C'est pas encore aujourd'hui qu'on va regarder des pubs bien tranquilles.
Ouuuuch, ces cinq-là, c'est quelque chose !!
Y'a vraiment des génies... Même si ce que vous allez voir est... clairement trash.
A part la première, que je trouve bof bof, les 4 autres sont juste génialissimes.
A ce propos, si vous trouvez des vidéos insolites autour de la pub qui seraient susceptibles de figurer ici le dimanche, envoyez-moi les liens, ou mettez les en commentaires.
Merci d'avance !
Et bon dimanche avec la photo du jour, et un message à respecter...
Au moins les 3 premiers mots... :D
19 AVRIL 2020
Calculez le "Sympathomètre" d'une page de vente ou d'un article
Savez-vous quel est le "degré de sympathie" de votre site web, vos articles de blog, vos emails ou de vos pages de vente ?
Saviez-vous que la sympathie d’un texte, quel qu'il soit, est mesurable ?
Voici comment…
Si vous avez quelques notions de copywriting, ce qui doit forcément être le cas si vous lisez ces lignes, alors vous avez certainement appris que le mot le plus important qu’on emploie sur une lettre de vente c’est le mot "vous" et tout ce qui s’y rapporte (votre, vos, tu, tes, ton, etc…). C'est ce qu'on appelle les MOTS D'OR.
Il s’ensuit que le mot le moins important est donc son contraire, à savoir le bon vieux "Nous" et ses dérivés (nôtre, nos, moi, mien, etc.). C'est ce qu'on appelle les MOTS INTERDITS.
J'ai donc créé un outil en ligne qui calcule le rapport entre le nombre de mots d'or qu'il y a dans un texte, par rapport au nombre de mots interdits.
Le résultat obtenu est un ratio baptisé "Sympathomètre".
Et donc forcément, plus le sympathomètre de votre texte est haut, et meilleur c’est pour vous.
Comment ça fonctionne ?
Prenez un texte, n'importe lequel. Une page de vente, un article, un mail, une page complète d'un site ou d'un blog, même, si vous voulez.
Copiez et collez ce texte dans le Sympathomètre, et vous obtiendrez le nombre de mots de votre texte, le nombre de mots d'or, et le nombre de mots interdits. Il ne vous restera plus qu'à améliorer ou non votre texte.
Pour accéder à cet outil de calcul, il vous suffit de laisser votre prénom et votre adresse email dans le formulaire ci-dessous. Vous recevez l'accès à cet outil et aux autres en quelques secondes.
Vous connaissez forcément ce concept, pas vrai ? Si vous avez un blog, ou un produit à vendre, ou même une prestation à proposer et que vous utilisez Internet, alors vous avez déjà entendu parler de "buzz marketing".
Wikipedia définit le "buzz" (Terme anglais signifiant « bourdonnement » d'insecte) comme étant une technique marketing consistant à susciter du bouche à oreille autour d'un événement, d'un produit ou d'une offre commerciale et, ce faisant, des retombées dans les médias.
Selon Seth Godin, le but du buzz marketing est d’attirer l’attention, de susciter de vives réactions, de créer des polémiques, de provoquer, de raconter au consommateur « une histoire ».
Les campagnes de buzz marketing sont très faciles à lancer et se diffusent rapidement, de plus elles ont un rendement exponentiel car elles ne cessent de s’amplifier. C’est ce que certains définissent comme le « marketing viral ».
Les 6 leviers d'un buzz marketing
Selon l'entrepreneur américain Mark Hughes, il y a six leviers (des « boutons », qu'on peut « pousser », selon ses termes) à employer pour susciter un buzz :
le tabou : faire parler de quelque chose dont personne n'ose parler ouvertement (par exemple la sexualité),
l'insolite : par exemple créer un site de rencontres en ligne pour les obèses,
le scandale : avancer une idée choquante tout en restant dans la limite du « moral » étant entendu que le point de vue moral est extensible et dépend de la culture du public ciblé
l'hilarité : par exemple faire appel à l'humour de répétition,
l'admiration : la susciter en faisant quelque chose de remarquable
le secret : dire qu'on a envie de partager un secret au plus vite (le secret est valorisant pour le consommateur car celui-ci a le sentiment d'être mis dans la confidence).
Toujours selon Mark Hughes, ce n'est pas la taille du budget marketing qui va déterminer l'ampleur du buzz mais la capacité à utiliser intelligemment ces six leviers.
Aujourd'hui et samedi prochain, je vous ai trouvé 3 gros articles qui vous donnent 41 techniques pour utiliser ces différents leviers du buzz marketing pour votre business.
Qu’est-ce que le buzz marketing ? Pourquoi mettre en place une campagne de marketing viral ? Quels sont les moyens à disposition des entreprises pour créer le buzz ? WikiCréa vous donne ses conseils et astuces.
Dans le cadre du marketing viral, tout le monde peut participer à la diffusion du contenu : le prospect, le client, l’utilisateur, l’employé de l’entreprise, etc. Toutes ces personnes interviennent dans le processus de recommandation, via le partage d’un contenu qui devient viral.
Pour l’entreprise, la clé consiste à créer un contenu publicitaire sans en avoir l’air…
Le succès d’une campagne de marketing viral s’apparente à la quête du Graal : le taux d’échec est très élevé, et tout se joue sur d’infimes détails. Pourtant, il existe des astuces et bonnes pratiques pour multiplier ses chances de réussite.
Voici tout ce qu’il faut savoir pour créer le buzz ou lancer une campagne de marketing viral.
Même s’il peut arriver de déclencher un buzz involontaire (ce qui est généralement le cas des “bad buzz”), les campagnes de marketing viral sont par définition « marketées » et ciblées.
Les campagnes de marketing viral sont nombreuses et les annonceurs peinent à surprendre un public saturé d’images et de vidéos. En moyenne, seulement une campagne sur dix atteindrait la viralité.
Face à ce très faible taux de réussite, les annonceurs doivent miser sur des campagnes de qualité, parfaitement intégrées dans le paysage des tendances.
Voici quelques critères qui vous permettront de vous démarquer :
Lorsque l’on sort un nouveau produit, un nouveau site… un élément majeur à bien travailler c’est son plan de communication et de promotion.
C’est pourquoi nous allons vous présenter dans cet article deux retours d’expériences de lancement d’eBooks :
Dans la première partie nous verrons les 8 leçons qu’à retenu Darren Rowse (traduction d’un de ses article), le blogger professionnel N°1 dans le monde, sur le lancement de son premier eBook sur la Photographie “Les Portraits“. En effet il a vendu 4800 livres en 1 semaine, soit 72 000 $ de CA avec un prix unitaire de 20 $.
Dans la seconde partie nous vous présenteront les 10 principaux outils“low cost” que nous utilisons pour promouvoir les eBooks gratuits de ConseilsMarketing.fr.
A partir de ces deux exemples nous vous donnerons de bonnes pistes pour apprendre à faire connaître votre site Web ou vos produits sur Internet !
Votre produit est prêt. Enfin ! Vous avez investi du temps, de l’argent et des ressources. Le produit doit être un succès, sinon, tout cela n’aura servi à rien.
Vous allez le publier, c’est bon tout est paré, let’s go ! Vous avez finalement lancé le produit et … rien … Personne ne se soucie ni n’achète votre nouveau produit. Qu’est-il arrivé ?
Vous avez foiré, voilà tout. Vous n’avez pas construit le buzz pour le pré-lancement.
Je ne veux pas que ce genre de choses arrive à d’autres. Grâce à mon expérience et à mes nombreuses collaborations avec des entreprises, voici quelques façons de construire un véritable buzz avant la publication de votre produit pour éviter l’échec.
Vous ne pourrez pas forcément tout appliquer pour vous. Mais il y a des astuces qui sont utilisables tout de suite.
Et comme je vous le disais il y a quelques temps, un buzz, c'est un truc qui arrive comme ça d'un coup, sans forcément s'y attendre.
Donc plus vous mettrez des techniques et des astuces en place en ce sens, plus vous vous rapprocherez de ce fameux buzz.
C'est une manière comme une autre de générer du trafic, n'est-ce pas ? A ce titre, c'est une activité qu'on devrait inclure chaque jour dans sa routine journalière.
Oui ! J'ai trouvé une technique assez simple pour écrire mes articles journaliers facilement.
Je vous la livre, vous pourrez sûrement faire pareil pour vous.
Voici : Je cherche un blog qui parle du même sujet que le mien. Ou alors d'une thématique approchante.
Je fouine un peu et je cherche les articles qui donnent des étapes pour réaliser quelque chose.
Si la tâche me semble bénéfique pour vous, mes chers lecteurs, alors je reprends ces quelques étapes et j'en fait un article ou un mail rapide.
C'est évidemment moins complet que l'article en question, mais je sais de source sûre que près de 80% de ce qui s'écrit dans un article de blog n'est là que pour embellir l'ensemble et n'apporte pas de véritable information.
La vraie information, celle qui sert, se trouve dans environ 20% d'un article.
Donc pour un article ou un email journalier, où vous n'avez que 1 à 2 minutes à me consacrer, une bonne petite histoire, 3 ou 4 étapes pour faire un truc et une belle conclusion qui vous pousse à agir, ça suffit amplement.
Ça vous rend un peu plus cultivé, ça vous aide à faire des trucs, et ça vous donne des conseils qui peuvent multiplier votre CA par le coefficient que vous voulez.
Je vous résume donc ma technique :
1. Trouvez des blogs qui parlent d'un truc proche de votre thématique,
2. Choisissez des articles qui parlent d'étapes,
3. Reprenez ces quelques étapes
4. Rajoutez une intro avant (une histoire sympa par exemple)
5. Une petite conclusion qui incite à l'action
Et voilà...
Sur certains blogs, vous pouvez trouver des dizaines d'idées de mails en quelques minutes.
Vous l'avez sûrement remarqué, depuis que j'ai repris l'écriture journalière sur Copywriting Pratique, il y a au moins 2 ou 3 articles courts par semaine.
C'est volontaire.
Vous vous demandez sûrement ce que Nemo vient faire ici ? Vous allez comprendre...
Un article court c'est quoi ?
300 mots environ (jamais moins)
Pas d'intertitre (pas obligé, du moins)
3 idées maxi
C'est le tiercé gagnant.
Pourquoi ? Petite explication :
1. 300 mots environ
C'est le nombre minimum de mots qu'il faut pour un article, quel qu'il soit. Même si vous présentez une vidéo.
En effet, Google s'intéresse moins aux articles de moins de 300 mots. Donc, si vous voulez être indexé sur Google et apparaître dans quelques résultats de recherche (et contribuer aussi à ce que votre blog soit mieux référencé), écrivez environ 300 mots.
Si vous utilisez l'ancienne interface d'écriture de Wordpress, le nombre de mots écrit s'affiche en temps réel. J'en suis à 148, juste là.
Bref, écrivez au moins 300 mots.
Vous avez du mal à les atteindre ? Il ne s'agit pas de faire du bla bla pour remplir : Donnez plutôt des exemples ou des anecdotes. Ça meuble bien, c'est facile à écrire, et les gens mémorisent 10 fois mieux un concept quand c'est encapsulé dans une histoire.
Vous pouvez aussi faire un lien avec un autre article que vous avez écrit, et reprendre ainsi quelques idées complémentaires de plus. Que ce soit vous qui ayez écrit l'article ou pas.
Ne copiez pas : réinterprétez.
Et prenez cette info avec des pincettes. Seth Godin écrit un article par jour sur son blog depuis 16 ans, et ses articles dépassent très rarement les 300 mots. Donc ça marche aussi quand il y en a moins. Surtout parce que les articles sont en entier sur sa page d'accueil, ce qui fait qu'un article + un article + ... = 10 articles complets sur une même page.
Bref... 300 mots c'est bien. S'il y'en a moins, c'est bien aussi, surtout si c'est pertinent et impactant.
2. Intertitres non obligatoires
Les intertitres facilitent la lecture des articles longs. Mais ils servent aussi à mettre en valeur un mot clé précis au besoin.
Si votre mot-clé est dans le titre de votre article, dans son premier paragraphe et dans un intertitre, tout naturellement, Google comprend que ce mot est important.
C'est facile à faire, et presque automatique.
Mais à part ça (vous n'êtes évidemment pas obligé d'écrire des articles pour grimper sur Google, parfois vous pouvez n'écrire QUE pour votre communauté), les intertitres ne sont pas obligatoires sur les articles courts.
Seth Godin n'en met jamais, par exemple.
3. 3 idées maximum
Quand on a un message à faire passer, le mieux est de le concentrer en 3 idées maximum. Pour s'en rappeler, pensez au poisson (vous comprenez l'image choisie, maintenant oui ?) :
Une tête qui correspond à l'introduction de votre article, 3 arrêtes correspondant à 3 idées, et la queue pour la conclusion.
C'est également une belle manière de garder ce schéma en tête quand vous faites des vidéos. Qui devraient suivre le même chemin pour faire moins de 5 minutes idéalement.
Pourquoi il faut en faire au moins 2 à 3 par semaine ?
Les avantages des articles courts sont multiples, mais il y en a 3 qui montrent que ce format est bénéfique pour tout le monde :
Ça vous prend moins de temps pour les écrire,
Si vous respectez le concept des 3 idées, vos lecteurs vont adorer (ça va vite à lire, c'est pertinent et facile à retenir)
C'est parfaitement adapté pour les réseaux sociaux et pour les vidéos (format court à privilégier à tous les coups, car aucun référencement n'est utile sur Facebook ou sur Youtube, lié à la taille du post ou à la durée de la vidéo)
Si vous en faites 2 à 3 par semaine, voire plus, vous vous dégagez du temps pour écrire un gros article bien documenté qui vous servira à augmenter l'intérêt de votre blog pour les utilisateurs et aussi pour Google, qui adore les gros articles bien pertinents.
Voilà.
Il ne vous reste plus qu'à trouver des idées d'articles à écrire en 300 mots.
16 AVRIL 2020
Quelques articles populaires sur l'Intelligence Artificielle
A moins que vous n'ayez vécu dans une grotte depuis un an, vous ne pouvez pas être passé à côté de l'Agent Conversationnel "ChatGPT", baptisé pour l'occasion "Gepetto" sur ce blog.
Il a vu le jour en novembre 2022, mais a réeellement explosé à partir de février 2023, en récupérant 100 millions de membres en moins de 8 mois.
On n'avait pas vu de croissance pareille depuis bien longtemps.
Il est donc important d'apprendre à maîtriser cet outil (car, OUI, ce n'est qu'un outil) pour gagner un temps phénoménal dans des milliers d'actions.
En ce qui me concerne, je l'utilise tous les jours pendant 2-3 heures, et j'écris régulièrement des articles dessus pour vous apprendre à l'utiliser aussi, avec ou sans objectif d'améliorer votre copywriting.
Et si vous voulez recevoir de temps en temps des "prompts" ou des "invites" en français, par mail, alors inscrivez-vous en tant que membre de ce blog, et une fois inscrit.e, demandez à recevoir l'article du jour par email.
J'envoie fréquemment un nouveau prompt intéressant en PS, en plus de l'article. De quoi vous faire souvent gagner un temps fou.
Pour devenir membre, indiquez juste votre prénom et l'adresse email juste là :
Le titre de cet article et le fait que vous le lisiez maintenant en dit long sur le pouvoir méconnu des quizz.
Quand un magazine sort un test en 20 questions (le grand test de l'été... quelle maman êtes-vous ? Est-ce que votre couple est fait pour durer ? etc.) ses ventes font un bond.
Saviez-vous qu'il en sera pareil pour vos articles et pour votre audience en général ?
Il est facile aujourd'hui de mettre un quizz en place.
Si vous avez un blog Wordpress, il vous suffit d'installer QUIZZIN.
Alors que j'étais en train de faire du tri dans les photos de mon ordinateur, je tombe sur cette image :
Et je me suis dit que je devais trouver un article pour lequel cette image irait bien.
Et voici donc une nouvelle manière de trouver des idées d'articles :
Partir d'une image. Et broder autour.
Bien souvent, le cerveau fonctionne par associations. Et lorsqu'il voit une image sympa (quel qu'en soit le thème), il fait des associations avec des articles passés, des infos entendues, des expériences vécues, des films, des pubs...
Pour nous autres, blogueurs, c'est une véritable aubaine, au point qu'il me semble important d'en faire une belle base d'idée d'articles.
Pour celle que j'ai choisie aujourd'hui, dans ma thématique, je pourrais trouver des dizaines d'idées. En voici déjà 5 (j'ai choisi la première) :
Trouver des idées d'articles autour d'une image
L'importance du choix des couleurs dans une page de vente ou dans un site
Je me cache l’œil droit : j'empêche mon cerveau logique de prendre la main : comment écrire plus efficacement en me "forçant" à réfléchir émotionnellement
Quelles sont les couleurs de l'action sur une page de vente ?
Les 10 titres qui provoquent un sourire chez vos lecteurs et donnent envie d'aller plus loin
En se creusant la tête, cette image nous donne plein d'indices à utiliser pour un article.
Donc lorsque vous cherchez des idées pour écrire, suivez ce petit plan en 3 étapes :
1. Cherchez une image qui vous plait.
Dans n'importe quel domaine. Si l'image vous plait, vous serez content de l'utiliser. Et cela facilitera l'étape 2.
2. Cherchez des idées d'articles qui pourraient correspondre à cette image.
Il vous suffit de prendre un à un les différentes catégories de votre blog, par exemple, et de trouver un rapport avec chacune.
3. Choisissez votre idée préférée
Parmi tout ce que vous avez trouvé, choisissez le sujet qui vous inspire le plus, et commencez à écrire dessus. Et gardez les autres sujets pour de prochains articles.
C'est rapide, facile et ludique comme manière d'écrire.
Dernière astuce
En fonction de ce que vous allez choisir comme thème, vous allez écrire un article relativement court.
C'est OK ! Mais pourquoi ne pas écrire plusieurs mini-articles d'un coup, puisque vous êtes inspiré ? Et pourquoi ne pas les rassembler à la fin dans un ou plusieurs grands articles ?
Passez en revue les différentes idées que vous avez eues, et rassemblez les idées qui se rejoignent.
Par exemple, dans mes 5 idées, on parle deux fois de la couleur. Je pourrais en faire un article sur la couleur avec au moins 2 applications (en fait il y en a beaucoup plus quand on y réfléchit, mais vous comprenez l'idée).
En résumé, quand vous partez d'une image, ne vous brimez pas et ne vous limitez pas.
Vous avez la possibilité de trouver 100 idées d'articles si vous y passez le temps qu'il faut. Presque de la matière à écrire un blog complet pendant 2 ans à raison d'un article par semaine.
Vous voulez vous entraîner ? Essayez de trouver des idées d'articles avec l'image de cet article, vous aussi.
Il vous présente 13 passoires à travers lesquelles vous devriez passer vos titres d'articles et vos sujets d'email.
Si cela bloque à un endroit, changez tout simplement votre titre :
1. Mon titre va arrêter les gens dans ce qu'ils font
Ils sont occupés, ils courent partout, et ils sont super-sollicités par des milliers d'informations par heure. Votre titre doit les arrêter net.
2. Ce n'est pas un titre bateau, c'est un titre mystérieux et impactant
Une belle manière d'arrêter les gens. De leur offrir un peu de fun, d'insolite et surtout d'aventure. Lâchez-vous : un titre c'est pas long, donc vous pouvez dire ce que vous voulez. Sortez des clichés.
3. Mon titre peut être compris par un enfant de 8 ans
Laissez le jargon aux gens compliqués. Utilisez des mots simples et faciles à comprendre.
4. Si je parle d'une douleur dans mon titre, ça ne fait pas trop mal
Le but n'est pas d'être trash ou volontairement violent. On veut arrêter les gens. Pas leur foutre leur journée en l'air.
Même si on vous a dit que le sensationnel fait vendre (ou ouvrir ou cliquer), vous n'êtes pas obligé de tomber dans le piège.
5. Mon titre est crédible et plausible (et pas une promesse trop grosse)
Rien n'est plus frustrant d'ouvrir un mail ou de commencer un article qui vous a attiré et de découvrir que cela n'a rien à voir avec ce qu'on vous a promis.
Bref, ne frustrez pas vos lecteurs pour rien. Ils vont s'en aller. Et vous l'aurez mérité.
6. Mon titre est le plus spécifique possible
Certains titres très courts comme "Terminé !", ou "Test", ou "STOOOP !", ou autre mots quasi uniques font ouvrir les mails. Du moins au début.
Avec le temps, les gens comprennent la combine, et ils n'ouvrent plus.
Donc revenir vers le spécifique (le titre qui parle précisément de ce qu'il y a dans le mail) est souvent salutaire.
Ça vous empêche pas d'employer le mystère. Un mystère spécifique.
7. Je pose une question ou je parle d'un truc qui sort du commun
On rejoint un peu le n°2 : les gens aiment qu'on les bouscule un peu. Leur poser une question fait débuter un processus d'éveil d'intérêt.
Donc pensez à la question le plus souvent possible. Surtout si c'est une question que s'est déjà posé votre lecteur.
8. Si j'utilise un nombre il n'est pas rond
Il vaut mieux utiliser 7, 9, 14 ou 28 par exemple plutôt que 10, 20 ou 30 ou autre chiffre avec un zéro. Parce que c'est plus fun. Et ça fait moins cliché.
"Je reviens dans 10 mn" est bien moins impactant que "Je m'absente 3 minutes 37". Même si on sait que ce ne sera pas "juste" 3mn37, c'est plus recherché que 10mn, qui se transforment souvent en une heure.
9. Tous les nombres qui apparaissent dans mon titre sont écrits en chiffres
Parce qu'un nombre écrit en chiffre attire l'attention. Un nombre écrit en lettres se fond dans la masse des autres mots. Et on perd le gros pouvoir des nombres.
Et c'est dommage.
10. S'il y a des mots clés dans mon titre, ils sont là naturellement (et pas comme s'ils arrivaient de nulle part)
Combien de fois voit-on des titres qui ne veulent rien dire parce que l'auteur a rajouté un mot-clé sur lequel il veut se positionner. Et ce mot n'a pas de rapport avec les autres, ou alors il arrive comme un cheveu sur la soupe.
Ou alors il est cliché. Ou bateau. Ou juste inintéressant.
Exemple : "Comment passer un titre parmi ces filtres pour écrire un titre efficace"
11. Le titre contient moins de 10 mots
Il y a quelques jours, je vous parlais de 3 mots. C'est l'idéal, en effet. Si vous voulez en mettre plus, ne dépassez pas 10 mots. Sinon, c'est trop long.
12. Les mots intéressants sont entrecoupés de mots "normaux"
Pour qu'on s'intéresse à un mot, il faut qu'il soit isolé. Si vous dites "J'ai vu un pangolin au milieu de mon salon", c'est insolite et intéressant.
Si vous écrivez : "J'ai senti la présence suintante et brinquebalante d'un pangolin rempli de fourmis suantes de miellat dans la savane mongolienne." on ne sait pas sur quoi s'arrêter.
Bref, orientez les gens sur une seule idée insolite. Vous pourrez garder les autres pour le corps de ce mail-ci ou pour un autre.
13. J'emploie la juste ponctuation
Le but n'est pas de toujours mettre un point d'exclamation ou 3 petits points "...".
L'idéal est de mettre la ponctuation qui traduit la juste émotion que vous voulez transmettre. Mettre un point d'exclamation devrait normalement être réservé à un "cri" dans le texte. Comme ça : "Ouvrez, bon sang, vous allez le rater !"
Ailleurs, même si ce que vous dites semble intéressant, le point est de rigueur. Ou rien du tout. Surtout dans un titre.
A vous de jouer !
Tous vos titres d'articles et vos sujets de mails devraient passez ce test des 13 passoires. En tout cas ils devraient en passer au moins 10 sur 13.
Surtout si vous voulez que vos visiteurs deviennent des lecteurs.
Essayez et comparez ;)
13 AVRIL 2020
Guide à télécharger : Créez une formation complète avec ChatGPT
Ce qu'il y a de bien avec ChatGPT, c'est que lorsqu'on l'utilise régulièrement et qu'on prend l'habitude de le voir comme un super assistant, on découvre chaque jour de nouvelles utilisations.
Vous pouvez en effet lui poser la question de savoir ce qui empêche vos clients d'atteindre leurs objectifs concrets. Il vous donnera une jolie liste d'obstacles et de problèmes que vous pourrez utiliser pour :
personnaliser vos pages de vente,
créer des accroches plus engageantes,
créer des produits spécifiques pour les résoudre,
créer des sous-niches dans votre activité,
créer des articles de blogs plus engageants,
créer une FAQ à mettre sur votre site ou votre blog,
mentionner tel ou tel problème dans un titre d'article pour améliorer votre SEO,
créer des publicités plus ciblées, donc plus efficaces…
... et une tonne d'autres applications pour lesquelles trouver un problème à résoudre ou un obstacle à lever sera d'une grande aide.
Après tout, quoi que vous proposiez, que ce soit un produit ou une prestation, quand vous connaissez vraiment les principaux problèmes de vos client.e.s, vous savez quoi leur proposer pour les résoudre.
Et cette manière de procéder peut vous permettre de créer un produit complet, en suivant une procédure tout ce qu'il y a de plus simple et logique.
J'explique tout avec un exemple concret dans un guide (PDF), que je réserve aux membres de Copywriting Pratique :
Pour télécharger ce guide (et les autres disponibles), remplissez simplement le formulaire ci-dessous, et recevez votre accès à tous les outils disponibles :
Aujourd'hui, je vous propose une quinzaine de pubs absolument géniales.
Insolites, intelligentes, trash parfois. Il y en a pour tous les goûts.
C'est tout autour du monde, et on s'aperçoit qu'il y a un point commun avec toutes ces pubs : on ne sait jamais où ils veulent en venir avant la fin (essayez de découvrir simplement le produit de la première pub avant la fin, pour voir...)
C'est la pincée d'insolite qui suffit à attirer notre attention.
C'est plein d'inspiration pour le copywriter que je suis. Et j'espère qu'au delà des bons moments de rire et des solides moments d'émotions (vous verrez avec la dernière pub) vous y trouverez de quoi vous inspirer pour votre prochaine campagne de pub.
Si vous avez un blog, alors vous avez des articles à écrire. Beaucoup d'articles.
Il y a tout un tas de plans à suivre quand on écrit pour un blog, mais il est une composante qu'il est essentiel d'entretenir : sa mémoire.
Pourquoi ? Parce que lors de l'écriture, vous allez faire tout un tas de liaison avec ce que vous connaissez déjà.
Ce que vous avez vécu, lu ou déjà écrit. Cela peut être sur un forum, sur des réseaux sociaux, dans un livre.
Citations, anecdotes, techniques, auteurs, chiffres... Il existe tout un tas de données que vous avez emmagasinées au fil du temps, et qui peuvent enrichir vos articles de la meilleure manière qui soit.
Oui mais voilà. Est-ce que vous entretenez votre mémoire pour justement vous rappeler de tous les détails ?
Je vous propose aujourd'hui 3 articles détaillés à ce sujet pour vous y aider :
Article #1 : Comment fonctionne la mémoire ? Mieux la comprendre pour mieux mémoriser !
Cela nous est tous déjà arrivé de voir une personne qui nous dit bonjour sans que l’on arrive à se souvenir de son prénom. Ou encore de devoir faire une présentation orale en public et d’être confronté à un trou de mémoire. Lorsque la mémoire nous manque, elle peut nous mettre dans des situations embarrassantes voire catastrophiques. Alors comment mieux mémoriser et se souvenir plus facilement des informations que l’on souhaite retenir ? Voyageons un peu au pays des sciences pour comprendre comment fonctionne la mémoire afin de savoir comment la booster.
Comment fonctionne la mémoire ou plutôt les mémoires ?
Nous parlons souvent de la mémoire au singulier. En réalité, il existe plusieurs types de mémoire :
la mémoire procédurale : c’est la première mémoire qui se développe chez l’être humain et qui nous permet d’apprendre à faire des mouvements ou des actions comme marcher ou faire du vélo. C’est également la mémoire qui disparaît en dernier dans la maladie d’Alzheimer.
la mémoire perceptive : c’est cette mémoire qui nous permet de reconnaître visage et objets. Elle se développe dans un deuxième temps via nos cinq sens.
la mémoire flash ou encore de court-terme : c’est cette fameuse mémoire qui dure quelques secondes et qui nous permet de retenir une série de chiffres par exemple. Cependant au bout de quelques minutes, nous finissons par oublier ce que nous avions mémorisé et l’information disparaît peu à peu
la mémoire sémantique : c’est elle qui nous permet de stocker tout ce qui relève des connaissances ou des informations, par exemple un cours d’histoire à l’école.
la mémoire autobiographique ou épisodique : c’est la mémoire qui stocke nos épisodes de vie, elle se remplit au fur et à mesure que nous vieillissons.
la mémoire prospective : c’est une mémoire qui nous permet, non pas de nous souvenir du passé, mais d’actions à accomplir dans le futur (par exemple une réunion demain).
On pense souvent, comme Édith Piaf, que « dormir, c’est du temps perdu », des heures d’inactivité complète, d’arrêt sur image, qui ne servent qu’à reposer le corps et l’esprit, sans qu’aucun progrès ne soit accompli. Pourtant, alors que nous roupillons tranquillement dans les bras de Morphée, notre cerveau, lui, fait des heures supplémentaires. Dans quel but se donne-t-il toute cette peine ? Nous allons voir cela…
Tout d’abord, intéressons-nous au sommeil et à ses multiples facettes. En effet, le sommeil ne se résume pas à une simple mise en veille de l’organisme, mais plutôt à un enchaînement de différents types de sommeil, les stades, ayant chacun un rôle bien précis. Ces stades se succèdent de manière cyclique après l’endormissement, que l’on pourrait résumer à un blocage de l’éveil par un système d’interrupteur, même s’il s’agit en réalité d’un mécanisme très complexe.
Les beaux rêves d’un cerveau éveillé
Les deux premiers stades de sommeil correspondent respectivement au sommeil lent très léger et au sommeil lent léger, durant lesquels nous percevons encore partiellement notre environnement sans pouvoir agir. Ensuite viennent...
Vie professionnelle, examens, volonté de garder toute sa tête au fil des années, la mémoire est une fonction essentielle du cerveau. Pour savoir comment l’entretenir, suivez les conseils de nos experts.
Il n'y a bien sûr pas de recette miracle pour garder en mémoire le plus d'informations possible. Un fait certain : une bonne hygiène de vie est déjà un bon préambule.
Les exercices de mémoire doivent rester ludiques
Le conseil de Nicolas Conti, psychosociologue :
"Ce que l’on appelle problème de mémoire relève plus souvent d’un problème d’attention. L’attention est un acte volontaire qui demande avant tout un effort d’écoute. Aujourd’hui, nous avons moins besoin de connaître des choses par cœur grâce aux outils technologiques du quotidien.
Outre avoir une vie saine, garante d’un meilleur fonctionnement cérébral, les exercices de mémoire doivent rester ludiques : additionner les courses par exemple, pour vérifier en caisse que notre décompte est correct.
S’exercer à apprendre une poésie : pour cela, se la répéter mentalement pendant 15 secondes pour la retenir, la réciter, et l’écrire pour faire travailler les mémoires visuelle et auditive (on retient mieux ce que l'on enregistre deux fois).
Si vous êtes artisan, commerçant, ou même coach ou thérapeute, alors vous savez que le bouche à oreilles est la meilleure de toutes les méthodes de promotion qui existe.
Surtout si vous avez quelques notions de base en copywriting.
Dans cet article, je vais vous donner 5 techniques pour l'encourager et en faire votre première manne à clients.
Une efficacité qui n'est plus à démontrer
Le bouche à oreille est en effet une méthode de promotion qui a 3 énormes avantages :
Elle est 100% gratuite,
Bien faite, elle englobe la preuvesociale, la confiance, et la promesse en une seule action,
Elle est exponentielle et illimitée,
Ne vous y trompez pas : quand vous voyez une pub McDo, Coca ou même Loréal à la TV, ou lorsque vous voyez une bande annonce de film au ciné ou sur Youtube, vous croyez que c'est de la pub, mais en réalité, c'est une manière d'encourager le bouche à oreilles.
"Tu as goûté le nouveau burger veggie chez MCDo ?"
"Tu veux un Coca ?"
"T'as vu le dernier film de Marion Cotillard ? Trop bon, tu devrais y aller..."
"T'as essayé une méditation avec Isabelle ? C'est tellement relaxant, tu devrais essayer..."
Tout ça, c'est du bouche à oreille. Et c'est une méthode qui fonctionne depuis la nuit des temps car elle émane de gens qui ne sont pas directement intéressés par le fait qu'on achète le produit.
C'est juste de la bienveillance à 100%. On rend un service en recommandant quelqu'un, parce qu'on a été satisfait, et dans un élan de bienveillance, on propose à des amis d'en profiter aussi. Ça ne va pas plus loin que ça.
Ça s'appelle de la "recommandation". Et ça existe depuis la nuit des temps, bien avant Internet, et bien avant le marketing.
C'est le même principe que l'affiliation, mais comme c'est désintéressé (aucune commission n'est versée lors d'une recommandation), ça marche 150 fois mieux.
Bref... Si vous aviez encore des doutes, soyez rassuré, le bouche à oreilles est vraiment la méthode la plus sympa, la plus facile, la plus efficace et la plus pérenne qui soit pour trouver de bons clients rapidement.
A condition que vous l'incluiez dans votre stratégie de développement, comme tous le reste.
Car bien entendu, ça ne va pas se faire tout seul. Mieux encore, ça va vous demander quelques petits ajustements dans votre emploi du temps.
Mais bien fait, c'est prodigieux d'efficacité.
Voici 5 techniques éprouvées que vous devriez absolument appliquer pour que ce soit un succès pour vous :
1. Clarifiez votre fonction et ce que vous pouvez apporter aux gens
Ça commence évidemment par là.
Qu'est-ce que vous faites, clairement ? Quels sont vos points forts ? Comment aidez-vous les gens ? Et surtout, comment l'exprimez-vous ?
Votre "pitch" de présentation, votre slogan, votre accroche, appelez ça comme vous le souhaitez, doit être clair, concis, ciblé et orienté à 100% vers les clients.
Prenons un exemple. Admettons que vous soyez une thérapeute spécialisée dans la famille.
Vous devez dire clairement ce que vous apportez aux gens.
Par exemple, pour vous présenter, vous pourriez dire un truc du genre :
"Je suis coach familial reconnu, avec 25 ans d'expérience et plus de 900 familles coachées avec succès"
Me dites pas que vous n'avez jamais vu ça sur Internet, 90% des coachs vous l'affichent comme ça.
Ce genre de pitch, c'est de la bouse en cornet.
C'est 100% centré sur MOI , MOI, MOI et re-MOI... Et hélas, ça ne sert à rien.
On se fout que vous soyez reconnu. Si vous avez besoin de l'écrire, c'est que ce n'est pas le cas. Est-ce qu'une seule fois vous avez vu ce mot accolé à un acteur ? "Brad Pitt, acteur reconnu" ! Evidemment non. Est-ce que Tony Robbins va écrire ça sur son site ? Bien sûr que non.
Si vous êtes "reconnu", alors on le sait.
25 ans d'expérience ? On s'en tamponne. J'ai vu des spécialistes avec 40 ans d'expérience aigris et en colère, sans la moindre velléité de faire correctement le job pour lequel on les paye.
Vous avez coaché 900 familles "avec succès" ? Qu'est-ce que ça veut dire ? Et surtout, qui dit ça ? Vous ? Les familles ? Vous avez des preuves ? Et ça veut dire quoi, exactement, "coaché" ?
Bref, vous l'aurez compris, tout ce qui est abstrait (l'inverse de concret) et qui comporte des références à VOUS-MÊME, ça ne sert à rien du tout.
Ce que les gens veulent, c'est savoir ce que vous pouvez faire pour eux.
Si vous dites :
"Depuis 1990, j'aide les parents débordés à communiquer avec leurs enfants pour que ce soit plus zen à la maison. Vous n'arrivez plus à faire faire quoi que ce soit à vos enfants sans leur promettre une récompense ou les menacer ? Appelez-moi au XXXXX. Vite..."
Ça peut se décliner à l'infini, en fonction - évidemment - de votre spécialité. Vous pouvez y inclure de l'humour, de l'émotion, de la peur, de la tristesse, un exemple rapide...
Ce genre de pitch, c'est bien plus concret et bien plus "terrain" que "Je suis coach familial reconnu".
Le but est d'être le plus PRÉCIS possible sur ce que vous faites. Afin que cela provoque tout de suite une lumière dans la tête des gens qui vous connaissent avec un nom et un téléphone qui clignote, dès qu'ils croisent un potentiel client pour vous.
Dans mes connaissances, j'ai une thérapeute de grand talent qui est LA spécialiste de la dépendance affective et plus précisément des victimes de pervers narcissiques.
Elle est pro et efficace dans ce qu'elle fait, et croyez bien qu'à chaque fois que je rencontre une personne qui a un problème avec un ou une PNM, je pense instantanément à elle. Et je transmets immédiatement son numéro de téléphone. Parce que je SAIS qu'elle pourra l'aider.
Ce n'est pas plus compliqué que ça, le bouche à oreilles :
si vous avez une spécialité,
que vous êtes bon dans ce que vous faites,
que vous avez une clientèle ciblée,
et que vous savez exprimer clairement ce que vous faites...
...alors soyez assuré que vous aurez des dizaines de personnes qui vous enverront des gens.
Parce qu'ils sauront que vous serez la personne de la situation.
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