé.

Et aussi parce que de cette manière, vous pourrez étaler les livraisons des différents modules dans le temps.

2. Augmentez votre offre

N’hésitez pas à rajouter des cadeaux à votre offre. Cadeaux dont vous livrerez une partie seulement lorsque la période d’essai sera terminée.

Vous pouvez par exemple créer la version audio d’un livre, et ne livrer que la moitié pendant la période d’essai. Ou alors donner accès aux podcast en ligne pendant la période d’essai, et proposer les fichiers en téléchargement lorsque le produit est payé.

Cherchez toujours à rajouter des éléments à votre offre, et à en parler à vos clients. Pour leur dire que “bientôt, ils vont recevoir leur cadeau n°X” ou “l’élément Y”.

Si vous vous occupez d’eux, ils se sentiront mieux épaulés, et donc bien plus enclin à vous payer. D’autant qu’ils n’auront rien à faire, Paypal s’occupera de tout.

3. Faites de votre produit un service récurrent

Ca c’est le véritable secret des essais gratuits qui sont payés dans 100% des cas : Quand le produit est assorti d’un service récurrent et gratuit.

Comme par exemple une mise à jour journalière, hebdomadaire ou mensuelle si vous vendez un logiciel (téléchargement de données par exemple).

Ou alors l’envoi d’un email hebdomadaire de qualité à votre client qui prolonge les effets de votre produit pour lui.

Si vous étalez l’envoi de ces mails sur toute la durée du règlement de votre produit principal, et que vous indiquez à la fin de chaque mail ce que le client trouvera dans le suivant, sans qu’il s’en rende compte, il restera avec vous jusqu’au bout, et ne demandera donc jamais l’annulation du règlement.

A vous de jouer

L’essai gratuit, c’est comme lorsque vous proposez un règlement en plusieurs fois. L’acheteur peut décider d’annuler à tout moment.

Ce sera rare. Surtout si vous montrez à votre client que vous êtes derrière lui, et que vous ne l’abandonnez pas une fois qu’il a acheté.

Et dites-vous bien que procéder de la sorte peut multiplier vos ventes largement par 2 ou 3, et parfois bien plus, surtout si vous vendez un produit cher (plus de 100 €).

Je sais que cela vous demandera quelques efforts d’acceptation. Un peu comme je vous l’expliquais dans cet article.

Mais si vous passez le cap, vous verrez vos ventes augmenter, augmenter… Et les quelques personnes qui annuleront leur paiement ne représenteront alors plus que des miettes dont vous n’aurez que faire.


14 NOVEMBRE 2011

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